invader // exhibition in paris // 1000

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Le 6 juin 2011, Invader revient sur le devant de la scène avec une exposition d’envergure intitulée « 1000 ». Pourquoi 1000 ? Parce que le 6 juin, le millième space invader parisien sera posé, à la Générale. Un évenement qui se fête ! L’exposition permettra de revenir sur les invasions urbaines d’Invader, figure incontournable du mouvement “street art”, mais aussi de présenter les autres facettes de son œuvre: Rubikcubisme, Speed Ball machine, photographies, installations et stickers … R é trospective et d é couverte de l’univers d’Invader INVASION DE PRESSE 15/03 2011 N.B. : Tous les chiffres cités dans ce dossier de presse sont valables uniquement à la date de réception de ce document.

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Dossier de presse Invader // Interview dans le prochain numéro de Paris Tonkar magazine // disponible à partir du 25 avril 2011

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Page 1: Invader // Exhibition in Paris // 1000

Le 6 juin 2011, Invader revient sur le devant de la scène avec une exposition d’envergure intitulée « 1000 ».

Pourquoi 1000 ? Parce que le 6 juin, le millième space invader parisien sera posé, à la Générale. Un évenement qui se fête !

L’exposition permettra de revenir sur les invasions urbaines d’Invader, figure incontournable du mouvement “street art”, mais aussi de présenter les autres facettes de son œuvre: Rubikcubisme, Speed Ball machine, photographies, installations et stickers …

Rétrospective et découverte de l’univers d’Invader

INVASION DE PRESSE15/03

2011

N.B. : Tous les chiffres cités dans ce dossier de presse sont valables uniquement à la date de réception de ce document.

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INFORMATIONS PRATIQUES :

LA GÉNÉRALE : 14 avenue Parmentier 75011 ParisMétro : Voltaire ligne 9Horaires d’ouverture : du Lundi au Dimanche , 12h-20h30Entrée libre

GALERIE LE FEUVRE : 164 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Horaires d’ouverture : du Lundi au Vendredi, 10 h30-19 hSamedi , 13h30-19 hwww.galerielefeuvre.com

ET AUSSI : les rues de Paris7 jours sur 7, 24h/24h

CONTACT PRESSE :Cécilia Michaud - Alambret Communication13 rue Sainte-Cécile 75009 Paris01 48 87 70 77 - 06 63 01 86 [email protected]

QUELQUES DATES ET CHIFFRES 1978 : Sortie du jeu video « Space invaders » au Japon1996 : Invader pose son premier alien en mosaïque dans une rue parisienne1998 : Lancement de l’opération « space invaders » à Paris1999 : extension de l’invasion au reste du monde 2005 : début du rubikcubisme

927 space invaders à Paris 19700 points cumulés à Paris77 villes touchées 2692 space invaders dans le monde 5 commandes publiques1 500 000 carreaux de mosaïque collés dans les rues6 tours du monde 22 nuits passées au poste de police 15 expositions personnelles42 expositions de groupe 19 cartes d’invasion éditées6 guides d’invasion édités1 tonne de Rubik’s cubes utilisés pour cette exposition6000 balles rebondissantes

www.space-invaders.com

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« On me demande souvent combien de personnes sont impliquées dans mon groupe, la réponse est qu’il n’y a pas de groupe, je suis tout seul et je voyage beaucoup. »

« J’aime les virus, je suis un virus. » Invader

Un éclaireur. Quelques années de réflexion et d’élaboration.Puis le programme “ d’invasion ” mondiale s’enclenche.

Pour Invader, le monde est un terrain de jeu. Paris, Londres, New-York, Tokyo, mais aussi Mombasa ou encore Katmandou; on compte aujourd’hui plus de 60 villes “envahies”. Clin d’œil aux jeux vidéo, il s’est imposé de chiffrer toutes ses interventions en « scores ». Un space invader vaut entre 10 et 50 points en fonction de sa taille, de son emplacement et de sa composition.

Chaque space invader est unique. En s’inspirant des 4 figures originales du jeu vidéo, Invader les fait constamment muter afin qu’ils ne soient jamais tout à fait identiques. Chacun possède dès sa naissance une identité archivée dans une base de données (date de naissance, photos en gros plan et plan large, adresse, nombre de points, catégorie de forme….).

1-INVADER / SELFPORTRAIT 2-SPACE INVADER N°1

Ça commence par l’invasion

Depuis plus de 10 ans, un artiste parisien fait revivre les « space invaders », ces créatures du jeu vidéo éponyme qui préfigurait l’avènement du pixel et de la technologie numérique. Sous le pseudonyme d’INVADER, l’artiste applique le concept du jeu à notre réalité urbaine. Il donne une existence sensible au pixel en permettant aux aliens de s’échapper de l’écran pour se matérialiser sous forme de carreaux de mosaïque sur les murs des grandes métropoles du monde.

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Les AliasTelle une programmation génétique artistique, chaque space invader posé dans la rue possède un seul et unique clone réalisé dans l’atelier de l’artiste: l’’Alias . Il est conservé sur un support en plexiglas dans lequel est insérée sa “ carte d’identité ”. Ainsi, pour le collectionneur, acquérir un Alias est une façon « d ‘adopter » un space invader.

SPACE INVADERS – LE JEUÀ l’origine, Space invaders est un jeu vidéo développé par la société japonaise Taito, sorti en 1978 sur borne d’arcade. Il s’agit d’un “ shoot them up ” fixe. Le principe est de détruire des vagues d’aliens au moyen d’un canon laser en se déplaçant horizontalement sur l’écran. Il fait partie des classiques du jeu vidéo au même titre que Pac-Man. Il contribue à élargir l’industrie du jeu vidéo au niveau mondial. Space invaders rencontre un énorme succès populaire. Après sa sortie au Japon, il aurait entraîné une pénurie de pièces de 100 yens.

2b_ UN ALIAS ET SA CARTE D’IDENTITE

Rencontre entre pixel et mosaïque + transposition d’un jeu vidéo dans la réalité = une invasion artistique à l’échelle mondiale.

Invader est une figure incontournable et fondatrice du Street Art, connu pour ses invasions planétaires de personnages pixélisés en mosaïque.

Une soixantaine d’expositions pour autant de villes envahies à travers le monde et des centaines de milliers de carrés de mosaïque colorés cimentés dans les rues. Son anonymat, revendiqué depuis ses débuts, fait partie intégrante de son œuvre. Qui est-il ? D’où vient-il ? Nous n’en savons rien !

Tel un pirate ou un hacker, Invader s’empare des figures iconiques qui nourrissent notre imaginaire pour créer, au quotidien, une œuvre ludique, pixélisée, colorée et subversive.

Son travail le plus connu est dans la rue. Regard critique et poétique sur un monde en pleine mutation. L’autre versant de sa production confirme son goût pour la logique, l’archivage, l’esthétique minimaliste et “low-tech” des débuts du numérique.

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Imaginez…

Vous entrez dans la Générale, un espace de 500m2 et de 9 mètres de hauteur caractéristique de l’architecture industrielle du début du siècle. On est loin du “ white cube ”.

Il y a des couleurs partout, un Rubik’s cube géant dans lequel on peut pénétrer, de la musique, du bruit, des photos, des lumières, des stickers, ça sent la gaufre, d’ailleurs elle est en forme de space invader ! Des distributeurs de balles rebondissantes, de stickers et de cartes de Paris ponctuent l’espace.

L’art est un jeu L’art est vivantL’art est libre

Invader met rigoureusement en scène son univers et vous offre de l’expérimenter.

L’entrée dans l’espace d’exposition se fait via un container. Le sol craque sous les pas, il est recouvert de petits carreaux de mosaïque. Il fait sombre et la seule source de lumière provient d’une boule à facettes trafiquée qui renvoie des petits space invaders du sol au plafond.

Après ce passage obligé dans les entrailles d’Invader, la lumière réapparaît nous faisant découvrir une profusion de couleurs et de formes. Vous êtes dans l’espace consacré au sticker. Un scooter et d’autres objets du quotidien sont entièrement recouverts d’autocollants. Des distributeurs automatiques nous proposent des “surprises” dans une odeur de gaufre et une ambiance sonore sortie d’un juke-box.

À cette sélection musicale, s’ajoute le bruit mat des balles rebondissantes s’écrasant sur les parois de la Speed Ball Machine.

Le Rubik’s cube géant domine l’espace. La visite se poursuit à l’intérieur où l’on peut découvrir les oeuvres rubikcubistes d’Invader. Des pochettes de disques pixélisées côtoient les héros de nos cauchemars qui regardent d’un œil noir le Déjeuner sur l’herbe.

À sa sortie, perchées sur la mezzanine, un millier de photos saturent les murs. Du sol au plafond, selon une typologie rigoureuse, les couleurs et motifs des mille space invaders de la capitale nous permettent d’appréhender l’oeuvre parisienne d’Invader de façon exhaustive.

Le millième est posé sur la façade de la Générale. L’avez-vous vu ?Vous êtes d’ailleurs invités à poursuivre la visite dans les rues de Paris à la découverte des 999 autres space invaders, la 20e carte d’invasion en main. Enter the game ...

1000 - l’exposition / 7 juin - 2 juillet 2011

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5 - AFFICHE “USE YOUR CELLPHONE” 6- RUBIK BEST OF THE DOORS

Si le projet “space invaders” l’a fait connaître, l’artiste

pluri-disciplinaire s’attaque depuis peu à une autre icône emblématique

des années 80: le Rubik’s Cube.

Baptisé “Rubikcubisme” ce projet consiste à utiliser le célèbre

casse-tête coloré pour composer des œuvres d’art.

« Donnez-moi un Rubik’s cube, je vous le résous, donnez-m’en 300 et je vous

crée une oeuvre. » Invader

Travaillant toujours autour du thème de la matérialisation du pixel,

l’artiste prolonge ce qu’il avait entrepris avec la mosaïque en créant,

cette fois-ci avec les cubes, de véritables tableaux-objets en 3D.

« For a better view use your cellphone »

Les contraintes de l’objet que sont sa taille et sa palette limitée à 6

couleurs, le conduisent à produire des oeuvres qui ne se dévoilent qu’à

un oeil averti. Quasi-abstraites de prime-abord, elles se révèlent au

spectateur lorsque celui-ci prend du recul, cligne des yeux ou les

regarde à travers l’écran d ’un appareil numérique.

Il peut alors découvrir dans toute leur netteté les images des trois

séries thématiques qu’Invader a choisi d’aborder :

Rubikcubisme - Entrez dans la 3e dimension

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3- BLINKY / SCULPTURE EN R.CUBES 4- MAKING OF FLORENCE REY

Les Rubik Masterpieces :

Ou les chefs d’œuvres de l’Histoire de l’Art rejoués par Invader (Courbet,

Ingres, Leonard de Vinci, Warhol, Manet…).

Les Bad men:

Cette série constitue une collection de portraits de « méchants » issus

du cinéma, de la littérature ou de l’histoire politique et sociale du 20e

siècle (Orange Mécanique, Bonnie & Clyde, Charles Manson, Baader,

Carlos, Al Capone, …).

Low Fidelity

L’univers graphique de la musique à travers un choix de pochettes de

disques (carrées comme un pixel…ou la face d’un cube !) qui ont marqué la

vie d ‘Invader ( Velvet Underground,The Clash, Bob Marley, Gainsbourg,

ACDC, Daft Punk …).

7- RUBIK ODALISQUE

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8- STICKED SCOOT / 1999-2005

Coller à la rue – une histoire de stickers « Le sticker est une mini œuvre d’art. Un papillon dans la ville. C’est une rencontre pour qui sait les voir. »

« Un sticker peut être posé en quelques secondes et rester en place pendant des années. » Invader

Le sticker est pour le street artiste le plus rapide des moyens d’expression. Dans la rue, son terrain de prédilection, il est constamment à l’affût du“spot ”où le coller. Une signature supplémentaire. Une rencontre complémentaire. Le sticker fait date et sens. Invader raconte :« un sticker en appelle un autre. L’accumulation de ces papillons autocollants sur les murs et le mobilier urbain génère des œuvres collectives en perpétuelle évolution. Les artistes se les échangent et les conservent car ils ont cette même vision commune de l’objet éphémère mais non moins précieux qu’il constitue. »

Tout a commencé avec les objets personnels d ’Invader : ordinateur, agenda, portable ou scooter. Ce dernier, garé en permanence dans la rue, a été progressivement recouvert d ’autocollants d’autres artistes et, tel l’œil cacodylate des surréalistes, il constitue le témoignage d’une génération entière de street artistes l’ayant croisé.À l’instar du véhicule, Invader a recouvert d’autres objets avec des stickers collectionnés au fil des ans pour réaliser ce qu’il appelle les “objets stickés ”.

Invader crée entre 5 et 10 modèles de stickers par an, tirés à 1000 exemplaires chacun. Une fois épuisé, l’objet n’est pas réimprimé. Il devient “collector”.

Une série de nouveaux stickers sera réalisée pour l’exposition.

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9- BALLES REBONDISSANTES UTILISEES DANS LA SPEED BALL MACHINE

« Je pensais que le rond était mon pire ennemi, mais non, avec cette sculpture nous nous sommes réconcilié s.» Invader

Se faire surprendre. Vous surprendre. Invader s’en amuse. La Speed Ball machine est une installation tumultueuse imaginée pour Miami Art Basel en 2010.

L’œuvre est une sculpture en perpétuel mouvement, composée d’une cage de plexiglas contenant des balles rebondissantes colorées lancées à plus de 200 km/h par un système automatique.Les balles lancées par la machine évoquent des particules géantes cherchant à s’en échapper. Elles se heurtent aveuglément entre elles et sur les épaisses parois, jusqu’à ce qu’elles perdent de leur vitesse puis recommencent leur course après avoir été ravalées par la machine.

Le spectateur est hypnotisé par ce mouvement chaotique et perpétuel. Il expérimente la peur de l’attaque car la transparence du verre lui donne l’illusion d’être lui-même pris pour cible. Il ne peut s’empêcher de sursauter quand les balles arrivent vers lui et frappent la paroi transparente.

Au-delà de l’interaction que tisse Invader entre la sculpture et le public, l’installation en elle-même rappelle le bruit assourdissant des salles de jeux vidéo.

SPEED BALL MACHINE

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10- 19 PREMIERES CARTES D’INVASION 1999-2011

Les cartes d’invasionLors de sa première exposition à Paris, Invader avait réalisé et distribué une carte, s’apparentant à celle que vous tenez entre vos mains, afin de permettre au public de découvrir ses mosaïques dans les rues. Nous étions en mai 1999 et la carte recensait alors 164 space invaders.Depuis,18 autres cartes d’invasion ont été imprimées. Véritable exercice de style, Invader y dessine le parcours de l’invasion et retranscrit l’atmosphère de chaque ville en lui attribuant une couleur, un motif et une forme souvent subjective.La vôtre est un “ work in progress ”, une version beta de la 20e carte d’invasion (Paris 2.0) qui sortira pour l’exposition et recensera les 1000 space invaders posés par Invader à Paris.

Les guides d’invasionEn 2003, alors que 500 mosaïques sont dispersées sur les murs de la capitale, Invader décide de nous donner accès à la majeure partie de ses archives parisiennes et publie son premier guide d ’invasion “ L’Invasion de Paris ” sous-titré “ la génèse ”.

S’inspirant de l’esthétique des guides/plans chers aux taxi parisiens, Invader dote son ouvrage d’une couverture en plastique et nous permet de sillonner la ville le livre en main. D’invasion en invasion, il est apparu logique à l’artiste de continuer à pérenniser dans le papier certaines capitales emblématiques : Los Angeles, Londres, Cologne, Vienne, New-York et Rome ont également fait l’objet de guides d’invasions.

Là tout n’est qu’ordre et papier,... ...

L’ histoire se poursuit, l’ invasion continue.En septembre , un nouvel ouvrage répertoriant les 1000 space invaders paraîtra. Une dédicace sera organisée dans un lieu pour l’heure tenu secret.

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Sélection d ’ouvrages monograhiques :

INVADEROMA Ed. Wunderkammern / Roma / 2010LOW FIDELITY Ed. Lazarides Gallery / Londres – 2009 TOP 10 Ed. Jonathan Levine Gallery / New-York – 2009 BETONBLUMEN Ed . Quartier21 / Wien – 2008LONDON INVASION / BAD MEN PART II Ed. Lazarides Gallery / London – 2007 SPACE INVADER, BAD MEN – PART I Ed. Galerie Joellenbeck / Cologne – 2007INVASION IN THE UK Ed. L’Unité Centrale / Paris – 2006 RUBIK SPACE Ed. Galerie Patricia Dorfmann/ Paris – 2005INVASION LOS ANGELES Ed. Franck Slama / Paris – 2004 L’INVASION DE PARIS Ed. Franck Slama / Paris – 2003

NB: Un catalogue sera publié par la Galerie Le Feuvre pour cette nouvelle exposition.

11- CAZ_10

... archives, photos et coordonnées

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« Je suis heureux d ’exposer à la Générale, un lieu d’art qui coûte à la collectivité le prix d’un abribus ! » Invader

La Générale est un laboratoire expérimental artistique et politique.Un lieu d’action et d’échange qui permet aux artistes de toutes disciplines et aux associations à but social et politique de se réunir et de mutualiser leurs outils de travail.La Générale ouvre ses portes aux publics lors d’évènements organisés par le collectif des permanents ou ses invités.A l’exception de ces moments privilégiés , l’espace est consacré au travail et à la recherche.Le 14 avenue Parmentier est un ancien centre de distribution d’électricité EDF caractéristique de l’architecture industrielle du début du siècle. Après une mise aux normes de sécurité (travaux effectué par la Ville de Paris et par le collectif), il est composé de neuf espaces différents, répartis sur deux niveaux et modulables au gré des projets. Le lieu central est un espace pouvant servir à des expositions, des répétitions, des tournages, des réunions, des débats.

Hors les murs - La galerie Le FeuvreLa Galerie Le Feuvre représente Invader pour la France.Pendant l’exposition à La Générale, la galerie Le Feuvre se transformera en écrin intimiste présentant une sélection d ’Alias.Fondée en 2005 par Franck Le Feuvre dans le 8e, au cœur du triangle d’or parisien, la galerie s’est donnée pour mission de faire découvrir à un large public les artistes qu’elle soutient et encourage.Elle défend en particulier les ténors issus du street art mais, tout en conservant cette ligne directrice forte, s’autorise des incursions vers d’autres domaines. A un rythme soutenu, elle consacre à ses artistes des expositions de référence, monographiques ou de groupe, qui donnent lieu à la publication régulière de catalogues, toujours réalisés en étroite collaboration avec les artistes.

A l’international, Invader est représenté par les galeries Lazarides à Londres et Jonathan Levine à New York.

La Générale et la galerie le feuvre

12- FACADE DE LA GENERALE

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« J’essaie d’être aussi inventif et surprenant dans les galeries que dans la rues. » Invader

PERSONNELLES :2010 – “Home Sweet Home” , Gallery Target / Tokyo / Japan2010 – “Roma 2010 and Other Curiosities” , Wunderkammern / Roma / Italy2009 – “Low Fidelity” , Lazarides Gallery /London / UK2009 – “TOP 10” , Jonathan Levine Gallery / New York / USA2007 – “Bad Men Part II” and “Invasion London”, Lazarides Gallery / London / UK2007 – “Bad Men-Part I” , Galerie Joellenbeck / Cologne / Germany2005 – “Compilation” , Galerie de Bellecour / Lyon / France2005 – “Rubikcubism”, Six space / Los Angeles / USA2005 – “Rubik space”, Galerie Patricia Dorfmann / Paris / France2004 - “I invade HOYWOD”, Subliminal Projects / Los Angeles / USA.2003 - “Game not over”, Galerie Magda Danysz / Paris / France.2003 - “Invader”, Citylights Gallery / Melbourne / Australia.2001 - “I invade Tokyo” , And-a / Osaka / Tokyo / Japan. 2000 - “Same player shoot again”, Galerie Almine Rech” / Paris / France.1999 - “New player insert coins” , Jean Charles de Castelbajac CS / Paris / France.

DE GROUPE :2011 – “ Art in the Streets ”, MOCA / Los Angeles / USA2010 – “Viva La Revolucion”, Museum of Contemporary Art of San Diego / San Diego/ USA2009 – “Hitchhikers to the galaxy”, Daejong Museum of Arts / Daejon / South Corea2009 - “Ingres et les Modernes”, Musée Ingres + Musée du Louvres / Montauban / France2009 – “V.01 B”, Lieu Commun / Toulouse / France2008 – “Outsiders NY ” Off site exhibition by Lazarides / NYC / USA2007 – “Streets of Europe”, Jonathan Levine Gallery/ NYC / USA2007 – “Small, Medium and Large”, ELMS Lesters Painting Room/ London /UK2007 – “On fait le mur”, Espace de l’Art Concret / Mouans Sartoux / France2006 – “Spank the monkey ”, BALTIC Center for Contemporary Art / Newcastle / UK2006 – “Hype”, ELMS Lesters Painting Room/ London /UK2006 - “Street Art” , MGLC / Ljubljana / Slovaquia2003 - “Copy it, steal it, share it”, Borusan Center for Culture and Arts / Istanbul / Turkey.2003 - “While you were playing Rubik’s cube”, Flux Factory / New York / USA.2002 - “Mono_culture”, Bread Box Gallery / Perth / Australia.2002 - “Street art”, Mjelby Konstgard Museum / Halmstad / Sweden.2001 - “Graphic life”, Double park / Hong Kong.2001 - “Biennale d ’art contemporain ”, Musée d’art contemporain / Lyon / France.2000 - “Version_2000 ”, Centre pour l’Image Contemporaine / Geneva / Switzerland.2000 - “Ideal room ”, Galerie Patricia Dorfmann / Paris / France.

séléction d’expositions

Liste chronologique non exhaustive des villes envahies:PARIS* / LONDRES / AIX-EN-PROVENCE / ANVERS / MONTPELLIER* / TOKYO* / AMSTERDAM / GRENOBLE* / LOS ANGELES* / NEW YORK* / BERN* / AVIGNON* / LAUSANNE / GENEVE* / CLERMONT-FERRAND / LYON / VISBY / HONG KONG / ROTTERDAM* / BERLIN / BARCELONA / PERTH*/ MELBOURNE / ISTANBOUL / DAKHA / MANCHESTER* / MARSEILLE / NIMES / BANGKOK / BASTIA* / MOMBASA / LJUBLJANA / NEWCASTLE / COLOGNE / COTE D’AZUR (24 villes) / BILBAO* / KATHMANDOU* / VARANASI / MONTAUBAN / DAEJON / SAN DIEGO / ROME* / MIAMI

* Production d’une carte d’invasion

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Images © Invader except n°.28

contact presse :Cécilia Michaud - Alambret Communication13 rue Sainte-Cécile 75009 Paris01 48 87 70 77 - 06 63 01 86 [email protected]

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