Créez vos blogs et vos Podcasts:C’est simple!
Créez vos blogs et vos Podcasts:C’est simple!
Intervenant : Théodoros Thomas
20/04/2007 IFA 2
Web 2.0: Définition
transition du World Wide Web, à une plate-forme informatique à part entière, fournissant des applications Web aux utilisateurs(p.e. Google Desktop, Picasa , Calendar, Docs & Spreadsheets Adobe).
applications de bureau traditionnelles.
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Web 2.0: Présentation
« Web 1.0 » pages Web statiques (rarement mises à jour, voire jamais exemple).
« Web 1.5 » Web dynamique , (systèmes de gestion de contenu exemple). Web:outil de diffusion et de visualisation de données
« Web 2.0 » interaction entre les utilisateurs, création de réseaux sociaux rudimentaires. Les sites Web 2.0: points de présence/portails Web centrés sur l'utilisateur exemple.
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Web 2.0: Origine du terme
Dale Dougherty ( O'Reilly Media) Craig Cline (MediaLive) pour développer des idées pour une conférence conjointe.
• Web dans une période de renaissance,• changement de règles • évolution des business models.
Dougherty a donné des exemples au lieu de définitions : DoubleClick, c'était le Web 1.0. Google AdSense, c'est le Web 2.0., Ofoto, c'était
le Web 1.0. Flickr, c'est le Web 2.0. • et recruté John Battelle.
octobre 2004 :1ère conférence Web 2.0. octobre 2005 :2e conférence annuelle.
le Web en tant que plate-forme ; les données comme « connaissances implicites » ; les effets de réseau entraînés par une « architecture de participation », l'innovation comme l'assemblage de systèmes et de sites distribués et
indépendants ; des business models poids plume grâce à la syndication de contenus et de
services ; la fin du cycle d'adoption des logiciels (« la version bêta perpétuelle »).
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Web 2.0: Origine du terme
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Web 2.0: Origine du terme
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Web 2.0: Origine du terme
L'article fondateur de Tim O'Reilly : (en) [1] et (fr) [2]
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Web 2.0: Caractéristiques générales
La définition précise d'une application Web 2.0 est encore chaudement débattue. le site ne doit pas être un jardin secret, c'est-
à-dire qu'il doit être aisé de faire rentrer ou sortir des informations du système ;
l'utilisateur doit rester propriétaire de ses propres données ;
le site doit être entièrement utilisable à travers un navigateur standard ;
des aspects de réseaux sociaux.
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Web 2.0: Technologies
L'infrastructure complexe et changeante, les logiciels de serveur, la syndication de contenu, les protocoles de messagerie, des standards de navigation, et des applications clientes diverses (les plugins, ou greffons, non-standards sont
généralement évités). Ces approches complémentaires fournissent au Web 2.0 les
capacités de stockage, de création et de diffusion qui vont au-delà de ce qui était précédemment attendu des sites Web.
techniques : l'utilisation de CSS, un balisage XHTML sémantiquement valide les techniques d'applications riches telles qu'AJAX ; la syndication et l'agrégation de contenu RSS/Atom ; la catégorisation par étiquetage ; l'utilisation appropriée des URL ; une architecture REST ou des services Web XML.
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Web 2.0: RSS, Étiquetage
RSS, RDF et Atom, ( basés sur XML). (À cause du développement récent de cette tendance, beaucoup de ces
protocoles deviennent des standards de facto plutôt que des normes formelles). balises ou étiquettes ou mots clefs (tag en anglais)
pour améliorer la recherche sémantique. De plus en plus présentés sous la forme d'un nuage de mots clefs (Tag cloud en anglais). ( des petites expressions de texte qui décrivent un concept, sont
attachées à un concept et utilisées pour chercher dans un contenu, exemples typiques : un forum, un blog, un annuaire de blogs) et ce qui est plus important interconnecter les choses entre elles. C'est un peu comme dans un réseau de neurones : plus une étiquette est utilisée, plus le concept attaché à l'étiquette est présent et plus il a de poids. Plus les étiquettes sont présentes ensembles et plus les concepts attachés sont reliés entre eux.
Les balises peuvent inclure des Méta-éléments (éléments de métadonnées).
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Web 2.0: Étiquetage social, (folksonomie)
Utilisation des étiquettes, plus d'un système de pondération généralement défini par un facteur humain (le côté social) pour mettre en valeur les articles intéressants dans des systèmes d'informations, typiquement des répertoires de blogs (Social Bookmarking en anglais).
L'étiquetage permet un tri préalable des articles recherchés et soit le nombre de références, soit une note donnée par les lecteurs crée l'ordre
d'apparition des articles..
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Web 2.0: Quelques services Web 2.0
Wikipedia AdSense Del.icio.us Flickr (Yahoo!) LinkedFeed Orb Networks Netvibes (portail) StumbleUpon Technorati Last.fm Dailymotion YouTube Wikio Exalead (moteur de recherche) AgoraVox Etoody My Virtual OS (bureau virtuel) …
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Web 2.0: Distinction
Le 18 décembre 2006, Time Magazine les internautes la personnalité de l'année 2006.
Depuis sa création en 1926, c'est la 8ème fois que la personnalité de l'année n'est pas un grand homme mais un groupe de personnes. Le magazine américain a souhaité ainsi rendre hommage à la multitude d'internautes anonymes qui a pris le contrôle de l'information sur le Web grâce aux applications Web 2.0.
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Web 2.0: Critique
pas d'accord unanime, le terme désigne des choses radicalement différentes suivant les personnes. HTML bien formé et valide. Amazon.com, terme à la mode On peut aussi soutenir que le « Web 2.0 » ne
représente pas une nouvelle version du World Wide Web, mais comprend en fait uniquement des technologies et des concepts du « Web 1.0 ».
2e bulle Internet, affirmant que beaucoup de sociétés Web 2.0 tentaient de créer le même produit avec un manque manifeste de modèle économique.
services Web 2.0, ( Wikipédia), contenus dans le web original...
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A vous !
http://www.jkrowling.com/fr/thankyou.cfm
http://loiclemeur.com/http://www.download.com/http://www.in.gr/http://podemus.com/http://www.e-radio.gr/http://www.desirsdavenir.org/
index.php
La NétiquetteLa Nétiquette
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Nétiquette
Contraction de Net+ étiquette Guide pour les règles de conduite et de
politesse sur InternetRègle d’or:
Ce que vous ne feriez pas lors d'une conversation réelle face à votre correspondant, ne prenez pas l'Internet comme bouclier pour le faire.
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Nétiquette: Exemples :Courriel
Réponses: pas la totalité du message original pièces jointes < 1-1,5Μο spam ou un canular informatique (Hoaxbuster,
Urbanlegends, etc.) Utilisez (Bcc) MAJUSCULES = parole criée Ajoutez coordonnées (< 4 lignes) "long" dans le sujet(100 lignes) formats de date, les mesures et d'autres particularités
locales ne voyagent pas bien. Méfiez-vous surtout des sarcasmes.
*symboles pour mettre en valeur* tirets bas pour souligner. _Guerre et Paix_ est mon
livre favori longueur des lignes à 65 caractères sujet d'un message (refléter son contenu) Importance d'un message le justifie, répondez
rapidement et brièvement,ensuite plus longuement
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Nétiquette: Exemples: messagerie/Fora…
Pas de menaces!(lamers)Écrire conservateur Recevoir libéralPas de Flambées: Attendez le
lendemain pour répondre à un message passionné FLAME ON/OFF
smileys (sourillard) ton de la voixRetour Chariot (CR) à la fin de chaque
ligne2CRs fin du texteformule de fin
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Les 10 COMMANDEMENTS (Computer Ethics Institute)
1. Tu n'utiliseras point l'ordinateur pour causer un préjudice à autrui.
2. Tu ne t'immisceras point dans le travail informatique d'autrui.
3. Tu ne fouineras point dans les fichiers d'autrui.
4. Tu n'utiliseras point un ordinateur pour voler.
5. Tu n'utiliseras point un ordinateur pour porter un faux témoignage.
6. Tu n'utiliseras ou ne copieras un logiciel que tu n'as point payé.
7. Tu n'utiliseras point les ressources d'autrui sans autorisation.
8. Tu ne voleras pas la propriété intellectuelle d'autrui.
9. Tu réfléchiras aux conséquences de ton programme pour l'humanité.
10. Tu n'utiliseras l'ordinateur qu'avec considération et respect pour autrui.
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Sitographie
Network Working Group, 1995 . Règles de la netiquette [en ligne]. S.HambridgeIntel Corp. Disponible sur:
http://www.afa-france.com/netiquette.html[Consulté le 12/12/2006].
Évaluation des infosÉvaluation des infos
Thodoris Thomas
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Un savoir-faire: Choisir & Évaluer
Manque de précision et de fiabilité dès que l'on aborde des thèmes spécifiques.
Possibilité de perdre de vue l'objet de nos recherches.
capacité de discerner
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Pourquoi évaluer les ressources d’Internet
Pas de contrainte éditoriale/ accès libre
Tout internaute peut y déposer une information dont il est le seul garant
Risques quant à la valeur de vérité de l’information repérée
Il importe de bien vérifier la fiabilité et la validité d’une information, avant de la citer ou la diffuser.
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Quoi évaluer des sites Internet
La qualité du site d’accueil Le profil des auteurs du site La richesse et la validité du contenu
du site
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Quoi évaluer i. Qualité du site d’accueil (1)
Apprendre à « lire » l’adresse du site: S’agit –il d’un organisme reconnu, d’une université, d’une bibliothèque ?
– .biz – .com – .Net – .org – .gov – .edu – .gr
Chercher la page d’accueil (équivalent de la couverture du livre)
Appuyer sur Accueil ou Effacer la partie de l’adresse qui se trouve après le premier slash (/) et relancer le navigateur en activant la touche Entrée
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Quoi évaluer i. Qualité du site d’accueil (2)
Consulter la carte du site ou le sommaire
Voir si la page est datée et signéeExaminer si le site est mis à jour
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Quoi évaluer i. Qualité du site d’accueil (2)
Se renseigner surleur activité professionnelle
(chercheurs, enseignants…) leur établissement de rattachementleur activité scientifique : ont-ils des publications ? sont–ils cités dans des bibliographies
spécialisées?
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Quoi évaluer: ii. Profil des auteurs du site
Se renseigner sur leur activité professionnelle (chercheurs, enseignants…)
leur établissement de rattachementleur activité scientifique :
ont-ils des publications ? sont–ils cités dans des bibliographies
spécialisées?
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Quoi évaluer: iii.Richesse et validité du
contenu du site
Mise à jour des informations mentionnées s’agit-il d’informations en vigueur ou
obsolètes/périmées ?Caractère de l’information repérée
scientifique, vulgarisée…Profondeur du traitement de
l’informationPertinence des informations par
rapport à l’objectif du travail entrepris / à réaliser.
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Références bibliographiques
Berten F, 1998, Evaluer la validité des informations tirées du web, disponible sur http://users.skynet.be/ameurant/francinfo/validite/index.html
consulté le 05/12/06 Cerise, Évaluer des sites Internet,
disponible sur http://www.ext.upmc.fr/urfist/cerise/index.htm
consulté le 05/12/06 Villaume F, 2001, Grille d’évaluation d’un site web,
disponible sur http://webpublic.ac-dijon.fr/pedago/cdi/tpe/tpe-ana.htm
consulté le 05/12/06
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Activité 03: Évaluer des sites Internet
http://www.martinlutherking.org/
Le Texte numériqueLe Texte numérique
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Le Texte à l'écran
IntroductionPourquoi le Web est différent ?Comment définit-on la lisibilité ?Que sait-on du comportement de lect
ure à l'écran ?Et que sait-on de la lecture sur le Web
?Quelques recommandations
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Introduction
Peut-on mettre en ligne des contenus, sans les adapter à ce média particulier qu'est le Web ?
Lisibilitéaspects cognitifs liés à la lecture d'un
contenu (lire quoi et pour quoi faire).
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Pourquoi le Web est différent ?
Le texte est difficile à lire• les gens lisent plus
lentement, • comprennent moins bien,• se souviennent moins bien,
et donc • agissent moins en
conséquence. Les mots liés à d'autres
pages ou sources lier les pages journal imprimé, texte est divisé en 2 sections poursuivre lecture en page x.
Web mots images peuvent liés à
d'autres
Support résolutionécran de 96dpi
impression laser 600dpi,
page de magazine >2400dpi
•pages, •photos, •vidéos, •audio, •et une myriade d'autres choses.
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Lisibilité
savoir si un texte peut-être lu. (taille des caractères,le fond utilisé).
facilité de lecture associée au caractère «agréable» ou «plaisant» d'un contenu.
En anglais, Morin, Sallio et Kretz (1982), «legible» : lisibilité matérielle, typographique d'un texte. «readability» dimension intellectuelle et psychologique lié au processus de
compréhension d'un texte lu. En français, Timbal Duclaux (1985)
«lisable / inlisable» l'aspect intellectuel «lisible / illisible» l'aspect matériel
facilité de compréhension déterminée par le style et le vocabulaire utilisé.
Organisation explicite Le contenu Web devra donc être facile à
• lire, • explorer et • comprendre (Zibell, 2000).
Utilisabilité.
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Que sait-on du comportement de lecture à l'écran ? manières de lire O'Hara (1996)
la lecture «réceptive» (~écoute) la lecture «réflexive» (interruptions pour réflexion) le «parcours» (skim reading)( idée globale du
contenu.) le «balayage», (localiser une information.)
La plupart du temps ces activités de lecture sont accompagnées d'activités telles que :
le surlignage, la prise de note, le résumé, et la représentation graphique.
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Et que sait-on de la lecture sur le Web ?
Sur Web 79% lecture de type «balayage».
lecture sur écran plus lente de 25%.les internautes n’aiment pas les
pages longues.(p.ex. 1, 2)contenus
courts et bien organisés,p.ex. 4,5
l'information importante présentée en haut des pages. p.ex. 3
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Quelques recommandations
clair Pertinent bref (la moitié moins de mots qu'un texte imprimé. )
Pas de mots superflus, phrases courtes et simples, 1 idée / paragraphe, sous-titres
• clairs, • explicites et • pertinents • de vue d'ensemble du contenu,
Mots/ phrases importants sous forme de listes à puces. «balayable» (scanability) et lisible (readability)
information importante en début des phrases et les phrases importantes en début de paragraphes,
terme le plus court possible, d'éviter les périphrases, d'utiliser la forme active (et non passive).
cohérent sans erreurs d'une profondeur limitée (pas plus de 4 niveaux de profondeur sur le
Web.)
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Quelques recommandations
Par ailleurs, l'application des recommandations suivantes devraient aussi augmenter la qualité des pages Web (Leulier, Bastien, & Scapin, 1998).
style italique est moins lisible que le style «normal»
minuscules plus faciles à lire qu’en capitales.
Le contraste texte/fond doit être soutenu, mais on évitera les couleurs complémentaires.
Pas plus de 3 polices de caractères.
Les lignes de texte entre 40 et 70 caractères, < 50.
Le texte clignotant doit être évité.
L' « underscore » '_' et le soulignement doivent être évités liens.
Le texte ne doit pas défiler.
« Faites ce que je dis, pas ce que je fais... ;-) »
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Pour en savoir davantage...
Dillon, A. (1992). Reading from paper versus screens: a critical review of the empirical literature. Ergonomics, 35, 1297-1326.
Gould, J. D., Alfaro, L., Barnes, V., Finn, R., Grischowky, N., Minuto, A., & Salaun, J. (1987). Reading is slower from CRT displays than from paper: attempts to isolate a single variable explanation. Human Factors, 29, 269-299.
Haas, C. (1992). Writing technology: studies on the materiality of literacy. Mahwah, NJ: Erlbaum.
Henning, K. (2000, December 12). The seven qualities of highly successful Web. clickz.com. Disponible à l'adresse suivante: http://www.clickz.com/design/onl_edit/print.php/833861.
Henning, K. (2001, February 6). Writing for readers who scan. clickz.com. Disponible à l'adresse suivante: http://www.clickz.com/design/onl_edit/print.php/836621.
Kahn, P., & Lenk, K. (1998, november december). Principles of typography for user interface design. Interactions, V, 15-29.
Leulier, C., Bastien, J. M. C., & Scapin, D. L. (1998). Compilation of ergonomic guidelines for the design and evaluation of Web sites. Commerce & Interaction Report. Rocquencourt, France: Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique.
Morkes, J., & Nielsen, J. (1998). Applying writing guidelines to Web pages. In C.-M. Karat & A. Lund & J. Coutaz & J. Karat (Eds.), Proceedings of the Conference on Human Factors in Computing Systems. CHI'98 Summary (Los Angeles, CA, 18-23 April) (pp. 321-322), New York, NY, ACM.
Muter, P., Latremouille, S. A., Treunit, W. C., & Beam, P. (1982). Extended reading of continuous text on television screens. Human Factors, 24, 501-508.
Muter, P., & Maurutto, P. (1991). Reading and skimming from computer screens and books: The paperless office revisited? Behaviour and Information Technology, 10(4), 257-266.
Nielsen, J., Schemenaur, P. J., & Fox, J. (1998). Writing for the Web. Sun.com. Disponible à l'adresse suivante: http://www.sun.com/980713/webwriting/.
O'Hara, K. (1996). Towards a typology of reading goals (Technical Report EPC-1996-107). Cambridge: Rank Xerox Research Centre. (PDF, 56 Ko)
Zibell, K. (2000). Most readability principles apply to Web-site design. Klare's «Useful Information» is useful for Web designers. ACM Journal of Computer Documentation, 24(3), 141-147.
L’image numériqueL’image numérique
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Logiciels pour éditer des images
Adobe’s PhotoshopGimpIrfan Skiljan…
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Définitions
Une image numérique est composée de pixels.
Une image est définie par: le nombre de pixels qui la compose en largeur
et en hauteur (qui peut varier presque à l'infini),
l'étendu des teintes de gris ou des couleurs que peut prendre chaque pixel (on parle de dynamique de l'image).
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Images matricielles, images vectorielles
Images matricielles :une image numérique est en fait une matrice (un tableau) de pixels
images vectorielles :le principe est de représenter, autant que cela est possible de le faire, les données de l'images par des formes géométriques qui vont pouvoir être décrites d'un point de vue mathématique.
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Matricielles Vs vectorielles
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Et la résolution d'une image, qu'est ce que c'est ?
La résolution d'une image est définie par un nombre de pixels par unité de longueur de la structure à
numériser (classiquement en dpi (dots per inches) ou ppp (points par pouce)).
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Couleurs
Exemple d'une image numérisée avec 16 millions de couleurs:
Exemple d'une image numérisée avec 256 couleurs:
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Formats
JPEG Joint Photo Expert Group(ni transparence,ni animation)Représentation de prédilection: les images "naturelles" avec des grands dégradés de couleurs (transition douce de couleurs).
PNG Portable Network GraphicsTous usages et internet. (pas d’animation mais transparence)
GIF Compuserve Graphics256 couleurs avec palette. transparence et animation possibles. Format d'images typiquement à utiliser pour les logos, ou tout ce qui contient peu de nuances de couleurs et avec des transition de couleurs brusques.
TIFF Tag Image File Format ni transparence ni animation. Tous usages (sauf internet). Format non utilisé sur internet car trop volumineux.
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Tableau récapitulatif
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Banques d'images
Banques d'images générales Banque d'images libres / Service national du
Récit à l'éducation préscolaire Bidulz Clic Art École Fernand-Séguin - banque de photos Grand monde du préscolaire / Service nation
al du Récit à l'éducation préscolaire L'Encyclopédi@ FreeFoto.com Images Canada Images de Parcs Canada Un monde d'objets parlants PD Photo.org Photos d'ici et d'ailleurs Pics4Learning Picto Le Québec en images TV5 - Photos UVic's Language Teaching Clipart Library
Banques d'images thématiques ArboNet Art Images for College Teaching Atlas national du Canada - Cartes-éclair B.I.L. (Banque d'Images Libres) Biodidac Cartothèque / Chenelière Éducation Clefs pour l'histoire (Musée McCord) Côté Nature Guédelon - Chantier médiéval Hubble European Space Agency
Information Centre (HEIC) Images SVT Imagier Insect Drawings Gallery L'Envolée Les oiseaux du Québec Épicerie des jeunes - Banque d'images Map Collection - Perry-Catañeda Library Montréal : Municipalité et Métropole, 1920-
1960 NOAA Photo Library Photos pour SVT - Géographie et
géomorphologie Photothèque - CNRS
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Tutoriel : Réduire la taille d’une série d’images
Pour mettre des images sur le web, il est souvent nécessaire de réduire leur taille, aussi a-t-on souvent besoin de faire cette opération sur un lot de photos à la fois. C’est ce qu’on appelle un traitement par lot. Irfanview, le petit couteu suisse gratuit de la manipulation d’images, excelle dans cette tâche. Il permet de traiter des images localisées à plusieurs endroits différents, tout se passe dans une fenêtre très synthétique avec une page d’options nombreuses pour effectuer des traitements annexes comme l’accentuation, et une fenêtre de progression très claire montre des messages explicites en cas d’erreurs ou d’avertissements.
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1 - Menu Fichier
Lancer Irfanview, puis aller directement dans le menu "Fichier / Convertir/Renommer en série" (en anglais "File / Batch conversion/rename".
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2 - La fenêtre de conversion
Une nouvelle fenêtre intitulée "Conversion par lots" ("Batch conversion" en anglais) s’ouvre alors présentant tous les paramétrages nécessaires, avec bien entendu, en premier lieu, en haut, une liste déroulante pour accéder à tous ses disques durs ou lecteurs réseau, afin de choisir l’endroit où se trouvent les images à traiter.
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3 - Repérage des fichiers
Une fois le répertoire source localisé (étape 2), on peut choisir les images par une sélection multiple (touche MAJ pour une sélection de fichiers contigus, touche CTRL dans le cas contraire). Les images disponibles s’affichent dans le grand panneau supérieur droit, on peut bien sûr les afficher en vignettes ou les réordonner. Il est également possible de sélectionner directement un répertoire, auquel cas tout son contenu sera utilisé.
20/04/2007 IFA 58
4 - Sélection des fichiers
Le panneau supérieur droit horizontal matérialise les images depuis leur emplacement sur les disques durs, le panneau vertical à gauche représente les images qui seront choisies pour le traitement. Il faut donc faire passer de gauche vers la droite les images voulues. Pour cela, plusieurs solutions : le glisser-déplacer, ou bien les boutons "Ajouter" ou "Tout ajouter" ("Add" ou "Add all" en anglais).
20/04/2007 IFA 59
5 - Emplacement où enregistrer les fichiers produits
L’emplacement pour les fichiers générés se choisit en cliquant sur le bouton "Parcourir" ("Browse" en anglais) situé sous le panneau de droite. Une petite fenêtre de sélection apparaît alors, elle est intitulée "Rechercher un dossier". Une fois le dossier trouvé, s’il existe, cliquer sur OK pour faire disparaître la fenêtre. Plus simple, surtout si le dossier de destination n’existe pas encore, cliquer sur "Utiliser ce répertoire en sortie" ("Use this directory as output"), puis lorsque son chemin complet est affiché dans le champ texte juste à gauche de ce bouton, ajouter en fin de ligne le nom d’un nouveau répertoire après un slash "\". Ce qui aura pour effet, lors de l’exécution du traitement, de créer un sous-répertoire pour placer les nouveaux fichiers générés (le baptiser "500" par exemple si on réduit ses images à 500 pixels).
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6 - Définir les caractéristiques du traitement
Choisir en bas de page le format JPEG (taux de compression et autres détails en cliquant sur le bouton "Options"), puis cliquer sur le bouton "Options avancées" ("Set advanced options" en anglais (nécessite de cocher une case juste au-dessus du bouton). La nouvelle fenêtre qui s’ouvre porte le nom de "Réglage pour toutes les images" ("Settings for all images"). Ce qui nous intéresse ici, c’est la partie "Retaillage" ("Resize" / "Set new size"), qu’il faut cocher, et dans laquelle on doit saisir la nouvelle dimension (hauteur et largeur) en pixels pour déterminer quelle sera la largeur ou la hauteur maximum des images. Ne pas oublier, enfin, de cocher "Préserver les proportions" ("Preserve aspect ratio" en anglais) sous peine de se retrouver avec des images carrées déformées, et "Recalculer l’image (meilleur résultat)" ("Use resample function (better quality)" en anglais) sans quoi les images seront de mauvaise qualité. Enfin, pas inutile non plus, le filtre d’accentuation pour réhausser la netteté perdue dans le rééchantillonnage (panneau de droite), et la case "Réécrire sur les fichiers existants" ("Overwrite existing files" en anglais) si jamais on veut écraser les fichiers plutôt qu’en générer une nouvelle copie (attention, il faut dans ce cas en avoir une sauvegarde quelque part !) Une fois les paramètres choisis, cliquer sur Ok pour fermer cette fenêtre.
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7 - Lancer le traitement
Cliquer sur le bouton "Démarrer" en haut entre les deux panneaux. Une nouvelle fenêtre s’ouvre alors pour indiquer l’avancement de l’opération et les avertissements ou erreurs éventuelles (erreur la plus classique : on exécute le traitement pour la deuxième fois sur les mêmes fichiers et on a oublié de cocher la case pour réécrire sur les fichiers existants). La fermer en cliquant sur "Fin" lorsque c’est terminé : cette fenêtre de statut se retrouve alors sur le fond noir de la fenêtre initiale d’Irfanview et s’apelle "Conversion par lots terminée" lorsque le traitement est fini).