rev. sekhmete t la protectiond u monde
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7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde
1/5
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GBPress Gregorian Biblical Press
ReviewAuthor(s): Pascal VernusReview by: Pascal VernusSource: Orientalia, NOVA SERIES, Vol. 55, No. 1 (1986), pp. 78-81Published by: GBPress- Gregorian Biblical Press
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7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde
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78
RECENSIONES
Philippe
Germond,
Sekhmet t
la
protection
u
monde.
Aegyptiaca
Helve-
tica 9/1981.
Publi
par:
gyptologisches
eminar der
Universitt
asel
et Facult
des Lettresde
l'Universitde
Genve.
Genve,
ditions de
Belles-Lettres,
982.
[vi]-423 p.
21x29,6.
Le point e dpart e cette olumineuse onographiestconstituar 'dition
critique
'une
itanie-supplique
dresse
Sekhmet
premireartie,
.
1-99).
Cette
litanie,
ymtrique
la litanie
e la
bonne
nnedans e
temple
'Edfou,
'insre
dans e
crmoniale la fete
u Premier
ybi,
u
moment
parviennent
l'in-
trieur u
sanctuairees
mages
u
Fauconvivant t de
YHorus-Gmhsw,
prs
voir
bnfici
u ritede
Confirmer
'hritage
mn
wt).
ette
itanie-supplique
st
reproduite,ar
ailleurs ans le
chambre e l'escalier
u
temple
'Edfou,
ans la
chambre
et dans e
kiosque
'Hathor u
temple
e
Dendara,
insi
que
dans e
temple
'Isis,
et aussi Km
Ombo;
dans
ces derniers
as,
elle
est
intgre
u
crmonialu
repas
oyal.
'A.
fournitn
synoptique
es
diffrentes
ersions,
vec
traductiont
commentaire,
t
dfinita fonction
u texte:
arantir
e
non
dchane-
ment
es
pouvoirs
malfiques
e
Sekhmet.
La deuxime artie e l'ouvrage,e loin a plustenduep.103-355),e veut
une
synthse
es
documents
ttestante rle
de la desse
comme
protectrice
e
l'univers,
e la
monarchie,
u
pays,
t de
l'individu.
'introduction
capitule
es
donnes ssentielles:
ekhmet erait
riginaire
u
Delta
occidental t
des
rgions
libyques,
'o son culte e
serait
rogressivement
iffusers e
sud
Ltopolis,
uis
Memphis, uis
toute
'Egypte).
on
nom,
la
puissante,
matrialiserait
en
quel-
que
sorte
'ensemble es forces
riginelles,
ositives
t
ngatives,
ais
complmen-
taires t
indissociables
ui
se sont
rvles a
Premire
ois. Son
iconographie
remonterait
u
prdynastique,
u
avant,
un
moment
les
grands
rdateurs
s'avanaient
menaants
l'entre
es
valles
occupes ar
l'homme.
Originelle-
ment,
ekhmet
ossde
une double
nature,
la
fois
malfique
t
bonne,
elle-ci
rsultante la
canalisation,
ans un
sens
positif,
e sa
puissance,
analisation
ui
doittreraffirmet renforcehaquefoisqu'il y a transition'unephased'un
cycle
l'autre.
Le
premier hapitre
nvisage
e rle de
Sekhmet
ans le
maintien
e l'ordre
universel.
'abord dans sa
participation
la lutte
ontre
Apophis,
t,
corrlative-
ment,
u maintien
e Mat.
Ensuite,
ans es
mythes,
ythe
e la
Desse
ointaine,
Mythe
e la
destructiones
hommes
ui
illustrei
bien
e
rite
de
shtp
mt.
n
revanche,
ans
le
cycle
sirien,
e
rle de
Sekhmet st
plus imit,
t
sans doute
secondaire,
sultant'une
daptation
u monde
outerraines
thmes olaires.
ar
ailleurs,
lle est ntroduite
ans e
cycle
du
jeune
Horus,
ous
la
forme
'Ouadjyt
protgeant
e
nouveau-n.
Dans
le
deuxime
hapitre,
'A.
tudie ekhmet n
tant
ue protectrice
e
la
monarchie. s l'Ancien
mpire,
lle
est
atteste ommenourricireu pharaon.Celui-ci,yant our chede renouvelera Premire ois chaquefinde
cycle,
e
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Recensiones
79
peut
aisser
e
s'assurer,
ar
une
filiation
mtaphorique,
a
bienveillance
'une si
redoutableesse. a protectione Sekhmete manifestearticulirementl'occa-
sion des
importantes
tes u
Nouvel
An,
en
particulier
l'occasion
es
rites e
l'Union u
disque
et de
Confirmer
'hritage.
ous
forme
'Hathor,
lle
contribue
au retour e l'inondation.e rite
'Apaiser
ekhmet
rend lace
ussi
bien
dans
e
culte
ivin
ournalier
ue
chaque
fois
u'il
est
ncessaire
e
protger
a
personne
u
pharaon;
'A.
en tudie es
composantes.
Sekhmet,
rotectrice
u
pays
t
de
l'individu,
ait
'objet
du
troisime
hapitre.
Cette onctioncoule e
ce
qu'elle st,
d'une
manire
nrale,
a
garante
e
Mat,
l'ordre
niversel. lle se
manifesteonc
dans
l'anantissementes
rebelles t des
ennemis,
t,corrlativement,
ans
'assurance e
l'abondance.
'individu
e doit
de
se
la
concilier,
arce
u'elle
ontrle,
traverses
gnies
t
ses
flches,
a
peste
de
l'anne,
'est--direouteses
calamits,
orruption
limentaire,
pidmie,
aladies
(par s'expliquee rledu oub de Sekhmetomme urisseur).ource faire,n
recourt des
amulettes,
olonettes
apyriformes
id,
il
wdn,
carabes,
agues,
t
aussi aux statuettese
bronze,
ux
gourdes
u
Nouvel
An,
aux
mnct t
aux
gides,
ainsi
qu'aux
phylactres
nscritsur
papyrus
u
tablettes. a
pit
personnelle
e
cristalliseccasionnellementur
certaines
tatues e
Sekhmet,
omme
elledu tem-
ple
de Sahour.
n
revanche,
e rle
de Sekhmet
ans e
monde
es
morts st
plus
effac
t
procde
'une
transposition
unrairees
mythes
t
rituels
osmiques.
La
conclusionst suivide riches
ndices
dontun
index
des
sources.
Voil un
ouvrage
onnte t
consciencieux,
rganis
utour
'une
de
directri-
ce,
l'orientation
ositive,
l'aide du rite
t des
procds
magico-religieux,
e la
force
riginellement
faste e
Sekhmet.
u
demeurant,
ette
de
directrice,
'A.
la
ressasse e
manire
uasi
ncantatoire;
ommente
lecteur
'y
ouscrirait-il
as,
une
fois e livre erm,i tant stqu'iln'en ft as convaincuvantmme e l'ouvrir?
Un
louable souci de
didactismencite
'A.
dvelopper
bondamment,
'autres
diraientvec
prolixit,
es
gnralits,
'autres
iraient es
banalits.
l
est vrai
que
l'ampleur
mmedu
sujet
n rend a
matrise
licate.
ar ds
qu'il
s'agit
de
pro-
phylaxie,
a
documentatione fait
lthorique;
s
qu'il
s'agit
de
desse,
e raison-
nement
quatif
e donne
ibre
arrire;
'il
y
a
peu
dans
a
griffe
e
Sekhmet,
lors,
regardons
ous e
sabot
d'Hathor,
n
vertu e
l'axiome
ekhmet
Hathor
Aussi,
l'A.
tire-t-il,
e
plus souvent,
a
provende
es
temples
tolmaiques
t
des
rituels
tardifs,
ssurment ort
explicites,
t
dj
bien
expliqus
par
M.
Alliot et
J.
C.
Goyon.
Quand
surgit
n
document
lusdifficile,
insi e
rcit
u
dmiurge
u
P.
Bremner-Rhind
7, 3-4,
on
passe
plus
rapidement
p.
134,
n.
42).
Cela
dit,
des
sources
lus anciennes,
T,
Cairo
Calendar
etc.,
uraient
ourni
a
et l
des
indi-
cations yant arfois'avantage 'tre lus prcises,t,toujours,eluid'tofferis-
toriquement
'argumentation.
ar
exemple,
. 282-3,
propos
e
Sekhmet
ispensa-
trice
'abondance,
utre es
vagues
pithtes
tolmaiques
llgues,
e
rfrer CT
VI, 171,
-m:
C'est l'inondation
ui
lui
(=
le
chteau
de
N.) apporte
'orge
de
Basse
Egypte;
'est Sekhet
ui
lui
apporte
es
oiseaux;
e sont
es
Souchos
ui
lui
apportent
a
pche qui
lui
revient: es
poissons;
'est
Sekhmet
ui-est-dans-son-
anne
ui
lui
apporte
e
petit tail,
ce
chteau e
cetteN.
Voil
donc
Sekhmet
spcialise
ans e contrle u
petit
tail
voir
El
Sayed,
Orientalia
3
[1974]
285,
n.
107);
il
pourrait
'agir
de la
transposition
ositive
e
la
lionne
prdatrice
es
animaux
u
dsert,
signs
ussi
par
cwt
comparer
vec
p.
93
n.
44).
De
mme,
p. 148-63,
tiliser ans
l'argumentation,
a
mention
e
Cairo
Calendar
rVII,
3:
... ce
jour
o Sekhmet
ortit ers
e dsert
riental
pour)repoussera coalitionde Seth.
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4/5
80
Recensiones
Dans
l'ensemble,
e raisonnement
e
l'A. est
impide, arce
ue simple.
oute-
fois, l lui arrive e se mouvoir ansune eau plus imoneuse,n particulierpro-
pos
de la crue
p.
226-42).Aprs
voir
u
sang
t eau
pour
dmontrere contrle
de
Sekhmet
ur
'inondation,
rce
l'axiome
voqu upra
Sekhmet
Hathor,
r
Hathor
l'inondation,
onc
Sekhmet
l'inondation),
'A.
insinue n troisimear-
ron,
e
veux
dire e
pharaon;
ourquoi
ant
de statues e
Sekhmet
resses
ar
Amnophis
II?
Eh
bien,
out
implementour
xprimer
a dvotion
fficielle
la
divinit
apable
de
lui assurera
parfaite
atrise
u retour
riodique
es
grands
cycles
naturels,
elui de
l'inondation
n
particulierp.
239).
En
fait,
es
statues
sont
a traduction
onumentale
'une itanie
e
Sekhmet,
oublement
rotectrice
de
chaque
our
de l'anne
Yoyotte,
SFE 87-88
1980]
46-75).Quant
u
couplet
oblig
ur e
pharaon
matre e
la
crue,
voir
Posener,
e
la divinit u
Pharaon
p.
58-61
nulne contestera
ue
le
roi,
n tant
u'officiant
es rites t ntercesseure
la communautumaine gissede manire obtenir es divinitsa venue de
l'inondation
mais
tout ien
de causalit
lus
mmdiate
rocde
e
la
mtaphore
t
de
la
mtonymie.
e
mme,
aut-ilmettre
u
compte
'une
dvotion
articulire
envers
ekhmet e
la
part
u
pharaon
gnant
haque
documentato
apparat
a
desse?
Ainsi, .
183-4,
es mentions
e Sekhmet
en
tant
ue
membre e la triade
memphite)
ans
le
P.
Harris,
ur
une stledu
Gebel el- ilsila
en
compagnie
e
Ptah),
t,
plus
encore,
ans un clich
e la
phrasologieoyale,
uffisent-ellesta-
blir
que
Ramss
II tait anim
d'une ferveur
emarquable
nvers lle? Par ail-
leurs,
.
335:
La nature oncirement
ptimiste
e
l'Egyptien
evait
naturellement
l'engager
ne retenir
e Sekhmet
ue
son
aspect
ositif;
rgumentation
rs ech-
nique.
Il
est
vrai
que
la documentation
issimule
arfois
uelque hausse-trappe.
in-
si, propos e la pitpersonnelle,ommentvaluer xactemente qui suscitee
recours e
l'individu
Sekhmet?
ont-cees traits
pcifiques
e sa
personnalitui
incitent
lui consacrer
es bronzes
our
olliciter
toute
vie,
toute ant
p. 323)?
Mais demande-t-on
utre
hose ux
autres ivinits?
e
mme,
a
numinosite
la
Sekhmet
e
Sahour
rocde-t-elle
e la dessedont
cette tatue st
l'hypostase?
Mais
les
prires
elle
adresses
tilisentxactement
a mme
phrasologie
ue
cel-
les
prononces
on
seulement
l'gard
'autres
ivinits,
ais aussi
l'gard
e
tout
bjet
enti
omme
umineux
sphinx
e
Giza,
voire tatues e roisou de
par-
ticuliers lus
comme
ntercesseurs).
e
problme
e rsoud
ans doute en terme
d'une
dialectique
ntre
ersonne
t fonction
omme elle
suggre
ar
Derchain,
Dictionnaire
es
mythologies
p.
21-9
du
tir
part.
ekhmetst
la foisforce ru-
tale canalise
ositivement,
ais
aussi,
desse
opique,
t
considre,
ans
son
lieu
(ou ses lieux) omme ivinit miurgiquepar mtonymie),tdonc,matresseu
destin
e ses
fidles,
t
susceptible
e
rpondre
toutes eurs
spirations,
u del
de sa
spcialisation,
ar
ailleurs,
ans une fonction
articulire;
ur
e
problme
e
la
pit
personnelle,
oir
Vernus, olloques
e
la Socit
ErnestRenan
(Centre
interdisciplinaire
'tudes
t d'volution
es
ides,
es sciences t
techniques
, 1977,
143-5.
Une
prcision
propos
u bon
dveloppement
e
l'A.
sur
Sekhmett la
peste
de
l'anne
p.
286-95).
armi
es
calamits,
a dhrt 'est
pas
le malheur
p.
292,
n.
3),
mais
bien
'agent
athogne
t la douleur
u'il
provoque,
uand
vhicul
ar
un
souffle chan
ar
a
desse,
l
pntre
ans e
corps
Vernus,
dE 34
[1982]
121-5).
e
souffle
eut
tre e
vent,
mais
aussi e souffle
e la bouche 'une
parole
nuisible; n ce sens, e termesrflche, st la foishomophonee sr d-
mon,
ommee
remarque
'A., p.
298,mais usside sr propos
voir
auneron,
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5/5
Recensiones
81
JNES 19
[1960]
82,
n.
82).
Ce
qui expliquerait
'allusion uivante:
jour
de
repous-
sertoute arole e Sekhmetn ce our (CairoCalendar XXI, 8-9; le signe de
pn
est omis dans a
transcription
e
Bakir).
6,
rue de l'Arrive
F-75015Paris
Pascal Vernus
Elmar
Edel,
Hieroglyphische
nschriften
es Alten
Reiches
Abhandlungen
der Rheinisch-Westflischen
kademie
der
Wissenschaften,
d.
67.
Opladen,
Westdeutscher
Verlag,
1981. 98
S.,
6
Taf.
21x29,6.
DM
58,-.
Nach einer eit
angen
ahren
ortgefhrten
erie
von Artikeln
it
Neubearbei-
tungen
on nschriftenes AltenReiches
atE. Edel zu
einigen
eiteren
nschriften
nuneine
Monographieorgelegt.
rfat
inddabei Texte
us den
Grbern
on el-
Qar
/
el-ayyad
nd
den beidenGrbern
es
Nj-'nh-kij
n
Tehna sowie
einige
krzerenschriftenus
Saqqara
und
Hagarsa.
ie
Arbeit eichnet
ich
durch
ll
die
Vorzge
us,
die auch
enen
frheren
rtikeln
emeinsam
aren.
n
eindrucksvoller
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eigt
ie ein
weiteres
al,
n
welchem
usma
krupulse ollation,
enaue
Kenntnis er Paralleltexte
nd der
zeitgenssischen
hraseologie
nd ihre
konse-
quente
Auswertung
u
neuen
esungen
nd
einem rheblich
erbesserten
erstnd-
nis auch von
Texten,
ie
schon
ange
bekannt
ind,
fhren
nnen.
eiche
Ergeb-
nisse
fallen abei auch auf
lexikalischemebietund fr
die
Prosopographie
es
AltenReiches b.
Fr
el-Qar
el-$ayyad
at E.
Edel nebenden vier
bisher
ekannten
rbern
ein
weiteres mit Restenvon
Dekoration nd
Beischriften
feststellen,
r
Grab und
IV
die frheren
bschriftenor allem
von R.
Lepsius
und
P. Montet
ergnzen
nd verbessern
nnen.
n
Grab
(Jdw
nnj
wird
amit as
Verstndnis
der
Autobiographie
nd der
Schachturkunde
esentlich
efrdert,
r
Grab
V
zu-
nchst dw
Mnzl
als Name
des Besitzers estimmtnd fr
ie
Texte ufder
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front ine
definitive
earbeitungegeben.
n
dem
neuentdeckten
rab
V)
ist der
Name des Besitzers icht
rhalten,
in
Sohn(?) trgt
en Namen
Dmd
?).
Wie ein
Abschnittur
Genealogie
er
n
el-Qar
el-ayyad
estatteten
rstenfamilie
eigt,
habenvon der Titelfllees
Vaters
Tiwtj
ie
ShneJdw
nnj,
JdwMnzi
und
Bbj
nur
eweils
inenTeil
bernommen,
en hchsten
angtitel
ines
rp't
dabei aber
nichtmehr rhalten. Zu den Grbern on el-Qar el-ayyad gl. nzwischen
auch
L.
Habachi
n
Biblical
Archaeologist
2
(1979)
237f.
Fr die beiden
Grber es
Nj-'nh-kij
n
Tehna
werden ie
Totenkultbestim-
mungen
nddie
Organisation
er
Totenpriester
eu untersucht
auch hier
ufder
Grundlage enauester
ollation rherer
bschriften
Fraser,Maspero,
ethe)
und
verbesserter
esungen.
rotz
llerUnterschiede
n
Anlage,
ekoration nd
Beschrif-
tung
wischen em lteren
II)
und
dem
ngerenI)
Grab assen
ichdoch
weitge-
hende arallelen
nddabei uch
Konsistenz
n
den
Verfgungen
um
Totenkult
nd
zur
Totenpriesterorganisation
eststellen.
enau
dargelegt
ird abei
auch,
wie
weit
sichdie
in
den
Texten
enannten
inder nd Diener
des Grabbesitzers
it
darge-
stellten ersonen
ecken. on
besonderemnteressest
auerdem in
Abschnittu
Dienerdarstellungenit den seltenen der zumindestrdas AlteReich)sonstnicht
ezeugten
iteln
'w
"Wscher",
rj-nfrt
nd
mj(t)-
mUr(w)tS.
48ff.).
Orientalia
6
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