vive le roi machia'h now ! n°304

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Photo de la semaine Danses de Adar au 770 à New York Horaires de Chabbat à Jérusalem Chabbat Parachat Tazria : Entrée : 18h28 - Sortie : 19h41 Yé’hi Adoneinou Moréinou VéRabénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd ! www.viveleroi770.com Vidéos inédites, Dvar Mal’hout et articles en français N°304 - Hebdomadaire - Chabbat Parachat Tazria - Parachat Ha’hodech - Roch ‘Hodech Nissan Edition française - [email protected] - www.viveleroi770.com - 058-4770055 BH Bonnes Nouvelles Traductions Hébreu/Français [email protected] 053-2770419 Recevez chaque semaine la Newsletter de la Guéoula sur votre téléphone Menou’ha Ra’hel 058-4770055 Ces puissantes énergies intégrées dans la matière… Nous avons a peine quitté la Paracha Chémini et son Dvar Mal’hout du 28 Nissan 5751-1991, dans lequel se trouve la célèbre déclara- tion du Rabbi Méle’h Ha- Machia’h Chlita : « La seule chose que je peux faire, est de vous transmettre ce rôle : Faites tout ce que vous pouvez, des actions qui font entrer les plus hautes lumières du monde de Tohou dans les solides réceptacles du monde de Tikoun, afin d’amener de la manière la plus concrète, le Machia’h, notre juste, im- médiatement Mamach ! ». Changeons de décors… On se retrouve en 5776, en l’an 2016, le progrès fait son bonhomme de chemin, et l’on vient actuelle- ment de découvrir une nouvelle méthode pour mettre au point des inventions beaucoup plus performantes qu’auparavant, plus sophistiquées, plus « intelli- gentes », plus connectées, et ce, principalement dans le domaine de la santé. Cette méthode est basée sur la combinaison des cerveaux, une avancée phénoménale dans la dé- couverte de technologies nou- velles, de développement et d’administration de nano-gélules pleines d’antibiotiques, d’une molécule, de cellules-souches pour reformer des tissus lésés etc. Mais, décrivons les détails de cette magnifique combinaison de différents intellects. Il s’agit en faite d’unir les connaissances et les compétences de différents médecins spécialistes, chirur- giens, biologistes, ingénieurs in- formatiques et robotiques et même des botanistes… En com- binant ces cerveaux, on a pu met- tre au point de nouvelles applications, du matériel médical plus performant, utilisable à dis- tance, intégrant la wi-fi sur des patients en observation etc. Mais le Rabbi Chlita Méle’h Ha- Machia’h avait déjà vu cette mé- thode le jour de son discours du 28 Nissan 5751-1991… En effet, et voici ses propos à ce sujet : « Et que soit Sa Volonté, que se trou- vent d’entre vous, une, deux ou trois personnes, qui se réuni- ront pour prendre conseil, que faire et comment faire, de plus, et principalement, ils feront en sorte qu’intervienne la déli- vrance, la Guéoula véritable et complète de la manière la plus claire… ». Tel est le grand prin- cipe de la Itvaadout ! La réunion des cerveaux pour savoir com- ment faire tenir une si grande énergie (les lumières de Tohou) dans un instrument matériel, un objet, un flyer de publicité, un ballon sur lequel sera écrit le mot « Machia’h » (les Kélim de Ti- koun) et encore d’autres inven- tions que nous n’avons pas encore sorti au grand jour… Mais c’est bien sûr ! On avait pas pensé à cela, on avait pas réfléchit au fait qu’une réunion ‘hassidique, le Farbrenguen, n’est pas seule- ment fait pour chanter, danser et prononcer des ‘hidouchei Torah, mais aussi pour réfléchir, entre nous à ce qui pourrait déclencher la Guéoula, le grand dévoilement de manière immédiate !? Alors changeons nos méthodes et utili- sons le progrès pour, nous aussi avancer vers la Guéoula plus vite et plus fort, dans la joie de la Guéoula, dès maintenant… Les enfants de Nitsan font des Matsot L'opération « Cuisson des Matsot » bat déjà son plein. Les enfants de Gouch Katif se trou- vant aujourd'hui au village de Beer Ganim ont cuit des Matsot à l'initiative du Beit 'Habad de Gouch Katif. Chaque enfant a reçu un tablier, un chapeau de pâtissier et un journal spécial fête de Pessa'h. 1400 paquets de Matsot se- ront ditribuées au familles expulsées de Gouch Katif. (CI)

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Spécial Roch Hodech Nissan - Anniversaire de la Rabbanite 'Haya Mouchka - Parachat Ha'hodech, la Guéoula en marche !

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Page 1: Vive le roi Machia'h Now ! N°304

Photo de la semaineDanses de Adar au 770 à New York

Horaires de Chabbat à JérusalemChabbat Parachat Tazria :

Entrée : 18h28 - Sortie : 19h41

Y é ’ h i A d o n e i n o u M o r é i n o u V é R a b é n o u M é l e ’ h H a M a c h i a ’ h L é o l a m V a è d !

www.v ive lero i770 .comVidéos inédites, Dvar Mal’hout et articles en français

N°304 - Hebdomadaire - Chabbat Parachat Tazria - Parachat Ha’hodech - Roch ‘Hodech NissanEdition française - [email protected] - www.viveleroi770.com - 058-4770055

BH

Bonnes Nouvelles

TraductionsHébreu/Français

[email protected]

053-2770419

Recevez chaque semaine la Newsletter de laGuéoula sur votretéléphoneMenou’ha Ra’hel 058-4770055

Ces puissantes énergies intégrées dans la matière…

Nous avons a peine quitté laParacha Chémini et sonDvar Mal’hout du 28 Nissan5751-1991, dans lequel setrouve la célèbre déclara-tion du Rabbi Méle’h Ha-Machia’h Chlita : « La seulechose que je peux faire, estde vous transmettre cerôle : Faites tout ce quevous pouvez, des actionsqui font entrer les plushautes lumières du mondede Tohou dans les solidesréceptacles du monde deTikoun, afin d’amener de lamanière la plus concrète, leMachia’h, notre juste, im-médiatement Mamach ! ».

Changeons de décors… On seretrouve en 5776, en l’an 2016, leprogrès fait son bonhomme dechemin, et l’on vient actuelle-ment de découvrir une nouvelleméthode pour mettre au pointdes inventions beaucoup plusperformantes qu’auparavant,plus sophistiquées, plus « intelli-gentes », plus connectées, et ce,principalement dans le domainede la santé. Cette méthode est basée sur lacombinaison des cerveaux, uneavancée phénoménale dans la dé-couverte de technologies nou-velles, de développement etd’administration de nano-gélulespleines d’antibiotiques, d’unemolécule, de cellules-souchespour reformer des tissus lésés etc.Mais, décrivons les détails decette magnifique combinaison dedifférents intellects. Il s’agit enfaite d’unir les connaissances et

les compétences de différentsmédecins spécialistes, chirur-giens, biologistes, ingénieurs in-formatiques et robotiques etmême des botanistes… En com-binant ces cerveaux, on a pu met-tre au point de nouvellesapplications, du matériel médicalplus performant, utilisable à dis-tance, intégrant la wi-fi sur despatients en observation etc.Mais le Rabbi Chlita Méle’h Ha-Machia’h avait déjà vu cette mé-thode le jour de son discours du28 Nissan 5751-1991… En effet, etvoici ses propos à ce sujet : « Etque soit Sa Volonté, que se trou-vent d’entre vous, une, deux outrois personnes, qui se réuni-ront pour prendre conseil,que faire et comment faire, deplus, et principalement, ils feronten sorte qu’intervienne la déli-vrance, la Guéoula véritable etcomplète de la manière la plusclaire… ». Tel est le grand prin-

cipe de la Itvaadout ! La réuniondes cerveaux pour savoir com-ment faire tenir une si grandeénergie (les lumières de Tohou)dans un instrument matériel, unobjet, un flyer de publicité, unballon sur lequel sera écrit le mot« Machia’h » (les Kélim de Ti-koun) et encore d’autres inven-tions que nous n’avons pasencore sorti au grand jour… Maisc’est bien sûr ! On avait pas penséà cela, on avait pas réfléchit aufait qu’une réunion ‘hassidique,le Farbrenguen, n’est pas seule-ment fait pour chanter, danser etprononcer des ‘hidouchei Torah,mais aussi pour réfléchir, entrenous à ce qui pourrait déclencherla Guéoula, le grand dévoilementde manière immédiate !? Alorschangeons nos méthodes et utili-sons le progrès pour, nous aussiavancer vers la Guéoula plus viteet plus fort, dans la joie de laGuéoula, dès maintenant…

Les enfants de Nitsan font des MatsotL'opération « Cuisson des Matsot » bat déjàson plein. Les enfants de Gouch Katif se trou-vant aujourd'hui au village de Beer Ganim ontcuit des Matsot à l'initiative du Beit 'Habad deGouch Katif. Chaque enfant a reçu un tablier,un chapeau de pâtissier et un journal spécialfête de Pessa'h. 1400 paquets de Matsot se-ront ditribuées au familles expulsées deGouch Katif. (CI)

Page 2: Vive le roi Machia'h Now ! N°304

Ce qui est vrai pour chaque juif l’est encore pluspour les chefs d’Israël qui reçoivent alors une vita-lité accrue pour eux-mêmes et pour tout le peupleJuif, s’ajoutant à celle qu’ils possédaient déjà au-paravant, (car il est clair qu’ils parviennent à la per-fection dans tous les domaines). En l’occurrence,le 2 Nissan est la Hilloula du Rabbi Rachab et ledébut du règne du Rabbi précédent, chef de notregénération. C’est donc un jour particulier dans lavie d’un chef et dans le règne de notre époque, quicommença alors et se poursuivra jusqu’à la venuedu Machia’h. Celui-ci reçoit donc une élévationparticulière en ce jour. (La Hilloula est le jour oùl’œuvre du Tsaddik reçoit une élévation. Puis, « lesoleil se lève juste après que le soleil se couche ».Un nouveau règne commence. Ce fut en l’occur-rence le fils unique du Rabbi Rachab. Or le fils duroi devient roi sans recevoir l’onction. S’il estunique, aucune contestation n’est possible. Etantle successeur de tous les Rebbeïm précédents, leRabbi poursuit donc leur règne et le fera jusqu’à lavenue de Machia’h).

Le cœur d’Israël Il faut définir l’application du principe « le vivant sesouviendra en son cœur » et comment il permetd’ajouter de la vie, (chaque année, puisque « l’ons’élève dans le Sacré »). Le Rambam compare leroi au « cœur de l’assemblée d’Israël », qui ren-ferme le sang lequel fait vivre tout le corps. (Parailleurs, le roi est également comparé à la tête). «Mele’h », le roi est composé des initiales des troismots signifiant cerveau, cœur, foie, les trois or-ganes gouvernant le corps. Le cerveau dirige lecorps et lui distribue la vie. Le foie est plein desang. Mais le cœur est la vie à proprement parlerqui circule dans tous les membres et revient en-suite dans cet organe. C’est donc lui, avant tout,qui fait vivre le corps. (Le cerveau accorde àchaque partie du corps la vitalité qui lui revient. Enrevanche, le cœur distribue à tous le même sangqui véhicule l’essence de la vie). Par ailleurs, la vieest représentée par le mouvement et le cœur batsans cesse, à la différence du cerveau et du foie.De même, le chef distribue la vie à tous les Juifset, au début de son règne, sa vitalité est accrue etpeut se dévoiler dans le corps matériel, (s’ajoutantainsi au rôle qu’il joue en tant que cerveau et entant que foie).Ceci est encore plus souligné cette année,soixante huitième du règne du Rabbi, nombre quiest la valeur numérique du mot ‘Haïm, la vie. (Etmême le Juif le plus simple peut comprendre unevaleur numérique). On sait que les trente ans durègne du Rabbi précédent se subdivisent en troisfois dix ans.

Les trente annéesLes dix premières années se déroulèrent dans lepays que l’on sait, les dix suivantes en Pologne etles dix dernières ici même, dans l’hémisphère in-férieur. (Or, dans la vie d’un homme, dix ans repré-sentent une période indépendante). On peut doncconsidérer que les deux Youd de ‘Haïm font allu-sion aux deux premières périodes de dix ans et lesMem ‘Heth aux quarante huit ans de son règne ici-même. De plus, Mem ‘Heth à la même valeur nu-mérique que ‘Haïl, l’homme vigoureux. Cesnombres sont expliqués par le Tsema’h Tseddeken particulier dans le livre « ‘Haliko Itim », basé surles enseignements des Rebbeïm qui le précédè-rent et références de ceux des Rebbeïm qui pour-suivirent son œuvre. Chacun consultera cessources et appliquera « donne au sage et il exer-cera sa sagesse ». (Mais il est clair que chaque

Rabbi eut un apport spécifique dans tous les do-maines de la Torah, depuis l’Admour Hazaken dontle nom, Chnéor, signifie deux lumières, celle de lapartie révélée et celle de la partie cachée de laTorah).

Le peuple et son roiOn trouve deux idées opposées dans le rapportentre le peuple et le roi. D’une part le roi doit êtreséparé du peuple, qui est tenu de le craindre. Maisd’autre part, une grande proximité existe entre eux,à l’image du cœur qui irrigue tous les membres ducorps. Bien plus, l’existence du roi dépend du peu-ple, car, disent nos sages « il n’y a pas de roi sanspeuple ». (Il est clair qu’un homme ne peut régnersur ses enfants). Lors de son couronnement, lepeuple crie « Vive le roi ! » et lui apporte ainsi lavie. C’est en l’occurrence soixante huit ans, «‘Haïm », du règne du Rabbi et le peuple peut alorsajouter de la vie au roi. En criant « Vive le roi ! », lepeuple signifie qu’est déjà venue le moment deréaliser la promesse selon laquelle « ils se réveil-leront et se réjouiront ceux qui gisent sous terre »,en particulier le Rabbi précédent et David le roi Ma-chia’h. C’est pour cela qu’il faut crier «Ad Mataï ?!»et rapprocher effectivement la délivrance, de sorteque l’on puisse désigner du doigt le Machia’h quirassemblera les exilés.

Le cri « Vive le roi ! » dévoile le Machia’hC’est en criant « Vive le roi ! » que l’on fera venir leMachia’h. Machia’h est lié à chaque Juif et chacunpeut donc crier « Vive le roi ! », possède en lui uneparcelle du Machia’h, de la Ye’hida générale detout Israël. Il est donc encore plus clair qu’« il n’estpas de roi sans peuple » s’applique également auMachia’h. Chaque Juif doit, pour l’obtenir, dé-voiler la Ye’hida qu’il porte en lui.Ce qui vient d’être dit peut être lié au début durègne du Rabbi, pendant le mois de Nissan, celuide la délivrance. C’est alors que les Juifs quittèrentl’Egypte et c’est alors qu’ils seront libérés. C’estégalement en Nissan que les chefs de tribu offri-rent leurs sacrifices pour l’inauguration de l’autelet nous en lisons chaque jour la description dansla Torah. Ces deux éléments présagent le règnede David, lors de la délivrance. (Car le nom mêmede Nissan implique le comportement miraculeux,qui transcende le comportement naturel et Roch‘Hodech Nissan est le «nouvel an des rois»).

Le Korban d’Issa’harLe Chef de tribu qui offrit son sacrifice le 2 Nissanest celui d’Issa’har, Netanel Ben Tsouar. Tsouarvient de Tsaar, la douleur et la douleur la plus consi-dérable est celle de l’exil, que nous avons large-ment connue. Mais Ben Tsouar, ce qui nait de cettepeine, sa récompense est la délivrance. C’est lesens de Netanel, qui signifie « D.ieu a donné ».(C’est en effet la souffrance de l’Egypte qui fit queles Juifs soient nombreux). Celui qui donne le faitavec largesse et le Nom Divin employé ici, « E-l »,est le premier des treize attributs de miséricorde.La bonté divine se révèle donc et l’on obtient ladélivrance véritable et complète, par notre juste

Machia’h. Nous entrons ce jour dans le 3 Nissan,jour du chef de la tribu de Zevouloun. Si Issa’har seconsacre à l’étude, Zevouloun pratique le com-merce, bien qu’ayant également une étude fixée.

L’étude de ZevoulounLa différence entre celui qui à l’étude pour seuleoccupation et celui qui n’a qu’un temps fixé pourcelle-ci est celle qui existe entre la Torah du mondefutur et celle de ce monde. Notre étude, à la façonde Zevouloun, à l’heure actuelle, nous conduiradonc à celle du monde futur et celle de ce monde.(Bien plus, la torah actuelle n’est que « futilité » parrapport à celle du monde futur. En l’occurrence,Zevouloun est placé avant Issa’har car ce dernierétudiait par le mérite du premier).Une allusion, cette année, concerne l’actionconcrète, du fait que le 2 Nissan est le dimanchede la Paracha Tsav. Au début de celle-ci, Rachi dit« Tsav indique un empressement immédiat et pourtoutes les générations ». Ainsi, dès le 2 Nissan,tout de suite après Roch Hodech, en un jour d’ac-tion, le Machia’h vient de façon immédiate et avecle plus grand empressement.Bien plus, il s’agit ici de retirer les cendres et dedisposer le bois sur l’autel, auquel il faudra ensuitemettre le feu. Ainsi, ce n’est pas là le sacrifice per-pétuel proprement dit, mais une préparation pourla préparation de celui-ci. L’empressement n’en estpas moins nécessaire. Ceci est un enseignementpour chacun. Ainsi, l’empressement n’est pas in-dispensable uniquement pour donner de la Tsed-daka mais aussi pour prendre la décision de lefaire et cette qualité est également liée à la déli-vrance.

Proclamer : « Vive le roi ! »L’acte est essentiel. Il faut achever nos actions etdemander « Ad Mataï ?! ». Il faut proclamer « Vivele roi ! » avec le plus grand empressement et lajoie la plus profonde. Nous sommes en effet en «Tisma’h » et « ‘Haïm » 68 années se sont écouléesdepuis le début du règne du Rabbi. D.ieu se hâteradonc de dévoiler la délivrance.En son temps, le Rabbi disait qu’il faut «faire brillerles boutons». Nous le faisons depuis des dizainesd’années et ils sont maintenant brillants. Continuerà le faire diminuerait leur beauté. L’empressementappartient donc maintenant à D.ieu, qui doit dévoi-ler la délivrance, révéler le troisième Temple qui estdéjà prêt là-haut et peut donc descendre dès cettenuit. Alors nos yeux de chair, nos âmes vêtues decorps vivront la délivrance. A l’époque du Temple,la journée commençait et s’achevait par un sacri-fice perpétuel. Actuellement, la prière remplace lesacrifice et la Tseddaka la précède. Nous donne-rons donc maintenant de la Tseddaka qui rappro-chera la délivrance. Le Machia’h viendra, enparticulier dans cette année de Hakel.La délivrance sera également par le mérite desfemmes vertueuses de notre génération qui ont lesmêmes âmes que celles qui sont sorties d’Egypte.Tout ceci se réalisera et, au sens le plus simple, cesera la délivrance véritable et complète, de façonimmédiate.

D v a r M a l ’ h o u tExtraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita - 5751-5752 (1991-1992)

Extrait de la Si’ha « Ye’hi HaMele’h » - 2 Nissan 5748-1988 - Parachat Tsav

Le sens de la proclamation : Vive le roi !Nous évoquons dernièrement le principe de : « Le vivant méditera en son cœur » et celui-ci doit s’appliquer chaque fois que l’on a une année en plus de vie, une année en plus demariage (car une discussion existe pour savoir si le mariage est une action dont l’effet estcontinu ou une action qui se renouvelle chaque jour).

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Quelques minutes après qu’il eut fini de parler,Rav Segal, le Roch Yéchiva, lui demanda de pren-dre à nouveau la parole et de dire quelques mots.Rav Tzik décida de raconter alors l’histoire sui-vante à propos des Iguerot Kodech.« Il y a quelques années de cela, j’ai été invité àparticiper à une émission de radio – celle de MikeHollar. Pendant que j’attendais mon tour, j’ai en-tendu un couple de touristes qui venait des Indesdécrire les divers cultes idolâtres indous. Je mesuis senti très mal à l’aise et me suis demandé sic’était vraiment l’endroit choisi pour citer le RabbiChlita Méle’h HaMachia’h, et particulièrement, sije devais protester sur ce que j’avais entendu. Jedevais décider immédiatement si je devais resterou non.Comme je n’avais pas le temps d’écrire une lettre,je me mis dans un coin de la pièce et questionnais:« Est-ce qu’il m’est permis de rester, ou dois-je par-tir tout de suite? ». Je proclamais « Yé’hi Adonei-nou… » par trois fois et ouvris le tome des IguerotKodech que j’avais avec moi. En haut de la page,il était écrit: « C’est permis s’il y a un certain avan-tage pour lui ou pour les autres, comme il est ex-pliqué par le Baal Chem Tov… ». Il ne m’en fallaitpas plus. A propos du bénéfice que je pourrais enretirer, je ne pouvais pas en être juge, mais pourles autres, je suis resté. Durant l’émission, Monsieur Hollar me demandacomment pouvait-on contacter le Rabbi ChlitaMéle’h HaMachia’h de nos jours.Je lui ai raconté exactement ce qui s’était passéquelques instants auparavant, que j’avais voulupartir à cause de la conversation à propos desidoles, et comment j’avais trouvé une réponse àma question dans le volume d’Iguerot Kodech. Ap-paremment, il y aurait un certain avantage dans ceque je disais et donc je suis resté. Mike était aba-sourdi !Mais ce n’est pas tout ! Dans les jours qui suivirent,notre bureau de Bat Yam reçut plusieurs de-mandes de bénédiction, conseils etc. Chaque de-mande était accompagnée de bonnes résolutions.Je pouvais voir comment le Rabbi Chlita Méle’hHaMachia’h continuait à « renforcer tout Israël…et à consolider les brèches ».Le Rav Zimroni termina son histoire, tous les invi-tés récitèrent le Birkat HaMazone et se préparèrentà prier Arvit. Un jeune homme barbu s’approchaalors de Rav Tzik et lui demanda: « Est-ce que leprogramme de radio dont vous parlez a eu lieu il ya de cela quatre ans? ». Rav Zimroni réponditqu’en effet, il s’était déroulé en Nissan 5755, quatreans auparavant. Ce à quoi l’homme répondit:« Laissez-moi vous remercier pour votre émission.Mon nom est Zohar Charnu et j’ai été très affectépar ce que vous avez dit… Pour la première fois,j’avais entendu parler de comment écrire et utiliserles Iguerot Kodech. Jusqu’à présent, je n’avaispratiquement pas de rapport avec la Torah et les

Mitsvot. Je travaillais en tant que conseiller finan-cier pour mon propre bureau, mais je ne savaispas si je devais continuer dans cette voie. C’estalors que je vous ai entendu à la radio et j’ai décidéd’écrire au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. J’aiappelé les renseignements, qui m’ont fourni le nu-méro de téléphone du Beth ‘Habad principal, quim’a conseillé de contacter le centre ‘Habad localle plus proche de mon domicile, à Migdal HaEmek.Je me suis rendu à la Yéchiva, et j’y ai écrit unelettre. La réponse comprenait des instructions très

claires : je devais aller à la Yéchiva Tom’heï Témi-mim pour lire des Tehilim ; la lettre faisait ensuitedirectement allusion à ma situation financière.J’ai consulté Rav Segal, qui me conseilla d’êtreplus impliqué dans la vie religieuse. J’ai commencéalors, à me rendre à des cours de ‘Hassidout, lesoir, et je me suis retrouvé sur les bancs de la Yé-chiva à étudier à plein temps. D’ailleurs, je suis ré-cemment revenu de New York où j’ai passé lesfêtes de Tichri avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMa-chia’h ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)

H I S T O I R E D E G U E O U L AUn effet de ricochet…

Le 16 Tévet, Rav Chnéour Hévron et sa femme fê-taient la Brit Mila de leur fils. A cette occasion, ilsinvitèrent le Rav Zimroni Tzik (Chalia’h du Méle’hHaMachia’h à Bat Yam) en tant que Sandak et, àcette occasion, celui-ci fit également un petit dis-cours. Il décida de raconter la chaîne d’évène-ments qui l’avait conduit à être le Sandak et étayason discours par des propos sur Machia’h et laRédemption finale, en rapport avec la Paracha dela semaine et avec la Mitsva de la Mila.

Actuel

Régénération

Comme vous le savez peut-être, la salaman-dre est capable de régénérer ses organes ettissus. Cette capacité hors du commun in-téresse énormément les scientifiques qui es-pèrent être en mesure de reproduire bientôtcela chez l’Homme.

Les salamandres sont des amphibiens quicomptent parmi eux plusieurs espèces diffé-rentes. La grande particularité de cet animal re-pose sur sa capacité à régénérer ses membresamputés et ses organes endommagés. Les bio-logistes de l’institut australien de MédecineRégénérative de Monash sont parvenus à dé-montrer le rôle déterminant des macrophages,des cellules immunitaires présentes chez lesamphibiens mais également lesmammifères, qui permettent larégénération des tissus.Seul problème, cette cellule es-sentielle dans le nettoyage desaéro-contaminants et des cel-lules mortes, n’a pas un rôleaussi efficace dans le systèmede cicatrisation chez la majeurepartie des vertébrés que danscelui des salamandres. En éliminant toutes lescellules macrophages de l’organisme d’une sa-lamandre aquatique, l’axolot, les chercheurs ontconstaté que les membres amputés ne repous-saient plus, mais se contentaient simplement decicatriser. À l’inverse, avec une concentration enmacrophages habituelle, les membres repous-saient sans le moindre problème. Les biologistesespèrent trouver le moyen de rendre ces cellulesactives chez l’homme, pour que nous puissionsfaire repousser nos membres ou vaincre desmaladies, tout comme ces salamandres.

Comme l’enseigne le Baal Chem Tov, chaquefait ou chaque connaissance doit nous aiderdans notre service de D.ieu. En effet, dans le casprésent, nous pouvons imaginer que chaque Juifest un membre du peuple qui ressemble lui à ungrand corps. Lorsque l’on constate qu’un Juifs’est éloigné de ses origines, il est comme sé-paré de l’assemblée d’Israël. Dans les an-ciennes générations, le retour et la réparationétait particulièrement difficile, passaient souventpar de nombreuses épreuves et parfois mêmec’était impossible et il fallait passer par un pro-cessus de réincarnation afin de parvenir à cetteréparation. Aujourd’hui, grâce à D.ieu, le processus de laTechouva est à l’image de notre période, l’ère dela vitesse, l’époque des raccourcis, en bref, laGuéoula. Et nous rencontrons souvent des Juifsde tous bords, de tous âges, qui ont pour volontéde se rapprocher de la Torah et des Mitsvot.

L’enseignement de la ‘Hassi-dout et actuellement, le DvarMal’hout leur donne la facultéde monter vers les plus hautsniveaux de la Techouva, direc-tement avoir accès à l’Es-sence Divine et ouvrir les yeuxsur la période actuelle, cellede la Guéoula, et avoirconscience que le Machia’h

est présent dans le monde, qu’il y agit, nouspouvons même connaître son identité, le Rabbide Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita. Ce Juifpeut, étudier, voir et sentir sa présence (par desvidéos et des sites internet) s’inspirer de l’exem-ple du Rabbi et devenir un grand Tsaddik en àpeine quelques semaines…Tout cela se passe aujourd’hui, laissons donc lesmembres du Peuple Juif repousser, se reformer,et dévoiler immédiatement le Machia’h qui vanous sauver, nous sécuriser et nous faire vivreet revivre en bonne santé. (GN)

Page 4: Vive le roi Machia'h Now ! N°304

L E C A R N E TPour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël BenMercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa SarahBat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonnesanté de: Mercedès Bat Fifine, Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de:Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Ra-phaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine et SylviaHassiba Bat Nissim

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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation del’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina

Anniversaire

La bénédiction de la Rabbanite

A l'occasion de l'anniversaire del'épouse du Rabbi Chlita Méle'h HaMa-chia'h, la Rabbanite 'Haya Mouchka, le25 Adar, voici un récit qui décritquelque peu, la puissance des béné-dictions de la Rabbanite. Chacun peutlui demander une bénédiction et sur-tout lui demander qu'elle agisse afin dedévoiler la délivrance immédiate etcomplète...Le premier mot de la bénédiction descohanim, « Koh » (« ainsi », vous béni-rez les enfants d’Israël - 1) s’écrit en hé-breu avec les lettres kaf et hé, qui estaussi une manière de désigner le vingt-cinquième jour du mois.

Le 25 Adar 5736 (au printemps 1976),précisément le jour de son anniversaire,la Rebbetsin 'Haya Mouchka dînait avecle Rabbi dans leur appartement de Prési-dent Street, à New York,lorsqu’on sonna à l’entrée.Leur intendant, le rav’Hessed Halberstam (2)ouvrit la porte et récep-tionna un beau bouquet of-fert à la Rebbetsin parl’organisation féminine «Néchei ‘Habad » ; ce bou-quet était accompagné d’une lettre conte-nant des demandes de bénédictions.Le rav Halberstam donna les fleurs à laRebbetsin et la lettre au Rabbi Roi Ma-chia’h Chlita. Le Rabbi refusa de prendrela lettre en affirmant qu’elle était destinéeà sa femme. Le rav Halberstam insistaalors en soulignant : « Cette lettre estpourtant bien pour le Rabbi, car ellecontient des demandes de bénédictions »mais le Rabbi lui répondit : « Elle aussipeut bénir. »Le rav Halberstam remit donc la lettredans les saintes mains de la Rebbetsin,pensant dans son for intérieur que, detoute façon, c’est par le Ze’hout du Rabbi,par son mérite, que la Rebbetsin peutdonner des bénédictions. Le Rabbi, lisantdans ses pensées, lui rétorqua: « Monépouse est capable de bénir par son pro-pre mérite ».Le rav Halberstam se demanda : « Quelleest donc la différence entre la bénédictiondu Rabbi et celle de la Rebbetsin ? ».Dès lors, s’engagea un dialogue :Le Rabbi : « As-tu étudié Dérekh Mitsvo-tekha (3) ? »Le rav Halberstam : « Oui ».Le Rabbi : « Quel chapitre? »Le rav Halberstam : « Celui concernant laMitsva de la Téfilla ».Le Rabbi : « Tu dois sûrement savoir la dif-férence qui existe entre le niveau imma-nent de D.ieu, Mémalei Kol Almine et leniveau transcendant de Sovev Kol Al-

mine. Les bénédictions que je donnetirent leur origine du premier niveau Mé-malei Kol Almine, ce qui signifie que lapersonne doit aussi agir par elle-mêmeafin que la bénédiction se réalise. En re-vanche, lorsque la Rebbetsin gratifie unêtre de sa Bra’ha, la bénédiction se réaliseautomatiquement, même s’il ne fait rienpour cela, car elle procède du second ni-veau Sovev Kol Almin (4) ».Cette capacité de la Rebbetsin à prodi-guer des bénédictions ne fut révélée qu’àune poignée de gens. Lors du dernier dis-cours que nous avons eu le mérite d’en-tendre du Rabbi le jour du Yortseit(Hilloula) de la Rebbetsin, il associa sadisparition au verset (5) : Par ton intermé-diaire, Israël sera béni, une allusion directeau fait que la Rebbetsin 'Haya Mouchkaétait elle-même une source de bénédic-tions. Quelques jours plus tard, le Rabbiajouta (6) : « Le 25 du mois est relié à l’oc-troi de toutes formes de bénédictions pourles Juifs. »Et les vivants doivent la prendre à cœur(7) : le Rabbi revint plusieurs fois sur ceverset après la disparition de la Rebbetsin.

Il voulait ainsi nous encou-rager à l’imiter dans nospropres vies. À nous parconséquent de savoir sai-sir les différents sens dumot « bénédiction » et deles utiliser pour enrichirnotre existence et celledes autres. Rapprochons

ainsi nos cœurs au travers de la Mitsvad’aimer son prochain, tel que l’amour dela Torah et de Hachem nous y entraînent; car c’est là la quintessence de la 'Hassi-dout (8).

Notes : 1/ Nombres, VI, 23. Ce passage estaussi récité après les premières bénédictionsque l'on prononce chaque matin. 2/ L'intendantdu Rabbi et de la Rebbetsin de 5731 à 5748(1971 à 1988). 3/ Commentaire sur les Mitsvotdu Tséma’h Tsédek. 4/ Raconté par le Rav Hal-berstam lui-même. Ce dernier y ajouta : « Il ar-rivait parfois que le téléphone sonnait tard dansla nuit, avec au bout du fil, quelqu’un deman-dant des bénédictions au Rabbi. Si le Rabbiétait disponible, la Rebbetsin relayait le mes-sage à son mari. Sinon, elle avait l’habitude derépondre : « Ne vous en faites point, tout irabien ». Dans ce dernier cas, après enquête au-près de la personne, le rav Halberstam consta-tait que bien souvent tout s’était arrangé pourle mieux. La Rebbetsin n’agissait cependantainsi que lorsque son mari ne pouvait pas ré-pondre. 5/ Genèse 48, 20 ; dans ce verset,Jacob promet à Joseph que les parents juifsbéniront leurs enfants en leur souhaitant de de-venir comme ses propres fils, Ephraïm et Mé-naché. 6/ Le verset cité dans la noteprécédente commence en hébreu par le termeBé’ha (Par ton intermédiaire), qui s’écrit avecles lettres Beth et Khaf, correspondant à la va-leur numérique de 22. Or le 22 (du mois deChevat) est le jour du Yortseit de la Rebbetsin.Ainsi, non seulement le jour de sa naissancemais aussi la date de sa disparition exprimentune allusion à ses pouvoirs de bénédictions. 7/L’Ecclésiaste 7, 2. 8/ Voir Igueroth Kodech, Vo-lume 23, p.132.

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