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Media Clippings KPMG Press Conference «Profile of a Fraudster» (Zurich and Lausanne) June 15, 2010 Contents: Streaming links to video- and audio files Printed articles (see table bellow) Online Media Printed articles:

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Media Clippings

KPMG Press Conference «Profile of a Fraudster» (Zurich and Lausanne)

June 15, 2010

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Printed articles:

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Betrug in der FührungsetageKPMG ermittelt Profil von Wirtschaftsdelinquenten

mla . Männlich, im mittleren Alter,Führungskraft im Finanzbereich die-ses Profil eines Wirtschaftsbetrügerszeichnet eine internationale Studie desWirtschaftsprüfers KPMG. Das «Profileof a Fraudster 2011» wurde nach 2007zum zweiten Mal ermittelt, wobei 348Betrugsfälle in 69 Ländern in die Unter-suchung einflossen.

Die meisten Betrugsdelikte werdennach wie vor von Männern begangen(87% der Fälle). Vor allem in Amerika(22%) und Asien (23%) liegt der Frau-enanteil aber markant höher als inEuropa, dem Nahen Osten und Afrika,wo er nur 8% beträgt. Die Autoren er-klären diesen Umstand mit dem tiefenFrauenanteil in Führungspositionen imeuropäischen Raum. Tatsächlich hat derTäteranteil in der obersten (Geschäfts-leitungs- und Verwaltungsratsmitglie-der) und der mittleren Führungsebenegegenüber 2007 zugenommen.

Die Erhebung hat weiter ergeben,dass die meisten in Betrug Involviertenin einer Finanzfunktion arbeiten (32%,vgl. Grafik). Der Zugang zu und dieVerantwortung für Unternehmensver-mögen, Finanzberichterstattung undKreditvergaben scheint die besten Ge-legenheiten für Betrug zu bieten. Miteinem Anteil von 26% (2007: 11%) fin-den sich am zweitmeisten Betrüger imBüro des CEO/Geschäftsführers. Be-trug wird zunehmend in Kollaborationmit Zweitparteien begangen.

Bemerkenswert ist auch die Er-kenntnis, dass die Wahrscheinlichkeitfür Betrug mit zunehmender Verweil-dauer im Unternehmen steigt. 33%aller Delikte werden von Angestelltenbegangen, die seit mehr als 10 Jahren imUnternehmen arbeiten. Dies kann mitdem steigenden Vertrauen, laschenKontrollen. aber auch mit der Zunahme

Wo Wirtschaftsbetrüger arbeitenIn % der weltweit untersuchten Fälle

Forschung und 3

Entwicklung 11lir 9Beschaffung

Operation und 32Verkauf 25

Rechtsdienst 2

2GL und VR 7

5Administration I

2007 Umfrage 2011 Umfrage

QUELLE KPMG NZZ-INFOGRAFIK/efl

des Handlungsspielraums dieser Mit-arbeiter erklärt werden. Besonders dasAusnützen von schwachen internenKontrollen hat seit 2007 stark zugenom-men. KPMG stellt dies in Zusammen-hang mit Sparmassnahmen, die in denJahren der Krise von Unternehmen er-griffen wurden.

Die Studie kann nur beschränkt Aus-sagen zum typischen Schweizer Wirt-schaftsdelinquenten machen, weil nur17 der insgesamt 348 untersuchten FälleSchweizer Firmen betrafen. 2010 waren52 Fälle von Wirtschaftskriminalität imUmfang von 365 Mio. Fr. vor SchweizerGerichte gebracht worden.

Die Schweizer Fälle stimmen aller-dings sehr gut mit dem globalen Durch-schnittsprofil überein. Der SchweizerBetrüger ist aber öfter als Alleintäteraktiv, wobei die Veruntreuung von Ver-mögen die häufigste Deliktart ist(Schweiz: 59% der Fälle, Welt: 43%).Als wichtigstes Motiv gilt in der Schweizdie persönliche Bereicherung.

CED11

26

Finanzen 3236

-

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ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichTel. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Neue Zürcher Zeitung8021 Zürich044/ 258 11 11www.nzz.ch

Datum: 16.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 127'091Erscheinungsweise: 6x wöchentlich

Themen-Nr.: 660.15Abo-Nr.: 1060231Seite: 28Fläche: 19'263 mm²

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KPMG / neutral

Bericht Seite: 31/38

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La fraude en entrepriserenouvelle ses clichés

nomique. Le malfaiteur moyen 59% des malfaiteurs le font dansprésente les caractéristiques sui- la région EMA. «Le fraudeur ty-vantes: de sexe masculin, il est âgé pique tente par exemple de trans-de 36 à 45 ans. Il exerce ses acti- férer des fonds depuis des comp-vites dans les finances ou dans un tes inactifs. Or, cette méthodedomaine apparenté et évolue exige souvent une collaborationparmi les cadres dirigeants. Enfin, avec des complices externes ou in-il travaille depuis plus de dix ans ternes», explique Anne van Heer-pour la même entreprise et agit den, Head of Risk & Complianceavec d'autres malfaiteurs. de KPMG Suisse. Les fraudeursLa majorité des fraudes est «en- suisses, en revanche, sont moinscore» commise par des hommes, enclins à travailler en équipe: seulsmais leur part (87%) n'est pas ré- 40% d'entre eux recourent à despartie uniformément au niveau in- complices. Autre particularitéternational. En Amérique (22%) et suisse: l'appropriation frauduleuseen Asie (23%), notamment, la pré- de biens (à des fins d'enrichisse-sence des femmes dans les statis- ment personnel) représente en-tiques criminelles est sensiblement core et toujours le type de fraude

le plus courant. A l'échelle mon-diale, les cas de falsification desétats financiers sont en nette aug-mentation.Les motifs de l'acte criminel enentreprise sont certes variés, maisils présentent généralement cer-tains aspects communs: les mal-faiteurs subissent souvent des

ANNE VAN HEERDEN. «Le transfert pressions financières en raisonde fonds depuis des comptes inactifs d'un style de vie excessif; ils se sen-exige souvent une collaboration.» tent sous-payés en regard de leursplus prononcée qu'en Europe, au responsabilités ou fraudent pourMoyen-Orient et en Afrique atteindre d'ambitieux objectifs fi-(EMA), où elle n'atteint que 8%. nanciers. D'autres facteurs favo-Cela dépend entre autres de la fai- risent la délinquance: si les contrô-ble part de femmes qui assument les internes présentent des

des fonctions de management dans faiblesses ou que le malfaiteurl'espace européen. jouit de la confiance nécessaire etEn Amérique, les fraudeurs colla- d'une marge de manuvre suffi-borent avec d'autres personnes sante, le risque augmente.dans 66% des cas, alors que seuls Fait notable, la part de fraudeurs

KPMG. Il est de plus enplus rare que le crimineléconomique idéal-typiqueagisse seul. Pas en Suisse.

De sexe masculin, travaillant de-puis plusieurs années dans l'en-treprise, agissant rarement seul:c'est l'idéal-type du fraudeur se-lon KPMG. Le réseau de consul-tants présentait hier à Lausannesa dernière étude d'ensemble surla délinquance économique àl'échelle planétaire. Les résultatsmontrent que les malfaiteurs ontdes mobiles similaires et restentsouvent longtemps méconnus endépit des tous les indices. La pro-portion de fraudeurs a augmentédans les organes de direction su-périeure, mais aussi parmi les em-ployés. La Suisse n'est évidem-ment pas épargnée: l'an passé, sesentreprises ont perdu 365 mil-lions de francs à la suite d'activi-tés frauduleuses. La moyenne européenne s'établit à 1 million dedollars par cas.KPMG a passé au crible 348 casde fraude économique intervenusdans plus de 69 pays. Outre lesmalfaiteurs, l'étude fournit des in-dications sur les lieux où se dérou-lent la plupart des cas de fraude,sur les mobiles et sur les moyensde détecter ces cas précocement.Sur la base des données réunies,il a été possible de dégager le pro-fil spécifique du délinquant éco-

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a sensiblement augmenté depuisla dernière enquête de 2007, et cetant au niveau de la direction su-périeure (membres de la DG etadministrateurs) et des cadresmoyens qu'a celui des employéssans responsabilité de direction.On ne constate un net recul descas de fraude que parmi les cadresdirigeants («senior manage-ment»). «Cela vient sans douteaussi du fait qu'en mains endroits,ces dernières années, des pro-grammes de lutte contre la fraudeont été introduits précisément àl'échelon des cadres supérieurs.Mais c'est tout de même toujoursà ce niveau qu'apparaissent la plu-

part des cas», indique Anne vanHeerden.KPMG valide par ailleurs unconstat empirique: plus un colla-borateur reste longtemps dans uneentreprise, plus la probabilité defraude économique augmente.L'étude souligne que 33% des dé-lits économiques sont commis pardes employés qui travaillent depuisplus de dix ans dans l'entreprise.Cela peut s'expliquer par uneconfiance croissante ondes contrô-les plus négligents mais aussi parl'extension de la marge de manoeu-vre de ces collaborateurs. Leur pré-sence a nettement progressé parrapport aux résultats de la dernière

enquête (22%).Il existe divers indices pointantvers une fraude possible. De telssignes sont présents avant lafraude dans 56% des cas. S'ils sontreconnus comme tels, ils n'entraî-nent toutefois aucune consé-quence. Ce taux a fortement aug-menté depuis la dernière enquête(45%). Parmi les signes annoncia-teurs, KPMG met en avant lesmodifications marquantes ducomportement (attitude domi-nante, absolutiste) et le refus devacances, ainsi qu'un intérêt par-ticulier pour des processus spéci-fiques dans l'entreprise.

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La criminalité économiquerenouvelle ses stéréotypesEtre âgé de 36 à 45 ans prédispose statistiquement à la

délinquance dans l'entreprise. Surtout parmi les cadres.Bonne nouvelle pour les conser- groupe (pour ne pas dire en organes de direction supérieure,vateurs: en matière de criminalité bande). Autre particularité suisse, mais aussi parmi les employés.économique, la Suisse semble être les montants relativement peu La majorité des fraudes sont «en-restée un îlot peu évolutif en com- élevés par cas. L'an passé, les en- core» commises par des hommes,paraison internationale. Les frau- treprises ont perdu 365 millions mais leur part (87%) n'est pas ré-deurs y sont le plus souvent de de francs à la suite d'activités frau- partie uniformément au niveausimples et classiques voleurs dans duleuses de leurs collaborateurs. international. En Amérique (22%)leur entreprise, qui exploitent les La moyenne européenne s'établit et en Asie (23%), notamment, lafailles du système de contrôle et à 1 million de dollars par cas. présence des femmes dans les sta-agissent en général seuls. A en KPMG a établi le profil type du tistiques criminelles est sensible-croire la dernière étude d'ensem- fraudeur. De sexe masculin, tra- ment plus prononcée qu'en Eu-ble sur la délinquance économi- vaillant depuis plusieurs années rope, au Moyen-Orient et enque à l'échelle planétaire, réalisée dans l'entreprise, agissant rare- Afrique (EMA), où elle n'atteintpar le réseau de consultants ment seul. Les malfaiteurs ont des que 8%. Cela dépend entre autresKPMG, ce n'est pas le cas dans le mobiles similaires et restent sou- de la faible part de femmes qui as-reste du monde développé. La ten- vent longtemps non identifiés en sument des fonctions de manage-dance est à la sophistication des dépit de tous les indices. Les résul- ment dans l'espace européen, pré-objectifs et des méthodes, avec tats montrent que la proportion cise KPMG.une certaine propension à agir en de fraudeurs a augmenté dans les

G,Ierrflêre Ii rampa!'nrprodae sca,./an,1 ...que taule à opéoer

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Kriminelle Angestellte. Die Veruntreuung von Vermögenswerten ist das häufigste Wirtschaftsdelikt in der Schweiz.

Wenn viel Vertrauen schadetEs sind meist Angestellte des oberen Managements, die ihrem Unternehmen Schaden zufügen.KPMG hat in einer Studie zur Wirtschaftskriminalität Täterprofile und Motive untersucht.SABRINA DÜNNENBERGER

ZÜRICH. Er ist Manager, männ-lich, im mittleren Alter, meist ineiner Finanzfunktion tätig undarbeitet seit mehr als zehn Jahrenbei der gleichen Firma. Das istdas Profil eines typischen Wirt-schaftsdelinquenten, wie es dasBeratungsunternehmen KPMG inseiner jüngsten Studie zur Wirt-schaftskriminalität zeichnet. 348Fälle von Wirtschaftsbetrug in 69Ländern hat KPMG untersucht.Gemäss Studie, arbeiten die Täterzudem meist im Team. «Ein typi-scher Betrüger versucht etwa,

Geld von inaktiven Konten zutransferieren. Dieses Vorgehenbedingt oftmals eine Zusammen-arbeit mit externen oder internenVerbündeten», sagt Anne vanHeerden von KPMG Schweiz.

Im Vergleich zur letzten Unter-suchung von 2007 hat der Täter-anteil in allen Führungsebenenausser im oberen Managementzugenommen (siehe Grafik). DenRückgang im oberen Manage-ment erklärt Van Heerden damit,dass dort in den letzten Jahrenvermehrt Programme zur Be-trugsbekämpfung stattfanden.

Dennoch ereigneten sich auf die-ser Stufe nach wie vor die meistenBetrugsfälle. Jedoch ist auch derTäteranteil in der obersten Füh-rungsebene deutlich gestiegen.Meist langjährige Angestellte

So unterschiedlich die Motivefür eine kriminelle Tat in einerFirma sind, weisen sie meist ge-meinsame Muster auf. Entschei-dend für die Tat ist, dass es eineGelegenheit gibt. Das hat HSG-Doktorand Alexander Schuchterbei der Arbeit zu seiner Disser-tation zum Thema Wirtschafts-

wirtschaft

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Ausgabe St. Gallen+Gossau

St. Galler Tagblatt AG9001 St. Gallen071/ 272 77 11 www.tagblatt.ch

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kriminalität festgestellt (siehe Be-fragt). Oftmals stünden die Täterunter finanziellem Druck auf-grund eines exzessiven Lebens-stils oder sie fühlten sich unter-bezahlt. Begünstigt werde Wirt-schaftsdelinquenz durch fehlen-de Wertschätzung, aber auchdurch zu viel Vertrauen. Das er-klärt auch, dass jedes dritte Deliktvon Angestellten begangen wird,die über zehn Jahre im Unterneh-men arbeiten. Sie haben mehrHandlungsspielraum und werdenweniger kontrolliert.Warnsignale werden ignoriert

Bei über der Hälfte der Fällesind laut Studie Warnsignale vor-handen. Diese sind etwa die Ver-weigerung von Ferien, auffälligeVerhaltensänderungen, ausserge-wöhnliche Grosszügigkeit, gros-ses Interesse an spezifischen Un-ternehmensabläufen oder fehlen-de sowie unvollständige Doku-mente. Das Problem ist lautKPMG, dass diese Warnsignalenur selten Folgen nach sich zie-hen. Das erklärt auch, weshalbdie Dunkelziffer bei der Wirt-schaftskriminalität hoch ist. Offi-ziell wurden 2010 in der Schweiz52 Unternehmen von Wirt-schaftskriminalität betroffen. DieDeliktsumme beträgt gesamthaft365 Mio. Franken.

Täteranteilin Prozent

49 ift Erhebung 2007

I-Erhebung 2011

35

GL- und VR-MitgliederOberes ManagementManagementAngestellte

18

4

141

84.

'

Alexander SchuchterInstitut für Accounting,

Controlling und Auditing HSG

Die Gelegenheit zähltWelche Rolle spielt die Gierbei Wirtschaftsdelikten?Die betroffenen Unternehmenerklären sich die Taten oft mitGier. Ich bin bei meinerDissertation zum Schlussgelangt, dass Gier eine eheruntergeordnete Rolle spielt.Die einzige zwingende Voraus-setzung für ein Wirtschafts-delikt ist die Gelegenheit.Kommt Druck dazu, steigtdie Wahrscheinlichkeit, dassjemand ein Delikt begeht.

Kann der Druck auch vomUnternehmen selbst kommen?Ja. Mobbing, eine schlechteUnternehmenskultur, zu hoheAnsprüche oder Zielvorgabenkönnen zu grossem psychi-schem Druck führen. Unddieser kann kriminelle Hand-lungen auslösen.

Sind sich die Unternehmendessen bewusst?Irrtümlich denken Firmenhäufig, dass sie das Problemlos sind, wenn sie dem«schwarzen Schaf» kündigen.Viele Probleme im Unter-nehmen löst man damit nicht.

Sie haben Täter befragt.Was ist Ihnen aufgefallen?Überdurchschnittlich vielehaben eine akademischeKarriere gemacht. Sie sindnarzisstisch veranlagt, brauchenBewunderung. Prestige istihnen wichtig. Ausserdem sindsie ausgeprägt gewissenhaft.

Die Gewissenhaftigkeit passtaber gar nicht ins Bild...Bei der Befragung gaben sie an,dass sie sich ihrer Taten nichtimmer bewusst waren. Das zusagen, kann natürlich eine Artder Rechtfertigung sein. Abergerade im Finanzsektor sind die

Mechanismen oft so komplex,dass man schnell einmal einenGraubereich betritt. (du)

wirtschaft

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Ausgabe St. Gallen+Gossau

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Datum: 16.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 29'504Erscheinungsweise: 6x wöchentlich

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Argus Ref.: 42764969Ausschnitt Seite: 2/2

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Agencia Telegrafica Svizzera SA3001 Bern031/ 309 33 33www.sda-ats.ch

Datum: 15.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Presseagenturen

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15.06.2011 14:58 Svizzera ZH Economia, affari e finanza

Criminalità economica aschio ed estroverso, ecco identikit di chi truffa lasua azienda

ZURIGO (ats) Maschio, di età compresa fra i 36 e i 45 anni, attivo da oltre dieci anni presso la stessaazienda, estroverso e con una formazione superiore alla media: è questo in estrema sintesi l'identikit deldelinquente economico in colletto bianco. Lo rivela uno studio condotto dall'università di San Gallo sumandato della società di consulenza KPMG Svizzera.

I ricercatori hanno passato al setaccio 348 casi di criminalità economica in 69 nazioni: oltre al profilodegli autori dei reati sono stati analizzati gli ambiti di impresa in cui sono avvenute le malversazioni e imoventi che hanno spinto agli atti illeciti. Si è inoltre valutato se, intervenendo per tempo, sarebbe statopossibile scoprire prima le truffe.

È emerso che i criminali in questione sono in larga misura uomini, spesso attivi in rami finanziari,decisamente orientati verso il successo e la carriera, ha spiegato Alexander Schuchter, coautore dellostudio, in una conferenza stampa odierna a Zurigo. Socialmente molto ben connessi all'internodell'impresa in cui operano, amano prendere decisioni e sono incensurati.

A spingerli verso un reato può essere la brama di denaro, ma non solo: fattori importanti sono ancheun pessimo clima aziendale o una eccessiva pressione volta a raggiungere obiettivi determinati. Spessole persone al centro dell'indagine sono alle prese con problemi finanziari dovuti a un tenore di vitatroppo elevato, o si sentono sottopagati. Secondo Schuchter la delinquenza economica viene favoritadalla mancanza di stima o, al contrario, da un'eccessiva fiducia da parte dei superiori.

Secondo Anne van Heerden, dirigente presso KPMG, salta all'occhio il fatto che dal 2007 gli atticriminali hanno tendenza a verificarsi sempre più nei piani alti delle imprese. Oltre un terzo dei reaticoncerne inoltre persone che sono in un'impresa da oltre un decennio: questo si spiega secondo vanHeerden sia con l'allargamento del raggio d'azione di un collaboratore di lunga data, sia con l'aumentodella fiducia in lui riposta, come pure con una tendenza al venir meno dei controlli. Durante larecessione molte aziende hanno risparmiato sulle verifiche interne: è quindi possibile che nel 2011 e nel2012 venga alla luce un numero superiore di casi di criminalità economica.

In linea di principio ogni ditta è potenzialmente vittima di truffe: particolarmente a rischio sono peròper forza di cose le imprese che lavorano con grandi quantità di denaro. Dallo studio emerge ancheche spesso il criminale economico non viene scoperto per lungo tempo, nonostante vi siano in molti casisegnali di allarme, ha continuato van Heerden.

In Svizzera l'anno scorso 52 aziende hanno denunciato di essere rimaste vittima di malversazioni, perun importo complessivo di 365 milioni di franchi. I casi emersi sono però solo la punta dell'iceberg: leimprese sono infatti interessate soprattutto a recuperare il denaro e ad archiviare i casi in modo discretoe poco costoso.

(SDA-ATS\/hm/db)

151458 jun 11

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awp Finanznachrichten AG8031 Zürich043/ 960 57 52www.awp.ch

Datum: 15.06.2011

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15.06.2011 17:31:50 AWP 945

CH/Studie: Der typische Wirtschaftsbetrüger ist männlich und extrovertiert

Zürich (awp/sda) - Ein typischer Wirtschaftsbetrüger ist männlich, 36- bis 45-jährig und seit mehr als 10Jahren in der gleichen Firma tätig. Zudem haben die Täter ähnliche Motive und bleiben oft trotzWarnsignalen lange Zeit unerkannt, wie eine Studie von KPMG Schweiz zeigt. Um ein Durchschnittsprofil eines Wirtschaftsbetrügers zu ermitteln, liess KPMG in 69 Ländern 348 Fällevon Wirtschaftsbetrug untersuchen. Neben den Täterangaben wurde zudem ermittelt, wo die meistenBetrugsfälle stattfinden, was die Motive dazu sind und wie Betrugsfälle frühzeitig erkannt werdenkönnen. Gemäss einer parallel von der Hochschule St. Gallen durchgeführten Studie, die auf Befragungen vonDelinquenten beruht, werden die meisten Betrugsdelikte von Männern begangen. Die Täter seienüberwiegend in einer Finanzfunktion oder im finanznahen Bereich tätig, stellte Alexander Schuchter,Autor der Studie, am Mittwoch vor den Medien in Zürich fest. Wer wirtschaftskriminelle Handlungen begehe, sei stark karriere- und erfolgsorientiert,entscheidungsfreudig und sozial hervorragend in das Unternehmen eingebettet. Überdies sei dertypische Betrüger extrovertiert, unbescholten und überdurchschnittlich gebildet. Die Motive für eine kriminelle Tat in einem Unternehmen seien zwar unterschiedlich, wiesen aberzumeist gemeinsame Muster auf, heisst es in der KPMG-Studie. Neben persönlicher Geldgier könntenauch schlechtes Betriebsklima oder der Druck, hoch gesteckte Ziele erreichen zu müssen, tatauslösendeElemente sein. Oftmals stünden die Täter unter finanziellem Druck aufgrund eines exzessiven Lebensstils oder siefühlten sich unterbezahlt, stellte Schuchter weiter fest. Begünstigt werde Wirtschaftsdelinquenz aber auchdurch zu viel Vertrauen oder fehlende Wertschätzung. Auffallend ist laut Anne van Heerden, Leiter Risk und Compleance bei KPMG, dass wirtschaftskriminelleHandlungen in der Unternehmenshierarchie weiter nach oben wandern. Der Täteranteil in der oberstenFührungsebene und im mittleren Management habe seit der Untersuchung im Jahre 2007 deutlichzugenommen. Gemäss Studie wird über ein Drittel aller Betrugsdelikte von Angestellten begangen, die seit mehr als 10Jahren im Unternehmen arbeiten. Erklärbar sei dies mit dem steigenden Vertrauen, der Zunahme desHandlungsspielraums, aber auch mit nachlässigen Kontrollen, sagte van Heerden. Viele Unternehmen hätten während der Rezession bei den internen Kontrollen gespart. Es sei deshalbgut möglich, dass 2011 und 2012 deutlich mehr Wirtschaftsdelikte aufgedeckt würden als in denvergangenen Jahren. Laut der KPMG-Studie sind Betrugsfälle grundsätzlich in jedem Unternehmen möglich. Besondersgefährdet seien Firmen, in denen mit grossen Geldbeträgen gearbeitet werde. Eine Bank habe jedochganz andere Risiken als ein Produktionsbetrieb.

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Argus Ref.: 42765506Ausschnitt Seite: 2/2

Produktionsbetrieb. Wie aus der Studie weiter hervorgeht, bleiben Wirtschaftsbtrüger oftmals lange unerkannt. In vielenBetrieben würden zudem trotz Warnsignalen, die auf einen möglichen Betrug hindeuten, keineMassnahmen ergriffen, stellte van Heerden fest. In der Schweiz waren im vergangenen Jahr 52 Unternehmen Opfer von Wirtschaftskriminalität. Durchbetrügerische Aktivitäten ihrer Mitarbeiter wurden die betroffenen Firmen um 365 Millionen Frankengeprellt. Die aufgedeckten Wirtschaftsdelikte seien lediglich die Spitze des Eisbergs, sagte van Heerden. Vielebetroffene Firmen seien vor allem daran interessiert, ihr Geld zurückzubekommen. DurchVereinbarungen mit kriminellen Mitarbeitern werde in solchen Fällen das Problem möglichstkostengünstig und diskret erledigt. tp

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KPMG AG

Herr Andreas Hammer

Badenerstrasse 172

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8026 Zürich

Radio/TV-Hinweis

Wer ist der typische Wirtschaftskriminelle?

Das hat die KPMG herauszufiltern versucht - mit Hilfe von 350 Delikten aus 70 Ländern.Statements Studienleiter Annen van Herden und HSG-Wirtschaftsprofessor Peter Leibfried

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Datum: 15.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Presseagenturen

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15.06.2011 13:35 Schweiz ZH Wirtschaft und Finanzen Justiz, Krim

Wirtschaftskriminalität Der typische Wirtschaftsbetrüger ist männlich undextrovertiert

Zürich (sda) Ein typischer Wirtschaftsbetrüger ist männlich, 36- bis 45-jährig und seit mehr als 10Jahren in der gleichen Firma tätig. Zudem haben die Täter ähnliche Motive und bleiben oft trotzWarnsignalen lange Zeit unerkannt, wie eine Studie von KPMG Schweiz zeigt.

Um ein Durchschnittsprofil eines Wirtschaftsbetrügers zu ermitteln, liess KPMG in 69 Ländern 348Fälle von Wirtschaftsbetrug untersuchen. Neben den Täterangaben wurde zudem ermittelt, wo diemeisten Betrugsfälle stattfinden, was die Motive dazu sind und wie Betrugsfälle frühzeitig erkannt werdenkönnen.

Gemäss der von der Hochschule St. Gallen durchgeführten Studie werden die meisten Betrugsdeliktevon Männern begangen. Die Täter seien überwiegend in einer Finanzfunktion oder im finanznahenBereich tätig, stellte Alexander Schuchter, Mitautor der Studie, am Mittwoch vor den Medien in Zürichfest.

Wer wirtschaftskriminelle Handlungen begehe, sei stark karriere- und erfolgsorientiert,entscheidungsfreudig und sozial hervorragend in das Unternehmen eingebettet. Überdies sei dertypische Betrüger extrovertiert, unbescholten und überdurchschnittlich gebildet.

Nicht nur Geldgier

Die Motive für eine kriminelle Tat in einem Unternehmen seien zwar unterschiedlich, wiesen aberzumeist gemeinsame Muster auf, heisst es in der KPMG-Studie. Neben persönlicher Geldgier könntenauch schlechtes Betriebsklima oder der Druck, hoch gesteckte Ziele erreichen zu müssen, tatauslösendeElemente sein.

Oftmals stünden die Täter unter finanziellem Druck aufgrund eines exzessiven Lebensstils oder siefühlten sich unterbezahlt, stellte Schuchter weiter fest. Begünstigt werde Wirtschaftsdelinquenz aber auchdurch zu viel Vertrauen oder fehlende Wertschätzung.

Höheres Risiko bei langjährigen Mitarbeitern

Auffallend ist laut Anne van Heerden, Leiter Risk und Compleance bei KPMG, dasswirtschaftskriminelle Handlungen in der Unternehmenshierarchie weiter nach oben wandern. DerTäteranteil in der obersten Führungsebene habe seit 2007 deutlich zugenommen.

Gemäss Studie wird über ein Drittel aller Betrugsdelikte von Angestellten begangen, die seit mehr als10 Jahren im Unternehmen arbeiten. Erklärbar sei dies mit dem steigenden Vertrauen, der Zunahmedes Handlungsspielraums, aber auch mit nachlässigen Kontrollen, sagte van Heerden.

Viele Unternehmen hätten während der Rezession bei den internen Kontrollen gespart. Es sei deshalbgut möglich, dass 2011 und 2012 deutlich mehr Wirtschaftsdelikte aufgedeckt würden als in denvergangenen Jahren.

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Datum: 15.06.2011

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Argus Ref.: 42759485Ausschnitt Seite: 2/2

Jahren. Laut der KPMG-Studie sind Betrugsfälle grundsätzlich in jedem Unternehmen möglich. Besondersgefährdet seien Firmen, in denen mit grossen Geldbeträgen gearbeitet werde. Eine Bank habe jedochganz andere Risiken als ein Produktionsbetrieb. Wie aus der Studie weiter hervorgeht, bleiben Wirtschaftsbtrüger oftmals lange unerkannt. In vielenBetrieben würden zudem trotz Warnsignalen, die auf einen möglichen Betrug hindeuten, keineMassnahmen ergriffen, stellte van Heerden fest. Viele Delikte werden nicht angezeigt In der Schweiz waren im vergangenen Jahr 52 Unternehmen Opfer von Wirtschaftskriminalität.Durch betrügerische Aktivitäten ihrer Mitarbeiter wurden die betroffenen Firmen um 365 MillionenFranken geprellt. Die aufgedeckten Wirtschaftsdelikte seien lediglich die Spitze des Eisbergs, sagte van Heerden. Vielebetroffene Firmen seien vor allem daran interessiert, ihr Geld zurückzubekommen. DurchVereinbarungen mit kriminellen Mitarbeitern werde in solchen Fällen das Problem möglichstkostengünstig und diskret erledigt. (SDA-ATS\/bk/ah) 151336 jun 11

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Datum: 15.06.2011

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15.06.2011 18:31 Suisse Economie et finances Criminalité, lois e

Délits économiques Le profil type du criminel en col blanc reste un homme

Zurich (ats) Le criminel en col blanc type affiche le profil d'un homme âgé entre 36 et 55 ans et occupeune position moyenne à supérieure dans la hiérarchie. Selon une étude de KPMG, il est au bénéfice dedix ans d'ancienneté et agit dans la plupart des cas pour s'enrichir.

Depuis 2007, la part des délits commis par des collaborateurs appartenant aux plus hauts cadres anettement augmenté, relève le cabinet de conseils dans son étude portant sur quelque 350 délitséconomiques commis dans 69 pays. Il apparaît aussi que les auteurs de ces actes délictueux disposentsouvent d'une formation supérieure et sont plutôt extrovertis.

L'an passé, 52 firmes ont été victimes de délits économiques en Suisse et le préjudice s'est monté à365 millions de francs. L'origine des détournements provient à 90% des propres collaborateurs d'uneentreprise.

Les personnes prises la main dans le sac sont guidées le plus souvent par la cupidité, mais aussiparfois par un mauvais climat de travail ou la pression pour réaliser certains objectifs. L'argent détournésert dans la plupart des cas à financer un style de vie somptuaire.

Manque de reconnaissance

Mais les coupables font souvent part d'un manque de reconnaissance dans l'entreprise pour justifierl'idée de se «récompenser soi-même». Les fraudeurs sont actifs dans la même entreprise depuis aumoins dix ans et bénéficient à ce titre d'une importante confiance de la part des autres collaborateurs.

Ils agissent la plupart du temps seuls. Les personnes qui succombent à la tentation travaillent souventen lien avec le département financier de la société.

(SDA-ATS\/vj/bk/ms)

151831 jun 11

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Datum: 15.06.2011

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Argus Ref.: 42762999Ausschnitt Seite: 1/1

15.06.2011 17:27 Schweiz ZH Wirtschaft und Finanzen Justiz, Krim

Ersetzt

Notiz bsd118 «Wirtschaftskriminalität - Der typische

Wirtschaftsbetrüger ist männlich und extrovertiert»: Meldung nach KPMG-Angaben präzisiert: Abschnitte3 und 7

Wirtschaftskriminalität Der typische Wirtschaftsbetrüger ist männlich und extrovertiert =

Zürich (sda) Ein typischer Wirtschaftsbetrüger ist männlich, 36- bis 45-jährig und seit mehr als 10Jahren in der gleichen Firma tätig. Zudem haben die Täter ähnliche Motive und bleiben oft trotzWarnsignalen lange Zeit unerkannt, wie eine Studie von KPMG Schweiz zeigt.

Um ein Durchschnittsprofil eines Wirtschaftsbetrügers zu ermitteln, liess KPMG in 69 Ländern 348Fälle von Wirtschaftsbetrug untersuchen. Neben den Täterangaben wurde zudem ermittelt, wo diemeisten Betrugsfälle stattfinden, was die Motive dazu sind und wie Betrugsfälle frühzeitig erkannt werdenkönnen.

Gemäss einer parallel von der Hochschule St. Gallen durchgeführten Studie, die auf Befragungen vonDelinquenten beruht, werden die meisten Betrugsdelikte von Männern begangen. Die Täter seienüberwiegend in einer Finanzfunktion oder im finanznahen Bereich tätig, stellte Alexander Schuchter,Autor der Studie, am Mittwoch vor den Medien in Zürich fest.

Wer wirtschaftskriminelle Handlungen begehe, sei stark karriere- und erfolgsorientiert,entscheidungsfreudig und sozial hervorragend in das Unternehmen eingebettet. Überdies sei dertypische Betrüger extrovertiert, unbescholten und überdurchschnittlich gebildet.

Nicht nur Geldgier

Die Motive für eine kriminelle Tat in einem Unternehmen seien zwar unterschiedlich, wiesen aberzumeist gemeinsame Muster auf, heisst es in der KPMG-Studie. Neben persönlicher Geldgier könntenauch schlechtes Betriebsklima oder der Druck, hoch gesteckte Ziele erreichen zu müssen, tatauslösendeElemente sein.

Oftmals stünden die Täter unter finanziellem Druck aufgrund eines exzessiven Lebensstils oder siefühlten sich unterbezahlt, stellte Schuchter weiter fest. Begünstigt werde Wirtschaftsdelinquenz aber auchdurch zu viel Vertrauen oder fehlende Wertschätzung.

Höheres Risiko bei langjährigen Mitarbeitern

Auffallend ist laut Anne van Heerden, Leiter Risk und Compleance bei KPMG, dasswirtschaftskriminelle Handlungen in der Unternehmenshierarchie weiter nach oben wandern. DerTäteranteil in der obersten Führungsebene und im mittleren Management habe seit der Untersuchungim Jahre 2007 deutlich zugenommen.

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Wirtschaftskriminellesind vorbildlich und nettZÜRICH. Wer Firmen umMillionen von Frankenbetrügt, ist sympathisch,unauffällig und kommt inder Schweiz meist nichteinmal hinter Gitter.

Wer Schweizer Firmen mit krea-tiver Buchhaltung um mehr-stellige Millionenbeträge er-leichtert, hat nichts mit dendunklen James-Bond-Böse-wichten gemein. «Ich warselbst überrascht, wie sympa-thisch die Wirtschaftsstraftätersind. Manche haben mich so-gar bekocht», sagt AlexanderSchuchter. Er hat an der UniSt. Gallen eine Dissertationüber Wirtschaftskriminelle inder Schweiz und Österreich ver-fasst. Gemäss seinen Befragun-gen von 13 Verurteilten sind dietypischen Straftäter sozial her-

vorragend in das jeweiligeUnternehmen eingebettet, ge-sellschaftlich hoch angesehen,meist akademisch gebildet undunauffällig kurz: vorbildlich.Strafrechtlich sind sie unbe-scholten und häufig schon seitetwa einem Jahrzehnt in derFirma tätig, bevor sie ein Deliktbegehen. Manchmal macht al-lein die Gelegenheit Diebe. Sogaben einzelne Täter im Inter-view an, ohneDruck oder An-reiz kriminell ge-worden zu sein.Oft aber werdensie kriminell,weil sie sich sel-ber unter Drucksetzen oder weilandere sie dazudrängen. Willheissen: Sie wol-len entweder an-

erkannt werden, einen extrava-ganten Lebensstil führen odersollen übertrieben gute Ge-schäftsergebnisse liefern.

Im Gegensatz zu den USAlandet in der Schweiz nur einkleiner Teil der Wirtschaftskri-minellen vor Gericht. Viel häu-figer handeln die Firmen bei-spielsweise aus, dass die Täterihnen das veruntreute Geld ab-seits des Rechtswegs zurück-

«König» der Wirtschaftskriminellen: Madoff (M.).

zahlen. In der Schweiz verur-sacht Wirtschaftskriminalitätlaut der RevisionsgesellschaftKPMG jährlich einen Verlustvon 8 Milliarden. ELISABETH RIZZI

Immer mehrkriminelle ChefsZÜRICH. Die Revisionsgesell-

schaft KPMG hat in 69 Ländern

348 Fälle von Wirtschaftsbetruguntersucht. Ein typischer Delin-

quent ist demnach männlich,36- bis 45-jährig und seit mehrals zehn Jahren in der gleichen

Firma tätig. Auffallend ist, dass

der Täteranteil in der oberstenFührungsebene seit 2007 deut-

lich zugenommen hat. KPMG

warnt: In vielen Betrieben wür-

den trotz Warnsignalen, die auf

einen möglichen Betrug hindeu-ten, keine Massnahmen ergriffen.

14 ,,schaft

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20 Minuten Schweiz AG8021 Zürich044/ 248 68 20www.20min.ch

Datum: 16.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 189'148Erscheinungsweise: 5x wöchentlich

Themen-Nr.: 660.15Abo-Nr.: 1060231Seite: 14Fläche: 17'545 mm²

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Fraudeur idéal: bienrasé et bien sapé

Le monde compte une foule deBernard Madoff en puissance.Un peu partout. Ils sont d'ap-parence anodine, mais redou-tables. En effet, le nombre decas de criminalité économiquerecensés a nettement augmen-té depuis 2007, selon une étudeinternationale publiée hier parle cabinet de conseils KPMG.En 2010, 52 firmes suisses ontperdu 365 millions de francs.La moyenne européenne parcas s'établissait à i million dedollars. Pour contenir le mal,le profil type du délinquant

écor linel en six po,

Il serait plutôt de sexemasculin.Il est au bénéfice d'une bonneexpérience. Son âge se situeentre 36 et 55 ans.Il exerce ses activités dans lafinance ou dans un domaineapparenté.

Il évolue en principe dans uneéquipe de cadres dirigeants.Il travaille souvent depuisplus de dix ans pour la mêmeentreprise.Il n'agit pas seul.D'autres malfaiteurs sontsouvent liés à lui.

économique a été dressé: c'estun cadre bien formé. Environ90% de ces malfrats en costard-cravate sont des salariés. Ilstravaillent souvent en lien avecle département financier deleur entreprise et n'agissentpas seuls. Ils sont d'autantplus difficiles à repérer qu'ilssont employés depuis long-temps par la société et jouis-

sent à ce titre d'un gros capitalconfiance de la part de leur en-tourage professionnel.

Mais qu'est-ce qui peut pous-ser ces hommes à devenir devulgaires criminels? Même si lescoupables sont le plus souventguidés par la cupidité, un mau-vais climat de travail ou de tropfortes pressions ne sont pasétrangers au phénomène. -Ars

ÉTUDE. L'escroc économiqueest difficile à repérer: ilressemble à M. Tout-le-monde.Rien de tel pour ne passusciter la méfiance.

le ECOnorme

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Datum: 16.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 109'304Erscheinungsweise: 5x wöchentlich

Themen-Nr.: 660.15Abo-Nr.: 1060231Seite: 16Fläche: 13'340 mm²

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Criminalité

Profil type du fraudeur:homme, cadre de la finance

De plus en plus de CE0 deviennent fraudeurs

Finances

Service des achats

Conseild'administration 2%Recherche 11%et développement MO3%

11%

0%.2%

1

0 5 10 15 20 25 30 35 40

32(%

36%

8%9%

7%

Statistique 2011

Statistique 2007

En Suisse,la délinquance encol blanc provoquedes pertesannuelles estiméesà 8 milliards,soit 2,4% du PIB«Mieux vaut prévenir que guérir.»Généralement employé dans le ca-dre médical, cet adage peut s'ap-pliquer à la criminalité économi-que. Mais pour y parvenir, il estnécessaire d'avoir un profil du dé-linquant en col blanc. La cellule duconsultant KPMG en charge decette question depuis une dizained'années a présenté hier son étudeétablissant le profil moyen du frau-deur du XXIe siècle. Pour y parve-

nir, les experts de l'auditeur ontétudié près de 350 cas de fraudesdans 69 pays.

Prêts à «basculer»Première constatation: 20% desemployés sont honnêtes, 20% sontvéritablement malhonnêtes et lesautres (six employés sur dix) sontsusceptibles de commettre unefraude. Mais dans ce derniergroupe, il s'agit d'employés qui de-mandent le plus souvent le regrou-pement de trois éléments pour«basculer»: la motivation, l'oppor-tunité et la rationalisation. Une foisce «triangle de la fraude» réuni, latentation serait alors trop fortepour eux.

Une fois cette règle généraleédifiée, les spécialistes de KPMGont établi un profil type du frau-

deur. «Il est de sexe masculin ettravaille depuis plusieurs annéesdans l'entreprise», précise la so-ciété d'audit dans son étude. A ceséléments, il faut ajouter le posteoccupé au sein de la société, puis-que 82% des fraudes sont commi-ses par des cadres supérieurs (voirgraphique ci-dessus).

Le secteur de la finance est par-ticulièrement fécond en criminelsen cols blancs. «Ils sont moinscontrôlés et ont accès à des méca-nismes financiers adéquats», ex-plique Philippe Fleury, à la tête del'équipe de recherches sur lecrime économique de KPMG. Lescas étudiés ces dernières annéesont enfin montré de nouvellestendances, dont la rapide crois-sance d'une criminalité économi-que féminine. Signe de l'évolutionprofessionnelle des femmes, cettetendance démontre toutefoisqu'elles finissent par adopter lemême comportement profession-nel que les hommes.

Fraudes helvétiquesEn ce qui concerne la Suisse, leprofil du criminel économiquehelvétique est quasi identique auxautres. Sa seule particularité est,dans plus de la moitié des affaires,de continuer à agir seul. Dans lesautres nations, c'est le contraire,puisque les cas de collusion onttendance à se multiplier. «Le frau-deur typique tente par exemple detransférer des fonds sur des comp-

CEO26%

Service des ventes 25%

Back-office

Service juridique

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Datum: 16.06.2011

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tes inactifs. Or cette méthodeexige souvent une collaborationavec des complices externes ouinternes», précise Anne Van Hee-ren, directeur chez KPMG.

Certains comportements exis-tent pour détecter des cas de frau-des, tels qu'une générosité excep-tionnelle, un style de vie excessif,un refus de répondre aux ques-tions voir même une accumula-tion des jours de vacances pouréviter qu'une arnaque soit décou-verte. Dans 56% des cas, des si-gnes annonciateurs existent pour-tant, mais n'entraînent aucuneconséquence ou se terminent parle simple licenciement de la per-sonne impliquée. Seules 20% desaffaires se terminent au tribunal.

Ces dernières années, pour lut-ter contre la criminalité économi-que, les entreprises se sont dotéesde code de conduites ou de lignesinternes de dénonciations. Le pro-blème reste qu'elles manquent demoyens pour les rendre efficaces.Face à l'ampleur du phénomène,les sociétés sont relativement dé-munies. Tout cela, sans compter,le risque de commettre une erreuret de voir la réputation de son en-treprise écornée.Olivier Wurlod

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Datum: 16.06.2011

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BETRUG: KOSTET DIE SCHWEIZ MILLIARDEN

Wirtschaftskriminalitätkostet die Schweiz zweibis vier Prozent ihresBruttosozialprodukts, alsozwischen acht und zehnMilliarden Franken jähr-lich. Der BuchprüferKPMG hat hierzu auf Ba-sis von 17 Betrugsfällenein Profil des SchweizerWirtschaftskriminellen er-stellt. Der typische

«White collar»-Straftäterist männlich, zwischen36 und 55 Jahre alt, sitztin der Geschäftsleitungund nimmt dort eine Füh-rungsfunktion in den Fi-nanzen wahr. Seit überfünf Jahren arbeitet derDelinquent für die Firma.Sein Delikt begeht er zu60 Prozent allein. Und inüber zwei Drittel der Fälle

nutzt der Topmanagerdie mangelhaften inter-nen Kontrollen aus. Dergrösste Teil der Betrugs-fälle entfällt auf die Ver-untreuung von Geldern,nämlich zu 60 Prozent.Und in der Mehrzahl istdas Motiv die persönlicheBereicherung. DieserWert liegt über dem glo-balen Schnitt. (miL)

:=

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Gesamt Regio

Aargauer Zeitung5001 Aarau058/ 200 58 58www.aargauerzeitung.ch

Datum: 16.06.2011

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Wirtschaftsbetrügerin Studie untersuchtZÜRICH. Eine weltweite Studie vonKPMG hat die Profile und Motivevon Wirtschaftsbetrügern unter-sucht. Der typische Wirtschaftsbe-trüger ist demnach männlich undzwischen 36 und 45 Jahre alt. DerAnteil der Täter aus der oberstenFührungsebene nimmt dabei zu.Neben Geldgier nennt die Studieschlechtes Betriebsklima oderDruck als Motive. In der Schweizwaren 2010 52 Unternehmen Opfervon Wirtschaftskriminalität. Sie ver-loren 365 Millionen Franken. SDA

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Basler Zeitung4002 Basel061/ 639 11 11www.baz.ch

Datum: 16.06.2011

Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 83'773Erscheinungsweise: 6x wöchentlich

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Täter sind oft FinanzleuteWIRTSCHAFTSBETRUG EineStudie ermittelt das Durch-schnittsprofil von Wirt-schaftsbetrügern und ihrenMotiven.

Der typische Wirtschaftsbetrügerist männlich, 36-bis 45-jährig undseit mehr als zehn Jahren in dergleichen Firma tätig. Die Täter ha-ben ähnliche Motive und bleibentrotz Warnsignalen oft lange Zeitunerkannt, wie eine Studie vonKPMG Schweiz zeigt. Um einDurchschnittsprofil eines Wirt-schaftsbetrügers zu ermitteln,liess KPMG in 69 Ländern 348Fälle von Wirtschaftsbetrug un-tersuchen. Neben den Täteranga-ben wurde zudem ermittelt, wodie meisten Betrugsfälle stattfin-den, was die Motive dazu sind undwie Betrugsfälle frühzeitig er-kannt werden können.

Gemäss der von der Hochschu-le St. Gallen durchgeführten Stu-die werden die meisten Betrugs-

delikte von Männern begangen.Die Täter seien überwiegend ineiner Finanzfunktion oder im fi-nanznahen Bereich tätig, stellteAlexander Schuchter, Mitautorder Studie, gestern vor den Me-dien fest. Wer wirtschaftskrimi-nelle Handlungen begehe, seistark karriere- und erfolgsorien-tiert, entscheidungsfreudig undsozial hervorragend in das Unter-nehmen eingebettet. Überdiessei der typische Betrüger extro-vertiert, unbescholten und über-durchschnittlich gebildet.

Nicht nur GeldgierDie Motive für eine kriminelle Tatin einem Unternehmen seienzwar unterschiedlich, wiesen aberzumeist gemeinsame Muster auf,heisst es in der Studie. Neben per-sönlicher Geldgier könnten auchschlechtes Betriebsklima oder derDruck, höchgesteckte Ziele errei-chen zu müssen, tatauslösendeElemente sein. Oftmals stünden

die Täter unter finanziellemDruck aufgrund eines exzessivenLebensstils, oder sie fühlten sichunterbezahlt, so Schuchter wei-ter. Begünstigt werde die Delin-quenz auch durch zu viel Vertrau-en öder fehlende Wertschätzung.

Oft langjährige MitarbeiterAuffallend ist laut Anne vanHeerden, Leiter itisk und Com-pliance bei KPMG, dass wirt-schaftskriminelle Handlungen inder Unternehmenshierarchieweiter nach oben wandern. DerTäteranteil in der obersten Füh-rungsebene habe seit 2007 deut-lich zugenommen. Gemäss Stu-die wird über ein Drittel allerBetrugsdelikte von Angestelltenbegangen, die seit mehr als zehnJahren im Unternehmen' arbei-ten. Erklärbar sei dies mit demsteigenden Vertrauen, der Zu-nahme des Handlungsspiel-raums, aber, auch mit nachlässi-gen Kontrollen. sda

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Berner Zeitung AG3001 Bern031/ 330 31 11www.bernerzeitung.ch

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Bericht Seite: 15/38

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Wirtschaftsbetrügersind extrovertiertZürich Eine weltweite Studievon KPMG zeigt: Der typische Wirt-schaftsbetrüger ist männlich undzwischen 36 und 45 Jahre alt.Neben Geldgier seien schlechtesBetriebsklima oder Druck häufigeMotive. In der Schweiz waren ver-gangenes Jahr 52 Betriebe Opfervon Wirtschaftskriminalität. Sieverloren 365 Millionen Franken.

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Bericht Seite: 16/38

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Aziende Identildit del truffatoreMaschio, fra i 36 e i 45 anni, colto: ecco chi si intasca denaro aziendale

III Maschio, di età compresa fra i 36 e i 45anni, attivo da oltre dieci anni presso lastessa azienda, estroverso e con una for-mazione superiore alla media: è questo inestrema sintesi l'identikit del delinquen-te economico in «colletto bianco». Lo ri-vela uno studio condotto dalla società diconsulenza KPMG Svizzera.I ricercatori hanno passato al setaccio 348casi di criminalità economica in 69 nazio-ni: oltre al profilo degli autori dei reati, so-no stati analizzati gli ambiti di impresa incui sono avvenute le malversazioni e i mo-venti che hanno spinto agli atti illeciti. Siè inoltre valutato se, intervenendo pertempo, sarebbe stato possibile scoprireprima le truffe.È emerso che i criminali in questione so-no in larga misura uomini, spesso attivi inrami finanziari, decisamente orientati ver-so il successo e la carriera, ha spiegato Ale-xander Schuchter, coautore dello studio,in una conferenza stampa odierna a Zuri-go. Socialmente molto ben connessi all'in-

temo dell'impresa in cui operano, amanoprendere decisioni e sono incensurati.A spingerli verso un reato può essere la bra-ma di denaro, ma non solo: fattori impor-tanti sono anche un pessimo clima azien-dale o una eccessiva pressione volta a rag-giungere obiettivi determinati. Spesso lepersone al centro dell'indagine sono alleprese con problemi finanziari dovuti a untenore di vita troppo elevato, o si sentonosottopagati.In linea di principio ogni ditta è potenzial-mente vittima di truffe: particolarmente arischio sono però per forza di cose le im-prese che lavorano con grandi quantità didenaro.In Svizzera l'anno scorso 52 aziende han-no denunciato di essere rimaste vittime dimalversazioni, per un importo comples-sivo di 365 milioni di franchi. I casi emer-si sono però solo la punta dell'iceberg: leimprese sono infatti interessate soprattut-to a recuperare il maltolto e ad archiviarei casi in modo discreto e poco costoso.

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MO.

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Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch

Datum: 16.06.2011

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Bericht Seite: 17/38

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Betrüger: Männlichund extrovertiert

Ein typischer Wirtschaftsbetrüger istmännlich, 36- bis 45-jährig und seit mehrals 10 Jahren in der gleichen Firma tätig.Zudem haben die Täter ähnliche Motiveund bleiben oft trotz Warnsignalen langeZeit unerkannt, wie eine Studie von KPMGSchweiz zeigt. Um ein Durchschnittspro-fil eines Wirtschaftsbetrügers zu ermit-teln, liess KPMG in 69 Ländern 348 Fällevon Wirtschaftsbetrug untersuchen. Ge-mäss der von der Uni St. Gallen durch-geführten Studie sind die Täter überwie-gend in einer Finanzfunktion oder imfinanznahen Bereich tätig. Die Täter seienstark karriere- und erfolgsorientiert, ent-scheidungsfreudig und sozial hervor-ragend in das Unternehmen eingebettet.Überdies sei der typische Betrüger extro-vertiert, unbe'scholten und überdurch-schnittlich gebildet. Neben persönlicherGeldgier könnten auch schlechtesBetriebsklima oder der Druck, hoch-gesteckte Ziele erreichen zu müssen, tat-auslösende Elemente sein. Oftmals stün-den die Täter unter finanziellem Druckaufgrund eines exzessiven Lebensstils,oder sie fühlten sich unterbezahlt. (sda)

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Der Bund3001 Bern031/ 385 11 11www.derbund.ch

Datum: 16.06.2011

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Bericht Seite: 18/38

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Das Profil des BetrügersZÜRICH. 365 Millionen Fran-ken haben 52 Schweizer Unter-nehmen im vergangenen Jahrverloren durch betrügerischeAktivitäten ihrer Mitarbeiter.Gemäss der Unternehmensbe-ratung KPMG, die im Rahmeneiner weltweiten Studie das«Profil des Betrügers» erstellthat, ist Gier und Bereicherungs-absicht in der Schweiz dasHauptmotiv. Aber auch derwirtschaftliche Druck, demHauptsitz trotz Finanzkrisegute Zahlen liefern zu müssen,

führt dazu, dass aus einem ehr-baren Manager ein Wirtschafts-delinquent wird und er Zahlenoder Rechnungen fälscht.

Gemäss Studie ist der typischeBetrüger männlich, im Senior-Management angestellt und be-reits seit mehr als sechs Jahrenweitgehend unauffällig in dersel-ben Firma tätig. Letzteres er-staunt nicht erst nach einer ge-wissen Zeit hat der potenzielleBetrüger die Betriebsabläufe(und deren Schwachstellen) er-kannt. (og)

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Der Landbote8401 Winterthur052/ 266 99 01www.landbote.ch

Datum: 16.06.2011

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Bericht Seite: 19/38

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Männlich, zwischen 36 und 45 Jahren, seit mehr als sechs Jahren im selben Unternehmen: So sieht der typische Wirtschaftsdelinquent aus. Bild: P srna

Die sympathischen BetrügerZÜRICH. Wie erkennt man den Manager, der seine Firma betrügt?Bei der Anstellung zwar noch nicht er entwickelt sich erstim Laufe der Zeit zum Wirtschaftskriminellen, sagt eine Studie.Schweizer Unternehmen missachten aber viele Warnsignale.OLIVER GRAF Der ehrbare Manager hingegen ver- schon sechs oder mehr Jahre bei ihrem«Der typische Betrüger ist sehr sym- füge nur über eine «durchschnittliche Unternehmen tätig. Dafür gibt es lautpathisch und vertrauenerweckend», Gewissenhaftigkeit». Als Personal- Anne van Heerden von KPMG gutesagt Alexander Schuchter von der chef, sagt Schuchter lachend, würde er Gründe: «Zu Beginn kennt man dieHochschule St. Gallen. Er hat für sei- also eher den Betrüger einstellen. Abläufe in der Firma noch nicht, weissne Doktorarbeit mit rechtskräftig ver- Doch bei der Anstellung, im Vo- nicht, wo die allfälligen Schwachstel-urteilten Wirtschaftsdelinquenten dis- raus, sei der Betrüger nicht vom Ma- len liegen.» Im Verlaufe der Zeit wer-kutiert. Bei den 13 Treffen sei er je- nager zu unterscheiden. Die Persön- de lang Angestellten auch mehr Ver-weils «freundlich empfangen und ein- lichkeitsmerkmale würden sich erst trauen entgegengebracht, sie dürftengeladen oder bekocht» worden. im Verlaufe der Zeit verändern. Und deshalb nachlässiger kontrolliert wer-

Und was unterscheidet den betrü- ohnehin: «Der Betrüger ist sowieso den. Zudem sei man bei Antritt einergerischen Manager vom ehrbaren Ma- schon im Unternehmen.» neuen Stelle grundsätzlich zufriedenernager? Der Wirtschaftsdelinquent sei Denn gemäss einer weltweiten Stu- erst im Laufe der Zeit nehme allen-«ausgeprägt gewissenhaft und diszipli- die, welche die Unternehmensberatung falls der Ärger zu. «Wird man andersniert», sagt Schuchter. Das müsse er ja KPMG gestern vorgestellt hat, sind 60 als der Kollege nicht befördert oderauch sein, um seine Ziele zu erreichen. Prozent der Wirtschaftskriminiellen empfindet man den erhaltenen Bonus

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Der Landbote8401 Winterthur052/ 266 99 01www.landbote.ch

Datum: 16.06.2011

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Bericht Seite: 20/38

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als zu klein, will man sich das holen,worauf man glaubt Anspruch zu ha-ben», so van Heerden

Der Schweizer agiert alleineFür die Studie sind 348 Fälle von Wirt-schaftsbetrug in 69 Ländern analy-siert worden. Der typische Betrügerist männlich, zwischen 36 und 45 Jahrealt, arbeitet im Finanz- oder Einkaufs-bereich eines Unternehmens, ist CEO,Manager oder Verwaltungsrat undarbeitet mit externen Gehilfen.

Der Schweizer Wirtschaftskriminel-le weicht vom globalen Durchschnittteilweise markant ab: So zieht er etwaden Alleingang vor (in 60 Prozent derFälle). Und während weltweit häufi-ger betrogen wird, um die Finanzzah-len der Unternehmergruppe entspre-chend den Erwartungen gestalten zukönnen, macht in der Schweiz die per-sönliche Gier und Bereicherungsab-sicht das Betrugsmotiv Nummer 1 aus(in 65 Prozent der Fälle).

In der Schweiz wurden vergangenesJahr gemäss Studie 52 UnternehmenOpfer eines Betruges. 365 Millionen

Viele Betrugsfälle fangen klein an.Mal mit einer fingierten Rechnungüber 10000 Franken. Und, falls dasfunktioniert, folgen weitere undder Betrag geht schnell einmal indie Millionen. Deshalb sei es wich-tig, Warnsignale schon früh zu be-merken, sagt John Ederer von derUnternehmensberatung KPMG.

Vertrauen und Kontrolle seienwichtig. Wichtig sei aber auch eingesundes Mass an Argwohn. Fahre

Franken sind ihnen dabei entgangen.«Die Dunkelziffer dürfte viel grössersein», sagte Anne van Heerden. Dennviele Delikte würden gar nicht erstentdeckt oder strafrechtlich nicht ver-folgt. Oft würden Deals abgeschlos-sen: Verpflichte sich der Betrüger, dasGeld zurückzuzahlen, verzichte eineFirma im Gegenzug auch schon malauf eine Anzeige.

Eine Entlassung reicht nichtFür Alexander Schuchter, dessenDoktorarbeit im kommenden Jahr pu-bliziert wird, ist dies der falsche Weg:«So wird das Problem nur kurzfristiggelöst.» Strukturen, etwa mangelhafteKontrollabläufe, würden so nicht an-gepasst und könnten in derselben Fir-ma weitere Betrugsfälle fördern.

Und in der Tat scheinen die Schwei-zer Unternehmen gemäss KPMG-Stu-die das Thema Wirtschaftskriminalitätnicht prioritär einzustufen: «Bei einerUmfrage haben 66 Prozent der ange-fragten Firmen gesagt, dass sie nichtdaran glauben, dass sie Opfer eines Be-truges werden», sagte John Ederer von

Keine Ferien für Betrügereiner aus dem unteren Managementplötzlich mit einer edlen Luxus-karosse vor, sollte man hellhörigwerden. Natürlich könnten sich vie-le ein tolles Auto leisten, natürlichsei dies allein noch kein Beweis, son-dern allenfalls ein Hinweis, so Ede-rer. «Aber wird später ein Millionen-betrug aufgedeckt, steht die Firma,die auf solche Fingerzeige nicht re-agiert hat, etwas blöd da.»

Tritt ein Mitarbeiter plötzlich do-

KPMG. «Aber: 73 Prozent derselben

Firmen haben uns informiert, dass siein den letzten drei Jahren durch Wirt-schaftsdelinquenz geschädigt wordenseien.» Auffallend ist laut Ederer auch,dass oft Warnsignale missachtet wür-den. Gemäss Studie gab es weltweit in50 Prozent der untersuchten Betrugs-fälle vorgängig Anzeichen ohne dassdie Geschäftsleitung daraufhin reagierthatte. Vor vier Jahren war dies nur in21 Prozent der Fälle so. John Edererführt dies unter anderem auf die Fi-nanzkrise zurück. «Es wurde überallgespart, wohl auch bei den internenKontrollen.»

Die befragten Betrüger könnensich gemäss Schuchter weitere Deliktenicht vorstellen. Nicht so sehr weil sieim Gefängnis sassen oder eine Geld-strafe bezahlen mussten. Sondern viel-mehr, weil ihre Reputation in der Ge-sellschaft, die ihnen so wichtig war, ge-sunken sei und weil ihre Familien starkunter ihrem Tun gelitten hätten.

minant auf und lässt keine Fragenzu, verweigert er einen Stellvertreteroder interessiert er sich über die Ge-bühr für einen speziellen Bereich derUnternehmensorganisation, könntedies ebenfalls ein Hinweis sein. Amauffälligsten seien aber die Präsenz-zeiten: «Ein Betrüger nimmt meistkeine Ferien.» Aus Angst, währendder Abwesenheit aufzufliegen. (og)

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Datum: 16.06.2011

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WIRTSCHAFTSBETRUG: DIE REGIONALEN TRENDSWachstum als Gefahr ren, sondern auf verstärkte politische In- Betrieb in der Fremde kontrollieren. Sie

In Indien sind gemäss der KPMG-Stu- itiativen (etwa im Bereich Korruption und bringen im Ableger nämlich nicht nur ihr

die internationalen Firmen einseitig auf Bestechung). Zudem sind auch durch die Wissen ein, sondern sie überwachen im

Wachstum des Geschäftsbetriebs fokus- institutionell eingerichteten Stellen für Sinne ihres Stammhauses die finanziel-siert. Der Ausbau des Backoffices wird Whistleblower mehr Fälle publik gewor- le Situation.vernachlässigt so fehlt es an Personen, den. Diese dürften auch präventiv wir- Familienfirmen im Fokusdie im Betrugsfall Warnsignale wahrneh- ken da Unstimmigkeiten einfach und In der Schweiz hat die Unternehmens-men könnten. Um sprachliche und kul- rasch gemeldet werden können, ist die beratung KPMG einen neuen Trend fest-turelle Hürden zu überwinden, seien zu- Gefahr aufzufliegen für den potenziellen gestellt. In den Fokus der Wirtschafts-dem im gesamten asiatischen Raum die Betrüger grösser geworden. kriminellen geraten zusehends auch Fa-Firmen dazu übergegangen, die lokalen Whistleblower von aussen milienbetriebe. Die Betrugsfälle gehenManagements mit Einheimischen zu be- Viele multinationale Unternehmen sind dabei selten von Familienmitgliedernsetzen. Dadurch könnten unterschiedli- dazu übergegangen, ausländische Mit- aus, involviert sind Angestellte und Ex-che Unternehmenskulturen und Lücken arbeiter, die sich im Mutterhaus über terne. Am häufigsten sind Fälle, in denenim Kontrollsystem entstehen. Jahre hinweg bewährt haben, in ihren KMUs durch gefälschte Rechnungen ge-Interne Whistleblower Ablegern in Zentral- und Osteuropa zu schädigt werden. So verlangen Zulie-In den USA werden laut der Studie mehr installieren. Diese übernehmen dort ferer etwa Geld für Waren, die sie gar

Betrugsfälle aufgedeckt als in früheren meist Schlüsselstellen im Finanzbe- nicht geliefert haben, oder liefern sie zu

Jahren. Dies ist nicht auf eine Zunahme reich. Gemäss Studie agieren sie dabei einem überhöhten Preis aus. Der inter-der Wirtschaftskriminalität zurückzufüh- auch als eine Art Whistleblower, die den ne Mittäter erhält eine Provision. (og)

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Bericht Seite: 22/38

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Wenn viel Vertrauender Firma schadetEs sind meist Angestellte desoberen Managements, dieihrem Unternehmen Schadenzufügen. KPMG hat in einerStudie zur Wirtschaftskrimina-lität Täterprofile und Motiveuntersucht.

Von Sabrina Dünnenberger

Zürich. Er ist Manager, männlich, immittleren Alter, meist in einer Finanz-funktion tätig und arbeitet seit mehrals zehn Jahren bei der gleichen Fir-ma. Das ist das Profil eines typischenWirtschaftsdelinquenten, wie es dasBeratungsunternehmen KPMG in sei-ner jüngsten Studie zurWirtschafts-kriminalität zeichnet. 348 Fälle vonWirtschaftsbetrug in 69 Ländern hatKPMG untersucht. Gemäss Studie ar-beiten dieTäter zudem meist imTeam.«Ein typischer Betrüger versucht et-wa, Geld von inaktiven Konten zutransferieren. Dieses Vorgehen be-dingt oftmals eine Zusammenarbeitmit externen oder internenVerbünde-teil», sagt Anne van Heerden vonKPMG Schweiz.

Im Vergleich zur letzten Untersu-

chung von 2007 hat der Täteranteilauf allen Führungsebenen ausser imoberen Kader abgenommen DiesenRückgang erklärt Van Heerden damit,

FRAGE DES TAGES

Häufig schädigen höhergestellte Managerihr Unternehmen - überrascht Sie das?Stimmen Sie heute bis 18 Uhr ab im Internetunter: www.suedostschweiz.ch.

dass in den letzten Jahren auf dieserEbene vermehrt Programme zur Be-trugsbekämpfung eingeführt wurden.Dennoch ereigneten sich auf dieserStufe nach wie vor die meisten Be-trugsfälle. Allerdings ist auch der Tä-teranteil in der obersten Führungs-ebene deutlich gestiegen.

Meist langjährige AngestellteSo unterschiedlich die Motive für einekriminelleTat in einer Firma sind, wei-sen sie meist gemeinsame Muster auf.Entscheidend für die Tat ist, dass eseine Gelegenheit gibt. Das hat HSG-Doktorand Alexander Schuchter beider Arbeit zu seiner Dissertation zumThema Wirtschaftskriminalität festge-stellt. Oftmals stünden die Täter unter

finanziellem Druck aufgrund einesexzessiven Lebensstils, oder sie fühl-ten sich unterbezahlt. Begünstigt wer-de Wirtschaftsdelinquenz durch feh-lendeWertschätzung, aber auch durchzu viel Vertrauen. Das erklärt auch,dass jedes dritte Delikt von Angestell-ten begangen wird, die über zehn Jah-re im Unternehmen arbeiten. Sie ha-ben mehr Handlungsspielraum undwerden weniger kontrolliert.

Warnsignale werden ignoriertBei über der Hälfte der Fälle sind lautStudie Warnsignale vorhanden. Diesesind etwa die Verweigerung von Fe-rien, auffällige Verhaltensänderun-gen, aussergewöhnliche Grosszügig-keit, grosses Interesse an spezifischenUnternehmensabläufen oder fehlen-de sowie unvollständige Dokumente.Das Problem ist laut KPMG, dass die-seWarnsignale nur selten Folgen nachsich ziehen. Das erklärt auch, weshalbdie Dunkelziffer bei der Wirtschafts-kriminalität hoch ist. Offiziell wurden2010 in der Schweiz 52 Unternehmenvon Wirtschaftskriminalität betroffen.Die Deliktsumme beträgt gesamthaft365 Millionen Franken.

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KPMG / neutral

Bericht Seite: 23/38

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DÉLITS ÉCONOMIQUES

Le profil du criminel en col blancLe criminel en col blanc type affiche le profil d'un hommeâgé entre 36 et 55 ans et occupe une position moyenne àsupérieure dans la hiérarchie. Selon une étude de KPMG,il est au bénéfice de dix ans d'ancienneté et agit dans laplupart des cas pour s'enrichir. ATS

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Bericht Seite: 24/38

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Wie Finanzkriminelle tickenVon Sabrina Dünnenberger

Es sind meist Angestellte desoberen Managements, dieihrem Unternehmen Schadenzufügen. KPMG hat in einerweltweiten Studie zur Wirt-schaftskriminalität die Täter-profile und Motive untersucht.Zürich. Er ist Manager, männlich, immittleren Alter, meist in einer Finanz-funktion tätig und arbeitet seit mehrals zehn Jahren bei der gleichen Firma.Das ist das Profil eines typischen Wirt-schaftsdelinquenten, wie es das Bera-tungsunternehmen KPMG in seinerjüngsten Studie zur Wirtschaftskrimi-nalität zeichnet. 348 Fälle von Wirt-schaftsbetrug in 69 Ländern hatKPMG untersucht. Gemäss Studie ar-beiten die Täter zudem meist im Team.«Ein typischer Betrüger versucht et-wa, Geld von inaktiven Konten zutransferieren. Dieses Vorgehen be-dingt oftmals eine Zusammenarbeit

mit externen oder internen Verbünde-ten», sagt Arme van Heerden vonKPMG Schweiz. Im Vergleich zur letz-ten Untersuchung von 2007 hat derTäteranteil auf allen Führungsebenen,ausser im oberen Kader, abgenom-men. Diesen Rückgang erklärt VanHeerden damit, dass in den letztenJahren auf dieser Ebene vermehrt Pro-gramme zur Betrugsbekämpfung ein-geführt wurden. Dennoch ereignetensich auf dieser Stufe nach wie vor diemeisten Betrugsfälle. Allerdings istauch der Täteranteil in der oberstenFührungsebene deutlich gestiegen.

So unterschiedlich die Motive für ei-ne kriminelle Tat in einer Firma sind,weisen sie meist gemeinsame Musterauf. Entscheidend für die Tat ist, dasses eine Gelegenheit gibt. Das hat HSG-Doktorand Alexander Schuchter beider Arbeit zu seiner Dissertation zumThema Wirtschaftskriminalität festge-stellt (siehe Interview). Oftmals stün-den dieTäter unter finanziellem Druckaufgrund eines exzessiven Lebensstils

Verdächtig: Männlich, mittleren Alters und langjähriger Mitarbeiter. Bild Keystone

oder sie fühlten sich unterbezahlt. Be-günstigt werde Wirtschaftsdelinquenzdurch fehlende Wertschätzung, aberauch durch zu viel Vertrauen. Das er-klärt auch, dass jedes dritte Delikt vonAngestellten begangen wird, die überzehn Jahre im Unternehmen arbeiten.Sie haben mehr Handlungsspielraumund werden weniger kontrolliert. Beiüber der Hälfte der Fälle sind laut Stu-die Warnsignale vorhanden. Diesesind etwa die Verweigerung von Fe-rien, auffällige Verhaltensänderungen,aussergewöhnliche Grosszügigkeit,grosses Interesse an spezifischen Un-ternehmensabläufen oder fehlende so-wie unvollständige Dokumente. DasProblem ist laut KPMG, dass dieseWarnsignale nur selten Folgen nachsich ziehen. Das erklärt auch, weshalbdie Dunkelziffer hoch ist. Offiziell wa-ren 2010 in der Schweiz 52 Unterneh-men von Wirtschaftskriminalität be-troffen. Die Deliktsumme beträgt 365Millionen Franken.

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Wirtschaftskriminelle ohne ReueSTUDIE Wie werden ausTopmanagern Betrüger? Ein

Doktorand hat Straftäter ausder Teppichetage zu ihrenMotiven befragt.

SVEN [email protected]

«Wenn man einmal drin ist, dann istes schwierig auszubrechen. Dann ha-ben sie pro Jahr zwei Wochen starkesHerzklopfen, wenn die Revisionsgesell-schaft da ist, und dann geht es wiederweiter», sagt ein krimineller Topmana-ger. Solche Aussagen seien typisch,meint Alexander Schuchter.

Der HSG-Doktorand hat im Rahmenseiner Dissertation mit 13 Wirtschafts-delinquenten gesprochen, 9 davonstammen aus der Schweiz. Der Rest ausÖsterreich. Viele aus der Finanzbran-che. Und allesamt sind sie rechtskräftigverurteilt. Die Deliktsumme beläuftsich auf Beträge im zwei- und dreistelli-gen Millionenbereich. Ihr Strafmassliegt zwischen bedingt und zehn JahrenGefängnis. Schwere Jungs und wenigeFrauen.

Weshalb geraten Spitzenkräfte auf dieschiefe Bahn? «Gier und Geld spielensicher eine wichtige Rolle, aber derentscheidende Faktor ist der Druck»,hat der Sozial- und Wirtschaftswissen-schaftler herausgefunden. Und zwarder innere wie der äussere. Letztererwird bestimmt durch die Führungs-und Unternehmenskultur: «Es geht nur

um Zahlen und Zielerreichung. Wieman sie macht, spielt keine Rolle»,erklärt einer der Straftäter offenmutigim Gespräch.

Kein Platz für Moral und EthikOftmals setzen sich die Manager inihrem ausgeprägten Streben nach ge-sellschaftlicher Anerkennung aber auchselber unter Zugzwang. Schuchternennt sie deshalb «Boundless-Mana-ger», masslose Führungskräfte. Auf Teu-fel komm raus bewundert zu werden,trübt über die Jahre ihr Unrechtsbe-wusstsein. «Die Absicht einer Tat warnicht da», sagt einer lapidar. Und ohneMotiv mangelt es auch am Schuldbe-wusstsein. Moral und Ethik seien keineThemen gewesen, zu denen sich diedelinquenten Topshots geäussert hät-ten, sagt der Doktorand.

Wiedereinstieg fällt leichtDas Bereuen des eigenen Fehlverhal-tens beschränkt sich in der Regel aufden erlittenen Prestigeverlust und dienegativen Konsequenzen für Familieund Angehörige. Wirklich grämen müs-sen sich die 13 Straftäter sowieso nicht,denn der soziale Abstieg hat nichtstattgefunden: Die Gesprächspartnerseien zumeist wieder in derselbenBranche tätig, sagt der Studienverfasser.Einige hätten sich selbstständig ge-macht, bei anderen wisse der heutige

«Gier und Geldspielen sicher eine

wichtige Rolle, aberder entscheidende

Faktor ist der Druck.»ALEXANDER SCHUCHTER,

DOKTORAND

Arbeitgeber nichts von der kriminellenVergangenheit.

Der Lebenslauf wird um die Zeit imGefängnis frisiert. Und häufig ist mitdem Wiedereinstieg in den ange-stammten Beruf auch ein Wechsel desWohnortes verbunden. Schuchterkommt deshalb zum Schluss: «DieChancen, als Wirtschaftskrimineller einComeback zu geben, stehen gut.»

Um an seine Gesprächspartner zukommen, hat der Doktorand eine Och-sentour hinter sich. Oftmals scheitertdie direkte Kontaktaufnahme. Besserklappt es über Mittelsmänner: Bekann-te, Rechtsanwälte, Richter. Kommt esschliesslich zum Treffen, überrascht dasGegenüber. «Die Leute waren in derRegel sehr höflich und vertrauenerwe-ckend.» Einmal sei er sogar bekochtworden. «Übermässige soziale Er-wünschtheit» heisst das im Fachjargon.

Der Wirtschaftskriminelle ist genuss-wie geltungssüchtig, verliert rasch dieBeherrschung und legt eine ausgepräg-te Gewissenhaftigkeit an den Tag. Visio-nen werden risikofreudig und zielstre-big in die Tat umgesetzt. «Persönlich-keitseigenschaften, die sich zu 99 Pro-zent mit jenen erfolgreicher und ge-suchter Manager decken», erklärtSchuchter.

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Motiv: PersönlicheBereicherung

ZÜRICH mis. Der Buchprüfer KPMGhat parallel eine Studie zu Wirt-schaftskriminalität durchgeführt,die gestern in Zürich vorgestelltwurde. Auf Basis von 17 Betrugs-fällen erstellten sie ein Profil desSchweizer Wirtschaftskriminellen.Der typische Täter ist männlich,zwischen 36 und 55 Jahre alt, sitztin der Geschäftsleitung und nimmtdort eine Führungsfunktion in denFinanzen wahr. Seit über fünfJahren arbeitet der Delinquent fürdie Firma. Sein Delikt begeht er zu60 Prozent allein. Und in über zweiDritteln der Fälle nutzt der Topma-nager die mangelhaften internenKontrollen aus. Der grösste Teil derBetrugsfälle entfällt auf die Verun-treuung von Geldern, nämlich zu60 Prozent. Und in der Mehrzahlist das Motiv die persönliche Berei-cherung. Dieser Wert liegt überdem globalen Schnitt. KPMG liess348 Fälle in 69 Ländern untersu-chen.

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Bericht Seite: 30/38

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Manager betrugenihre Firma häufigerZÜRICH. Der typische Wirt-schaftsbetrüger ist männlich, zwi-schen 36 und 45 Jahre alt, seit lan-gem in der selben Firma tätig undin einer Kaderposition. Das zeigteine internationale Studie der Be-ratungsfirma KPMG. Die Täterbleiben trotz Warnsignalen langeZeit unerkannt. (du)

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Bericht Seite: 32/38

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SABRINA DÜNNENBERGER

ZÜRICH. Er ist Manager, männ-lich, im mittleren Alter, meist ineiner Finanzfunktion tätig undarbeitet seit mehr als zehn Jahrenbei der gleichen Firma. Das istdas Profil eines typischen Wirt-schaftsdelinquenten, wie es dasBeratungsunternehmen KPMG inseiner jüngsten Studie zur Wirt-schaftskriminalität zeichnet. 348Fälle von Wirtschaftsbetrug in 69Ländern hat KPMG untersucht.Gemäss Studie, arbeiten die Täterzudem meist im Team. «Ein typi-

scher Betrüger versucht etwa,Geld von inaktiven Konten zutransferieren. Dieses Vorgehenbedingt oftmals eine Zusammen-arbeit mit externen oder internenVerbündeten», sagt Anne vanHeerden von KPMG Schweiz.

Im Vergleich zur letzten Unter-suchung von 2007 hat der Täter-anteil in allen Führungsebenenausser im oberen Managementzugenommen (siehe Grafik). DenRückgang im oberen Manage-ment erklärt Van Heerden damit,dass dort in den letzten Jahrenvermehrt Programme zur Be-

trugsbekämpfung stattfanden.Dennoch ereigneten sich auf die-ser Stufe nach wie vor die meistenBetrugsfälle. Jedoch ist auch derTäteranteil in der obersten Füh-rungsebene deutlich gestiegen.

Meist langjährige Angestellte

So unterschiedlich die Motivefür eine kriminelle Tat in einerFirma sind, weisen sie meist ge-meinsame Muster auf. Entschei-dend für die Tat ist, dass es eineGelegenheit gibt. Das hat HSG-Doktorand Alexander Schuchterbei der Arbeit zu seiner Disser-

Bild otolia/Elvvynn

Kriminelle Angestellte. Die Veruntreuung von Vermögenswerten ist das häufigste Wirtschaftsdelikt in der Schweiz.

Wenn viel Vertrauen schadetEs sind meist Angestellte des oberen Managements, die ihrem Unternehmen Schaden zufügen.KPMG hat in einer Studie zur Wirtschaftskriminalität Täterprofile und Motive untersucht.

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tation zum Thema Wirtschafts-kriminalität festgestellt (siehe Be-fragt). Oftmals stünden die Täterunter finanziellem Druck auf-grund eines exzessiven Lebens-stils oder sie fühlten sich unter-bezahlt. Begünstigt werde Wirt-schaftsdelinquenz durch fehlen-de Wertschätzung, aber auchdurch zu viel Vertrauen. Das er-klärt auch, dass jedes dritte Deliktvon Angestellten begangen wird,die über zehn Jahre im Unterneh-men arbeiten. Sie haben mehrHandlungsspielraum und werdenweniger kontrolliert.

Warnsignale werden ignoriertBei über der Hälfte der Fälle

sind laut Studie Warnsignale vorhanden. Diese sind etwa die Ver-weigerung von Ferien, auffälligeVerhaltensänderungen, ausserge-wöhnliche Grosszügigkeit, gros-ses Interesse an spezifischen Un-ternehmensabläufen oder fehlen-de sowie unvollständige Doku-mente. Das Problem ist lautKPMG, dass diese Warnsignalenur selten Folgen nach sich zie-hen. Das erklärt auch, weshalbdie Dunkelziffer bei der Wirt-schaftskriminalität hoch ist. Offi-ziell wurden 2010 in der Schweiz52 Unternehmen von Wirt-schaftskriminalität betroffen. DieDeliktsumme beträgt gesamthaft365 Mio. Franken.

18

Täteranteilin Prozent

26129

18

1. 2. 3. 4.

GL- und VR-MitgliederOberes ManagementManagementAngestellte

49 Erhebung 2007Erhebung 2011

wirtschaft

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Criminalité

Une récente étude établitle profil type du fraudeurEn Suisse,la délinquance encol blanc provoquedes pertes annuellesestimées à8 milliards de francsOlivier Wurlod«Mieux vaut prévenir que guérir.»Généralement employé dans lecadre médical, cet adage peuts'appliquer à la criminalité écono-mique. Mais pour y parvenir, il estnécessaire d'avoir un profil du dé-linquant en col blanc. La cellulede KPMG (réseau mondial deprestations de services d'audit,fiscaux et de conseil) en charge decette question depuis une dizained'années a présenté hier sonétude établissant le profil moyendu fraudeur du XXIe siècle. Pour yparvenir, les experts de l'auditeuront étudié près de 350 cas defraudes dans 69 pays.«Triangle de la fraude»Première constatation: 80% desemployés pourraient commettreune fraude, même si 20% seule-ment sont véritablement malhon-nêtes. Les autres 60% nécessitentle plus souvent le regroupementde trois éléments: la motivation,l'opportunité et la rationalisation.Une fois ce «triangle de la fraude»réuni, la tentation serait alors trop

forte pour six employés sur dix.Une fois cette règle générale édi-fiée, les spécialistes de KPMG ontétabli un profil type du fraudeur.«Il est de sexe masculin et travailledepuis plusieurs années dansl'entreprise», précise la sociétéd'audit dans son étude. A ces élé-ments, il faut ajouter son posteau sein de la société, puisque82% des fraudes sont commisespar des cadres supérieurs (voirinfographie ci-dessus).

Le secteur de la finance est par-ticulièrement fécond en criminelsen col blanc. «Ils sont moinscontrôlés et ont accès à des méca-nismes financiers adéquats», ex-plique Philippe Fleury, à la tête del'équipe de recherches sur lecrime économique de KPMG.Nouvelles tendancesLes cas étudiés ces dernières an-nées ont enfin montré de nouvel-les tendances, dont la rapidecroissance d'une criminalitééconomique féminine. Signe del'évolution professionnelle desfemmes, cette tendance démon-tre toutefois qu'elles finissent paradopter le même comportementprofessionnel que les hommes.

En ce qui concerne la Suisse, leprofil du criminel économiquehelvétique est quasi identique auxautres. Sa seule particularité est,dans plus de la moitié des cas, decontinuer à agir seul. Dans lesautres nations, c'est le contraire,

puisque les cas de collusion onttendance à se multiplier. «Le frau-deur typique tente par exemplede transférer des fonds sur descomptes inactifs. Or cette méthodeexige souvent une collaborationavec des complices», préciseAnne Van Heeren, directeur chezKPMG.

DétectionCertains comportements existentpour détecter des cas de fraudes,tels qu'une générosité exception-nelle, un style de vie excessif, unrefus de répondre aux questions,voire même une accumulationdes jours de vacances pour éviterqu'une arnaque ne soit décou-verte. Dans 56% des cas, des si-gnes annonciateurs existent pour-tant, mais n'entraînent aucuneconséquence ou se terminent parle simple licenciement de la per-sonne impliquée. Seuls 20% desaffaires se terminent au tribunal.

Ces dernières années, lesentreprises se sont dotées de codede conduite pour lutter contrecette criminalité ou de lignes in-ternes de dénonciations. Le pro-blème reste qu'elles manquent demoyens pour les rendre efficaces.Face à l'ampleur du phénomène,les sociétés sont relativement dé-munies. Tout cela sans compterle risque de commettre une er-reur et de voir la réputation deson entreprise écornée.

m"O.

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gus en plus de dirigeants deviennent fraudeurs

Back-office1%

0%Service juridique 2%

IEn % 15 20 3b 4b

Finances 36%

CEO

Service des ventes25%

32%

Service des achats 8%Statistique 2011 o9%

Conseild'administration

MW112% Statistique 2007 oo

Recherche 1%et développement M 3%

m"O.

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