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m -j&ayimiv iwt| • 1Z L l I . 1 , I » m i n • • r . -^w«.*a*~...i«. ..J

»nel.ir.ie I.E SAMEDI MATIN PAtt'STKWIBN H ES DBBSQ* J.«' »"•» .

M XIX.

WILLST, i*Z

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M AT I N S A M E D I P U B L I E K . L E

BATON-JWMUCiE, LOll^AKG II«

O U f à l NA

E N H E N D E R S O N J t t W B .

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m ta jwtfeT, iö*t

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. f Owte A Béton-Êkitgt »t dt •VM aaeamMIa dé» Directeur» 4« «eue

h M to« Mercredi «larnUr, nau» «p-Mt féaaitt 4'aeHeter des nigra» i IM travail«. On paw* qu» cette

lécMMralfttc qu» dt faire la fou-

VM II IMIM-ll J i JâMM \-m Homme tlanc nommé James Ctu*y,

fAm ptmt urmttmyi à voler i appartenant» à Mte»t». David It.

rjaêm da cant fu*m> On dit «t«*M i pnusde? eux eeeUve» d# voler Ieue »partir ave« un ^»tr« beatme bUne,

, J*1 M Mit I»« «Mffceté. 0« WHW Vm a apperçu pttwfcur» personne»

i AwAâÂl à M mêler pvmt nM «eelavMi i KM eiteyen* fcHw «M tour garda.

t peraéaae éaU WUe,Ör»an» «ou» informa r Cuba, eunatrult à l'Hit) eiprè» MM 4a Cuba, Ml arrivé à la Nou-, M Ibra IM *oy«f»» comme paque«

«MM la Hâvaneet eatta dernlire vil* l aéra da troia jours.

D'sprci un nouvel arrantsmsnt, on peut M tendra da Is Nouvelle Orléans à New York M huit jaurs al demi, par mer et par Wrra, eemme auiti ?» 8h bataatt<4*rt|>nur, do la Nlle.Or*

Uans I Pansàaole, en heures. En bateau-à-vapeur, da Pen »»cols à

La Oranna, «Sit 8 " En voii'uie, ds jLà Gönne à Angusta, 00 « fin rsif-road, d'Ajigtrçta à Charleston, 19 « fin bateau-à-vapnur, «le Charleston à

New-York, : 10 «

304 heures.

informé par un j «tt» tt Malla* due dans

„l,a été itffllfée de en enté du fleuve, I IM deua éerâldre» Mmaines.

da Ptaquemine a changé ses Austin sous

*, rl cependant unbim ÉMIR* aur du Condenseur tiens son

i M* tirants, dit: qu'ils l'ont "M Mua sollicitation, Quel tm être! nous lui portons

lia la Ba»*«nd«» Etats-Unis, d's-1er» rapport» da rf ew>York se vendent

Maus du pa.tr an espèces. I.a bon-I IM affairas ont une meilleure ap-

'»d'eepèeae diminue.

4 Julllrt 7«. #

I i» M jour glorieux, a été célJ* i avec le plue grand enthousios.

i da Bftton Rouge. Les santés i par la CotaltA ont été por*

de* Oardeé de Bâton-

On a ilerrtlèj-enreiit cherché à arrêter le porteur do la malle e*liroM«v pr£» du village. d'Abdigon, comte «la Hârtjford (Maryland.) Deu* ou trots Individus en lo voyant passer lui lancèrent un noeud eeulantiqu'irrita.

MÜÜ1L .JJÜ1LU1 (JHtëNS.

Monsieur l'Eni-rat)*—'On a beaucoup parlé dan» votre Journal de la grande quantité de chleit* qui infectent la ville} mais cela n'a pM produit l'effet désiré« il est surprenant que le M turn ne prenne pai de> mesure» pour eftterml* ner cette race; ennemie du repos et du sommeil*, ns serait-il pes bon de suivre le mémo exemple que le Conseil de Ville de la Nouvelle Orléans pour se déb»tra*»Sf'de ces odieuses bétesl en jet­tent it nuit de .la »lande empoisonnée, pour faire mourrir tous les cljien» errants, en feeant cela je pensé que Bâton-téoUfc eora tranquille, et que nous pourrons reposer on pal*- Heveillea-vous donc! hommoe »ag«; de l'Est! . Ttatùtai in Examptam.

Monsieur l'Editeur, on insérant les llgnea ci-dessus, des remnrtfues que j'ai faites sur l'ospèce canine; qui ait devenue si prolifique, voua oblige­r a * b e a u c o u p u n A I T T I D O O I S T S .

or que Mus célébrons, finissions ! nm^hAiAs, et les enlans de nos

la feneration la plM» * lea vertu« patriotiques dfs

pour la |W*ohition, „jeants ne pourront ja* hsr«V<)uca qu'il» filent

(cette

Effectivement, HippowaÇ, t>iscorida, ©allen, ^acutus Lusltanus, et de no» jouis un savant pro­fesseur, ainsi que le célèbre Alibért, ont tour à jour préconisé le» qualités „de l'armoise.

Alm&ble plante, lorsque pleine de eonflanee en tes vertus »urnaturelles, je m» croyais préservée par toi, dB toute espace d e mau*, j'ignorais qu'u­ne grande reine avait nutrefeis dispulii k une dé­esse la gloire date faire portür son nom, j'igno­rais que les sevens de l'antiquité, et les doctes de nos jours se fussent occupés île tes vertus Kahl t ai­res; mais cette vaine truditiÀt n'a rien ajeulÄ à ma weonnaissance. 8i, parfois, égarJe dans U campagne, je te rencontre, mon c«aur bat» mes yetf* se mouiUont de larmes; je songe nuéeitôt à mon heureuse enfance, nu* feu* do 1» SmntJean, à ma pauvre bonne, ait* chaîne» do fleurs au** quelles elle suspendait incs jeunes destinées. Dou* souvenirs, vous embellir«* toujour» ma vie. Salut, ehsrmante armoise, je te dois encore un instant de bonheur.

Par Madame Cuitue*** »» Lstooa,

Vue rose blanche et une roitgr. Le poKte Bonnefons, envoya & l'objet de se»

amours, deu* rose», l'une blanch" et I autre dtt plus vif incarnats la blanche, polir imiter la pi-leur de eon teint, et l'incarnat pour peindre tes feu* de son cœur; il y avait joint à sofi bouquet ces quatre vers: Pour tel, Daphné, Ces flouts viennmtt d'éclorci Vols, l'une <s«t blanche, et l'autre se colore „ D'un vif éclat! l une peint ms pAl«ir, L'autre mes fcu*ä toutes deu* inrtll malheur.

Dictionnaire den plante», avec hure emblémct.

P&ttTK DU STEAM Bit L<

Absinthe. Acacacia. Acacia rose. Aoaqthe. Achlllée. Adonide. Ado*a. Agnus Castus.

. ̂ y pays .«t rien

» Ii

^survivants <1«la Itévolutioni | ) qui divise le teros de l'K\er-k M pr<Mwnte à leur esprit avec un j| l'avenir leur offre l'espérance

'ÂKotN Bannière Etoilée, jusqu'à pré-,MMS4« et triomphante, puisse-t-elle ne litre diaffraci^e nu abaisser, par des dis*

^«eintArieurea, ou de« ennemis eatirieurs. • . K l'Union et la Libert S mainterant «•

jnon qu'elles soient inaîparablea. , A fArné» et la Marine des f.tat*. I ont netteté de leur sauf la confia' ce de

|WY*ET MUS sommes assura qu'il« la méri-

tttÎT^Oou'rcrnaur et aux autorités di t öelo Louisiane ». A l'Orateur du jour, le discours dont ta(keorisd aujourd'hui eat encore une 'iqtt'B oet le digne fila de Nobles Pères. ' foette «ante le Jufe Ofden sc leva et

i etile do Bâton Roufe. désifnie ptfr la na-«MMMk éiflf« du Gouvernement d'un

I oui e Issjiwn été le Rempart inébrinls-*Tk Uèerté* Puisse son attachement à la ' " lrer utiasi lonftem que la auperbe

• laquelle elle est située et que le • qui baifnc MS rivea aura

lea horreurs de foefreet dtt Vimnùon, encouragèrent par

—I MUtWr i CM eeorha glorieux qui furent la •ItMifriM defcpolM étranfera.

lettre auUante a été adressae par le co-

*. N. OCDBH, Esq -Le Comité du 4 Juillet vous prie

«ne oople du Discours que vous 1 ee Jour là; le considérant com-

_ de JuatMte et de jiatrio-i espère que vous ea permeUrez la pu-

avec respects, •f« omis it nh serviteurs.

<v t|g|H Lfisirriss,

Tthm **"""•

•»"- ,Ä."

RÉPONSE. . StNsJUest, t Juillet 1837

is on ne peut plus recon-ftatteurs dont il \ ou* a plû

m d«4 dt Juillet, et je re­né pouvoir Mtisfaire à vo-

A F Edite* e du la Guîette de Bâ ton-Kotige. Mo» eus» Mojtsisua;

J'ai esssyé dsrnièrement de former dsns mon voisinage, uns réunion de personnes ayant Is tem» et le tsleut, ̂ l'écrire tour à tour, uns communi* estidn tou* |M trimestres sur un sujet important, pour les intérêts de la culture du pays, ou plutôt Agrimoinc. sur de» sujet* intéressants pour tous les habltsnts Alisier. de TBI«».. ; Par do telle» communications itnpri- Aloës. raies «a l'orme do PuiUphlet, provenant de Ji* à Alysse des rochers, doute personne», d'un tslentct d'urfc é*p«risncs Amandier. WJofmus, je msttenilais à es que nos efforts Amarante.' joints ensemble; suraient fait plus da bien, que le AmaryUi». double ds mauvais écrits dans les Oaaettss. Je' Ananas. n'ai pas réussi dans môn attente, mais je serai Anémone. bien sise qu'un plsn de cetts espèce soit adopté Anémone des près, dans quelqil'autre endroit Les membres nedoi* Aneolie. vent pa» être éloignés les uus de» autre», sfin de Ang<îli |uo. pouvoir se réunir avec facilité, ils doivent être Argcftlimv praticiens, et n'ont pas besoin d'être aussi sa- Armoise. vont» qu» Boliftgbroke oi Msdison, ni d'avoir la Aephodile, icience profond^d'un Johnson ou d'un Franklin pourvjj qu'il» puissent se communiquer, leur» Aster i grandes fleur», idée» daas un -Style simple et ordinaire, ce que Aubépine, nou» désirons é'est pas de l'c loquence mais un sujet sojlde. J'iivaitfait uns eommunlcstioa pour l'assemblée, mai* comma personne na s'y est trou-té.ja vousi'eotole; dispose» en comme vous le

lonvoftable. tue ei§tlvet»ifr Ä coton qui s'eeeupo de

y mse • • ***-— ennuyeuse, et peu profltsblcf 11 a des des bmriètM k entretenir, des fossés, de» ponts, des routes, et $f* levées à faire, cs»tinuellcm«ntft

.répare^ efesi'est un cukivéteur prudent il doit en tout e.ai ptunter s»lea de mata pour sa consom­mation, il iloit faire if plus possible che* lui, et cependant il lui reste bien peu de terns pour amé liorer son habitation, il sait qu'iHui faut un tiers de »a récolFc, lersqu'ells e»t SUM bonne pour payer les vivrs», habillemens, et instruments ara­toires de »es journalier», qu'elle perte inévitable il y a sur les deux Aut res tiers, quel Interminable ouvrage pour faire cette récolte, qui aussitôt qu'­elle est rentrée ne lslsse quo lo tems de so prJpa-rsr pour la récolta nmivelle, lo cultivateur seul »ont touto sa peine, aussi combien il lui est cfuel do voir un quart da ses dur» travaux détruits, par des frecheW, par le peu de soins de» employés d*e bateauS'à-vspeur, et les charretiers de la Nou* ve ls Orléitnsî tout le monde doit savoir que la perte éprotwée en déchirent les balloa, en perdant et salinsancl le coton, rstembe sur le cultiratcur, que k marchand ne peut donner qu'un prix pro­portionné « ce qu'il rapporte rendu à se destina­tion la plus éloignée, que la filature ne pnycra pas pour du coton Mie et avarié, lo même prix que pour du bon coton, et le cultivateur est peyé 'd'a­près le prjût établi à la manufacture. • Le cultiva­teur est le'soutien du pays, cependant on lui fait •upporter itous le*, fardeaux et toutes les imposi­tion) possibles. C'est pourquoi il serait nécessaire que la Législature passe une bi à ce sujet, prohi­bant l'usage.des crochets, sous des peines sévéres, es réduisant le poids des balloa; 360 livres cet assez pesant mais elles no doivent jamais excéder 400 liv^tl surplus sera au profit de l'acheteur, ce qui forcerait le Cultivateur à ne paa excéder la quantité voulue, et touto balle pesant d avantage doit contenir de l'Mu oà de la aaleté, pour les­quels l'acheteur ne doit certainement pas payer; de* baltes de cette dimension peuvent se remuer sans créchets, les autres plus grandes et plus lour-dMes déchirent même sans crochets par leur poids. Je sais par expérience que l'on ne perd pas •de teais à peser le coton pour le mettre en bailee, le Général Hampton, qui r toujours Économisé le tem*, a continuellement emberqué son coton eu partageant 1000 livres en trois balles. Le fret doit rester le même par balle, quelques frais de plus pour des petites balles seront amplement compensés par l'augmentation de valeur du coton.

11 juillet 1887 Pi W.

Absence. Amont platonique. Elégance. Arts, Guerre. Douloureux souvenirs. Faiblesse. Froideur, vivre Sans ai

mer. Reconnaissance. Accords. Amertume, douleur. Tranquillité. Etourdcrle. Immortàtité. Fierté. • Vous êtes parfaite. Abandon. Maladie.

Folie. Inspiration. Naïveté. Bonheur. Me» regrets vrttis suivent

eu tmnhcsu. Arrièro-jiènsJe. Es,France.

arr, tlftf!

•À1 s. K

iirir» o i uf»-««"» 1,0 sirumur Colnmbu» np|>»ric

volle t|iia le Jj'wi.«iunif» crtpit'iitt® parli du jit No ivello Orléans «••'f ctirguison ooiisidéCubl# it tmici.éi Juin dernier sur unè ehainedo environ 80 fniHi?snrt desu» H" Sil

wn, et n coulé b<s itnWéJi ilnient.. . Un pensu In stemner est mont perdu inuis ffoe l'on pourri» la targaiiun, qilotqi«o fortement

MEXIQUE. 'K ; On n reç i ^n colle till# d«B lettrus «4

Taißpic« du SI J iin. Lo C'otigr4»:jgô»|4-r i i l n I I O U Î I Ô p o u v o i r n u g u u v e r i t e i ^ r t l w faire dfoit eux j isfos réclu|n|rtii»»#'p6-',on; !f;c» «tJ^â jpié|cntor p.ir le gmvotMMBcnt dfirftliAs tirfits, l)aiis»le ras t ù lies h«,pourraiotil f'iiccordtirfOn »WÎ porterait, du enlflentfineiit (le* ht#?* a i'iirbilrajr« dNino puissanOUAoiiel^ lu «'as oà lea Hints Uni» d'Aoifr^f lusseriienl d'ucoordor au isfaclion quo «elui-cî, d'uptès» kiffàii'éi a le ilroit d'exigor, et ilamt 1^ cas ^ Etat» Unis continueraient le» lii>*iif}'6.« cofltro lo Moxi'ioe, le gmtvornenrieiii est uuloris6 k IWtner t>> is les ports mn*>U'nwi« au rtmimvrer de» Elut» Utii<, à ptJilHer l'iitiruditclion el l'u ngo des marchitn'dise» uniéi icoines, et à df'fignerTépo pie rié4;cel-les qui »ont déjà dans le pays et <| ui no seraient p t» consomméj»; serai.'fit Jféex-poi'iée*» i

Ain«i l'on Voit quo c'#*t h 11 furféd'in-eriie «pro les Me*io«itta ' uuraient feeours an cas d'une rupture avec les Eiatd^Mil«; mini» on e^pèrn que tes difficult^»qài'OSis-tan; entre les ileu* go ivcriifinsns a'jrrurt-içeront à l'amiable.

Le convui d'espèces n'était pas etieoru ar;ivè do l'iicérieuf, mais on l'nttétMlait »oui les jours. Lt plus grande tramiuil' lité règne dan» la république.—Ct^rritr.

•• Entre«, mon raa^vn vofi»

j do tan» poor le ptdporec, à cette »»u a|ua occupé quo d'habitude, et P*cfeT<Mrt i»N;" »ViPPf-

Pai prononcé acnut très difficile • dira iMpoMiblc. Ayes la bonté VÏeHte^otofîe P«*aurance de

I Serviteur, R . N: OGDBN.

i. E. Lijret, Aufustu» Äeppee», M- Morgan, C. Peirce.

St-Martinvilla aitoonee quel* . Acteurs Praapaia da la Nouvelie-

i aM dMM Mt«udMtl,otqn^saa propoaent un iWiHe.

Pwwoa-Coe -penonna da«tM vilte vient d'u» extrait d aœ tetUo «e Key

y«* «a date dtt *t Juin.

R ni

• à Key Lwfo le M du court- avec ^ j, fjulTup-ti |ea deux autre» se

n . i ! 7 i l i . | | ' - * * « u C * ^ L W h a I " ta* »'an fut a te"« P°*r cooper du bois avec 4 1 dan* M (èmlaope, an deberqaant lealn-Stm liant * r I m . •» U f t H tué, dépouillé, te crAna anlavé M eaopé en motecaux. Le»

atone promptitude digne , attèeant da.Mite vara la F£a» flottant

r llaa W. dtfà ii j Iw lau», et »MiiHlhi nHocMpa do Gapit. . M du Mintet qu'il* nM»ii>iant à Wastacom-

j Largo- Modasis W. et Sa r à Key Waat, dans la cha-

. ÉTÉ. JciLLKT.

mfrmoise -BONHEDB

Armoise, herbt Saif.t-Jean, tu portea bonne en­contre.

Aimable fleur, je n'ai point oublié que tu proté. gc4» mon enfance; je n'ai point oublié ces tem» heureux où ma bonne gouvernante venait, la veille de la Saint-Jean, parer, en secret, me» blond» cheveux d'une couronne d'armoise. En m'embras­sant elle me disait: J'Chère enfant, te voilà pré­servé^, par mes sains, de tous malheurs, de tou-tea souffrances, des malins esprits ét de la mé­chanceté dea hommes." Je répondais par de ten-dies caressea à ses soins empressées; mon jei^e cœur a'ouvrait à la confiance; les esprits et les mé-

* chaos étaient pour moi la même chose; j'en avais peur sans y croire. Ah! que ne puis-je, encore parés d'une guirlande de fleurs, opposer une in­nocente superstition aux douleurs de la vie!

Qu'on ne pense pas toutefois que l'armoise soit une plante sans réputation, sans vertu: je veux, pour son honneur, rapporter ici ce qu'en dit Pline dans la traduction naïve de notre vieil An­

toine du Pinet: f

«La gloire d'imposer les noms aux herbes n a «seulement appartenu aux hommes ains aussi est «venue jusqu'à enflammer le cerveau des femmes, «quiea ont voulv avoir leur part; çar la rejne i «Artemisa, femme dn riche Mosolus, roi de Carie«] «fit tant par son induitrie, qu'elle baptisa de son ;

' n o m l ' a r m o i s e , q u i a u p a r a v a n t é t a i t - a p p e l é c p a | 4tnû. Toutefois il y en a qui tiennent ce no-n

Traduction d'un boi«|UBt"eniblâmuUquo,.eom poséi d'Armoise, d'Agriumine, jne ro«e blan.hef una roM rouga d'aubépine, d'nsphoJèle. *

(jucl serait mon bonheur, ma rec«up»i»sanee, 4 vous aoeeptiex co que you» point la» ficus de

r»gifet»"mTîSï

* P A U L'BéTAPK'rrt. Le» nouvelle» qu« nou» recevon» «în

Snvnfiniilt et dé Chârleston, du 29 Juin après midi, contiennent le« rapport» le» plu» Miiistre» nurla»iumlion do* Ft iiiilc». Une leUre du fort King*, reçue i. St. Au-uunline, niinonce que le» Indien» »'étant emparé du chef Micanopy l'avainu» é;orgé et eoupé en morceaux. On suppose «ju il n'a été ainsi a«su«»iné qu'à cause de ht» disposition* amic-tle» envers le» blancs, »a c ouatante opposition à la piolongutitfo «le la guerre, et la bonne foi <)u'il n mise «laus Pex^ttUtion de» article» da derniur traité. Comme «m ignorait comment cette nouvelle était parvenue au fort King le» «»llicier» l'armée «f ii *o trouvent à Sie Auoti»!ine comblent douter qu'elle fut vraie, mai» si comme «»n l'a «lit»_ les Indien» ont depuis quulqUe temps destitué Micunopy et donné le cimmaudemont à S.m Joue», celui-ci, sana do ite, aura voulu »e défaire de «on prédécesseur. On »ait que Chailej O'Mathla, pour avoir montré de la bienveillance çnveii» les blanc», nubit le même «m t.

Lo Savannah Georgian, du 29 Juin, donne I» même nouvelle, mai» d'une ma­nière plu» positive.. Une persorne partie de Jack#onvilk I« 25 Juin annonce qu'on venait d'y apprendre queSam Jones et Powell qui, dtt-ori, sont i présent à la tête des Micasukie», avaient tenu dernière-ment, près du lac Monroe/»u conseil clan» lequel Micanopy avait été_ condamné à mort pour avoir signé le traité avec le gé­néral Jessup.

Conformément à cette sentence, Mican opy a été coupé en morceaux par »es pro près guerriers. Les sou» chef« Cloud, Alligator, Tiger-tail et Wild cat ont été destitué» pour avoir «igné le traité, sont rentrés dans les rangs des simples guer-

nei)ea défrichemens considérables avaient déjà été fait» dans les comtés d'Alachua et de Colombia, et l'on espérait pouvoir y récolter cette saison environ 100,000 .boisseaux de mais qu'il faudra abandonne! fax Indiens ainsi qu'une gronde quanti­té de bêtes à cornes et de chevaux. On évalue a 10,000 le nombre des bêîes à cor­net qui paissent en liberté dnn» la gr,aode prairie d'Alachua, et,*dernièrement. Sût) chevaux de réforme, vendu» par jes Etats Unis à diver» y ont été mis au verd. -

Dernièrement sept Indiens sont nitivéi sur l'habitation de Mr» Clark et Rollins, située à sept mille» de Newnoifcviile et se »ont ibis àc«mper les iccolte» stirred. Ces den messieurs, dont -les familles n'étaient heureusement" pas sur Inhabita­tion, se sont réfugiés à Newnansvjlle;

Lo 23 Juin I« Mobile. Averti*/- s'est plaint du'trop grand Iroid, Il Jeéait «i froid là, que pendant la nuit on éiuflVait du froid même »ou» les couverture«.'

On lit «latis le journal fti Liverpool :— Dernièrement, on faisait à l'AmpImbéâtre la répétition de, la pièco iniituléel l'Elé­phant du r-ii «le Siam, «lui ^evait être re­présentée le lundi «uivÂnt. Pendant la répétition, on amena l'^'épliant dy jardin 7. p«ilogif|ue sur !« th^itre po ir y Jouer s«m rù'e. Bientôt après, ayant rem- rqué le livre il i souffleur, il commença ü!e feu­illeter; mais, dan» lo dessein sansduttle de mieux se ffênétrer «le son t«»le,il avor te li­vre nu grand étonnement «lu directeur et dfs.ipec tuteur». ^ ^

L« f.iit suivant donner« un» jult« i.léo lofl miuère qui tè^fte nu Jîftrd, parmi I« eln»se «ÉÉrièref

L'édiieur du Aavy , dît qu'il n'èU Itt curiosité d listç des 3(M) roc||ièn, q«»t *><!»

iitbu «t 00

•,an#»r X

ty,r, *$?• u jo«ino#homm» uotfe, la doscen l rapidoment j I» voifure ritéPu i polit bri»iiî bientôt les chévaux jjaloppenl.

Eh bi»n jcttno hoinmo, dit lé doctôtiij voti» »avexee dont-il B*«^k. ressente»»tou»*»f «pio »« <*p«lè#H<il d»p| CdUe jndne t4to

.H» Inîil^^T-tpC «»»I n?fct quo voicr f*'

Hifftif fiioftî iiffl^ponn»»«-»mi!, »'flii, âîïsit lo docteur efl f<îf<'ns»iint doUcomniA la faelore: j« sai*,je »ai»«».— Hi M. lo compté suit, il cunnuit lu moulant Il n'a qu'il payer»««

—L»! ifc! calmez vous j «tû !«» nvez-vous prist que sortf'ils dovellust Parle/, tant quo vous Voudrez, je V«»us écoiltO puliern-mem.-ll n'agit «J« '»ill*

ytnx ê'iiniîtârént—C)iil, pJurqéM piiio-rais \k <J{y,000 fiï—Poiir >•« tdt»#wo* do Mme- la coriiie»se —Bonî nous y voi'a. Q i'csMjibque «;'es|.1"tf ce M» comte»«e ?» *oirefommo!"« (Ii il l«i présonie la foc-iure.)—Mais, Jeune homme, »««'IIOK »Iode que j'ai lo btmhtr .r tfatro méiét'in et veuf."

Ici le j«uno joiillier s'emp »rtn, ot I« d»cie ir appelant »es gens, le fit tooir par le» quatre membres. II y «»ait de quoi perdre Utile, et la jaune hom«no entra eu fureur, II s'Acrij au vol! i I a.'».i»»iwat mi gui • 'pios!

Mais ait bout d'un qmrt «l'heure, il de­vint calm#, il expliqua tout pusémont, ot une lueur terrible éclair» le «lecteur.

Quelques rocherchc» que IVn ait pu fai­re, il n été impossible de découvrir Iff tra­ce de la fat)»»e com'esSe «le Slrnll : la voi­ture était do lou.iggilos gens avaient été se» complice», et loured quo l*«n a pu sa­voir, c'est que la parure, dont le signale-meiif était envoyé dè» le lendemain »ox principaux joaillier» do l'Europe, n été vtinJuo i una caritalfî^e «1e Bidonne par une «orloylo «olportour juif, «I ml on avnit perdu la piii« a' ont que l'ai|torilé eût été instruite do l'acuuisiliun.

1U Droit.

Il é'.ait d'u»age do d mnor un conseil aux criminel« «vaut da le» condamner. Un avoi-nt, devenu lo conseil d un fllott su^iri» à dérober I«»» bourse» «lans une nu lienoo du parlement, Ij lire à l'écart; il lui demande s'il était v ai q l'il eût cou-pé la bourso «lo queltpi'un. Il e»t vrai, monsieur, «lit le voleur, m.is.. • .—Tais-toi, reprit J'uvocat; lo meilleur consnij «juo je puisse te «lunnor est de t'en aller ou plu» vît». La voleur, trouvant l>vi» fort bon, gtgnt l'escalier la plu» procho ot disparut. f/avo«'ut sa ;iré»?ut« «• biir-reao; les ju^es |iiidom#od»nt j|U n •J,cn

à dire pour la défense du crimwl. Mo»-sieur», dil-il, Cm pauvré m tllie'ir« ̂ m a itvo ié i»un crime} J|»£ coin ne j' n été

ut on

,>..mm I. vui. a. Biù

0BPD 18 lor.(t»m» If » iwoptîéWlfM «»• iw»«»«* •loti q«« le» spécnlatsiif» OMirtivni n»«»'

All elan «I« la vllls, mais il fut util jotKfs Impassible lie s'«!! iirocorer, la IHhe»repHt^qMi «pfwdii»! »o«u

't» S<M' p»ti de Mai» otfrlr cet avaui»^, «té>® P'"" «leur* bel,liant* eal «<uscrit a* b»r«se «le Journal

"m Dai"« ItO't* - Lspri» ce ne!» «st d» fi« «te

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Kottffc. A V ï » .

Au* JCHtrtprtPMtir» el C0*t*irtto

rcimUnnnl 4c M MI *«« DS BATON-I '»V013.

LE Tfolslèm» tsm.e rte culte leslHwbtti rom-inteeera LenJl I« 17 du «mirait«, syanl d**

clmiatouM CJmwdM pmo tscsvoir le» élévMqiil poi.rmlsiit »soif. l<es enfom «l< mat ège iswoirt fa­çon, et la pi«» gfaed» stteiuinn sera donne«, a l*uré«liie4»»oi»M»nt»M,Pbisiqi.« «t iiiarals. Le* teuns» detnrilsell«« p&i«lMs»elr | «rt*la» Osn« la famille des malins, ou «la»» ds» tamille» »*«)»«« U* blss en villé, \ ll.Je.iMel J» r

ÜflCtJt/« miWir"e<it t%«b»««uf d'»a«oee«# »h* rlloyensd» BjIOII KOO|«I st rte» retirons.

no1!!» ont i'iwiSrsmro» rsç is s» o«r*m fc vernir», un asnoriiin. nl tarié de MaifftaadiiesebMsIsspniu c* marché. t^Sor msçasln consls»« en marctisndl'ss sérhes, habille««!" .l'été, qiilnraillsfi«, m. trts t el ansortimenl «le ia»isris «t verrerie, sellèil.', nous», su uUets, ynffpM«.» Stt.t dont ll es» laulils de donner iiiÄletad.

Il s sollicitent rsspst iuaosemrat la blenvslllnnce di publie. I& Juillet gl_

C our PMBtW. PAROISSE EST BATON KOUOE.

ATTBirOÜ <»ee Urlsh Vlnlug, s'esi adisné i cette Uour pour éire noie.né Curat««! ''**

liértîeri absents «le feu Edmund Ö, Vlnlng, A vl» est par «sel donné, fc IOUIB« perroimes Inié-

rs»»éss, «la faire oonnallts d»n» les dis jour», leur opposition ce.*« la dit» «lernende.

I 6 juillet—3*1 CH. TflMUBR, •>»»«.

€;ourdës Pre B»m, PABOIWlS EST BATON-BOÜOE.

ATTENDU «»us lt. W. Newparie falienré-•IstmJk cette Cour «on rompt» d'adminisira-

tiosi, de la suceesnion «w fao G< il. Ksvena.ijli. Avis est par ceci doned'a toute» pétaonnsi int«res-»ées iia««loenejr daas les 10 jo.irs le» «-auses qui pourreie. t «m|iéclMr l'iiomolnfcullon du dit compte suivant la loi. -.

1Ä Jnlllet-Sl CH. TBSSIEK, Juge.

t *W*tm

ml

jtMA» dee Jeudi 91

Cour des Preures, PAROISSE EST BATCN-ROÜOE.

ATTKN OU qiee pathériiie )«ihn«lon e,curatrice des héritiers absents ds h» son muri, Jolin

P. Jolmston» «lécfclé,a fsit smij'uircr à cette t-oor le compte «U' son administration de 1a dite »ucr»»-«ion. Avis Sst par « eri donné k tout* personne in-« Pressée de faire connaître dan» le» dix jour» les rai­sons piur lesipielle» 1« d»* compte ne serait pas lia-moSoxné et le jiMe.neiitde la Cour rrn lu.

1 a JnIHel-ÜU ' CH.TB^HKH. Jnge.

" VEUTE PAR LA COUR DKS PREUVES.

OUMT BATON-ROUGE.

EN vertu d'un ordre de la Oour «tes Preuves <le la paroisse susdite, il »era vendu par le Juge

sousslgae^ £,ç0(t i, 9 H'Aofu prochain. A 1 n 4 M ÉH#UlU»ll«. ('ill! Iftl III* A 10, heures A. M.,#«!*»»«u*. t tu» le» liisnsdé-psudaui de la »uccsHliBi d» fen» Marie Magds.A.ie F'

r orr I iramill *r' " " ""W in'ujnt prcaipiO tou» dö^gjMia^i Kn voki l'é'ui : *

5 fi.renrans, S briqueiiers, ÎO cbsrpen-lier», 'i men ii-inrs, 2 monle'fr» «e ch iu-dollos, i coinmîs, 2 lotinc'iors, 2 ch iu-•IroHii rr«, 10 coplonniers, 1) (î'eurs en e<>-»„n, 11 fermiers, fl!l niunmuvre», 3 mni*hi-tii<ie», 2 celliers, 5 in trins, f eold ils, 0 poseur» «le pierres, 11 iniHoors, D ii<se-ranl», 2«h»rrona, de» relieurs, hoobn-nrr», imprirtnuis en indienne, doroltrs, m iç •ni^imprimoul's, j i iaillier»^ ferblun-iers, &-c.

Un vol fort oiigin il, cl d ml nou» avons ,lifl»!ré do fuiro conu.iiiro les cirr.on*tan-•e«, lunt qu'on n pu conserver l'espoir l'en découvrir i'uJroit nuiour, a é é ré l'emrntmt commis au préjudice d'on do.< plu» riehen joaillier» «le la capitale j il n'y 11 inalhourouaoment phi» d'ylftanvénioni désormais, et il peut y nvhir quot |ue uti­lité à le raconter k nus lectcür». _ .

D ins los premier* jo.rs «lu m >is do janvisr, ledocieur P"#,,qui s'etit acquis o no juste rép uia lion dan» loi rail einen t des m i ladies mentnlcs, vil arriver un malin dans son cabinet une «laine «I une quaran­taine d'années, gracieuse, élégante, belle encore. Le "alct de chambre du docteur avait annoncé Min», la cmniesse de Siroll. L'équipage stmoiré atlen lait dan» la cour.

Demeurée seule avec le docteur, la comtesse se recueillit on instant, lira son mouchoir d'une élégante uum -niéie pour essuyer quelquç» larinçs, et d'une voix émue et troublée: "Monsieur, vous voy^ une l'emmp en proie à un chazrin trèi violent,/lit-elle. J'ai un fi «j il m est bien cher, ainsi qu'à mon maii: c'est notre fils unique***»1'

puis des pleurs! dc3 pleurs! plus qu -Arlémiao n'en versa jamais au tombeau de défunt MatiSule.

"Ah t monsieur!... • Ahj'depuls quel­que tem,'» nou» avons de terribleoorainie» ... .11 est dans un â^e «>ù les p»^»i«»n* »e développent... .Quuique nou» lo satwfas »ions sur tous le» points, ttrgenr, liberté, toilette plaisirs, voici plusieurs gignes de démence complète qu'il donne«^*Diabl<i, diable! interrompit lo docteur.—L^p"int le plus remarquable, c'est qo'd parle toujours de riche» parure»,da diajnsns qu'il à vendus ou donné» à unSfom-ne, tout cela est inintelligible- Nous soupçon-non», Monsieur, qu'il a pu devenir atnou-renx d'une femme peu estimable peut Éiro, et qu'il, aura contracté des engage-mens onéreux qu'il 'iiWe avouer. Ceci toutefois, n'est qu'un» conjecture; son pèfe et moi nous n3u» p»rd<ins d<ta» la cause de cotte lolie, qui nous jette dans le

- „ . .désespoir,—Éh bien! madame, amenez-Il est à craindre que tout ceci ne soit moi mCMisieur votre fils—Ou! dès demain,

le prélude d'une nouvelle guerre que les 1 demain, à midi." malheureux habitans des F.orides amont ! Et !a j(jctcur g'err.pressc de iecon«luire • à soatenir cet été. . ; la belle dame jusqu'à sa voiture: il voll un

Le bruit ayant couru à St. Augusttnè ; c^as5eur. des laquai». que le choiera asiatique existait d une j ^„^„.,,1,, |a prétendue comtesse se manière alarmante au fort Mellon, une . ^ ie plus célèbre-de no-^ correspondance à ce sujet eut lieu eotre jMj|jjer#> ej, après avoir longtemps mar-

f II W. ' " "• *yee»»wwy Tçlf ^ ^ 1 * ' 4 ' »mmé >on cou*#il, i ai cri4,tViHOtr lui nsoiltor prend»» b lutte. Cs

m.» » |>v«eat77c;it.«t ---prendre g»rd%'jôô Je vwlour no » «chip

pif. _____

Au dernier sersnuii dVie mi»»ion, faite Hon» un villagodo l'roveftpo, tout l«i mon­de pleurait, à la ré+erve d'un paysan. On lui demanda,pourjjuoiH n'avait pa< pleuré à un «lisvour«» »i t'.ucHartt? J«î na stiis p*» ds la paroi«*«?, répind til.

' G Q

Extrait da l'rix Courant ds U L*v» d* Sa-, medi dernier.

•fliidâui d» I« «K»ce -—, 'o<*t, décédée, *«o»» Xavier Landry, »avoir/

lt. Vue Terre. ffidtée dan» cette parafe», »«f laq»«»ll» féeidalt la défont», eq.twna«t m» »rpeut «to fae# aaileave.

|,ro(onn«iir d* quarante »tpeu«, «OMMtifé

et gg

M trouvé »urlé-dîti terre. 99. Neuf Esclaves,

D'âgt.et de texe dffirtnê.

If.Dei'thcvaoi, Vaches, Imtrtemerik ArmiMret,

MStnU.BS,** CONDITIO*»—-1^ Terre et le» K«el*es* payable»

en tr.dv term*»ég»u«, le premier en Mar» I8.W, le second en Mar» 1819, et le «lernier en Mar» I84Ö. Le» Meuble» |»jr*bles en Mars prochain. U loot en billet» »ndowé» h *ati»f»ctinrt et hvpot'ne(pi» «ui fa terre et le» e»cla»«» Jusqu'au parfuii paiement.

8 juillet»— 2i L. FaV KOTf Juge.

LK «oiiHlgné rrf»l»ieiit «le HA» Trarniut l'nWic», lemra j'i

«lu eotiranl, le» propoiltkn» q«d lull — A Jncksou, |M)or la fon»ir.'fiion «le de.»a PoKt», »0r le» 'ten* biftntlte* t'a t'Himum'i Crftk, v»#-»'« vl» la «lile vilin, cime«« il» I» pletl» d» 300 pl*rl* «le long.

Le» «jinni»»ioii» doive»! ét.» fniie» d*»pfé» ileli* modèle» 'ii «liffwiite »o«i*tr'.cti«».i, l'on «il loêvatO par Ueo. W. î^»eg »S*<|! Ingénleer (îlvll.et Paotm » («eu |-.è* semblable <1 eelni liféveté «•• T«*IV», e#» .'eus tiiorléle»sm.t à l'Iiotel d» Dr.îieep S J»C*»OM. f^» Hiiunlsiion» fe,nnt connaître le pria «lu pied linéaire, et le plan «le cOn»tr»»eti<>n d'epré» lequel lie M loi.t exécuie*.

I«» Ponl» d«lv»'»t étrt-«nn»tri»ii» de bon» «u* «trier» de t 'I.éne bleue, ett»n bolsd» Pin, a IntitojTS fenilH» bien »ee, et couvert» en bardeau* de L/« pre» oft «lé bon Pin. s , < haqué Ponl doit être «.'un ertbe, et le» *eu* pllesdava.il »«oteulr eliai|>ie bout, au niuirw de «II* oted», et pincée» d# meuiure ft ite point gin« » lit naturel du rourunt.

t.» lutallwd» cet ouvrage, doit étr» Men tweeu-té d'ube nimiiéte »ollde »on» Pln»pe#tlO« d'on »#»•»» «lui §etn norAmé ft fei efltt, Ia tout doit être 6n. le 1er Décembre pfoebuin, »on» peii>» d« perdre JJ piastre» f nr jaunie retàrri; «prè» l'expiration da délai fi»e, joHju'Ii la fin de» travail».

|y>» enfifturtent» peuvent linier lenf »nnmiwinn »or un payement au «ninpiaiit, mal* a oéon» »»•"«• ne »eia fajle pendant l'esécniion de» iiavuua.

I.e» matérlaoa et bol», qui rnrtl «n iniin«, et MfÜ' renn «pli peuvent convtnlr, et qui seraient de mau» désî »erout liwé» ao émftraeta«« au pris coutar,*.

T\ WOOÛLÎFMJPK. Prékidcnt de PedniinteliaAm

de» Tiaran* Public». 1* Juillet 9J ^ '

CONDUIT » la OeWe de r.èton-R01.ee le S Juillet I8J7, le jeun» ue-

(li-em se nommer Oaoaof, ggt d'environ 18 ane, taille de 4 pied» 4 pouce»,«l'une f.lble eomplealon,nyant <

F dans le eoutell de P»»ll eauebe et un#itKlie sur l'o.eilie droite, »é disant appartenir a Ivilllam tltnwii, » ou prêt Je Hayon Mara. Le propriétaire e»t,?piié devenir le rallier en »e eooforma.it ft la loi. • _ _ „

I ft jnîl .-33 R. BffYAM, Qeolier .

Yettk n l'encan.

IL »era vendu a l'énean Samedi le 10 Juillet ft inoin» «le vente a l'em'ntHe. «ore Voit!;»* 1^1*

ve et une |>«ire «le »-ÎHëvaw*, tré» bo»»» "I trt» «!«•«•»» iiinil «(ne quelque» Mei/BMi*. Pour 1«îi» Cheveu*, ci la Voiture, un Tier» Comptent, un Tier» Irais moi»,as l'autre Tier»» un un rt« riMit, en billét» endop*«M h »ati'faciion et payable» en llanqua H Hi ton I?« me. Les entre» Ntl'lCft» «eront vendu» ft W* moi» de crédit ei. billet» erulo«»és ft rati»fuelu>« el payable» comme ci-ilewiii«.

if.lML. L. ISETT, Cncariteiir. M Juillet ai

^ AVIS .

LA «ocié'Séanrtai.ie en celle ville, »00 v la rai­son HniliU Stripp &, C.r, el h t Km e )•

nom »hipp Ferridsy U Co,e*l di»»o!it» I« 3 do pré-ecm moi» d'aprS» contrat. Tonte» le» pef»onnee r)ni doives ,et celle» & qui la dite »ocréléjjWMt? tot.t ItriSeed» présenter lenui r«scln.n»«ioDv che« M»nn. Benoeii Ferriday h t'o. a Ii Nouvelle Orléan»! et ft Naiche* a W. & M. Ferriday & tr«. qui »ent autorité» Il payer, »t k recevoir t rute» réclamation».

Henry L. Bennett da la Nouvelle Orléan» el Wiîliam Ferridny de Kaicbe*, «« «erviront de ancienne »ignatofl sociale, pour la li<(nldati»»n da»

weaiiv !.. »P.NKF.TT. WILLIAM .»>,fcltltlt>AK

Attelés «u^reéMur* ds la rociéte ßuir.tt, Sbipp fc Co et fbipi» Veitiânf &C*.

ÉL

f*. Ç Me 1»,

ä if,rin°-aa Calao,

Nou*vBi.i-*-Oai,aiia», 10 Juillet.

a v t/aigo, Bicunti», Goahcn,

dn l'Ouest,

- reboixf q J Ire. qualité, t ] Ssconde, •j Inférieur, Conuc n'a*, du N<wJ,

du Kentucky

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30 livre

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On*J«nr.ti.«*i Nantuck. p|.n«Jiwllaltinil.

CA re, Havane, —Su-Domingoe,

CHOCOLAT, No. I» No. 2,

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CHAOS, Thoma*ton, FABISE , FHOMAOX , GBAISS», JA U B O K , Mêlas ir.»,

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1 75 U 00

10 9

Ȏ 25

HT-00 09 00 5 00

20 00 16 60 09 00

*1

VENTE PAR LA COUR DES PRSÜVBS.

PAROISSE EST BATON ROUGE.

17IN vertu d'nn Ordre de 1*Honorable Co«r de» là Preuve», «I» la par*i»»e Est Béton Rdtigo, il

•ere veodo par la Jogo de Paroisse toijfigne, et ez-tiffleio ßnca.iteur, .

MARDI, «5 Juillet 1W7, » 11 heures du in<tin, la propriété» »«ivaote, pro­venant de la cemMtmauiéqnl • e*i«té entre Msry A. Shaw décédée, et »on mari survivant, William Shaw Senior, »«'voir : Environ

100 Utes 4e Cochons. Li vente aura lia« che* Wn». Bhaw Senior. Le» conditions »e feront connaître le jour de la

"?5juillet—ii CH. TF.SSIE B, Jo^e.

a 16 a »J a 1 75 S 12 SO a 12 a. 10 a 9 a 26 a 1# 60 a 09 50 a 6 00 a 21 00 a 17 00 » 10 OO

Ȉ

èastille, d'Ëcoase, d'Allemagne, du Kentucky,

^ T Ire.quo^U, 5 s 2Je. qualité, H ' Croîs«, Wniaatr, Rectifié,

- Commun,

e- X yard

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ga!l<»

ui» 7i. Via Ui a

12 j a S3 a 17 a 13 a 3J a Ǥ a 1} a

34 a 32 a

. 12 5 fi «i

00 33 1» 39

6 4 2

35 34

Etat delà l»otiisiane. « OIJH DU 3me DISTRICT.

PAROISSE EST BAT^XROUGE Bamine de la I»ui»>anc,l

ce } Ne. 2317 Jol.n'Oii», tur -.k ni. \

Oanaa OB «AISIC tr 9r. vasTB.

EV venu d'un ordre de sai»ie et de vente 4 moi dirigé par l'Htmorable Cour du 3e. Di»trict

t'aro. i*e et Etat ei-déeeu» meinionné, j'expoterai en tente publique sur .ee lieux»

Maaoi 15 Août prochain (1837) tons tes droit», titre», lotérét» et prétention» de Jefca Otis et «a femme, dan» et sur la propriété solvente, »avoir;

Un 3*J>JBJVCJtV sitaé daas cette r«rtie de la ville dj.Baton Kou|e, divisée en ierrain»per A. Gra», et lUmgpétlanê le p'an »ou« lo No. S da M-let No. 4, (mesure français*) ensemMe «nft les bâtisses et améliovatWm» qol sont deseua. Ai.»»« nn autre TEM ttBUt « to* cetu partie de U ville, divieée ea lerreio» par B. Dekali, et «av­oué dan» le dit plan «né» le No. 1 de Plie» No. 7, rnsenble avec le» bltbees et «mélioratiou» q«i

*°'DK rLus—Q«atra Ntp« Esclave», eatoirr Le nfecre Bic Jim, kgé de 35 ans ; Little Jim, 31 aa»; la négresee Sally, ''k 34 en», avec »on enfant Jj.a, ftgé d'an an. _

Co^o» rioasB» la VIXT»—1« Cooptant, «»a»

OUfLANVim, 15 Juiiiet-33 Strtrif.

Lo» affaire»«itfo» jimqn'H eejo rr par la mr.iétt ci deMn», «eroot eunt'.mrée» dan» '•eile ville par le# •ouiHilgiio», »on» la rai»f>ii Bennett Ferridaj» <{ C« et Ii Neu he* unit celle de W. I" R. Ferriday it Ca nui nntlormé line société pour cet effet.\

HI' K V L. B; NNKTT, WILLIAM FF.ltRIDA.V, LODERT Fr.RHIDAV, JOSEPH C. FERRIDAY, »TA.NFO.tD W. WATERS,

3 Juillet. / 81—3.n

socU\é.

JOSFPI1 DUNN k EDGAR H. ALLEN, ont formé une société, »ou» la raison d»

DUffJT éc ALLEN, dans la ville de Bftton-Kmige, pour la vente da Provision* et Comcstib.e».- leur magasin eat dans la maison ci-devant occupée par Edgar H. Allen à l'encoignure «le» rue» Troisième et de l'Eglise. Ayant joint le fond de leur établisse- , ment ensemble, il» ont maintenant un »»Sorti­ment général. %

II» vendront à baa prix pour du comptant et remercient la publie de la bienveillance qtti leur a été accordée jaaqu'à présent. 1-c* per­sonne» qui dâvent à E H. Allen sint priée» de veqir régler, et celles qui « nt de» réclama­tion» sont également prises «la le» présenter pour en recev«»ir le payement.

1er Juillet 20

Xou\eWe ÄocUtt.

LES sorMsigné» ayant achetât» fond»du maga­sin apv*'tenant * Mr. Alfred Gate», prévien-

pent 1» publi»,«ju'i:sent formé un« société tous la raison de

JiADD Sc MORGAN, et feront le»«faites dans la maison ci-de/ant oeen-pée par Gau» Ac Malta.

Ils viennent de reeev*dr un nou tel »«-orlimenl de Marchandée» Sf.che», Comct/ible*, &e.

Ou'ils offrent k vendre k de* efnidit<on» avanta- Â

geutt'. N. «.jÎADD, - • !er Juil .-^0 MOgf^N MORGAN,

ATendrf. ÜNE quarteronne à;ée de ijan», avec «e» deu*

enfan», l'une àj»« de 4 dv» et l'auir« de 3 an». KU« ett bm.ne btanchi»s<|»e, repaa*eu»e et

8*adre»«er au bufaati de'cetie/ruiSie m k 10juin-17 JOSEPH LANGE.

AU Ptayrietaire« dl Ch«rctte».

LES propriétaire» de Charmée» .!* >» la Corpe-I ration q.»i ont de» licence^ »ant notifié» de f

présenter au bureau du M^.re' dan* I» délai d# IS jours pour recevoir les No*. <fe leur» rbirrette»,

Cawa qui ne sa coajnmteraut pa» k l'ordonnan­ce perdront lawr» licances et p iyernnt use amande.

1er Juil.—T) R- LEGES DRE, Maire.

MARIÉ—Mercredi par le Révérend Père Beau près, Mr. Ci««» 5- A»»«rr, «vcc Mme. Veuve EiiaaaEca WilCt», toc» dCax de cette

ville.

Üoutorinti: gftts.

IL a été ramassé en derive vi»-à-vis Pbabitation du ta assigné, le 7 du courant env.ron, une

CHAbOt rcque l'on crait appartenir * un tajaaa t v ape u, elle e»t peiate en vert, et avait lor»qu on l'a ramafcsée deux »viion». r.icav

15 J.. iiet-22 PH, HK KY.

le maire tie St. Augusîine et le brigadier "énéral Armisted, cunun:»ndant ce paste-L)'api éyle rapport du chiru|ien, c'eat i»i|e maladie «l'une nature purement Uicule, occasionnée p,u" les miasme» RUtriilf». et à laquelle if a%tlonné le nom de rlmlér». quoiqu'elle n'ait aucun rapp«ut avec4e choîéra asiatique. Au reste laeinala.'ie disparu,et l'on aabandunné le fort.

• Courrier.

eh iudé une parure de dix tnil;e éeu», elle ' décide avec mille façon». Elle prenyl

AVIS.

de Recompense. PARTI MARKOS il r a enviror.qua-uasMBainee. la nègre HAT ou HZXKT; kgé d* environ f t na ans, H n»a aneone marque partieuli»»». Ccst un nèp» toi* 'et t»a|«i, trts noir, de ia grandeur de 5 pied» 6 pouces au moin».

JJg récu«penee ci-dessus, «etrk donnée & quiconque le Ingen, dai.» I* geôle de sanier» k ce 11t.» je puisse l'avoir« » _

1 J V ISAAC f-SaOWKlNG, Pr»s du ferry da la Comité.

15 Juillet - 23-41

AVIS.

LE eoussiené ayant «té nomme Curateur de 1» succession vara nie d» feu Abraham Statt»,

prévient t*ate» le» peraunné» qui peuvert avoir de» réclamation* contre la dite accession, d'avoir k I»* lui pré*»nur k ta rtiidens» rtam la peroitae O. en Bàtoa Rouge, nuk »on Avocat John L. 1-eMeU, k Ouest fvlielen* et eeox qoi doivent % ladite fic-esttion Mat priae de payer :an« délai au Meaetgne, ou k wa Avocat.

W». J RiîOBÛS. Ouest KeUM-Rooga, 13 Juin 1327.

AVIS. nt £ Muea«fnd ayant étO-ucmme Covateor de la 4Jb| iutaw.«a vacante de fee Si«*» P. Weiher-

R. l.ACrtAMPBmembr- de '/ AçaSémie de r —- > 1 |-n Rapse en France, Rleve du fameux l)elle-

l'écrin, tire péglige nmeat 1 tas biurse de j ^ ~ ^ •- k*h" "son anmônière, y trouve d>x mille franci­en billet» de liantjue, lo» étale, mais bion-ô'. les resserre ea disant nu maître oe la

TtU».—La Mette d'hier nou» a apporté la MRaesAa qm TVsasan a dé serti le» Mexicains et

\0t A* Jaiat ws Taxfcna.

Le jo :r i i l'Ortl.u'iiH, p 1 > ié à N \ > • - « ifltit la » » iveiio i t' iii j<î «na F ' ir.ç : n I»»»» vit»ut pre ui)!îcr »«i

j^fe *, ^ n;«^ Pàua L- la p.«i •» ^ait ina.ii-

•W . t '«e.

tre danseur de I'M« * P an», prévient le* babr tajis de flàto.i Itouee et de ses en»«ons, qu .1 va ouvrit une-salle dadaHsequand al aura u a nom­bre suffisant d'é!è*es. .

Il se triiisp irten également dans le» maisons nni-oti: , , : ho irieoires ou Ton voudra Jien l'Iior.oret de leur

•'D>»ftnez-mni pluTOî quelqu'un, je .1 cnv.^iA-flce

u» Lirai} mon mari pâtsra. Je meSul.«i L^monirera de mê .ie le» dante» de eawclift, à-U tenter au delà de ma prév*si >n, et j ta! que l'Anglaise et la «avote et toute »ort.de

, i , .a«,,r cs»-i ' soen-te." j v^; ?^ra-L,i e:,e, vfi. Ml,htl. l'.ii >: ;.M? a Uli je'in-t n >«»- j ,5 JaHleu -*a-4f. _

a n t une 4' -'t 1

j le 'a n»*, va m- -'M:n us»o Si«*s I IP.... K"*e» milite j.récipr.4*nm.-0 , ^r- a * i j :-ic!e r: *V n i «n«»ri îî •=, j« Iti««""-" I lPuib »ortaat, «Uu dit UJ JAAA«; U^TBIQS:

iL

l. . t

D- Hongrie, A 'a Pharmacie (i« 1 j juillet—-2 JOCÎtDAN fc Co.

993 de Recompense. aiAUTl marron le 10 Juillet, le; Wl r.è^re WILLIS âgé d'environ ! 25 a,,g,' 5 pieds 10 pmwe» de banteur, I bien fait, ayant de betiùs cbeve«, el j un bon maintien, les pieds granis, une janbe plu» grosse que l'autre et le der- >

rière en saillie. àW -Pmr. Lewis ou LmaBuci, tgé de Î5 an», |

taille de " pi»'i» 5 ou 6 poïTes, ayant petd» pres­que toutes les dent» inférieure» de devant.

Bcs, kgé de 40 an», noir, taille de 5 pieds 6 k 7 pouces, ayant les genou* en rledan». gro»ses che­viller, ta première jointure du petit doigt «te ta main ^a u the est crochue, l'ongle du 3e «toigt «le la matti riucbe fen tu, et le» VÄ'.S tarn^vants.

A .EX. UUUPIÎHEYS. Par» i 5 se ^ t . Jaeq ' . e« , Il Juillet 2Ï

Syrnp, tif liKrawf.

A la Pharma »e ae [ 15 juillet- {1 JOLP.DAN fcCo.

by, prévient tout» tes penoenee qai fïutent avoir ^•s réclamation* contra 1» dite v cee*»ioe, 6'avoti à le» lui présenter fc »a r*vd«nre dans la pari'tse Uuvtt Gttu» R'f.ge, ou à »on Ancttjoim L. L>S-dell. k Oiwst Felitiana, et ee«* q« doivent k la dita tuccetiinn ssr.t pnée de payer taee.délai an louuicné, ou k ira. Aeeea t.

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100 pièces Ter ta **£jL»ai&aetdB Kentucky. 100 d». C«a»F». tOO Etna da Fit tu.r.

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