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IMPORTI lETERIE ri* ^ M Mjf f, Henri CÂüGSiSi idministratrar. , ® iD üanclid. V^loTulel. a o 3iT Mlai>ac3Dm- 3? a »» t ■»*• »fc f îSî& :;n::::;;n: f*: ot i’i»»»» y dm h» ta n u x d* poste. - L'oktaïUffleitt sst pmblo _d»wae«^^wrtiiiiM do plein d r ^ t s d e o p t i o n (fasii coabiira. ï •; .91, J - :. < i , ^ . SBfsrç.fs , , -1. .— r~ 33 Œ S ZUT S SI R X 3; 0 X7 .3 - 5 ^ o - ï » BfpiOi ,L^4Udam«s...;............... T . -r^ ;l F*hi dirarg.. I. SUCC-' mm ; 4.200 «mplalraa I S:'SS?2^dl°L”dÆ ,'‘ïï4; I '«CW jg (UF4)CT0IIT ibntetoa:.;r.;;:;: !|'>^srd^\7.v.".\“ v.v.v.i fi? “•‘* 3 ^ ;oif n*AOŒ»ie »Aa D^ii8e*fio*'jtil^88<njr^ l*" s8aito L a aoBoncM, Kclânws, «te., 'î*”^ dir«a«a«t 5 Romans. « roquinerie. stales iRustréés.^.j ollections. de Topographie ciers. lENNOlSl i\ftu»taisle. ■n 2HâRazil S' î«. SfâJÉéÜ^ lhasseui :s DE ICHAS! enTM. fX -BW-Vi df U 6»n}. PAIRES IONS rGHAIVTJ d a Go] Î,.JI MOI Lk les jours, ^ ktin à 8 h. dii sthesie BmUt, U è Oatobn i908 l'&ôianble lénatant .da l’Xon, H. a i. llvtPdriisût, ({Bi dÿ|iaadiitJa.BMB|U({as "mps'od laÿUûart da aot dingMuiti jgrd'bdl Hmieat rSa;di«/ k aia- Jiia <ra k meue. rieat iB naotrar, rtenrTirikble Js v , les «ans da b'ee. |g l« s ptiBU tais qa’ils soot, «diae 1l'nôi(l8i- 00 da' faob toorbillonoant' u Jdsraat da l’abîma. Aa lOrpIas, Toiei an B li tannn do Térité daglaote il 1m a aeteaadamnis : , Apréstrente-troia anrde Ripnbliqne, lliliWté est-allê entière? l’ègalité est- |d ls lattriiaisantet k tntaaiu ast-ella lèta et réconfortante 1 . cMièr, Il cet des libertés qui wotabsplament et déflnitiTeinent ao- UiiMs 1Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; tontle [ümds penf anssi publier les pins ialÜT Im choses, et emMisoiner l’âme dn ipla ! Ceci est iamseOtable. Les dm- _ _ i immondes s’étalent impunément ■dtasles mes, et les cbânsons plus on lisoiiis ordoriéres se d iû ta n t dans les lioncerts pnblimi, aux oreilles d’une po- " a complaisante et cbamée. Mais sf, ‘I le recaelUemant et k solitude, Iqnes femmes •pienses* et attristées _ jr la rie se rénnbnant pour prier et ■chuter des cantiques, on les a i^ te et 1 les chasse I on déckre que k u r ■steté même est immorale comme mtraire à k nature, et elles sont disr . inées anz appkudissements des dients de cabarete qui pullulent, quand '‘scoamts et les cluprilcssont fer- éi comme de mauvaie lieux !... On arrache aux pères de Ihmille la Irection de leurs enilmts, et, sous létexte d’unité morale, on leur refuse e droit de choisir l’.éducatcur préféré. i_vZ »a8,.Qa4ékndait .k.na_ns. ™té de i’éfiok; aujourd’hui, on dé- *'”6 les voiles. Une ligue de libres- ■enrs très illustres demandait ré- ment, avec Un 'cjrnlsme révoltant, t institnténis et aux institutrices de ™ iem desseins et dé tuer toute idée religieuse dans le coeur bégajant u pauvres enfants qui leur sont con- », et cek au nom de k liberté, pour "•mciper, comme ik dkent, l’âme hu- M l Triste énuincipation,^quo Celle purefuse le droit de choisir un jour r chemin, aux consciences diverses, l’âge où cette conscience et peut se décider dans k plé- Bitude de son intelligence ouverte et de B responsabilité ! Voilà où nous en sommes tombés, au pîiri de vue de k liberté! I Tontes celles qui avilissent le corps UJlespnt et dégradent le peuple sont Jpléréss; toutes celles qui hfA.^i 1 m populaire sont P. tentas ! Toute k poésie des' reli- W bs est bafouée; cette chanmmte catnce de k première enfance est kii remplace tout ce qui a *^d“l«ttte et douce de l’an- ^1 par un positivkme sans "ffoiste, et une morale civique créer, que nous ati- 1*® attendrons «ttjoiirg I rsla*Ltîî^ d’interrègne antre une mo- hu’oa « B8 •reut plus et une morale p espere, n en porte pas moins ses J e w citoyen de ses dévjpin, parce qu on ne s a i ^ t trop sur queUes .Macs s appnjer,, m ak seuement et. uniqae- ment de ses drrit», et alon on nerar- rête ^ n s ! Tous las hommes contdgaux , tons ont des -droHs énnx! C’est le triomphe de ItteaSté! Triompha jégi» timoj quand il s ^ j i de l’égalité deriint k loi, maU victoire dangereuse si elle donne à tous des exigences semblables, on dépit de k valeitir morale id diffé^ rente de chacuit; car alors ce'X’est ^us l’égalité, nuds le niŸeilemont, le nival-. lemeit idiot qui coupe tout Ce qui dé passe et tont ce qui s'élève, genre d’égalité bc^kle qui ne prend nais sance que dans les sentiments avilk de k jalousie et de l’envie, et aboutit fa talement A k haine et à k latte des classes! Comme nons voilà loin de k- troi sième -verth répnblicgiae, k -Praterr nité ! Celle-là est bien oUbliéel ffilepst ranpkeée pta unci vertu neuve^, k Solidarité, qui est d’essence so^^té"', car n < ^ voilà en plein sociadismè, et c’est la que forcément noue derions tomber! Mak ce secialkme su venin mortel serait resté encore à l’état de théorie révolutionnaire refoulée dans lés élûbs, si un ministre anssi éloquent que né- faste n’avait été le dierw er InT-même pour loi donner sa part dans le gouver nement ! 11 attachait ainsi aux flancs de k Républiquocette tunique de Nessus dentelle pourrait bien^rir un Jour; sa part sera lourde dkns l’histoire des leun de k Patrie ! Depuis lors, le socialkme règne en mMtre ; les minktres tremblent devant lui et. lui demandent ses ordres. Les progrès qu’il fait chaque jour dans notre malheureux pays sont «nmenses-: k désorgankation sociale marche à pas de géants, et le monde des a&ires est atterré ! à.u socialisme sont réservées 'touteé 1m fhveurs, l’administration tout en tière lui est soukke, et quand lemi- nktre auquel sont confléM k s desti nées de notre chère marine fronçaiie se rend, dans un port nülitaire, .ce ne sont pas les amiraux qu’il recherche, c’est le Clan des ouvriers du port qu’il passe en revue, au chant de k Carmagnolt, de venu le chant national, et il sUluq avec rMpect et attendrissement le drapeau Mtnpkçant k drapeau tricolore Combien de temps une pareilk orgie durera-t-elle? L’armée et k marine abandonnées aux influencM mortellM du collectivkme ! C’est en vain que le chef de l’Btat, pour lequel je professe pourtant .une grande sympathie et une grande' es time, prononce parfok ks paroks 1m plus contraires aux actM deson mink- tère ; c’Mt en vain que, dans ce minis- tèree même, 1 m attitudM sont diver ses : M. Chaumié prêchant k tolérance quand M. Combes prêche le combat ; k bloc qui nous dirige semble solide et toujours menaqant, parce qu’il est l’as- socktion honteuse des intérêts et des appétits. Ne désM(%ons pH, malgré 1 m tris tesses de l’heue présente 1 Comme di saient 1m anciens, les dieux .frappent de folie les hommes qu’il veulent per dre, et les hommes qui nous gouver nent sont frappés de folie ! Nous ne sommes pas très loin de l’abîme où ik nons mènent. Mak nous n’y tomberons pM. Albbkt P asissot, Sèsatiur de l’Eure. ABaSIa i r i* dAlaîWpubUqus «tvcBtrè é P«^ v«e«it ^ iUte»nini«»,. i. dart 1« 19» cbips'* Alisr, et b commàndimt b dMiioa d’Oràn ■Siuèiit r«l«vibide b u ri' foCctidnSÿb.gooVer- neAieât -vcüliaf ■ ntomber tttr éax b re»poiu«bUi« d u isddcbts d u . axd Orâiub. V r .... —A SaJat-Etienne. des consblbesmuaici- pauz sodaUstes^niâû appartenant àuM hac- 'tion diSéreiU« ,;.iSbceaaént tèdpraqBamaat d’avoir utilisé b s voitures de divers. Hrrieaa municipaux pour bireda b çontsebande. —,M. Jcurta a pranoncé à Tartes un dis cours politique. — Le congrès réveluttonnaire-sêdalisfé- de Raims stest aépàré dés'soèialistM oppoita- abtes et arrivistes -Oomaaa H K Jàurts et Millerand. et s’est déclaré pour l’entiézU li- IntU diasaociatian, . . — Le duc de Vallembrosa, père du mÉrutds la Mntfti terf iStfta a a rt au- ii&i...aul J? — Le tsar a t arrivé b 'Vienne. Dans les toasts échangés.' les deux mnpereurs ont ma nifesté leur ferme intention de rétaUir l’ordre et la paix en bacédobe. — M. Combes est i Msdrid, où U observa b plus strict incognito. —.Vne nouvalb crise minbtétiella a écbté en Hongrie. — La Turquie continue k mauer des troupes nombreuses an idacédoine. - — Le nouveau miids^e serbe est eonstitni. i F A IT DU jaV R séditi^Uke. : Qç pauvre M. qiaamié, tout da mftuel Notre mdhiMtreux mkkire èe l’instruction puhliqus gaffes sur gsffM, et Tdetios n’«n kkm psteser aucune Mns k aignskr à ITndieUn tion d e CM paissants amis. Ahl s tk grand mskre de i’Univermté avait suhilié-serait bien gardé,- à Tréguier,J d’engager :bk bandM dè l’ex-abbé ’Cbarbonnel'à crier autre chose que ta A.boa k cakttel-ttOih. puis ce jour, sm bits Cfr' geofés sCnt ' jalousement épiés, et VAeiUm nb pas de peine à en démontrer k caractère 4mi_ nemment clérical et réactionnaire. Jugez-en. M. Chaumié alk cm jours-ci à k célèbre abbaye du Mont-Saint-lCéhel. S’il l’eût fait en simpkdiiriquz,linb nt- rait eu rien à dire, bien qu’âlkr dât,» n«a abbbaye... enfin; imak C’est en pèlerin que le ministre du bloc a accompli ce voyage. La preuve f'La preuve, oh! elle est ken simple. M. le ministre de l’ins truction publique, A l’aller eu an retour, Je né sak, mangea « Tomektie de k mère Foulard >. Tout le monde va manger l’omelette de k nêfo Poidard. Tout k monde, mii;-sîais. un-ministre de M. Combes I.La mère Foulard est un cordon bleu remarqtaébk, mak e’ésttm détail; k mère Foulard est réaotionnaiTe! Un mi- 'nistre du bloc manger une omelette rkie- tibanaire I on va le Uoc, grand Dieul Le crime est d’autant plus impardon nable, qu’il existe dans k localité un autre bétel, ténu, affirme l’Acffo»., par un « bon républicain > et par dasi^. k marché maire de l’endroit, tandk que k mère Foulard n’est pM seulement ékekùr. Et n!aUes ^ voir là un féit sans impor tance; vous seriez un esprit superfleial. L’Action connaît Tbktolre et aussi k phi losophie; aux petitM causes 1 m grands . effets.-jQ^ omeletk. Monsieur, met k . R^ublique en danger. Le journal de Charbonnel k déclare : « Four Henri TV, Faris valait bien une merne; pour m ! Chaumié, k République ne vaut même pas une omelètte. s ' . Çest grmra,'vqus voyez. Il est bien diffiifilè de’satisbiih son h - :tomac et sep mM sikm du Uoc. i ^*5“ “23?^ sTmpose pour à SlêtâfS tW Ittiv ■Hporsut, im triçuigkgv e x u n i^ afin de .Jkn kdiqssr àm.cidbkeBce au Hoc, De ecetk bços, kujbStttioiuudres en voyage -ne seraitq>asm9 esés;à abserbss un p<d- ^ - b n cléiteal, on dM tmffes réaetion- Màiras. Btquebliseernement eheb etcU- -siaièias vmst-désonnak éke coniraink ’^ppttrtw dons k «Mopositiôn de leurs I %ténusi Non senleniMiiil leur budraévitér I <40 efaérger Tes estomacs, mais aussi èe H essor IM Cohribtioi». Déjà Ta .malgré sa couleur éearkk; a une alkre. féaiiffionnaÿedepukl’àtkntatdeMarsellle, . et k pomme d’amour, comme bn ditlà-lws, est. j’imagine sévèrement p n ^ k de k tat^e dé k id bqn combUk. Qù ' sait si k déplaraUé réputation de l’omeletk de k mère F^kkudnçvapas ffatkcher àl’ome ie tk en généraL D sûÉt souvent de k buk 4*mMMulJtidividu poar-dériimiorer touk itnidfenriBe. --FmiLCoiiBm. ■— î—---- : -------- 9-' .... . Nouvelles j ^ taires. -É’appel de ta elaaise. La dak. d’appel à l’activité dM hommM B’ayant q ^ u am é r d a lervrcé à aecam- pUr » d tv it« t« u èê-B«f«mimTffWhain. Lh hommH dMtifiéi àfaira trok ans de «nriee iwqpt mk en ronfa à k même sneceitiia qui dureront i On re iu n ro m que. cette affilée encete, imvwont àu régiment dans k .nieilkifiA dennt I^ffirkment,^ pi? kndùistfe'dé k guerrre. ‘■ '■■ 'v 'è I,e« demandesi de ceogés et de anreta.. A k suite d’une effimitaLestnlm minis- téTM de Tintérieur et deTsgnérre, tontH IH demandM. èmÉBànitds'iskisk en^aeti- vité de service bu deTtasrvlsiesKet territo- riauxrektlvm soit à dM congés de moisson on de vendange-, soit à'^M sursis pu dM ■de— ietneuta d*«^l, doivent être tm s- ia ^ ) p a r tautwita militaire aux préfek .dtargésidàfidro unoAaquék. I i t iaOfc üiusjeitrs^iMMsts; -en- truim ettant 551FP* d’avoir à‘'vdllpr à ce que le nombre ' dhqaunM logés dans k mémo' chambi^ f® ,dép«M.pas un maximum fixé d’après 1 h kis de Ihygiéne. A cet e f^ ,p n pnffik, dahs I h casemM, de k péÿkde, transitoire (pétTode qui £. S***?. l*,départ de la olalse ét . d c e n ^ par les CMipagniaa dM tabataülons, qpi ont Mssé d'exTs^dspuis k i» eetObn, eM ’envoi de. détachemenk dm» I m i i ^ , sont k s tenlM rossourcM à kdispositien iki eheb de corps. C’est ainsi que 1 m forts de VàndeuB et Ifeyot, avoisinant La Fère, seront occupés, dit-on, chaenn par nue compagnie du 87' et du 84'.. Le régiment de. nampiâ^a g déjà, on le sait, un bataillon dékehé à HUtte l-a «apsiMMlon de* 4k” battiillosMb CertsinH infoimotiuis ont représenté la suppression dM quatrièÎDM hatffilkns «wmeitoast étt’e surtout .^ ré e dans k f é p e n ^ lE it. Cm rensei|k>Mieak, af. firme k Francs miUtaire, sont inexacts, € Il y a, en effet, en knt 68 compagniM de quatrièmM bakillens supprimées cette année, à dater du i " octobre. Ce sent seu lement dM ^ k iè m M bataillons qui Béaient pm oomplékment formés, c’est- à^ite qui n’avaient qn’une, deux on trois ooiqwgniM. « I m régkunts régionaux doivent léga lement restw coBstttués à qnatro bamt- lons. Quant anx régimenb snbdivition- n a ^ , on n’A pM supprimé un seul qna- . triéme bataillon peur u ré^on de iR t. tant dans le 6* et le SO* corps qne dans k 7'corps. > CAISSES fftPéM IlE Voici, d’après k Jowmal ojleiel, k rô le ^ dM opnatiens dM CaissM d’^ r g n e ordinains, du’Sé au 30 septembre 4M3 : Dépôts de knds. 1.71fi.C01 33 Betrsits de f e n d s ........ 7.698.314 61 Excédents de retraits.. 8.870.415 38 txM m ie HtrtXét durjanntrau SOin. hmbtrim ; 151.e»8.04» te. 08. devgfrr an idoiner iM motifs et y joindra ’O ^ n e s piéCM,'rappork de poiice, lotiras dM=«aires,etc. Laéommunfoatwn da ces aux intéressés a donné lieu à divers * * " * “ ■»!• fflinistre de d admier tia préléts one cài6alai»-lw niceniiEaBdantde li^ ’ik seimeBt eoMultés par l’autorité milmsirer à éWettre im avk ansri succinct qne nossi^ par oni on par son, sans ja^ fSiro connaître I m motifs de leur décision. . .on. Le ooBfiaigeiit appelé. ^ réductions ducontingent uni va être keniwréont sUrtontpcrlé snr iMnjonrnés deux annéM de snitè.On eh apMtiffia 8.030 an lien de 8,000 kstuméeaprocédentM. Ponr les â p ^ é s ^ trois ans, on en ‘incorponra t iCoilO, àuTku de 4SA.OOO. ' La répartién dM' lÿpelés donné'; “I* “f dont W.000dans l’inhnterie dëugm,fi soodans ks cb^nrthffOO dans ks looavas,' MO danal infantKiecelonkle. Des Joldak Ænn an, l’artillerie de cam- iMbntteriM à ksbstteiks Aulenialet; 800 ; k trrin. antapt ,-1 h sections d’adminktra- tiiwet d’infinnerk, 4.600. - 4 a répartition dM aoldak de trois ans. # » t 88.000 npnr i’inknterie, vknt de subir dm moducations, . deeaem Ôn se souvient de k récente drcniaire du général André prescrivant uix chefe de -JiAJi^fll:4e la mutludité. la municipalité d’Augers, qui tknt à donner un témoigcage de sympaihk qnll convient de citer'en exemple à tontM I m manicipalitér de France, vkiil de décider •komistniction -d’un superbe boiei de k mutnaUtér q«i coûtera 460.000 franm et qui comprendra dix-huit sallM à Tnsage ^ DMtaccnsé d’avoirklS juillet dèrnim’, à tanlUrre. violé kjonneilphoBriBètf., âgée à» 4i ans, ri.d’avffif.k 48 Juillet, Pj attonW à k pudenr str k jenne Eogénie &. âfée de 8 ans. » A i® » r é ^ reconnaît k s L’andükn dn doeknr Charpeatiœ, mé decin à ^ i z , commk par k m d’kstrne- «kn ponr examiner k s f ^ t e s , amène o ie : disenssion entre le .déknsem', M'-Paisant. ' et k témoin,: diseusriim f r i rtOgo k pré sident à roprOititnT'inteiTefatoiro. : „ 3 P i* “ ®J*‘ f^® *• l«F«euronrdek Répobli^que de donnwlectnro dm divwsev dépodtions de M m l qnecrini-ei reenarit exactM. La déposition dm victimM et dM entras m oins néméne riOn de nonveun anx dé bats. Plnsienrs témoins-à déchargé sent ap- 2®'êL* i ^ L ”î seul Mt entendg; ckstle ®»fr®*» Bÿllarre, qui dft tott tabUm poudbk de Morri. -, M. Péan, dans on léqnisitoire pmdéré m tà ferme, fakd’aboréiëiart d n ^ a u sujet dM bons antécédents de l’accnsé. il ne s’oppose pM à Tadmisskn de 'drcons- tances atténuantM, nais il demade k puùition de faits que k consekBCé et k mwale condamnât < ' M* Faisffiit plaide brilkmmépt àvoo-nné chaleur coaimnmtive Tacfnittement. fcwrdwt. U inry.a r ^ M n non anx qoeations qui lui ont été MtéM. La Conr pronnee racqntttauit de mMe Aftalre Bflalot. Vol. CharksHalot, Agé de 34 ans, né à lél- moatkrs, Mt accusé d’avOir dévatisé,pen- t o t k nuit, k maison de M. Néarry.'qpti s’étati ÿienté. Argent, titrH, liira t:* épargne, ling^ bouteilles, tout avait été emporté. Im soupçons se nortérant snr Hakt ïsa femme avoua que le jour du vol il était rentré aveodM piècM d’or. Une perquisi tion à son domicile fit découvrir us otiets volés. Ua!ot fut arrêté après tme vive rétis- tanM anx geadanuM. Saiépffitôen mt déplnable; il a été plnsienrs fois cendunné. A l’andkuM il avoue I m frits qui lui sont reprocbés. I m sémoiaa coufirmenà leujfrils: et k - vaise réiatatimi de l’acensé. M. Devise, substitut, soutient l’acensit- BTOo^ d ^ d ^ t^ ”” ^ *** l’oidrodM Le jury ra^orte un vndiet afBtmatif ns tirconf*'— ----- - -onstaiuM atiénnaatH. Malot u t condamné à cinq mu ditnh eutto foreii. ' è—" 4 Coor 4 ’Asslses de l’Oise. 3* sxssiOE n i 4903 Audience du mardi 39 eeptembre. (suite) Présidence de H. le consellkr VASsim. Assusenrs, HH. Lax cnn et Picqdxi. Kinistérapublic : II. Pisn. - Afflalisk M om I. 1, ni» snsp^çn d’nne demi-henn 1audkcM M tjsp i^ à denx henru. , La dffùxiéie affâire de l’audience de ce jour MtJiqM à btUs clos. Il s’s^Akttenkts à k pndenr commis f ar un jeune homme de SO ans, snr dM llettm de 4Aans et de ans. L’inculpé, Albert-Vietw Mvei, âgé de 80 a ^ né à Aeyren-Huitien, durretier à Bonllarre, Mt on grand et n I ^ gaillard, aux traits commfffiu, an teint halé, à la mcnstaçbe naissante. Il n k jamak stibi de condamnation et ko'renseignements donnés snr loi ne sont pumanvais. ■ I ^ Audience du mercredi 30 eeptembre. Présidence de H. k eansriller Tassuai. Assesseurs : KM. L A u m et PiGoon. Ministère public : M. i Divisb, suHrituti GettejoUtnée est occupée par trois fd- pngnanfes aiU ru qni; tontdb k s kok, m sent passéu dans SenUsr^ Alftilre Dev|akwi.'_ Atkntitid(e|Hideiir; Le huis dm Mt pnmoncé. Léon DevitkM, âgé de 37 ans, Cb. menniskr, - drineniffirt à Croil, d’I. belge, Mt im petit bonhumM n Hnn, à k nibnskdmetmeievBBxliIrs. *!« pbai®»®ntieviveet intelligank;il<h . IklrinalingTO. Il Mt marié et péra de fintiBe-' B Ht aeensé d’avrir,k S jril]et.denikS, conùBis nn attentat à k pwkur s M s^^ lence sur une fillet» de 5 ans, AndSiOT;, dont 1 m parants sont vOiritadè Hiiaitoé. fiiktte 'qni t^rit l’hihitMe de'vritir c m Devfekw. ciaties; se dâterid é n a q ^ e S ^ ^ w â S î qu’on Ini reprocbe et «îtieod qu’fl est vic time de la veogeaneeM k f a n » Piffiis- Ht, k mère de l’CnfanL un eoBBUEB p t v o m II W D TRAGIQUE *«Aclt ds l anguis par I.-A. M ou. t® passait dans P voilure à la i.’,??!?®” ’ descendait T*tion,oùenrï èEst Lînneetconrait sa ^“jetante devant nn P*Pisr à lettres plumes et du ireî ae^diS? ”? fût-ce qu’une nw.. T‘^lA~6ilQ. Ja «ivvei •4Vi»a a ^ laéei i g ^ ie^hamp. ‘"’ti âe ptqàer et écrivit ®ilait : permeftajt sa main qni ; Non's èe «onveau*^« de vous ici. (Juelque S ? •auiedi^d^ j I*' ’®*’’®présence. 'Ûéâ cottvertef^ taillis, près de « A vous, ^lettre * ®’" ’ û£F*>srâaiii û 'w .'’i®™P®’^ de non- eUé-mèma aT60 T Honn, dtt-elle avec quelque hésitation, i ai a n sans vous consulter aujourd’hui... J espère que je n’ai pas eu tort. — "Voyons, dit-il en souriant, contez-moi cela. Il se jeta dans un fauteuil, tandis qu’elle se tenait debout auprès de lui. — C’est quelque chose que j’avais dans la tête depuu bien des annéM, et dont je n’al jamais osé vous parler. — Comment! c’est vous, Barbara, qui aviez quelque chose de caché pour moi ? — 'Vous souvenez-vous de cette nuit où Richard vint au < Bocage > déguisé I - — Quelle nuit f II est venu mus d’une fois la nuit sous un déguisement. ^ W ÿ IsabeUe a qmtté Est-Lj^ne, mumuia-t-elle en loi prenant la main tendrement Richa^ revint en courant, un instant après être parti, et u t avom rencontré cet insaisissable Thorn. Il décrivit ce geste ftanilier qui lui feit reje ter ses cheveux en arrière, sa mahiMaiinlia, son diamant Hillant au clair de lune. "Vous en souvenez-vous? — Oui, parfeitement. — ^ bien! ce mouvement, je me suis rappelé l’avoir vu faire à quelqu’un oui se 'SSK®* • ®a^Lynne à ce moment-là, et je m étonnais même que cela ne vous eût nos fWpé. Depuis cette nuit, je n’ai p rew e plus eu de doute que Thorn et sir Ludmn ne fassent une seuleM même personne. Biübm if’"***”* m’enavei-voHS rien dit, — Pouv^je alors vous parler da set ^ û ' v q u e Riehi^ ytol çouchér a E^Ljynii, ü me dit ftvoiF.Tii Thorn avec «t’iita lii d ^ T ! T** I® favru, j’ai renfer^ ®‘®“®®“ ®“‘»k regarda — Si vous lé Mviez, alors... dit-eUe. irffT. j® *'*5* aûûlsûèbnt d’apprendre la vé rité , je ne l’a'vais soupçonnée. — C’Mt ce qui in’éMnnait. — Je m’en étonne comme vous, mainte nant... ’ ' t,rL Hterronmit Barbara, j’ai écrit à Richardi D feat que noùs leTébajÉltions. — Je ne puis agir contre Levison. — Gomment, même pour Ri<ffiard ? Il la regarda de sen.ceQ lojûà et farme : J’a -^ rS liœ ^ L ? i®’“ ““ “ ®«» — Fardonnaz mH^ ft-elle^ tendrement. Men que 1 m lanuM fui vinssent anxiyenxf avez toujours raisbn. Mais eontmant attendli.'l{?cSJL*‘ ^ ‘"*“ ‘ “ k it d’abord — Oui, et Dieu nous inspirera, dit aveu- ferveur k jsnn» famine. : T Le soir, dans sa’chambre, Isabelle était assise seule, repassant dans son pauvre MrvMu malade ce qui lui était arrivé fiMuis trois ans, pensant à ce qu’effe étati mainte nant et à ce qu’eSe aundt pu être, hâsdue tobara entra. BUe venrit ÿhriârmePda ravis du docteur sur Tétat du petit garçon. n dit qualM pCumons sont gravement attaqués, BaBlSi Coam» tous ks médecks, ti na.rim vmüuma dirada pMitiL Cepen dant j’ai Hen vu qu’B y avait peu d’eap<£ est-ce qua vous cd ‘Vison? kabelie devintpoûfprâ-.' — Hod; répondB-âlkrefi’frènffilaui J’«®*kprarautre jour, vôtra contananoa lonqpa ja voua au pariaia, qua vous le connaissiM, ainsi vous ne lui avez jamais parlé ?:- — Non, Madame. ~ rt^?F''®®’?®^ktalité,madama'Vîne? Oui, j y crtns, répondit k malheureuse x6nim6. , ~7 ®*’ i® «voyais pas ; mais tom à rheure en repasaant dans mamé- m < ^ tous 1 m évéqementsde ms darniMM m é e s , cette eroyanoe a fini par sa ^ a s e r t o s mon esprit Baviez-vons que tavison qui a apporté le deufl et k honte dans cette maison ? Le deiiil;,k honte? ,7^ Cet hommh qui smpork le malheur d w te m a i ^ ^ M .^ ÿ ^ ^ C’Mt aUHi lui qui l’a Mperiè dans'lé mienne,'VCus i^orez sûrement,-fit-eife en haiBimt k voix, que j'aiUsu lin nulheureuX fIrèraprM- ,erii,.qni’Sinffire tok de nous depukbkmdes m m j .MjbienvSM sonffivmcM, CMcba- grips, çfest encoreXerkon qui en Mt k cme.^E)Cputez^uiét. j;;.-®®* lui fit, alors le récit minutieux que nous oennaksohs; ét termina en lui féirant la conviction: que Thorn et Levison néiiiienl qu’un seul et'mème perte)nuage,' fybelle avajt Mputé cm derniers m as, k bouche ouverte, les yeux démesu- '^ m en t ouverts, conune M;iéSai avait eu p ^ e a m ccmprendre le sans.; juir* leJCér s e f i f ^ n d a u r s o n wk avéchérrotir^;^^ Wffikk taviéoh,iihi «àkékkkqUHMtl nîiWpd Eu entendantt«s «ri; Bai n u tro «Ml «ftnpybw^ Paa posriblê, nu :dIt-éMe, eu ss'pffiieBantivshr 'CMmaksez,. ^ iw tutrlca AVait eu- la ten»s dhse reT Non, Madama, flt-rik, m ak votre réoit est si terrible qu’il'm’é émue andeiliier poiht: je vous demande bien ikrdon; ' — Alors vousnéTavM'ijamais vu? TTsAVS 1 «v a— ..XlT—. A_-_ «_ puuuiiu’ngr un pareil nomme; _ — Ah? 'VOUS avez bien raison, fltmadaihe ;C ari^ra^^.Iiuér« bien héureàx si ■- Bjubasa, mm ange, où ffiM-vaur, ,^’ A cette ^ Æérip, Bybara s’énlUt sur les eues de l’emouT retrouver son époux edo^ kkiant,- p«eilk à k statue de k Donl®»’ khW}sepupi^Üe£tamère déna turée, en fsce de Mfiè ammmâleinMt d’hor reur. Aina-cféirit finaias-ieintM, de'Sanr — l’àmour de CSrivlé. H contre wn coeur. Fais, se recnknt'hioup mieux k vm, il k eontâimk en sCmmnt i tenant et mère I ^ ' rr Oïd, mon frère, MHus ibéàrensa dos femmes. Si ce n’étaitk triste existenCairtia tu mènM, ma 'vie ne sHMtt-qtfna loneJom ^ai-un beau-baby qui va,avufrun an ; tum t snpérbe. Oh 1 jé'sus men hswénae t — Etmamere? ' —^Elk Va mieux depnk a eBé n’est pm instruite' de te nons âàdieron» que ta k voks., aux vatt.iejeté de Thorn. tusùr dS'la qn’rileC ùtk g ra in e conSoktion dé à cethngte près dé s’envoler — J é s iM k m k e ' H.t BAU, mtENn n’AIVAlitB EN MAIN Dansk soirée du edi^ quiisnivii 'jouriiéé,le vént tète , des Mute .tarqdiéM du m»; .Un honnns,-'v8ta:m à skvcin^ it'à k'pTo (tedtidl^enhiiaaait • 0 heure. P « w » gùOOB, t o u t _ ! »e "Vino, ,-vons le \

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Page 1: Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_10_04_MRC.pdfUiiMs 1 Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; tontle [ümds penf

IMPORTI

lETERIE

r i * ^ M

Mjf f,

H e n r i C Â ü G S iS i i d m i n i s t r a t r a r ., ® i D ü a n c l i d .

V ^ lo T u le l.

a o 3iT M lai> ac3D m - 3? a

» » t ■»*• » fc f î S î & : ; n : : : : ; ; n : f * :

ot i’i»»»» y dm h» tan u x d* poste. - L'oktaïUffleitt sst pmblo_d»wae«^^wrtiiiiM do plein d r ^ t s d e o p t i o n (fasii coabiira.

ï •; .91, J - :. < i , .S B f s r ç . f s

, ■ ■ , -1. .— r~33 Œ S ZUT S SI R X 3; 0 X7 .3

- 5 ^ o - ï » BfpiOi ,L^4Udam«s...;...............T. -r^ ;l F*hi dirarg..

I. SUCC-'mm ; 4.200 «mplalraa I S:'SS?2^dl°L”dÆ ,'‘ïï4; I '«CW jg (UF4)CT0IIT

ibntetoa:.;r.;;:;: ! | '> ^ s rd ^ \7 .v ." . \“ v.v.v.i f i ? “• ‘* 3 ^;oif n*AOŒ»ie »Aa D^ii8e*fio*'jtil^88<njr^ l*" s8aito

La aoBoncM, Kclânws, «te., 'î*”^ dir«a«a«t

5 —

R o m an s . «

ro q u in e r ie .

s ta le s iR ustréés.^ .j

o llec tio n s.

d e T o p o g ra p h ie c ie rs .

lENNOlSli\ftu» ta isle .

■ n

2 H â R a z i l

S 'î « . S f â J É é Ü ^

lh a s s e u i

:s DE

ICHAS!

e n T M .

f X-B W -V i

df U 6»n}.

P A I R E S

IONSrG H A IV T J

d a Go]Î,.JI MOI Lk

le s j o u r s , k tin à 8 h . dii

sthesie

BmUt, U è O atobn i9 0 8

l'&ôianble lénatant .da l’Xon, H. a i . llvtPdriisût, ({Bi dÿ|iaadiitJa.BMB|U({as

"mps'od laÿUûart da aot dingMuiti jgrd'bdl H m iea t rS a;d i« / k aia- Jiia <ra k meue. rieat iB naotrar, rtenrTirikble J s v , les «ans da b'ee.

|g l« s ptiBU tais qa’ils soot, «diae 1l'nôi(l8i- 00 da' faob toorbillonoant' u Jdsraat da l’abîma. Aa lOrpIas, Toiei an

Bli tannn do Térité daglaote il 1m a aeteaadamnis :

, Apréstrente-troia anrde Ripnbliqne, lliliW té est-allê entière? l’ègalité est-

|d ls lattriiaisantet k t n t a a i u ast-ella lèta et réconfortante 1

. cMièr, Il cet des libertés qui wotabsplament e t déflnitiTeinent ao- UiiMs 1 Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; ton tle [ümds penf anssi publier les pins ialÜT

Im choses, et emMisoiner l’âme dn ipla ! Ceci est iamseOtable. Les dm-

_ _ i immondes s’étalent impunément ■dtasles mes, et les cbânsons plus on lisoiiis ordoriéres se d iû ta n t dans les lioncerts pnblimi, aux oreilles d’une po-

" a complaisante et cbam ée. Mais sf,‘I le recaelUemant e t k solitude, Iqnes femmes •pienses* et attristées

_ jr la rie se rénnbnant pour prier et ■chuter des cantiques, on les a i^ te et

1 les chasse I on déckre que k u r ■steté même est immorale comme mtraire à k nature, et elles sont disr

. inées anz appkudissements des dients de cabarete qui pullulent, quand '‘scoamts et les cluprilcssont fe r- éi comme de mauvaie lieux !...On arrache aux pères de Ihmille la

Irection de leurs enilmts, et, sous létexte d’unité morale, on leur refuse e droit de choisir l’.éducatcur préféré. i_vZ »a8,.Qa4ékndait .k.na_ns. ™té de i’éfiok; aujourd’hui, on dé- *'”6 les voiles. Une ligue de libres-

■enrs très illustres demandait ré- ment, avec Un 'cjrnlsme révoltant,

t institnténis et aux institutrices de ™ iem desseins et dé tuer toute

idée religieuse dans le coeur bégajant u pauvres enfants qui leur sont con- », et cek au nom de k liberté, pour "•mciper, comme ik dkent, l’âme hu-

M l Triste énuincipation,^quo Celle pu refuse le droit de choisir un jour

r chemin, aux consciences diverses, l’âge où cette conscience

et peut se décider dans k plé- Bitude de son intelligence ouverte et de B responsabilité !

Voilà où nous en sommes tombés, aupîiri de vue de k liberté!I Tontes celles qui avilissent le corps

UJlespnt et dégradent le peuple sontJpléréss; toutes celles qui

hfA.^i 1 m populaire sontP. tentas ! Toute k poésie des' reli-

Wbs est bafouée; cette chanmmte catnce de k première enfance est

kii remplace tout ce qui a*^d“l«ttte et douce de l’an-

^ 1 par un positivkme sans"ffoiste, et une morale civique

créer, que nous ati- 1*® attendrons«ttjoiirg I

rsla*Ltîî d’interrègne antre une mo- hu’oa « B8 •reut plus et une morale p espere, n en porte pas moins ses

J e w citoyen de ses dévjpin, parce qu on ne s a i ^ t trop sur queUes .Macs s appnjer,, m a k seuem ent et. uniqae- ment de ses drrit», et a lo n on n e r a r - rête n s ! Tous las hommes contdgaux , tons ont des -droHs é n n x ! C’est le triomphe de ItteaSté! Triompha jégi» timoj quand il s ^ j i de l’égalité deriint k loi, maU victoire dangereuse si elle donne à tous des exigences semblables, on dépit de k valeitir morale id diffé^ rente de chacuit; car alors ce'X’est ^ u s l’égalité, nuds le niŸeilemont, le nival-. lem eit idiot qui coupe tout Ce qui dé­passe et tont ce qui s'élève, genre d’égalité b c^k le qui ne prend nais­sance que dans les sentiments avilk de k jalousie et de l’envie, e t aboutit fa­talement A k haine e t à k la tte des classes!

Comme nons voilà loin de k - troi­sième -verth répnblicgiae, k -Praterr nité ! Celle-là est bien oUbliéel ffilepst ranpkeée pta unci vertu n e u v e ^ , k Solidarité, qui est d’essence so ^ ^ té " ', car n < ^ voilà en plein sociadismè, et c’est la que forcément noue derions tomber!

Mak ce secialkme su venin mortel serait resté encore à l’état de théorie révolutionnaire refoulée dans lés élûbs, si un ministre anssi éloquent que né- faste n’avait été le d ie rw e r InT-même pour loi donner sa part dans le gouver­nement ! 11 attachait ainsi aux flancs de k Républiquocette tunique de Nessus dentelle pourrait b ie n ^ r i r un Jour; sa part sera lourde dkns l’histoire des

leun de k Patrie !Depuis lors, le socialkme règne en

mMtre ; les minktres tremblent devant lui et. lui demandent ses ordres. Les progrès qu’il fait chaque jour dans notre malheureux pays sont «nmenses-: k désorgankation sociale marche à pas de géants, et le monde des a& ires est a tterré !

à.u socialisme sont réservées 'touteé 1m fhveurs, l ’administration tout en­tière lui est soukke, et quand lem i- n k tre auquel sont confléM k s desti­nées de notre chère marine fronçaiie se rend, dans un port nülitaire, .ce ne sont pas les amiraux qu’il recherche, c’est le Clan des ouvriers du port qu’il passe en revue, au chant de k Carmagnolt, de­venu le chant national, et il sUluq avec rMpect et attendrissement le drapeau

Mtnpkçant k drapeau tricolore

Combien de temps une pareilk orgie durera-t-elle? L’armée et k marine abandonnées aux influencM mortellM du collectivkme !

C’est en vain que le chef de l’Btat, pour lequel je professe pourtant .une grande sympathie et une grande' es­time, prononce parfok k s paroks 1m plus contraires aux actM deson m ink- tère ; c’Mt en vain que, dans ce minis- tèree même, 1m attitudM sont diver­ses : M. Chaumié prêchant k tolérance quand M. Combes prêche le combat ; k bloc qui nous dirige semble solide et toujours menaqant, parce qu’il est l’as- socktion honteuse des intérêts et des appétits.

Ne désM(%ons pH, malgré 1m tris­tesses de l’h e u e présente 1 Comme di­saient 1m anciens, les dieux .frappent de folie les hommes qu’il veulent per­dre, et les hommes qui nous gouver­nent sont frappés de folie !

Nous ne sommes pas très loin de l’abîme où ik nons mènent. Mak nous n’y tomberons pM.

Albbkt Pasissot,Sèsatiur de l’Eure.

ABaSIai r i* dAlaîWpubUqus «tvcBtrèé P « ^ v«e«it ^ iUte»nini«»,. i.

dart 1« 19» cbips'* A lisr, et bcommàndimt b dMiioa d’Oràn

■Siuèiit r«l«vibide buri' foCctidnSÿb.gooVer- neAieât -vcüliaf ■ ntomber tttr éax b re»poiu«bUi« du isddcbts d u . axd Orâiub.

V r . . . .

— A SaJat-Etienne. des consblbesmuaici- pauz sodaUstes^niâû appartenant àuM hac- 'tion diSéreiU« ,;.iSbceaaént tèdpraqBamaat d’avoir utilisé bs voitures de divers. Hrrieaa municipaux pour bireda b çontsebande.■ —,M. Jcurta a pranoncé à Tartes un dis­cours politique.

— Le congrès réveluttonnaire-sêdalisfé- de Raims stest aépàré dés'soèialistM oppoita- abtes et arrivistes -Oomaaa H K Jàurts et Millerand. et s’est déclaré pour l’entiézU li- IntU diasaociatian, . . “

— Le duc de Vallembrosa, père du mÉrutds la Mntfti terf iStfta aart au- ii&i...aul J?

— Le tsar a t arrivé b 'Vienne. Dans les toasts échangés.' les deux mnpereurs ont ma­nifesté leur ferme intention de rétaUir l’ordre et la paix en bacédobe.

— M. Combes est i Msdrid, où U observa b plus strict incognito.

— .Vne nouvalb crise minbtétiella a écbté en Hongrie.

— La Turquie continue k mauer des troupes nombreuses an idacédoine. - ■

— Le nouveau miids^e serbe est eonstitni. i

l £ F A I T D U j a V R

s é d i t i ^ U k e .

: Qç pauvre M. qiaam ié, tout da mftuel Notre mdhiMtreux m kkire èe l’instruction puhliqus

gaffes sur gsffM, et Tdetios n’«n k k m psteser aucune Mns k aignskr à ITndieUn tion d e CM paissants amis. Ahl s t k grand m skre de i ’Univermté avait suhilié-serait bien gardé,- à Tréguier,J d’engager :b k bandM dè l’ex-abbé ’Cbarbonnel'à crier autre chose que t a A.boa k cakttel-ttOih. puis ce jour, sm bits Cfr' geofés sCnt ' jalousement épiés, et VAeiUm n b pas de peine à en démontrer k caractère 4mi_ nemment clérical et réactionnaire.

Jugez-en. M. Chaumié a lk cm jours-ci à k célèbre abbaye du Mont-Saint-lCéhel. S’il l’eût fait en sim pkdiiriquz,linb n t- rait eu rien à dire, bien qu’â lk r dât,» n«a abbbaye... enfin; imak C’est en pèlerin que le ministre du bloc a accompli ce voyage. La preuve f'L a preuve, oh! elle est ken simple. M. le ministre de l’ins­truction publique, A l’aller eu an retour,Je né sak, mangea « Tomektie de k mère Foulard >. Tout le monde va manger l’omelette de k nêfo Poidard. Tout k monde, m ii;-sîais. un-ministre de M. Combes I.La mère Foulard est un cordon bleu remarqtaébk, mak e’ésttm détail; k mère Foulard est réaotionnaiTe! Un mi- 'nistre du bloc manger une omelette rk ie- tibanaire I on va le Uoc, grand Dieul

Le crime est d’autant plus impardon­nable, qu’il existe dans k localité un autre bétel, ténu, affirme l’Acffo»., par un « bon républicain > et par dasi^. k marché maire de l’endroit, tandk que k mère Foulard n’est pM seulement ékekùr.

Et n!aUes ^ voir là un féit sans impor­tance; vous seriez un esprit superfleial. L’Action connaît Tbktolre et aussi k phi­losophie; aux petitM causes 1m grands

. effets.-jQ ^ omeletk. Monsieur, met k . R^ublique en danger. Le journal de Charbonnel k déclare : « Four Henri TV, Faris valait bien une merne; pour m ! Chaumié, k République ne vaut même pas une omelètte. s

' . Çest grmra,'vqus voyez.Il est bien diffiifilè de’satisbiih son h -

: tomac et sep m M sikm du Uoc.i ^*5“ “2 3 ? ^ sTmpose pour

à SlêtâfS tW Ittiv■Hporsut, im triçuigkgv e x u n i^ afin de .Jk n kd iqssr àm.cidbkeBce au Hoc, De ecetk bços, kujbStttioiuudres en voyage -ne seraitq>asm9 esés;à abserbss un p<d- ^ - b n cléiteal, on dM tmffes réaetion- Màiras. Btquebliseernement eheb etcU - -siaièias vmst-désonnak éke coniraink ’ p p ttr tw dons k «Mopositiôn de leurs

I %ténusi Non senleniMiiil leur budraévitér I <40 efaérger Tes estomacs, mais aussi èe

H essor IM Cohribtioi». Déjà Ta .malgré sa couleur éearkk; a une alkre.féaiiffionnaÿedepukl’àtkntatdeMarsellle,

. et k pomme d’amour, comme bn ditlà-lws, est. j’imagine sévèrement p n ^ k de k tat^e dé k id bqn combUk. Q ù ' sait si k déplaraUé réputation de l’omeletk de k mère F^kkudnçvapas ffatkcher à l’ome ie tk en généraL D sûÉt souvent de k b u k 4*mMMulJtidividu poar-dériimiorer touk itnidfenriBe. --FmiLCoiiBm.■—î—----:--------9-' ♦ . . . . .

Nouvelles j ^ taires.-É’a p p e l d e t a elaaise.

La dak. d’appel à l’activité dM hommM B’ayant q ^ u a m é r d a lervrcé à aecam- pUr » d tv i t« t« u èê-B«f«mimTffWhain.

Lh hommH dMtifiéi àfaira trok ans de «nriee iwqpt mk en ronfa à k même

sneceitiia qui dureront

i On re iu n ro m que. cette affilée encete, im vw ont àu régiment dans k

.nieilkifiA den n t I^ffirkm ent,^ pi? kndùistfe'dé k guerrre.

‘■'■■'v 'èI ,e « d em an d e si d e c e o g é s

e t d e a n r e t a . .A k suite d’une effimitaLestnlm minis-

téTM de Tintérieur et deTsgnérre, tontH IH demandM. èmÉBànitds'iskisk en^aeti- vité de service bu deTtasrvlsiesKet territo- riauxrektlvm soit à dM congés de moisson on de vendange-, so it à'^M sursis pu dM

■de— ietneuta d * « ^ l, doivent être tm s - i a ^ ) p a r tautw ita militaire aux préfek .dtargésidàfidro unoAaquék.

I i t iaOfc üiusjeitrs^iMMsts; -en- truim ettant

■ 551FP* d’avoir à‘'vdllpr à ce que le nombre ' dhqaunM logés dans k mémo' chambi^ f® ,dép«M.pas un maximum fixé d’après 1h k is de Ihygiéne.

A cet e f^ ,p n pnffik, dahs Ih casemM, de k péÿkde, transitoire (pétTode qui

• £. S***?. l*,départ de la olalse ét

. d c e n ^ par les CMipagniaa dMtabataülons, qpi ont Mssé d'exTs^dspuis k i» eetObn, eM ’envoi de. détachemenk dm» Im i i ^ , sont k s tenlM rossourcM à kdispositien ik i eheb de corps.

C’est ainsi que 1m forts de VàndeuB et Ifeyot, avoisinant La Fère, seront occupés, dit-on, chaenn par nue compagnie du 87' et du 84'.. Le régiment de. nampiâ^a g déjà, on le sait, un bataillon dékehé àHUtte

♦l - a « a p s iM M lo n

d e * 4k” battiillosM b CertsinH infoimotiuis ont représenté

la suppression dM quatrièÎDM hatffilkns «w m eito a s t étt’e surtout . ^ r é e dans k f é p e n ^ lE it. Cm rensei|k>Mieak, af. firme k Francs miUtaire, sont inexacts,

€ Il y a, en effet, en kn t 68 compagniM de quatrièmM bakillens supprimées cette année, à dater du i " octobre. Ce sent seu­lement dM ^ k iè m M bataillons qui Béaient pm oomplékment formés, c’est- à^ ite qui n’avaient qn’une, deux on trois ooiqwgniM.

« I m régkunts régionaux doivent léga­lement restw coBstttués à qnatro bamt- lons. Quant anx régimenb snbdivition- n a ^ , on n’A pM supprimé un seul qna-

. triéme bataillon peur u ré^on de iR t . tant dans le 6* et le SO* corps qne dans k 7'corps. >

CAISSES fftPéMIlEVoici, d’après k Jowmal ojleiel, k rô­

le ^ dM opnatiens dM CaissM d’ r g n e ordinains, du’Sé au 30 septembre 4M3 :

Dépôts de knds. 1.71fi.C01 33Betrsits de fen d s ........ 7.698.314 61

Excédents de retraits.. 8.870.415 38 t x M m i e HtrtXét durjann trau SOin.

h m b tr im ; 1 5 1 . e » 8 .0 4 » te. 0 8 .

devgfrr an idoiner iM motifs et y joindra ’O ^ n e s piéCM,'rappork de poiice, lotiras dM=«aires,etc. Laéommunfoatwn da ces

aux intéressés a donné lieu à divers

* * " * “ ■» !• fflinistre de d adm ier t i a préléts one

cài6alai»-lw niceniiEaBdantde l i ^ ’ik seimeBt eoMultés par l’autorité milmsirer à éWettre im avk ansri succinct qne n o s s i^ par oni on par son, sans j a ^ fSiro connaître Im motifs de leur décision.

. .on.L e o o B fia ig e iit a p p e l é .

^ réductions ducontingent uni va être keniw réont sUrtontpcrlé snr iMnjonrnés deux annéM de snitè.On eh apMtiffia 8.030 an lien de 8,000 kstuméeaprocédentM.

Ponr les â p ^ é s ^ trois ans, on en ‘incorponra t iCoilO, àuTku de 4SA.OOO.

' La répartién dM' lÿpelés donné';“I* “ f dont

W.000dans l’inhnterie dëugm ,fi soodans k s cb^nrthffOO dans k s looavas,' MO danal infantKiecelonkle.

Des Joldak Ænn a n , l ’a r tille r ie d e cam- iM b n tter iM

à ksbstte iks Aulenialet; 800 ;k trrin. antapt ,-1h sections d’adminktra- tiiwet d’infinnerk, 4.600.

- 4 a répartition dM aoldak de trois ans. # » t 88.000 npnr i’inknterie, vkn t de subir dm moducations, .

d e e a e m

Ôn se souvient de k récente drcniaire du général André prescrivant uix chefe de

- J i A J i ^ f l l : 4 e l a m u t lu d i t é .

la municipalité d’Augers, qui tknt à donner un témoigcage de sympaihk qnll convient de citer'en exemple à tontM Im manicipalitér de France, vkiil de décider •komistniction -d’un superbe boiei de kmutnaUtér q«i coûtera 460.000 franm et qui comprendra dix-huit sallM à Tnsage

DMtaccnsé d’avoirk lS juillet dèrnim’, à tanlUrre. violé kjonneilphoBriBètf., âgée à» 4 i ans, ri.d ’avffif.k 48 Juillet,

P j attonW à k pudenr s t r k jenne Eogénie &. âfée de 8 ans.» A i® » r é ^ reconnaît k s

L’andükn dn doeknr Charpeatiœ, mé­decin à i z , commk par k m d’kstrne- «kn ponr examiner k s f ^ t e s , amène o ie

: disenssion entre le .déknsem', M'-Paisant.' et k témoin,: diseusriim f r i rtOgo k pré­sident à roprOititnT'inteiTefatoiro. : „ 3 P i * “ ®J*‘ f^® *• l«F «euronrdek Répobli^que de donnwlectnro dm divwsev dépodtions de M m l qnecrini-ei reen arit exactM.

La déposition dm victimM et dM entras m o in s néméne riOn de nonveun anx dé­bats.

Plnsienrs témoins-à déchargé sent ap- 2®'êL* i ^ L ”î seul Mt entendg; ck stle ®»fr®*» Bÿllarre, qui dft to tt tabUm poudbk de Morri. - ,

M. Péan, dans on léqnisitoire pmdéré m tà ferme, fakd’ab o ré ië ia rt d n ^ a u sujet dM bons antécédents de l’accnsé. i l ne s’oppose pM à Tadmisskn de 'drcons- tances atténuantM, nais il dem ade k puùition de faits que k consekBCé e t k mwale condam nât <' M* Faisffiit plaide brilkmmépt àvoo-nné chaleur coaim nm tive Tacfnittement.

fcw rdw t.U inry.a r ^ M n non anx qoeations

qui lui ont été MtéM.La Conr pronnee racq n tttau it de

m M e

A f ta l r e B flalot.Vol.

CharksHalot, Agé de 34 ans, né à lé l- moatkrs, Mt accusé d’avOir dévatisé,pen- t o t k nuit, k maison de M. Néarry.'qpti s’étati ÿ ien té . Argent, titrH, l i i r a t : *

épargne, ling^ bouteilles, tout avait été emporté.

Im soupçons se nortérant snr Hakt ïsa femme avoua que le jour du vol il était rentré aveodM piècM d’or. Une perquisi­tion à son domicile fit découvrir u s otiets volés. Ua!ot fut arrêté après tme vive rétis- tanM anx geadanuM.

Saiépffitôen mt déplnable; il a été plnsienrs fois cendunné. A l’andkuM il avoue Im frits qui lui sont reprocbés. Im sémoiaa coufirmenà leujfrils: et k - vaise réiatatimi de l’acensé.

M. Devise, substitut, soutient l’acensit-BTOo^ d ^ d ^ t ^ ”” ^ *** l’oidrodM

Le jury ra^orte un vndiet afBtmatifns tirconf*'— ----- - -onstaiuM atiénnaatH.Malot u t condamné à cinq mu d i t n h

eutto foreii.' è—" 4

Coor 4’Asslses de l’Oise.3* sxssiOE n i 4903

Audience du mardi 39 eeptembre. (suite)

Présidence de H. le consellkr VASsim. Assusenrs, HH. Lax cnn et Picqdxi.

Kinistérapublic : II. Pisn.- Afflalisk M o m I.

1, n i» s n s p ^ ç n d’nne demi-henn 1 audkcM M tjs p i^ à denx henru., La dffùxiéie affâire de l’audience de ce jour Mt JiqM à btUs clos.

Il s’s^A k tten k ts à k pndenr commis

far un jeune homme de SO ans, snr dM llettm de 4 A ans et de ans.L’inculpé, Albert-Vietw Mvei, âgé de

80 a ^ né à Aeyren-Huitien, durretier à Bonllarre, Mt on grand et n I ^ gaillard, aux traits commfffiu, an teint halé, à la mcnstaçbe naissante.

Il n k jamak stibi de condamnation et ko'renseignements donnés snr loi ne sont pumanvais.

■ I Audience du mercredi 30 eeptembre.

Présidence de H. k eansriller Tassuai. Assesseurs : KM. L A u m et PiGoon.

Ministère public : M. iDivisb, suHrituti GettejoUtnée est occupée par trois fd-

pngnanfes a iU ru qni; tontdb k s k ok , msent passéu dansS e n U s r ^

A lf tilre D ev |akw i.'_ Atkntitid(e|Hideiir;

Le huis dm Mt pnmoncé.Léon DevitkM, âgé de 37 ans, Cb.

menniskr, - drineniffirt à Croil, d’I . belge, Mt im petit bonhumM n Hnn, à k nibnskdm etm eievB B xliIrs. ■*!« pbai®»®ntieviveet intelligank;il<h

. IklrinalingTO. •I l Mt marié et péra de fintiBe-'B H t aeensé d’avrir,k S jril]et.denikS,

conùBis nn attentat à k pwkur s M s ^ ^ lence sur une fillet» de 5 ans, AndSiOT;, dont 1m parants sont vOiritadè Hiiaitoé. fiiktte 'qni t^ rit l’hihitMe de'vritir c m Devfekw.

ciaties; se dâterid é n a q ^ e S ^ ^ w â S î qu’on Ini reprocbe et «îtieod qu’fl est vic­time de la veogeaneeM k f a n » Piffiis- Ht, k mère de l’CnfanL

un eoBBUEB p t v o m

I I

W D TRAGIQUE*«Aclt ds l anguis par I.-A. Mou.

t® passait dans P voilure à la i.’,??!?®” ’ descendait T*tion,oùenrï èEst Lînneetconrait

sa ^“jetante devant nnP*Pisr à lettres plumes et du

ireî ae^diS? ”? fût-ce qu’unenw.. T‘ lA~6ilQ. Ja «ivvei •4Vi»a a^ laéei

i g ^ ie^hamp.‘"’ti âe ptqàer et écrivit

®ilait : permeftajt sa main qni

; Non'sèe «onveau*^« de vous ici. (Juelque

S ? •auiedi^d^ j I* ' ’®*’’® présence. 'Ûéâ cottvertef taillis, près de

« A vous,^ le ttre • * ®’" ’

û£F*>srâaiii û 'w .'’i®™P®’ de non- eUé-mèma

aT60

T Honn, dtt-elle avec quelque hésitation, i ai a n sans vous consulter aujourd’hui... J espère que je n’ai pas eu tort.

— "Voyons, dit-il en souriant, contez-moi cela.

Il se jeta dans un fauteuil, tandis qu’elle se tenait debout auprès de lui.

— C’est quelque chose que j’avais dans la tête depuu bien des a n n é M , et dont je n’al jamais osé vous parler.

— Comment! c’est vous, Barbara, qui aviez quelque chose de caché pour moi ?

— 'Vous souvenez-vous de cette nuit où Richard vint au < Bocage > déguisé I -

— Quelle nuit f II est venu mus d’une fois la nuit sous un déguisement.

^ W ÿ IsabeUe a qmtté Est-Lj^ne, mumuia-t-elle en loi prenant la main tendrement Richa^ revint en courant, un instant après être parti, et u t avom rencontré cet insaisissable Thorn. Il décrivit ce geste ftanilier qui lui feit reje­ter ses cheveux en arrière, sa mahiMaiinlia, son diamant Hillant au clair de lune. "Vous en souvenez-vous?

— Oui, parfeitement.— ^ bien! ce mouvement, je me suis

rappelé l’avoir vu faire à quelqu’un oui se 'SSK®* • ®a^Lynne à ce moment-là, et je m étonnais même que cela ne vous eût nos fWpé. Depuis cette nuit, je n’ai p re w e plus eu de doute que Thorn et sir Ludmn ne fassent une seuleM même personne.B iübm if’ "***”* m’enavei-voHS rien dit,

— P o u v ^ je alors vous parler da set^ • û ' v q u e R ieh i^ ytol çouchér a E^Ljynii, ü me dit ftvoiF.Tii

Thorn avec «t’ii ta l i i d ^ T !T** I® favru, j’ai renfer^

®‘®“®®“ ®“ ‘» k regarda— Si vous lé Mviez, alors... dit-eUe.

irffT. j® *'*5* aûûlsûèbnt d’apprendre la vé­rité , je ne l’a'vais soupçonnée.— C’Mt ce qui in’éMnnait.— Je m’en étonne comme vous, mainte­nant... ’ '

t,rL Hterronmit Barbara, j’ai écrit àRichardi D feat que noùs leTébajÉltions.

— Je ne puis agir contre Levison.— Gomment, même pour Ri<ffiard ?Il la regarda de sen.ceQ lojûà et farme :

J’a - ^ r S l i œ ^ L l Œ ? i®’“ “ “ “ ®«»— Fardonnaz mH^ ft-elle^ tendrement.

Men que 1m lanuM fui vinssent anxiyenxfavez toujours raisbn. Mais eontmant

attendli.'l{?cSJL*‘ ^ ‘"*“ ‘ “ k i t d’abord— Oui, et Dieu nous inspirera, dit aveu-

ferveur k jsn n » famine. • : TLe soir, dans sa’ chambre, Isabelle était

assise seule, repassant dans son pauvre MrvMu malade ce qui lui était arrivé fiMuis trois ans, pensant à ce qu’effe étati mainte­nant et à ce qu’eSe aundt pu être, hâsdue to b a ra entra. BUe venrit ÿhriârmePda ravis du docteur sur Tétat du petit garçon.

— n dit qualM pCumons sont gravement attaqués, BaBlSi Coam» tous k s médecks, ti n a .rim vmüuma dirada pMitiL Cepen­dant j’ai Hen vu qu’B y avait peu d’eap<£

est-ce qua vous cd ‘Vison?

kabelie devintpoûfprâ-.'— Hod; répondB-âlkrefi’frènffilaui

■ J’«®*kprarautre jour, vôtracontananoa lonqpa ja voua au pariaia, qua

vous le connaissiM, ainsi vous ne lui avez jamais parlé ?:- — Non, Madame.~ rt^?F''®®’?®^ktalité,madama'Vîne?

Oui, j y crtns, répondit k malheureuse x6nim6., ~7 “ ®*’ i® «voyais pas ; maistom à rheure en repasaant dans m am é- m < ^ tous 1m évéqementsde m s darniMM m é e s , cette eroyanoe a fini par sa a s e r t o s mon esprit Baviez-vons que tavison qui a apporté le deufl et k honte dans cette maison ?

Le deiiil;,k honte?,7 Cet hommh qui smpork le malheur

d w t e m a i ^ ^ M . ^ ÿ ^ ^ C’Mt aUHi lui qui l’a Mperiè dans'lé mienne,'VCus i^ o rez sûrement,-fit-eife en haiBimt k voix, que j'aiUsu lin nulheureuX fIrèraprM- ,erii,.qni’Sinffire tok de nous depukbkmdes m m j .MjbienvSM sonffivmcM, CMcba- grips, çfest encoreXerkon qui en Mt k cme.^E)Cputez^uiét.

j;;.-®®* lui fit, alors le récit minutieux que nous oennaksohs; ét termina en lui féirant

la conviction: que Thorn et Levison néiiiienl qu’un seul et'mème perte)nuage,'

fybelle avajt Mputé cm derniers m as, k bouche ouverte, les yeux démesu-

'^ m e n t ouverts, conune M;iéSai avait eu p ^ e a m ccmprendre le sans.; juir* leJCér s e f i f ^ n d a u r s o n w k a v é c h é r r o t i r ^ ;^ ^

Wffikk taviéoh,iihi «àkékkkqUHMtl nîiWpd

Eu entendantt«s «ri; Bainutro «Ml «ftnpybw^Paa posriblê, nu

:dIt-éMe, eu ss'pffiieBantivshr 'CMmaksez,.

^ i w tutrlca AVait eu- la ten»s dhse reTNon, Madama, flt-rik, m ak votre réoit

est si terrible qu’il'm’é émue andeiliier poiht: je vous demande bien ikrdon; '

— Alors vousnéTavM'ijamais vu? TTsAVS 1«v a — ..XlT—. A_-_ «_

puuuiiu’ngr un pareil nomme;_ — Ah? 'VOUS avez bien raison, fltmadaihe

; C a r i ^ r a ^ ^ . I i u é r « bien héureàx si

■- Bjubasa, mm ange, où ffiM-vaur, ,^ ’ A cette ^ Æérip, Bybara s’énlUt sur

les eues de l’emouT retrouver son époux e d o ^ kkiant,- p« e ilk à k statue de k Donl®»’ khW }sepupi^Üe£tamère déna­turée, en fsce de Mfiè ammmâleinMt d’hor­reur. Aina-cféiritfinaias-ieintM, de'Sanr —l’àmour de CSrivlé. H

contre w n coeur. Fais, se recnknt'hioup mieux k vm , il k eontâimk en sCmmnt itenant et mère I ^' r r Oïd, mon frère, M Hus ibéàrensa dos

femmes. Si ce n’é ta itk triste existenCairtia tu mènM, ma 'vie ne sHMtt-qtfna loneJom ^ai-un beau-baby qui va,avufrun an ; tu m t snpérbe. Oh 1 jé 'su s men hswénae t

— E tm am ere? ■ '—^Elk Va mieux depnk a

eBé n’est pm instruite' de te nons âàdieron» que ta k voks.,

aux vatt.iejeté de Thorn. tu sù r dS'la

qn’r ile C ù tk g r a in e conSoktion déà cethngte près dé s’envoler

— J é s iM k m k e '

H.t BAU, mtENn n’AIVAlitB EN MAIND ansk soirée du edi quiisnivii

'jouriiéé,le vénttète , des Mute .tarqdiéM dum»; .Un honnns,-'v8ta :m à

sk v c in ^it 'à k'pTo

(tedtidl^enhiiaaait •

0 heure.P « w » gùOOB, to u t _

!»e "Vino, ,-vons le

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Page 2: Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_10_04_MRC.pdfUiiMs 1 Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; tontle [ümds penf

L E C O Ü B BIS^^D E L’OISB

\ ' â

PladeanlABolns Mut entendu.

l i . n ^ t o t , qui mbü^ l’içen- u j g n , | f t t N t inuster n rlIfn o m U e de c M iS i de crime.

n w 3 n o M u tile m e n t de prouTersue UKmalgté H t ddnéiaüeu, eit bien b i t ' : ■ •

t ^ t t i i n t , d u i nne diKosebm , J ÿ ie e tn e e n u éloqseBee per^

rau tre , met en relief ces prenres, par les déclantions de l’enfant, les témoignages de la mère et de la Toisine et les eoutata- tio u dn doctenr Debray.

Il ennbat le système de la défense qni se dit Tietime d nne vengeance et prouve qae l’enfant n’a pn imaginer tonte la miM 6Û tcd&9

Four l’aecnsatenr public, Devitker est coupable et il mèiite d’ètre frappé.

Ladéfente.M* iamier, avocat du barreau de Parô,

défend Oevisker et s’efforce de détruire l’accusation, en montrant qu’il n’y a p u de mrenves matdrieâmlégales, et que les té­moignages, ri^wsent sur la déclaration d’un «n»â"t da5 ans,;ne peuvent être rete­n u par l’accusation.

Le défenseur discute le cas qu il faut faire dé ce que disent les enfants et cite é l’appui des faits exposés par le docteur Brouardel. .

11* Jamier afdrme qu’il n y a pas do preuves sérieuses de la culpabilité de u n client. . . . .

C’est pourquoi, conffant dans la }utice des jw s , il demande l’acquittement de MU client.

Le verdiet.Trois questiou sont posées au jary, qui

rapporte un verdict afSrmatif avec circoni- tances atténuantes.

H. Devise, substitut, demande 1 appli tû m ^ la loi et la déchéance patehielle de l’accusél . ,

Le défenseur, 11* damier, pne la cour de ne p u prouncer la déchéance paternelle de Devieker, en raison de u n passé et de lui accorder la loi de sursû.

La cour condamae Devûker i deux ans de prieon et déclare qu’il y alieu de ne p u prononcer la déchéance paternelle.

A ffa i re S a ln a u x »D itounem n t de mineure.

Le huis clos n’est p u demandé. En effet,cette affaire u t qualifiée d^tournsment demineure, mais c’est plutét mlèvement qu’il faudrait dire, et encore la jeune fille enlevée ne dmnandiit p u mieux que de l’étre. Mais allé n’a p u encore seize a u , et si l u faits reprechu à l’accué sont lai^m ent exensés ils n’on tombant pas m oiu sou la coup do la loi.

L’enüvement.Depuis un certain temps, les époux Bro-

chard, demeurant é Reex Fosse-Martin, s’apercevaient des assiduités d’un nommé Ernest-Emile Saluaux, flgé de iO fuis, chauf­feur occupé à divers travaux agricoles dans la région, auprès de leur fille Orélie Bro- ehard, igie de quinze a u .

Brochard père, on conséquence, surveil­lait sa fille autant que lui permettaient su occupations, lorsque, dans la nuit du f i an 45: juin 4903, la jeune Orélie Brochard quitta lé domicile patsmel ensautant par u fenêtre de isa chambre et Saluaux dis­parut la même nuit.

Le 8 juillet 1903, la dame Brochard mère ayant appris que sa fille se trouvait é Rolssy avec Saluaux qui passait pour son mari, alla la chercher et la ramena chez elle.

La jeune Orélie Brochard raconta alors que, le 14 juin dans l’aprés-midi, Saluaux dont elle avait peur, mais qui la poursui­vait depuis longtemps de ses assiduités, lui avait envoyé un de ses camarades nommé Charles Jourdain pour lui dire qu’il avait à lui parler et l’attendait dans le bois.

Elle n’y alla pas, mais le soir, Saluaux était venu frappw à la fenêtre et lui de­mander de quitter le pays avec lui. Pour la décider, il lui promettait une robe et des

.bottines qu’il avait dn reste dans sa valise.Ces promesses brillantes pour e lle j’a-

vaient décidée à suivre son ravisseur. Elle était donc partie avec lui poar Nanteuil on ils avaient pris le.train paurleTrembloy et Rofr'ay. .

Saluaux, bien qu’il fut marié, lui avait promis de l’épouser, disant qu’il allait di­vorcer pour cela.

L’accusé reconnait avoir enlevé la jeune Brocard qci l’avait suivi librement, se trouvant malheureuse chez ses parents, eùe lui avait demandé de l’épouser quand il serait libre.

Les déclarations de Saluaux paraissent exactes.

Orélie Brochard parait être enceinte, sans que l’expert commis pour l’examiner ait pu se prononcer feimellement. Sa réputa­tion n’est pas bonne; on la représente comme paresseuse, menteuse, dépravée.

Q aant é Saluais, il est représenté comme un bon ouvrier, cependant il a été condamné trois fois ppur vol, la dernière fois & deux ans d’empriMnnement en 4901 et une fois & l’amende pour bris de clôture et coups.

L’interrogitewe,D.— Vous êles-marié T R. — Oui, Monsieur.D. — Vous avez huit enfants 7 R. — Oui, Monsieur.D. — Vous les avez confiés à l’assistance

, publique. 7R. — Je suis en instance de divorce et la

commune de Roissy s’est chargé de mes enfants.

D. — Vous avez été condamné plusieurs fois?

R. — Oui, Monsieur.D. — Vous ne niez pas le détournement

de mineuro7 R. — Non, Monsieur, mais je ne l’ai pas

’ enlevée de force ; 0 rélie m’a suivi librement et je croyais qu’elle avait dix-neuf ans, ainsi qii’elle me l’avait dit.

Je lui ait promis de l'épouser après mon divorce.

J« demande l’indulgence de la Cour.Let Umoignaget.

Ulle Orélie Brochard, figée aujourd’hui de 45 ans 4/3, manouvriére fi Reez-Fosse- Martin, est la jeune fille enlevée.

Elle prétend que Saluaux l’a menacée de la tuer si elle no le suivait pas, et il lui a promis une robe bleue et des bottines.

Elle a accepté les cadeaux séduisants de Saluaux et l’a suivi.

A la demande du défenseur, M* Ver- mont, elle déclare qu’elle n’a jamais eu de relations avec d’autres que Saluaux.

Jf. Btüehard, manouviier fi ReezFosse- Martin, est le pére de la jeune fille. Il s’est Merçu, vers le commencement de juin que Ealnanx fréquentait sa fille; malheureuse- nmal, cranae il est occupé tonte la journée, i ln e p m a i t surveiller M nenbnt.' Brochard^ la mAre, n’a pas grand’-

A oM àdire .C’est elle qai a été chercher sa fille an

Trmblay quelques jours après u fuite.

Jf. Charlet Jourdain, manouvrier, dé­clare f i ’ll a été c b a i^ par Saluaux de prévennrOrélie qu*tt ratmidait.

n si mnpli sa miaiion et c’est jtont.Xe réquiiitoire.

M. Péan, procureur, soutient raecnsatiim.Le ministère publie est d'accord avec la

défBaMrpour teeennaltro qu’il ne fant ac­corder qu’un médloore crédit i la déposi­tion de la ;fiUà Orélié ; il n’en est w moins vrai qu’elle a lit ans et demi, qn’ulo va être mère des œuvres d’un homme de iO ans et que cela inspire une profonde pitié.

Saluaux à donc commis une mauvaise action que la loi qiulifie crime ; le législa­teur a voulu en effet, que l’autorité du pére Mit respectée, que la jeune fille Mit pro­tégée non seulement contre les autres, mais contre elle-mêœe ; que les ravisMurs de filles, qui ne craignent pas d’exploiter, au profit de leurs passions, la débilité phy­sique et morale do filles qd’ils enlèvent i leurs foyers, Mient frappés. Saluaux a donc commis nu crime dont ii doit rendre compte.

Le ministère publie combat ensuite le système de défense de l’inculpé ; ce der­nier ne pouvait igaorer l’fige d’Orélie, car depuis su mois il travaillait avec le père ; Saluaux prétend qu'il voulait épouser la fille Oréhe et il accuse celle dont il vou­drait faire sa femme d’avoir des amants.

Eu réalité Saluaux avait beMin d’une fille ; il l’a prise, l’a rendue inére et m dé­barrassera d’elle quand il en sera lassé ; quant fi l’enfiint il ira rejoindre les huit autres que l’inculpé a confié fi l’Assistance publique. Eh bien. Messieurs les Jurés, réclame en terminant le ministère publie, montreront par leur verdict qu’ils Mut aussi Mucieux de protéger les perMunes que les bourses et ils condamneront l’in­culpé.

La défense.M* Vermont, du barreau de Beauvais,

plaide l’acquittement.Il s’efforce d’abord de démontrer que

Saluaux n’est p ù le dangereux individu que l’oB croit ; cendamoé fi deux ans de priMn, sur la dénonciation de sa femme et de son firére, il a été, eh effet, en raison de sa bonne conduite, gracié ta bout d’une année de ptine.

Arrivant aux faits reprochés par l’accu­sation, M* Vermont indique dans quellescoaditions s’est produit le départ de l’in- calpé et de la fille Orélie.; il n’y a pas eu de violences de la part de Saluaux ; la filleOrélie, même fi Paris, .a toujours été libre de quitter mu amant ei de rentrer au do­micile paternel.

Dans ces conditions peut-on dire qu’il y a eu rapt 7 M* Vermont ne le pense pas et il estime que Messieurs les Jurés feront bonne jusuce en acquittant l’inculpé.

Le verdiet,A cinq heures un quart le jury importe

une réponse affirmative de culpabilité avec admission des circonstances atténuantes.

En conséquence la Cour condamne Sa­luaux fi deux ans de prison.

A ffa ire W e r c m y a s e .Attentat à la pudeur.

L’audience, suspendue pendant quelques minutes, est reprise fi cinq heures un quart. Les débats ont lieu fi huis cios.

C’est encore un attentat fi la pudeur qui est Mumis fi l’appréciation des jurés, at­tentat plus grave que les précédents, car il a été commis par un oncie sur sa nièce de quatre ans, qui lui avait été confiée mo­mentanément.

L’inculpé Joseph Wercruysse, dit Van don Cruyssen, né à Roy-Boissy, le 44 juil­let 4875, manouvrier agricole, demeurant fi Lévignen, est petit.

Il a le teint frais, les traits réguliers, la moustache et les cheveux blonds.

Il a plutôt l’air doux et timide.11 a déjà subi trois mois de prison ponr

attentat a la pudeur sur une veille femme.Voici le crime dont il s’est rendu cou­

pable.Le 4i juillet il se rendit fi Peroy-les-

Gembrios, chez son frère, qui est marié et a une petite fille de quatre ans.

Pendant que son frère, qui est sapeur- pompier, et sa femme assistaient aux ré­jouissances delà fête nationale, Wercruysse, auquel la fillette avait été confiée, l’entrai- nait dans le grenier de l’immeuble et se livrait sur elle fi un attentat fi la pudeur sans violences.

L’accusé donne comme excuses qu’il avait bu et il regrette ce qu’il a fait.

Les cinq témoins entendus n’apportent rien de nouveau aux débats.

Le réquisitoire, .M. Hubert, joge suppléant fi celte session,

qui fait ses débats fi la barre du ministère public, parle un langage simple et clair.

Il appelle l’atteniion du jary sur ces nombreux crimes répugnants commis dans 1 OUe, crimes qu’il faut enrayer par de sé­vères leçons et 11 demande un verdict sans pitié pour Wercruysse qui a déjfi un pareil méfait sur la cébTClence et qui est d’autant plus coupable qu’il a souillé sa propre nièce et abasé de la ctmfiance de Mn frère.

La défense.Un jeune avocat stagiaire, M* Paintré,

qui fait aussi m s débuts en cour d’assiseï, défend habilement et facilement Wer- cruysM, dont rintelligence est médiocre, le caractère faible et dent la responsabilité est limitée.

Le jury lui acceedera les circonstances atténuantes en faveur de ses areux et de sa mentalité affaiblie.

Le verdiet.Le jury, après uu quart d’heure de déli­

bération, a rapporté un verdict afifitmatif arec circonstances atténuantes.

Le défenseur a demandé peur son client l’indulgence de la Cour qai s condamué WercruysM fi deux ans de prison.

e------Audienee du jeudi i ” oetobre.

A fltü re B a v p e a u .Coup de eouteau mortel.

Après le tirage an sort des jurés et avant l’ouverture des débats de la première des trois affaires inscrites au rôle de la journée, la Cour décide que M. Fraquin, de Crépy- en-Valois, juré, sera dispejasé de siéger demain vendredi ; M. Fraquin, comme en fait foi un certificat délivré par M. Retel, soqs-intendaht militaire — et dont lecture est donnée par le ministère public — doit M préMUtor, en effet, demain, vendredi, au ministère de la guerre.

Le 35 mai dernier, vers quatre heures et demie dn MÎr, les nommés Eugène Barreau, figé de 30 ans, et JoMph Arnaud, figé de 49 ans, tous deux ouvriers fi Breslss, sor­taient d’un débit de vins fi Villers-Saiut-

parson, des injures on en rin t aux ctmps.. Barreau fut frappé et renversé. An isours

de la lutte, il porta fi mb adversaire un coup decouteau qui, moins d’un mois fiprès, nmenalt I» a e r t de Jonepli Awttd«

L’accusé répond en ptourant aux ques­tion dp présidflit. Lés renseigM nentrew

'ion eianrte sent ezcellnits, sa fniaue hen«al»e.

Leetémoiisenfendus M Bflnnehtlesl^.Àprés le réquisitoire de M. Devisé,

substitut, et la plaidoirie habiledie My Ra- v iud, le jury m retire et re v ta t « m ite

' rapportant 1 açquittemont coanie téeeise négative fi toutes les questions.

Barreau est ocgutrid.

A ffinlpe ■ Jéw u io ite .Aeortemenf.

Jeanne Jeannette, couturière, née fi Brasles, le 34 noveihbre 4 884, est inculpée d’avoftemonts commis sur elle, eh mai 4883 et en mai 4883.

La fille Jeannette est mère d’un enfant de six ans ; ses antécédents Mntbons; elle' avoue en pleurant les faits qui lui «ont re­prochés. , , r/ .

La malheureuM fillé a failli mourir fi Ifi suite des actes commis sur elle dans' des circonstances épouvantablnnent dange­reuses, mortelles 999 fois sur mille, dit le docteur.

On entend cinq témoins ; signalons seu­lement la déposition d’un de ceux-ci : la femme Salomé, cette derhüre fi joué un rêle odieux qui a failli la faire impliquer dans les poursuites, car elle a été en que sorte l’instigatrice des faits reprochés a la fille Jeannette.

M. DeviM, substitut; Mutient l’accusa­tion. Il flétrit la conduite tenue "dans c ^ affaire par la femme Sakmé. En préMnee des circenstances dangereuses et m uvan - tablement douloureuses pohr - l’inculpée dans lesquelles le crime a été commis, le ministère public réclame de MM. les jurés l'admissimi de circonstances atténuantes qui permettront de faire bénéficier la fille Jeannotte des dispositions bienveillantes de la loi Béranger ; ce sera faire œuvre de bonne justice.

M* Emile lUviart préMute la défenm de la fille Jeannotte, en foveur de laquelle il réclame l’acquittement en rappelant pour le flétrir, le rêle joué par la femme Salomé qui a encouru la plus gresM part de res­ponsabilité morale dans les faits reproriiés fi la fille Jeannotte ; cette dernière a suffi­samment expié un moment d '^ rem eh t èausé par la situation spéciale dans laÂelta elle M trouvait; MM. les jurés estimnoht que le châtiment est suffisant et acquitte­ront la fille Jeannotte.

Le j i ^ rapporte une répouM n a t iv e de culpabilité e tia Cour prononce l’oceutrie- ment de Jeanne Jeannette.

P o s t e s e t ’ï é l é g r a p h e s .Imprimés sans bandes,

M. Serrin, le dévoué conseiller général du canton de Neailly-eh-Thelle a; par sa lettre du 49 septembre courant, rappelé au Ministre du Commerce le vœu émis par le Conseil général et la Chambre de Com­merce, relatif fi l’affranchissement fi un centime des imprimés sans bahde et portant au verso l’adresse du destinafaire.

Le 39 du même mois, fit; le Sous-Secré­taire d’Etat a adressé fi M. Serrin la ré- panM suivante :

ifPClUQDI nil{USI

liiiilire 4s Cianeree cl de l’iidnliie, des Postes et léidgnphes.

« Monsieur,« Vous avez bien voulu me demander

s’il ne Mrait pas possible, comme le Conseil général du uépartement de l'OiM et la Chambre de Commerce de Beauvais en ont émùrle vœu, d’autoriser la cirenlatieie, ta tarif de un centime par 5 grammes, des imprimés sur cartes expédiées sans bande et portant sur eux mêmes l’indicatioB de l’adresse du destinataire.

< J ’ai l’bonnear de vous faire connaitie que ie projet dejlei sur la réforme des im­primés qui a été voté par la Chambre des députés et qui est actuellement en instance devant le Sénat, contient ime disposition d’après laquelle il n’est fait aucune dis­tinction, au point do vue de tarif, entre les imprimés placés sous bandes et ceux expé­diés a découvert.

< Ce projet de loi, s’U est voté par le Sénat donnera donnera donc entière satis­faction aux désidérata exprimés par le CoBMil général de l’Oise et k Chambre de Comnurce de Beauvais.

( Agréez.....« Le Sous-Seerétaire d'Etat

des Postes et Télégraphes, • < Signé : B islan. >

Nous espérons que le Sénat votera le projet déjfi voté par la Chambre. Les com­merçants qui, depuis longtemps, réclament l’amélioration demandée par le vœu que rappelle M. Serrin recevront ainsi satis­faction. Ils devront en être reconnaissants aux élus du suffrage universel qui, comme le sympathique cobmüIw tanéral de Neuiily-en-Thelle, ont fait tous leurs efforts pour faire aboutir cette réforme en signa­lant son importance aux pouvoirs puolies et au Parlement.

C h a m b r e d e C o ix u iie rc ed e B e a u T a is e t d e l ’O is e .La séance de la Chambre de Commerce,

qui devait avoir lieu le 40 octobre, est avancée de quatre fours, afiu de permettre fi ses membres d’assuter, mercrediprochain 7 courant, fi l’inauguration du buste' de M. Dupont, MU regretté président.

--------------S y n d ic a t d e D é f e n s e ag ;r ico le .

La réunion annuelle^ à Creil,Cette année, la fête annuelle du Syndicat

de DéfenM lÿricole aura lieu dans l'arron- disMment de Senlis. Elle m fera fi Creil, le dimanche 39 novembre, après entente avec la municipalité dé Creil.

Eu voici le programme :4° Réunion du Conseil d’administration

pour la discussion des vœax fi présenter fi [’asMmblée générale. Nomination du rap­porteur i cette même assemblée;

3° Banquet populaire ;3* Assemblée générale. Discussion des

vœox. Conférence par MM. Dufourmentelle et Agricole sur le crédit agricole et le mou­vement coopératif. Tombola.

Le même jour, toutes les Sociétés coopé­ratives créées p ü le Syndicat exposeront leurs produits.

—.... 4-------------S y n d ic a t d e s v in s e n gsfoa,L’assembblée générale annuelle du Syn­

dicat du Commerce en gros des vins, spiri­tueux et Uqueurs du département de 1 Oise, aura lieu cette année, fi Beauvais, le lundi 5 oetobre, au Grand Hêtel de France et d’Angleterre, fi dix henresjré- cises dh matin. Elle sera, comme d ’haÛ- tude, suivie d’un banquet.

. ----------- ♦ WLI ■ ■A b o n n e n x e n in o u v r i e r s .

D'sonnais, les ouvriers munis de cartes d'aboanwnent hebdomadaire lerost .

( te C h a M ^ é J tP» ^ tans le

qui pàrfta 3 6 ^ ^

■liem CasaMBeans « fe j ’Ô is e e t ita dinw sM iatleia / d n g |b l e r ,

. L’staértnr* de la chsme fi ramené i’at- tu w h sur les dimiratibès etastantes dn gibier et sur im hMdifledfoas fi taPWter, pour y remédier, fi la loi de 4884.

Data la Nouvelliste de Rouen, notre d is tin tat confrère, H. du H enil, censaere une âirUnliide très documentée fi' cette question tOBjoprsd’tatualité.

Il examine en pretadr tien les preposb- tions déposées fi la Chambre par différents députés et, suivant les opinions de leurs auteurs, favorables Mitauxvrais ethonnêtes chasseurs, soit aux braconniers ; les circu- htirès du miidstre de l’ ricalture, les avis d e s ^ n d e s associations cynégétiques, etc.

Puis, rappelant la part importante priH dans cette campagne par la Société des chasseurs de l’Oise et mu dévoué et actif président le marquis de Beauvoir, M.' duMesnil s’exprime ainsi :

Il est un fait incontestable que M. le marquis de Beauvoir, président de la Société des chasseurs de l’Oise, exposait, au mois de juillet -dernier i ses membres adhérents, c’est qu’actuellement les propri­étaires no» ehasùurs d’janoGompnnne. voient leur droit ta pnmriété ahwnment lésé par les chasMurs qui en jouisMht sans leur en tehir ni compte ni rémunération.

n serait. donc ta tonte justicé que les propriétaires qui chassent rénumèrentceux qui ne.chassent pas.

Autre difficulté: comment repeupler les chasses banales 7 Vous avez chassé sans tante danz les chasses banales. Dés le matin de l’euvetrture, an petit jour, on h met en campagne. Ce qu’o m e tae pas Mra tué par le voism, ta tue dtaé’tdutce qu’on peut, levrauts, pouillaita’;- les chasses banales sont des champs de..massacre; mois les propriétaires qui fbnt garder leurs terres conservent un peu ta w i^ f qui, sans aux auritit déjfi duparn .complètement dana notre région comme dans lee deux tin s du pays.

Comment faire ponr repeupler les taasses banales 7

intérêts des petits chassemrs, des propré- taiiSs de terrains nen chasMurs et des chasNurs fortunés.

< On diviM la commune en trois secteurs A peu près égaux:

< Le premier est réMrvé aux propriétai­res chUMurs qui en jouissent en toute liberté et sans enclaves. o. < Le second et le troisième sont mis en adjudication et rapportent, je suppoH, 4000 francs.

« lié jour oh les propriétaires non ehas- seurs vont porter au percepteur leur quote part de contribution sur les terrains non bfitis, ils reçoivent de lui, en manière de dégrèvement, ladite Mmme, chacun au

Srorata des terres et bois qu’il possède : de i; diffliBution d’un tiers ou druné moitié

de l’impêt. >Quant aux chasHurs s’ils n’ont plus le

droit d o ta livrer fi leur plaisir favori que sur un terrain plus restreint, ils auront certainement la satisfaction de tuer plus de gibim*, car leur territoire binéflciera natu­rellement des saeriflces que fount les

.locattaeades deux secteurs.voisins pour faire garder et peut-être élever du gibier.

La Sooiété des ehasseurs de l’Oise a . décidé d’allouer une Mmme de 4000 francs en pnme aux deux communes de ce dépar­tement qui auront, cette année, tenté quel­que choN dans cet ordre d’idées.

Toutes ces combinaisons sont intéresantes et dignes d’encouragement, mais il est certain que toutes Us Circulaires et toutes les bonnes volontés du monde n’aboutiront fi rim tant que la répression du braconnage et du colportage en temps prohibé ne sera pas assurée d’une façon sévère et r é f è r e .

Nous rappelons fi MM. les Chasseurs qu’ils peuvent n procurer dans nos bu­reaux des Demandes de Permis de ChasM imprimées sur papier timbré. Le ctat d’une demande est ta 0,75 centimes.

L e s c a r t e s p o s t a l e s i l l u s t r é e s .Par arrêté, M. Trouillot a déterminé dé­

finitivement les conditions dans lesquelles les cartes illustrées peuvent être expédiées au tarif des imprimés.

Ces cartes peuvent circuler au tarif de 5 centimes, sous enveloppe ou non, lors­qu’elles ne contiennent que la désignation imprimée de l’objet représenté et rindica- tion manuscrite des noms, qualités, pro­fessions et adresses des envoyants et des destinataires, ainsi que la date de leur expédition et la signature de l’envoyeur ou encore, lorsque, transformées en cartes ta visite par l’inscription du nom de l’expédi­teur, elles portent des vœux, sonfaaits, féliritations, remerciements ou antres for­mules de politesse, n’excédant pas cinq mots.

Les cartes postales ne répondant pas aux conditions ci dessus seront taxées pour insuffisance d’affranchissement.

♦ ■Li’i a s p e c t i o n d e s é t a l o n s .

Rappelons que la commission chargée de constater l’état saniiairei des étalons présentés pour le service de la monte ea 4904, dans le département de l’Oise, se réunira aux lieux, jours et heures désignés ci-aprés :

Cempiigne ; lundi 33 novembre 1903, i 3 hsnru, an dépêl d’étalons.

Clermont.- Hardi 34 novembre, à 9 b. 1/9, i la gare.

Beauvais : Mardi 34 novembre, fi nue-heure, fi la gare.

Senlis : Mercredi SS norimbre, fi 10 h. 4/3,1 la gare.

Il est rtapolé aux éleveurs qu’ils tout tenus de faire visiter chaque année les étalons qu’ils consacrent fi la monte, for- malRé absolument obligatoire.

' D o m trac tto sa d e s am d m an z no ia ib lem .

Il sera procédé, dans le courant d’octo­bre, fi la répartiton du crédit inscrit au budget départemental pour encourager la destruction dos animaux nuisibles. Ce cré­dit sera réparti entre les communes et associations qui H MBt imposé des sacri­fices en vue ta la destractûmtant ils ’aÿ t.

En. conséquence, nous engageons les maires et présidents de Sytaicatt ou de Sociétés scolaires^ en nnnaot tous lésinté- ressés, fi. fitun parvenir'immédiattatëBt fi la Pièfecnita m f ta ts certifléb iaisaiit con­naître d 'nta exfitta. Àt' détaillée Ta nombre^ et l’d^R rdTfohnfiu, lé poids pt l’espéca d’ieseo^e détruits, le montanf-des Bommee jdé^p iéu , «t ta n o ta ta tattnie>

La date extrême pour la production de leeaétaii aiiit ta é ê ta iO oOobre Murtat; H "mepoiôta^iin'fiMu conmte des pièces jue- tificativesfuiparviendraitatfilaPréfecture- après cette date. _______

Nous engageons nos lecteurs à lire, l’avis des Grande Magaelne du Printemps

.de Parle que uouspublions anxAnnonces.

s Ë n l Î sÀ t r a v e r w S e i s l i m .

MuTUAuii scoLAiRB. — Au momsut de la rentrée des classes, nous ne saurions trop attirer l’attention des parents sur cette œavro de secours mutuels et de retraite, - qui fonctionne fi Sentis fot qui a pour but d’initier de bonne heure les enfants de-nos écoles aux bienfaits de la Prévoyance et de la Mutualité.

Moyennant une très minime cotisation elle procure aux parents, et plus tard aux enfants eux-mêmes, des avantages qui ne peuvent manquer d’être appréciés.

Nous aurons fi revenir plus en détail sur l’enHinble de l’œuvre en elle-même, mais dès fi présent les parents qui désirent être plus amplement informés peuvent s’adresser fi M. Lestocart, le dévoué di­recteur de l’Ecole communale des garçons.

* *A n 3* H u s s a r d s . — Les Hus-offlciers

du régiment se sont réunis jeudi soir fi huit heures, pour fàire leurs adieux fi leur camarade, l’adjudant Thnilliez, le sympa­thique maître d’armes qui quitte le r i ­ment poor prendre sa retraite après trente années de bons et loyaux services.

Cette réception a été empreinte de la plus grande cordialité et animée d’un entrain et d’une gaieté da meilleur aloi.

Au 3* hussards tous les sous-officiers tenaient fi prouver fi leur camarade toute la sympathie qu’ils ont pour lui.

L adjudant Thnilliez ne quitte pas Senlis. Nous apprenons en effet qu’il M propose de donner des leçons d’escrime aux amateurs de notre ville.

Is s riÈCBS NAPOLdoiuximis. — Dn de nos lecteurs nous demande s’il est vrai qu’a partu- du 4*' octobre les pièces divi­sionnaires fi l’effigie de Napoléon n’ont pins cours, on le lui aurait affirmé, dit-il, dans une ville voisine et refusé de prendre en paiement nne pièce de ce genre.

C’est une erreur provenant d’une confu­sion. Plusieurs journaux ont, en effet, an­noncé que les tréiwriers-payeurs généraux, percepteurs, receveurs, etc. avaient reçu du ministère des finances des instructions iwur faire rentrer au IréMr et ne plus re­mettre en circulation les pièces divisionnai­res napoléoniennes qu'ils recevraient dans leor caisse.

Evidemment ces instractions font prévoir le prochain décret du retrait de circulation des pièces divisionnaires fi J ’effigie de Napoléon 111, mais il n ’a pas encore paru. Ces pièces doivent donc to^ours être accepteés en paiement. Du reste, quand la décision ministérielle sera prise, il sera tonjours accordé au public un délai suffisant pour les remettre au TréMr, comme cela s’est toujours pratiqué j nsqu’ici, notamment pour les pièces italiennes et les pièces a l'effigie de Louis-Philippe.

■' ** *

Gr a t b accioxbi. — M. et M» Cheva­lier, herboristes a Paris, et parents d’un de nos compatriotes, ont été victimes mardi soir d’un grave accident.

Cejour-ia, vers dix heures du Mir, une violente détonation retentit sur le boule­vard Barbés; les passants accoururent et virent un jet de flammes sortir du-magasin de M. Chevalier tandis qu’en même temps un plafond s’écroulait en un fracas épou­vantable. Feu après apparaissaient M. et M°>* Chevalier, tous deux blessés assez grièvement.

M. Carpin, commissaire de police, fit transporter les blessés fi la pharmacie du Château Rouge, «t procéda fi une enquête de-laquelle il résulte que cet accident était dît fi une fuite de gaz.

M. Chevalier, qui venait de céder mb établissement, avait vendu son matériel que l’acheteur était venu enlever dans la journée. Mais en prenant le compteur il avait oublié de boucher les conduites et M"* Chevalier croyant fermer le robinet l’avait ouvert.

La bonne, qui couche au-dessus du ma­gasin, prévint ses patrons qui iogent au troisième étage. Ils descendirent avec une bougie d’où l’explosion.

Sur leur demande les deux blessés ont été ramenés fi leur domicile.

M°» Chevalier, née Miot, e s t la belle- sœar de M. Sogéne Lobé, rentier, rue 'Vieille-ds-Paris, fi Sentis. M. Lobé a été pentant 38 ans contre-maître & la sncrerie de MM. Georges Lallouette et C*', fi Bar- bery, et la médaille du travail du Minis­tère du Commerce et de l’Iadusirie a récompensé ses longs et dévoués services.

Ses nombreax amis seront heureux d’ap­prendre que H. et M‘°* Chevalier, bioi qu’assez sérieusement atteints, Mnt actuel­lement en bonne voie de guérison.

* é *

yAGABOHDAGK SPECIAL. — Lo 4*' OCtobrO, une femme était rencontrée dans la rue aux Coquilles, complètement ivre. Un agent la conduisit au commissariat de police. lA elle dit sans amba^ qu’elle était venue fi Senlis chercher & tirer profit de tes charmes. C'est iine fille Argentine DUhos, née fi La Cbapelle-aux-Pois, et qui a déjà fait con­naissance avec la justice; pour qu’elle ne l’oublie pas, elle a été miM i la disposition du parquet.

»* *

yoL DR Buodx XI d’Effxts. — La jeune bonne, dont nous parlions dans le dernier numéro, n’avait pas Mulement pris les objets que nous avons indiqués et qu’elle avait rèstitués contrainte et forcée. Sa maîtresse s’aperçut qu’un médaiilta en or avut-dispaim de chez elle et cette fOis n’hésita pas fi<aller m plaiadre fi M. le Commissaire de police. Interrogée adroite­ment, la jeune C. avoua qu’elle s’était, em­paré non Mulement du médaUlon, mais oncere de divers effets, Mffiiers d’enfants, un col, trois tabliers, le tout appartenant fi la même penonne. Les effets ont été placés MUS scèllês èt réius «ù gteffo ta Semis.

• ***■■'MéGROioen — Nous avons le regret

d’apprendre la mort de M » Emile Rayez, femnê dn jiuo au tribunal cMl d’Amiens, l^ ld e e te ta l’D nita' des Fenunas ta FrànH du S* Mrps d’htatéo, décédée Jeudi i Amians, dans sa 44* taiiée.

H » Rayez ètaU }a fille ta M. F rta^ . and ta avoué fi SenllA auquel neui « d n i ' itni'iifii linufirii fluédnitanfoi.

;--------------------------

B t a t c iv i l d e SernUcd u 3 6 septemimau Soetobntgçi^

' Nedtùnees. ffi^jti^JndrO-AIbsrHiOuis), rue

37. Lsfm (imaini}, rue de U Montanuid Aigun,3.

39. Lemsirs (Alphonse), A PHêptaJ.Déeès.

Publications de Marines.37. Entre Besant (Jean-Edmond-JonBM

gaffier-nuréobal su 8* hasstrds i L et demqiseUe Danont «arie-HviaJ Csinille), coutariire, aemturau ronlosse (Aisne).

37. Enffe Ponrnier (Jales-Peul), mjri...-- j demoiselle Chirles (Vi«loi^!jî5'* Charlotte), domestique, tons dans/ maurant i Sentis. - <

Mariages.(Néant).

■ — -A b a t to i r d e S e n lie .

Etat des animaux introduits d Tabatu, du 36 septembre au 3 octobre éto i'

T«m m a . PoidanKij l Taureaux... > , T ■& ........ 9 5Mvacnes 3 4635 541VohŒ 47 3000 410Moutons.... .45 ,674 38I*»"».......... 48 4639 sq

— -----------------P o a l e a r e c o n t ln n e l l e s . - S i i

Brieuc (Côtes-dn-Nord), le 46 juin l« Depuis tanq ans je soulDais de don contmuelles ; j ’ai trouvé un grand sonhA ment dans i’ompfoi des Pilules S a i ^ du Baume Victor. Pkrxxux. (Sig. lOg.).

FAITS LOCAUllI T i l f l l O l A I I

ArroidittiiMrtde jSiiàBETHISylsAINT-PIERRE

L ’Epargne de Béthisy. Demain dimanche, de dix heures 4 n i

an cafe Braition, réunion du bntsâiii ^ p ^ u o de Béthisy, pour le paim m i{|

Demain dimanche, a trois heurei iJ mairie, réunion mensuelle des nisôb de la Société de Secours mutuels dai penrs-Pompiers.

BETZE ta t c iv il du i ” ju ille t au J “ ociek

Baissâtes. - is jnuet ; Bonrset (ïc r«(u. — 19 stptwoDrt t fAisis^

Ddcds. — 4 juillet : Gandin (Hanri), 3 ■prol^teiS 'n I

Publications de mariages, — (Néant). Eariages. — (Néant).

CHANTILLYConeert,

La Musique municipale m fera enl demam dimanche, 4 octobre, a im heures, fi l’avenue du RéMrvoir, ara programme suivant :Souvenir de Beauvais, aileno

(arrangé par M.qnat) BsctàSouoenw' ta St-Berne, fantaisie.. ïabig»SolomOd. faiktiisia.................... Bnn,La GUana, valse....................... bbiPoïka Orientale................... .

Promenade neotum e intorrompe\ La demoiMlle Dubos, 33 ans, qui sd

profession d'apporter un adoucitsn_passager aux peines masculinetligmonde, et qui opérait sur les < extéri» a Pans, décida a venir exercer son kib, nitaire mission aux abords de la itn t Chantilly. Mal lui en prit, car ellelil,! Mir même de son arrivée, en file r procés-verbal pour raecolage sur li 1 publique.

CIRES-LE«>MELLOEtcd civil .

du i ” au 3 0 sqptombre jKaistanees. — 1'* : piren (Eugini-ii

- 1 3 : Gusmann (Margnerite-Marii-b.—14 iRoianu (AnaeleS-Adelsoii). -16 :l vlerjPani-Mau^). - SI ; Parée (Ita — 36 : Lasson (Loniss-Engénie).

Dieis, — 5 : Lvjeims (Fabian-Ansiitiilf 8 mois. — 10 : Bretmi (Jean-Baptuie-N” earrier, 57 ans, marié. — 34 : lerey phile-AtthuT), propriétaire, 64 ans, nu» {

PubUeations de mariages. — IfilllM bre : Berger(Paiil), m a n o u ^ , S6aii,r Saini-Geutgts, «t Flamand (Birthe), eeem 32 tns, du liliet, oomnuue de Cirei-1 ‘

Uariages. — (Néant).

COTEEst-ce un vol f

M» veuve Gogibus, qui conchtl les nuits chez une dame L., fut r"* en rentrant chez elle, le 36 septi sept heures du matin, de constat» hé parition d’une montre et d’une duW or,objets qu’elle avait déposés lié sur nne commode. Aucune trace é'A lion ne fut relevée. ChoM étrania, h j leur n’avait dérobé absolument P j objets, alors qu’un des tiroirs nonlT fi clef ta la commode contenait de n et que chacun des meubles avait né dans la serrure.

C R E P Y -E N -V A L O IIQénèrorité,

M. Barraud, contremaître 4 ^ Maxime Clair, a versé 35 francs i h f de secours de la dite usine, et v ^ Bureau de bienfaisance de la ville 35 francs, qu’il doit recevoir ment.

C a Hmmes représentent Ih allouée fi M. Barraud devant M. h .Paix ta Crépy, fi la charge d * ^ tourneur fi l’usine Clair, du préjudice moral quo sa femme s*M. et M» Barraud, en colportants^ anonymer centenaift des pnqw* ' toires fi leur égard.

\ CREILConteil munieipBl-

Le CoBMil municipal s’est 4** octobre 4908, fi huit heures du soir, MUS la présidence a aaira.^ Tons les eonseilleri-j cents, è rexceptim ta i«net.Gaolierr«h.<enis wcaiéB^

Des aeêmeeeman» e«i été msalle des séances ; une estrade cj dans le fond ponr la MuaMéf DinMllTi iM uiietataffiiM ée

Page 3: Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_10_04_MRC.pdfUiiMs 1 Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; tontle [ümds penf

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Î n t il l yoneerUlicipale <e fe ra i. ), 4 ectobre, i i^do Réserroir,

lU^ro ' q u t) . . . . . . ,«, Itnuùia..

Ijaaiit, su it dfaettTMBeiit son

de la précS M. S iiB ^ t o sacré.

d * " l XMba«lt at 1 |p 9 î î % Le "tloûs^ »»4a des iwnep-

‘'"w i îl“ tb ib îtt 't de Bljaii, et i (B » -------1. . 4 ^ ontpbotoïrapbe a.^pW f e»‘ L d ^ g k e m e n t â la Jü le drCreü des ^ JS S iss reprééentaet l’Hûtetde-yille

^^éBOorevx

RÎijtorisation de paisaent, sans for- ' L Îb transcription et pnrge, dn terrain

““f. ientant : S* fr. 03. - Ce t e r r ^ , !*’»n chemin de grande cemmnnica-

r r , , i 3. est de a» m. 03; la montant pr.UTé SOT le relignat des re».

' B r a i e s 4908 on sur 1 art. 45 dn t de 4903. Le Conseil antoriae.* " . . . . . . . .r. B«4oment d’nne tomme

* » d «t* ?»«»?• ««■-—LeContettantonse;lasomme * p^e sur l’art. 84 dn budget primitif

fc ’Siiitm de terrain & M. Çaplain. — terrain, situés au l ^ e a n de

si, imnt cédés i raison de S fr.. 80 le "S.Tsomme de 478 fr.85 sera ajoutée Jîliearces rimnalea de la commune. R iiSritadoo de payer une soimne (le

à M. VenMQtrPOur listes af- ^ et impressions direrses de la tom-

- rdetOOS. - Le Conseil autorité.K Autorisation de payer & E « reure b<i»aiie indemnité pour un mur de

_ u commission des traraUz s’est is 84 juillet 4 903, tous la présidence

lïhiie. M"Lemire arait réclamé une Mère fois à la commune une temme de Bfrancs; le montant des traTarm i eié- Téiant de 849 fr. 69, eUe d ^ d e

ne indemnité une somme de 850 fr. — [Jâiseil autorise.R j ^ a t , toutefois, laisser passer cette

en frfro remarquer arec quelle lenee le Maire farde la rérité, pour

7pu dire plus : < Les cailloux qui ont eUeaussdel’eSondreméat de ce mur,

^ OBt été déposés es-- 4908 >. C est de Kttbarderie tonte pure. Oui, les cailloux MUen été déposés rue des Pierres en |(Ô8, ïAis SUR LA CHAUssiB. Puisque la

iro nous oblige, dans l’intérét de la Té- mtirsTonir sur la façon dont le ..m u M écroulé, rappelons-lui, quoi quü le

die fort bien, que le deuxième adjoint ma, ou comnsoneomcnf de cette amée,[ eiBtonniers, l’ordre de déposer les

„rrts le loag de ce mur qui, sous le M , s’effondra. M. le Maire ne dit donc B la Tirité quand il insinue qne les cail- I causes de reflondrement ont été dé- I su 4908. Il faut rendre i César ce

_ 4ipartient é... Dogué.[90 lodamnité de logement & M°» Pages, irectrice dn bureau auxiliaire des postes, f ù Maire propose une somme de 400 fr. Iprendre sur l’art. 84 du budget primitif % 4903. Le Ceuseil accepte, r 40* Comptas de gestion 4908. — La d is-. ‘iSiaüon de ces comptes a été féite à chaque UHlller. Après discussion entre MM. Du- lit, Alargent, Simon. Aury et Dugué, les ictes d'administration Taré sont ac-

Tl’ Budget supplémentaire de 4903. — tsHaira dit qu’on ne rotera aucune gra- mleation au mstituteurs. * N ou leur ma- toitons toute notre reconnaissance », |bt-il. nncline à croire que si les instita-

irs ètaieut consultés, us n’hériteraient s une seule minute entre tatreconnais- nes du Coaseil municipal et une gratifl-

StiOD...1 4P. Budget primitif 4904.»- La commis- loudubudget s’est réunie le 86 septembre;

LFicqiiot, rapporteur, donne lecture du tgipott. A l’art. 40 (octroi), on a préru

MO francs de moins, soit 480.000 francs; M’art. 44 (foires et marchés) 8.000 francs Osioius; a l’art. 84, 500 francs de moins,1 4.000 francs de moins sur nn autre diele, soit au total 5 500 francs de moinss

PsUocation a u sociétés de secours-mu- ÏHli (article 88) est diminuée de 500 franc* prriùte a 500 francs. A l’art. 63 (indem- vit de résidence aux instituteurs), est “Ite une augiuentatioa de 8.000 francs.

, i. 67-68 (distribution des prix aux éléres IHi écoles et foumituns scolaires gra-

n’a paar^aSahi ifeit p m et

tnttes), le Maire afait demaidé une dimi- ndam ; de 500 fra n a 'ra r l’«rt.^ 67i '* commiiiieà lelB et ptej simple.

M. k ta j n W pas de cet aris ; il préfére­rait le maIntieB des 4.300 francs, mrisau besoin censenâeft A Toir le crédit riidiaie- sqit àSOO fràees. H. Bemard.est de i’aris de M. Aury. M. Simon est ponr la seppree- sidn. M. Trémoniofix : c Et les prixproTe- nant de feudafiensT Les h i m t i â ^ Jès distribeeront eenmie ils l’entendren^ ré­plique le Maire. M. Alargent déchue être partisan de la tiçprassion (U nens rerient qu’il n’a pas tearaurs été de cet aris) : € La rille de C tw est trop paurre pour distribuer des prix aux éléTOS des écoles dit M. Simon. Gomment faisaient les consrilers munieipanx qui nons ont pré-' cédé? demaade M. Aury > .-0n passe an Tote; par 43 TOix cmitre 0, le Maire s’étant abstenu, la suppfwrien de la distri­bution des prix est décidée. M. ' remercie ceux qui ont roté la sapi.

M. Aury demande pourquoi on a réduit de 500 francs l'aUecation an t soeiétés-de secours mutnels : c Par éeoimmie, répond le Maire; d’ailleurs ces soeiétésont tontes nos sympathies». D’od i l s ’e a u it qiia.la commission du budjet égri.e >MO.i(raeii: c Ces soriétés recOnont nos aTcc autant do pUdsir gué 4j dit le Masre. d’en douta ierli .

Le budget supplémentaire de 4908 est roté à maiâs leùies ; le budget prim i^iie 4904 est roté au scrutin tei!ÂfrpBf’'n^M i contre 3 non et 8 bulletins bhiBes:* * ' '

43* Budgets et comptes : Bureairtfri bien- faisane. — L’excédent des recettes dû bu­reau de bienfaisance pour l’uéKicé 4908 s’éléTO A 7 504 fr. 44. I is . OBnqitis nchni- nistratifetde gestion du recerenr muni- pairpenr 4 908, sont adoptés sur la stnnma prédtée, 4,000 francs smnnt prélerés pour l’assistance médicale gratuite. Le GonâMl accepte.'

44” Assistance médicale. — Une somme deéO.OOO francs est préme p n irl’exercieo 4904.

45° Pabriqns. Le compte de gestion de 4908 n'est pas approuré ; le traitemmit du ricaire était cependant abalué-de 4.800 A 500 francs.

Le Ronseii- remercie lé rapporteur du budget.

46° Assistance médicale. Communication et prepositiott du Maire. — Le Maire pro­pose de demander an préfet la nominatioa d ’une commission de médecins pris en dehOTS de la région pour examiner m donnances frites par lesxaéilecias de l’as> sistahce inélieal» gratuite de Creil; c’est absolument la proposition qu’arait futo en 4901 le docteur Jacqnot, alors conseiller municipal; la moyenne des ordonnances dn docteur Bout tan fils s’élére ponr 4908’A 8 fr., peur 4903 (4*° semestre), 5 9 f r .5 0 r du docteur Bmistan pére, pour 490r a 7 fr. 80, ponr 4903 A 6 fr. 98 ; du doéâûr Debray, pour 4908 à 3 fr. 50, pour 4903 A 4 fr. 06. Après s’étre tressé des couronnes, le Maire fut adopter sa propositien A mains loTées.

47° Parc de la Ville; proposition du Maire. —‘ Le Maire propose au Conseil de Tendre 5,500 métrés de terrain pris sur le Parc; l’entrée en serait reportée aux ar­bres; sur rie terrain;rendu ne pourraient se b&lir qne des maisons bouigarises. M. Bernard s’y oppose : c Et s’il plait, dit-il judicieusement (une fois n’est pas cou­tume), au prochain Conseil d’en Tendre encore une partie, nons n’aurons bientôt plus de Parc ». Comme on parle de chan- ;ementde Conseil, M. Simon s’empresse le faire de la réciame pour 4904. M. Pie-

qnot demande la nemiaation d’une com­mission de cinq membres. Le Maire dit qu’arec le produit de la rente du terrain on aménagera le Pare, on construira une lasserelle aliant de raotel-de-Ville an arc,nn prolorgera la rue SaintrCricqr

CaBeaux et élargira la ruéPalmyre, etc., étc.c Etes-Tons sûr de trenrer aoniMmir

ponr Totre terrainf » demande M. Bon nard.

Par 16 oui contre 3 non et 4 bnlletin blanc, la proposition du Maire est acceptée.

« Nous aurons de l’argent en caisse A la fin de l’année > déclare le Maire. Parbleu, en rendant une partie, du parc,, qu’avait acheté l’ancien Coneêil, et en ne faisant aucune dépense, même des plu» indispen­sables, il y aurait forcément excédent de recettes A u fin de l’exerdce.

P i

48° Cotes iiréeoiTTablés (cfaiens).-^Lo m utan t s’éléTB A 4él finmei.

49° Le Censeil sà^réuatt u comité se- cretpenr déUUnfr .mur les duundee de

Lis Vitérems des AtmtiS cU tirri st âi msT

Swiété cirile.de retraites (473° SuriÔR : fb in ^ ;

Lq, Comité informe les sociifUires que lei cptisa^iE^ dn qnatriime '.triinestrB 4903

dnsimr.Le-fruc de la reure sera petqa éksd»-

Le Comité rappelia que cette Société de seceûrs psamet de rerser, m cas de ’-iifisi d’nn semétrire, la-som niailoéut f r o k A la r e n û at aux ayant-droits, et ce, Immé^ distuw nt.

Le Cmnité fait appel aux jennes gens qpi im trettt dn régiment et espère q rn n co>- tain^nradiia.dettaeH.so%Adh4sian.jA la Société ririle de retraitM dés Vétérans des Années de terre et de mér.’ .

. Onjpent sé féire inscrire ches les mem-, lqyri..dn Comité et du Consmlde anneil- lanêé.

Vérsemut par mois : 4 franc.Refraite après riagtans.(toJociétariatLes premières retraites ont été renées

cette au ée .lascrittau 49 septembre4903 < 893.864

membres.Pends placés : 44

Le Comité de là 47 3° Section.■■■O ■ ,î

B la t s ^ i i è i i ^ é .omSI ooioora iiMë. _ ]-■

■ewiepeV™ 89 I Lsimirs'fBtnri-AméMri:

THeis— ** • r ~‘TTit (T4inriii Meil. 1 sa - *r : «isrian (le^Miris). m û T ^ j PiiiiMcU'oRedsMariaiw. ffrertOfan-

eols4B«qaes). sflijdoyé de cbsBrin de fwT de- meunat A PisncMriiteKSstae-elîOisk eHkn- bert (geanae MBémie), coatettsri-diSMW ul Vranooirille. .

PHén ^lerreAdolphe), emaris ammbead de ehstMeveSBegear (HaiieMleiaBiMii» su s ^efrision, tonsdenx d e s u i ln lë iS ë ir

Isnot (smUe-Antoine), doafiar, et L nni (LoniieCtaiN), tout deudmaifliBdBiA CtriL

Btlosrd (lagéBeduis), lunenrier, et ttn - ^uriM ), suaewrière, tBasdenx doU-nesn

ciliés a Cnil.Cherallisr (foies), profMsear A rie), demenrant à La Nearilie-en-Eu, et boni (fMane-IagUie), sans pttMnnt, de-

miàràtàCrriLMàrtagee. — Rirbrisr (|ûtss-Â|^ts}. en-

Trier d’a r i a riafrsslen,toas denx dsmiailiés A Crril.

■ORTftTAIIIELu MiMrdmn.

M. Anitele Gentier, m urarrie r, arait été occupé pendut un ceriéin teinps chex M. .Oourlay, cnlfirateur et maire de la NeuTille-snr-Resseas. Benüèremefrt il le

uitttpour aller trarailler au hstnea» de ourmont, commune de Maranf-sûr-'lialx,

la issu t ses effets dans l’élable eû fi c u - chaiL Lortqû’ilr in t les choeinr, -fi érin- ' tatt la disparition d’un paiikUû rit ’ donOl grfr.

Ge panUlena sans detrie dté pris par trois ttimardenrs qri a e r in f demandé l’hosrifrdité A M. Gonriay et qui a ra in t déclaré se diriger sur Mntétaire.

o i iR o a y- , - n

Aujourd’hui samedi, A huit heures et demie, retraite aux flambeaux.

Demain dimahehe, A frcdi heures, réu­nion, A la Mlle des r^riâtfams, delà Com- ngnie des iapen»pas8ptors et de là Ban-&r9o

Remise seiennelteHtù ties ûu derûiff I

A jiu tr e heures, défeeeRsur la pléiee.L u n ^ tir a l’oie.La féte e’nnnmce comme d e ru t être

partieulièremut brillante cette année. )éjA Un g ru d nombre de boutiqnes, cho-

ranx de béfs, baluçoires, tirs, etc.; sent installés, offrant ainsi les attracriohs les

dlrerseB;_ jS d t o soin, A h d t heures, g ru d hal

seus la tente de M. G y ^ 'n Letournear, briUammnt illuminéeoî décorée.

Due. In^nthN i lalqoe est installée dans l’école p rée iiu im én f-tn iè par les rell- gleusesi mais l’âa to u to t in e leste lifr- mse Ou grand désenofr-des' mères de fantille.

VÉRIERIC'dCcfrfsrifs.

V4rt$rio ta r n s e en ce-momeiri une ré - ritélW lifiam d’a sr ilé iiâ .'^Q ii^^ juge i ; M ttâadi, ra n ^ t r e heioésrdu soir,

plnslMrs gaaiiii jouaient u iacé le n°65. u l’a ru u e de Cuqdé|ne;.STaofne petite Triture A bras ; l’u d’eux, mmulé Augus- tia Harbonnier, Agé dé 5 ans, était uienté dans la Toiture, lorsque ses àmalades lachérutles brahcards; et roitnré et gaaain firent une cnlbnte des .jrins réansies..JLes gamins riaient de leur farce, lo n q u le --^ sen ritA erier; desspacmtahnrilçént

r e t en constata que le prarre là è r is gtod^icsisà. .;

Lé^doctear Hariconrt appelé apssitét, fit le paniém ut nécessaire,'et le petit biessé. u sria qmtte'pour'réstér’inimuile pen- d u t quelques semaines, chose dure A son âge. '

Détmlbiiarre; Augustin Harbonnier a unepetlM^sàdnîplnt (jérim que liri qui a été rictime, il y-a qnelqaiËlemps,;dn mrine accident et dans des-cireonslanee#lam- loguss; _____ _

- Ln siamr Meedet^ m i^ r i* Afcfe .fc Bé-'ten , cuittrateur u P o ri^n t,jé ta it éccupé

É m ri,A ritar- îér ’dM b e tten m £ms nn tombereau,

lonqnepar suite d’un faux meurmnént s u cariaran làf' fransjpérça fa mdtû'drolte arec unelsairiteidite emdrscatns. - -

Le dSeténr,^ appelé immédiatemut, . a. Dresgfli.a« busse u repos d’n riro n trois

Mercredi drimier, rers onze béarei du mmii^ïÉ«rill«r(AehUte)^1«éde 84 ans,

p « o n , nm iculk»; au It oèciBpé l déteUr.ses “‘ 15'<* Maison Blaneiw»,

Irin satomaerin ririm t nb ëhetal onbra-

- . -A A'Lebrot' resta mtriron « m demi*4eure

.enr nii porter .ritt forint A Iri.^

de se traîner tant bHm quemai, malgré usisi»éri8WieesiMi«6le»,ijmri^4 son ptte- Ugaqn’fi i ^ rainenwAl'écnrie. .

ranx w

. ses Is n e r l’abéridonnant, on fut obligé de le transporter A son domiciloi 8, raede-UBIdMnm On^juge delà dou­leur des patents lorsqu’on leur ramena * ur ils ans)i Eri^em eri blessé.

Lés dociénrslerbét, de PSÀ, actnell»- menf en riliégiatnfe ATérberie, Mariconrt

mais ne dissimnléimit p u l’état « c ^ ^ * menf ftaee qu’arait eocasiomié cette bles­sure. . j

Toutefois, sauf complications, les méde- rins réperitent de-Lebrot.

ML éters était assnré contre les acci- dûàts du bntrafi; c .

Ettcore.un aerideni de bicyriette A en- ■Tstrer.

limanche soir, M. Dannel, facteur de rille, qui assure également le serrice d u courriers du buieau de poste A la gare de Verbriie, rentrait, chez lui A bicyclette, après a r r ir porté l u dépérites an train de 40 br 4/8 du soir, qui se dirige sut* Com- piégne.

- 4 frf«é A une ringnanteine dorm ètrude lagare, la fénrAéde la biriwiettbierem- pü-net. LTnfortuné fseteur fût pirieté riolemment A terre et se fit de nombreuses UessnresitairiA lûiguM que n r tbht le corps.

(Somme fi était près dedfâe beqtes dn soir, personne né se trouraitlA pour porter secours au blessé et forcé lui fut donc de se traîner tantbien que mal jnscri’àu café de la gare, t e n n i s M. IbUri»..

Le auibw reuz était tout .éuitiMlanté et faisut prineA rolr; e n s ’a a ^ i M autour de lui et M. Touche Iri donna lés premiers soins.

Après quoi pluieurs personnu chari- tabiés reconduisirent le blessé jnsqu’A son domicile,' 4 0, m e dé SabBÜnes.nd le docteur M aricc^ appelé anssitét, constata que DaunriportaR u » bletÏBo profonde an

frenL arait la. Urre supérieure fn d ie » plnsiénrs 'driris cassées ; en outré, fi .se.

^ lûteHiéc. . '1 ;p-aprés le dectenri Marieeurt, W j l n l -

.firiet-’bteMtrcc'^.que potso* Dannet^'OOBt astcz graras et iMeessiteront Un trésr lob | repec. -

I * r é c o l t ç d é s b e ti« M k v es .Lél

raalité*temps chanC sac ot rasririllé arait été accueilli arec satisfaction dans le monde deseultirétouTs,''’énees«Ss qne eefrerbe- nieht n’cÛt pn qn’améiiwar le poids et la qualité de la récolte.

C’Mt prin^palameat sous le rapport du réndaCHnt <miriitatif que eeUe-ei laisse A d é r ir r i4 é ^ a ffio)ns de^cmiditieBS métée- rohigiqaes 'pArtfruUérement pfmicés d’iri A l’arrachage; it faudra s’attmiare A nn déficit mi poids très épprériable, rriatire- ment A l'an ' démiw. Qaant A la qmüité, ellsMlnble deérir être moyenne; mais la tHapriatare deademiércs semaines est nn fàctenr Snr lequel il b u t compter.

A l’éûmger, la sitnatioa reste, la mémo que précédemment. L’Allemagne et l ’AU- tricha accusent aelnellemant des résultatt stqiérienm A ceux de l’an dernier, tandis que la.Belgiqne et la Hrilande sont dans des conditions anategueslA néllés de la B^nce. En Rusde, la qnaUté debi récrite i ’eri améiiorée,.jnais le poids IrisSé A dé­sirer 1 la cnltnre demande de la plnié. Il en est de m tae en Rmaumio et en Espagne, oû il règûe une àfrécaesériieresse.

poûràai des fabricants de euere).

Le premier Congrès intemattonal W Iriterie a eu Iten A Bruxelles les 9,40 et 44 septembre, n A obtenu un très grand succès. V» comité d’orgarisétien, présidé par M. le baron Feers, a trouri un exeeilnf accnril auprès du gourriitement brige et dé la plupart des gouterhements étrangers, ^ ont nommé de eombieox délénès offieims, jouissant poim-ia ydepart d une autorité spéciale; en outre, ÿielques Etats ont censfitùé'das'comités natienanx peurpro- Toqpsg des adbéslûps et des traranx sur les qûestions portées au pregrummedn congrès. Le comité national français, présidé par M. le docteur H. Ricard, sénateur de la COto-d’Or, s’est montré pi^cnilèrement actif; il a recruté en qnriques lemrines près dopent rinquante menibras et il s’est assnré le concours et l’appui des grandes «swciatipns laitières, et commereudes de

été tués brillante, elle A décidé sourent du sert des réselntiqns présentées par le co­mité d’oiÉanisafiên.

Les sections ouf commencé inmséiiate- ment leur» fraranx; leur programma éiait ainsi réparti : 4° répression des fraudes dans le Commerce des produits de la laite- rie;8° hygiène du lait e t de ses dérirés; 3° constitution d’une fédération laitière internationale. Une cinquantaine de rap-

irts araient été prépaim èt’impriiUés Sur I questions m inises A chaque section.An cours de la séanc» de clôture, les

memines du congrès ont, par acclamations, décidé, sur la proposition de M: Troude, sem*étaire général du groupe français, que les prochaines assises se tiendront A Faite en l’Année 49Mt

Le cenîité international de la fédération de là laiterie a été ensuite constitué. M. le baron Feers, proposé par M. la séoateur Ricard, a été éiu président. La France sera représentée dans ce comilé par M. Ricard, sénateur de la Cûte-d’Or, et pur M. J. Troude.

a

H E R N I E SB»Mndmge-8 oM|Mipm.

Guérison des bemies et diformités dn corps A tout âge, plus de rlngt ans d’u - périence, brenté s. g. d. g. BANDA- GISTE-ORTHOFEDIsn,aRaen curateur bemirire, renam de F u is , attariiè A le

d r i r i ^ g M g é s t e * m ® 7ÿi

h e i S w i Sriaient m mmen ui i i i i e êb ^iriwito qutennt.'' ftafiem int iSB dU sm iiis A^>eMl^

ment de la Ugne____sortes de bernieO^ la _letotale,; eruraie, ombilieAlé, gifAs â a tn u

^estom ac, risible et inririUe.° H . Unnoiwt preure par des milEsrs d’attastatiens la gnMsen'-radieale de la betaiepar aensymnw (Fupainfl dent il est lesaifi moF™taire. n suagaie Aeenfli- tenfr tontes les bOtnies q u a l ^ M seit'id rotnme on l’andenneté, deseerias, rnpi- tUrss, caHures, etc., etc.

Censnltations gratuites eha^U M ls : Bianraie; hOtriT d’Angteture, le 9 de

SmuÉ, hOtel dn Grand-GUi^ le.49 de clûqnemris.

Ctena, bétel du Onamarafi,.]» 49 d» chaque.mois. a"- ..

Peur toutes demandes et ceneaoul^ dances, s’adresser direetonent 34 èt^ rne de Dunkerque, FARLS.

M *” P I D O U Z - R O a E R. , P éd icu re t péojeiilet»

Diplômée de la Médaille for a l’honneur d’in fo u er nos lecteurs et tec­trices, qu’apnélée A SmTii puer donner des sriBs, eue y sèjemrnerà pendant un

» d » temps rriatirement très court.La seule ayant reçu des sminriMs médi-

coles les plus grands èteges, ainsi qne des prindpaax joanianx français, A cause de Mmaaitee. unique d’opérer e t de piur toujeUn’ les cors tes plnslari, oignons, durifions, osils-do-peiditc, t-incarnés, ot tontes tes JnflrnméAdes i ___et dos mains tes enracinées; dmquili

s natere- ipi’weA;triMt, m------------— iteur, sens fsfreArigur, etdo pourrir se rechAisier imn. _sans iBoonr4Ébnt,:oommo l’atteitaM Ml milliors depofonBes conmns.

Ssuaétiwand.«Qiribfe w s A tailler su- porlieleUamoAt tes cors, afin de soi ror do nourollos risitos, mais A les i complétment.

S'adresser an m «uter pédieue iapro- rjsé,qui 'n'a aueuno notion de l’anatourie du pied humain, n é le rt A rien. ’ r

H ” P ld b isx -R o g ie r donne u l f contre-risite (nttnfieusont, afin de l’am i- ror de la guènson eemi^te.

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I Annonces Jn d ic ia ii^ ea .Art. 1*'.

b s l l l i r SAIHTE-BEVTB, iTOBè i ScbUs.

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I >• M ard iI o NoTembre 1 9 0 3 ,I . laurtdenidi.

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i 4n»t S siibunt;»rosè ooMtltu* M*

jlelfed, ;*®** oo °nx dûment »p-

‘“ •‘•WlisaeVi'ÏSSLÇ^l’* w -prêt le n i-

« ** ^• 4» ai»i»!-.7*I0” i1, Tonre « Doré,t» e S l^ 5 ,-â s m tà T ir ;

6 Beat; . Clsr-Furtlesssisisi;

S* Et M. Emmanuel Ferse°cl père, propriétaire, demenrant A Verasoil,

€ Au nom et comme sn- a brcgé-tntenr dn mlnew < Dore sns-nommé; >

n sers procédé, le Mardi trois .Novembre mil neuf unt trois, è midi, A l’audience des criées du Tri­bunal ciril de Senlis, me de la Bépn- b’Jque, à la rente sur saliis-iamoU- lière des inunenbles ci-après dési­gnés :

D É S IG N A T IO N telle qn’elle est insérée an procès-

Tirbal de saisie sui-énenoé. Commune de Yemeuil,

arrondi'sement de SenUs, dipttrttmtnt de l’Oise.

Premier Lot.U ne M a tso n , sise i Vemenil,

me des Bois, tenant d’on ed té 4 nns roelle eommnne, d’antre à M. Noria, d’an bont an chemin 180, et d’antre bont à IL Horin. Ladite mal .en ca­dastrée sectien A. numéros 8109, 8110, 8111,8118.3113 et 8089 Darde. Ladite maison et ses déptndenees comprenant eonr, jardin et rerser, le tont d’nne contenance d’enriroa trente-trois ares cinquante-trois cen­tiares.

Deuxième Lot Dn terrain en nature de pré, sis i

TamenD; lien dit le Petit Henmont. cadastré section A. numéro 8179 partie, tenant d’nn cûté è N. Prémy, d’on antre aux héritiers Poncelet, d’nn bont 4 V. Lanrent, et d’antre 4 M. Caplain ; ledit pré d’nne cente- nance d’enriroa treize ares ringt- qnatre centiares.

Troisième Lot.Bn antre terrain en nature de pré,

sis terroir de Vemenil, Uen dit les Prés 4 Fart de la contenance d’en­viron dix-septaresqnatre-ringt-OBze centiares, tenant d’nn côté 4 IL Pré­my, d’on bout an même, et d’antre bont N. PanI Mercier; ledit terrain est cadastré section A, numfro 8199 partie.

Qnatrième Lot.Dne pièce de terre, sise même ter-

ntir de TemenU, Uen dit les dos, tenant d’un c6A H. Alar||ent (Fran­çois, d’antre anx héritiers Pescsiet d’un bont 4 Madame renre Pntman. d’antre 4 M. Démy ; ladite pièoe de terre eadasttée section A, nnaiéros 8016 et 8)16, contient enrhon dooze ares treate-einq oeatiarei.

Cinquième Lot.0ns autr* pièce de teno, « nature

de champ et bris, sis è Vemenil, lien dit.les Clos, tenant d’un edté a M.. prémy, fantm an même et AMadune Vau, d’an beet et d’antre bont 4 IL Prémy; cette pièce de terre d’une eontenanea d’enriron dix-neuf, ares ringt-hnit centiares, est otdastrée: seriima A, numéro 8C6I, 8088 at 8064.

Sixième Lot.Dne antre piècedeterre, en natnre

de pré, sise même terroir, Uen dit la Fosse an Uoré. tenant d’un coté 4 ia rirlère l’Oise, d’antre è Mad<me Tenre Hiron DoUche, d’nn beat 4 Madame’ Martin et d’antre 4 M. Prémy ; oepré d’une eoatettannd’eBriron hUit ares quarante centiaresest eaiutrés section A, numéro 1806 partis.

Septième Lot.Onze ares tnnte cèntiares, mêsù

terroir, lieu dit les Clos, tenant <éé deux côtés 4 M. Prémy, d’un haut an même, et d’antre bom à M,.Mau.

■M T H ii» A, .P R IA Oitre les charges, rianses et con­

ditions éaoneéw an oahier des charges, les immeiihlu dont s’agit seront mis en rente snr les mises è prix snirantes fixées par le peur- snirsnt :

Ponr le premier lot,snr la somme de...........

Ponr le deuxième lot,sur ceUe de..................

Ponr le troisième lot,sur ceUe de..................

Ponr le quatrième lot,.snrceUede.................

Ponr le dnqnlème lot,snrceUede .^ .. . .

Ponr le sixième lot,snr cèUe de.. .......... ..

Ponr le septième lot, snrceUede...............

400 fr.

10

10

10

10

10

10Total des mises à

prix ........................... 460&P u i T f f e _ X i é g a I e .

Déclaration est ajnsi(aite,encoiifsr- mitédeParUcia696dnCededa pro- cédnre ciTiie,qae tons ceux dnchtf desquels U ponrrait être p is insarip- tion d’hypothèque légda sur las im- manblés mis an rèiite,daTroBt èmqué- rir eetta Insaription arant la trsns- ariptim dUjuganMm d'adiudieatioB.

Fait at rédigé, par l’aroné sonisl- gné,

A Uariis. la 8 Oatohrc 1903.llgnétA-RAniZS-BEDVI.

Badrassar pour fss r sy ség ip ^ ilè..1* A M-nADRfrMIVX «TMli

SanUs, ponrsnifant k tenta;y AM’ nmrnni, huteM è Font-

SaintaJIaxanaa;8 * AS « M ^ Mbnial sMAa

Senlis. « i la eahiar des ehaige 44pOlén

Ponr insertion . 8isB é:A 8A linE «B T l/

. ijri. 8.EtniU do r U aim te-bevvb ,

aroné i SanUs.

F t e i i y g e I , i é g a l e «Srirant eip'oit de M* Lhomme,

inisaier à Cnfl, en data du trois oetobra mU neuf cent trois;

A la reqnêta da :1* M. PraiçDis-Iulas Candtin, pro­

priétaire,'demeurant 4 Crail;fr Madame ErnesUna-Léonfinè-Zi-

Ua Pmtiar, épousa séparée de Ucus de M. Inles-Adiilla D a^ y , proprié­taire, et 00 daisiar penri'assistar at l’autoriser, damatnant ansambla è CraU;

8* M. PéUx-Tlctor Champion, pn - priétafra, denunrantJi.Çcf ’

4* IL CloTis Bnehuiaa, proprié­taire, damcnrant 4 Crrii;

5* M. EmUa dbiy pète, proprié­taire, doseurant 4 Crail;

Pour lesquels demiaUeast è SenUs, 17, rue de la Sépnbliqua, en ITtnde da M’ Safaita-B.jure, ayené;

Notification a étéfaita 4 M. la t iu f curaur da laRépnUiqna :

Dt PazpéditioB d'un acte d’un aaia dressé an fiiafb du Tribunal riril de SariiB, la dix-huit Saptambra irit neuf aant trois, enregistré, aonstaiant ia d ^ sfiWtné audit QraS», par M’ Sainte-BinTa, aronéL da la aopia timbrée, aoUationnée, amnéa at enr»- gistréa, d’nn proaès-rarbal d’aï aation I & é p « if r lia sé ^aant trois. anriiMte. faisant mita A un aaUar ia auDiM’,, a n ' t o du dlx-sept éuin Jril n ^ aant tçrisi:

Alareqntte és: ' 'r M. £eAl>4tmoB-Charks Btetef

tibréhe pépattârvdsmanrant i Iteia, IM 4n Pstiboarg-8afnii|araB, itiè- tnfroaas;

En présanae de :fr M. E*nest-Paul Bégis, einployé

da commmoa.daBBanrani è Paris, n e dasManls,88;

frjladame Mad létBa-GéliniÀBè gisi;«onsa nssisiéb et autOriMè do M. LMdoÂnnste-BoinaL éhénista,

00 la^^.dantei«bA Faris,riio ntjf-'ffimnrg; « n _STladtmo Lnàip-béàjSte Dibnina,

tm fè lie da ariiunna. demanrant 4 Pans, rua S^Ua-Riiteate. an néroB, tenra da M. Pisiro-Léon- Eegèaa Bégis, tntriaa aatnraUa et lé­gale de Attdié-Léon Bégis, son fils fflinaUry

d* M. Alexis-Albad Bégis, aresal, demenrant 4 Pmis, boidarard da 8é- hastopel. fr 16, admiaistraténr nd Moo du mineur AB)«t4rnast Bognet;

5* M. lean Frost OomptiUe, do- -onzant 4 Ssiat-OijiM,tuteur des minanrs Viator-Jean Béris, Eogène- Lonis Béris et Gabrwle-Léoatine- MarieBii^

El ahaora en présanae da : fr M. Piarra-Arthur LabrenlUèra,;

impioyé de oonuBierce, demenrant A ;, aranne dt CItdiy. numéro 78;

subrogé-tuteur ad hoe du mineur André-Léon Régis;

fr M. Pierre Emtrlag, taUleur d’ha- . -Miv'dameurant 4 PsriA aranne do Clieby, numéro 800, siuiircgé-tnlanr od hoc des m nénrs TiaiM-Uean ; En- g s» jL ^ s et 6abrlflte-Léontina-MaT

Ledit procès-rerbal aontsnant ad<' jndicatien an profitda :

Pramièremau: — M. Ganahin, do Doc Maison, slia 4 CreU, plaoi'dn

Marché, nnssfro 18, «Tte eonr et 'itdin, 1000015*00 cûté M WUe- jousa (Alfred) at M. 'WBehCnsaÇBériÿtri, freâw oêé la______riiaoditjkrehA 14 A’un 'bMit teuré frftttt)E»tra bout la rue; 8Icy«mittt,”ontre Its dtirges, la

pûte lfmstesl de cinq «ilte firaiseï;pjsafèmémnt'— llàdame Dsli-

g«y»9a?'Dm Maison; riso ACraUc piaeo dn

Marehé, numéro 16, ôamwanant niK testent, an ite-i»rdir—bcntiqued'éricerie ét i____da maichana de rin; acnr et ]i Nnantd’nn cétéla maisar’Ol ^ ,

riria,4’antM.beBtIa rua;. tes ohngae, te

iiilte dnift

^Drislèmamsnt. - IL GhuijibB,

Dm Maiscn, s|sa i Crail, ^àao dn Mtfahé, num«rc 14, ana ccnratlite-

tenant d’anaétéla., —llMirahé, nuafrc 18; frtum eOté

la maison même place, niimérc 16, ffnn bctaranra Gariria, d’antra bont

entra lesde tin tetifi ssfdunts,

QMtrièiMiitant. — it; bnâètena, de :; fr Cteguantaaraatrate-holt tiaru d’après ]Ug«nent,'at rinquixtO- denx aras trtete-hnlManiiaras d’a- pitelas türM. .da tairtr tarkfr.dp GteU, Uen M Saint-Ladre, tenant d’nn c6té Madàm Durai, d’antra e6té M. ChariM Mcrean, d’on bènt M. (üi- plain, d’antra bimt taisant h Madame Dirai at autres.

Sériien B, nnmdns 368, '389,'370, 870 bis.

Moyennant, entra lei eharges, le Prix princtpAdO quatoroeeentein- quant» flranfs.

te rtn^^en édt' M Ô i^T‘re^''on Sainb-Ladra, tenant d'on c6)é at d 'n h«itMadjw.DUrai,d’antio!a6ri fri­sant hawa MM. .Dnby at Pércehè, dainite'hem M;Mcisset.

Seaticn B,,Bnméros 847 at 860.MCfwn'am,''Outra lés éhantes, la.

prix-prina^ da tretee quemtepranu.

fr Dix-aept aras tranta-rinq aan- tiaras de tena, même tanrir.'nsi dimrint-Ladra, tenant ^ r o 6té 't d’nn bout Madame Dorai, d’a n n ï 8ri( riurièçn, d'autre b.nt M, Mri*- set.

Seriicn B, numéros 865 et 866. Meyanntnt. outra lapiebtitem,

prix principal daqaatrein Utim e anqulètnsment. —‘M. tibt , da i fr Vlngt-ilz aras tréèta 'céniiarai

da tarie, mêmi teirrir, lien dit la ’PCnd de Mslaasite, tansnt^d’nn'aêté: M. Arthur BiiiMt, d’antre.efrd M. Louis Prrrat, d’on bim la ahamin déla feDpé da Mibsrisa^ d’iptré bciuM.Prriny.

SfétiCB B, ntotterc 716 imrtia. Mcyénnant, entra las chargea, le

nnte^nripal ij^iinqeeUebiqaànt»

fr. Trante-nanf area^qaattthriigt-, hnit ciatiaTiS M’apsès JugauSinji ' tié ^ h u it ares qaatrà-ri4(-nn a ttm rstfiriB t le f tU ià ' '

Heÿannsnt. entra tes _ m it ririneipid detstetyaiiit diaflunet.

Arec dédaratien à M. ia Procnraur dalaRépnbfilm:

Ouf liA»' MfalM aenbnaéaùnr 4 I M d a ___dn GedatarlU pour qfrfi air è nran- dra dau là délai da Mnx ZMis a t»

raientIVMé.

et damsUre- at qUittts da' tentas héeairas de aatta Bé-

ontMittrandfnra, élàlat^ Dirine-Hertsnsa-Léenic Bognat,

rrara dePieira-Deminiqaa Bégis ;Lritise-Dirina Delsttra, ranra da

Letdé-AugUifinJegaet; ^.PonrfrVticiait 5 : .

Pierra-DMii J>alaitra<«t. Marie-Eii- sabath-SepU^Jexga, son éprasa;

Sorplna ap'fcle 6 et la tataUté dm »iras immaùbtes :

Cemmnnanié «itra tes époux B0-. liiri-Dslatjre:

Peug te te rri» vantemaat des qttatpajMteriainJols :

Alexan»aP«nrttîPiriia de l’art. 6 at partie da'

fra rL d ':......................... ' .J s u ThnilUar et Maignarite Barge,

iw épousa;: Autre .«ante da.l’an. 6 :

Chartes-Hcumé BUa, Piaira-Idme- niieris. at MariajCmbtte Dnby, s»»onsa, Aana-Mariq-1!*'*~**- **'- épe»a de Piarrs-Haàri Anne-VtC'orins Hoc, épeusa da yean- BapaueecHlMBr;

« t. 6 :is Bsiga at-AppOtae

Héron, son ^ n s e ;Surplas«H.6-;

Niorias Drman;-■Art.V;.> ■ . .

Lonis-TipmaeLaRrreetABéiBqnal LeapuL s » épéhte; >Leids-AnlOMé t t è S ? » Haria^BteabstkMaite. MsMriac, son »aas«; LomaiMte

Pàrtia''ari 9 :Suteblte-tlHii IW M et

Lonlsa-Sophislmm'àS» 4 e n e ; sn » K u rt,B :

Hériôawi' tin;

fr ltqHa.4enarcsaix.dn-»ar das-

lè te ltk, . '.p o B fte iw ii# ,/;;

’tf llB éo A 'M d p aN IB tt

EtndedéVdnii: .r.Oi

S ^ g n Û M I t Q iq i .

'»iié*QDIILT, I ______________dama dsUwmelWStelBÿ

Damandaiaasa, .J —u t t pMâaM

mantè

P«tiaait.8 :4ranm.udié.iB^ .Bateam;nattée da Crril, d’» boni p . «

r i * dBntièmeeBëai PoMtait:

A tâS^V te& % è*à1

inuT.bont le ahom da CnuSeation B, numéros 184 «t 181

fiftto

Page 4: Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_10_04_MRC.pdfUiiMs 1 Tbnt le mande peat onTiir sans ntorbation on débit de boksona, et [ii^iaonner le c e ^ da peaple ; tontle [ümds penf

if:;-:

F il.

I

ttaOêiê

in f t » tioaé kànxrn

m J jG ^

OUrifiit (b( AMiM à i StkUt' . » A i^èrT iM , '

«IMtCE]W'i»ltftii-

Ifwgttw tMtMo» 4» I» fix jite i t f mbC «tu

'lCRte KMime Pé.Mt-lfinalto L m ix m , biRBchlmiue, doBMr îia tà fc tiW iy e ,

nrtijnk «t K a iU m at nas d«Bi- «■ u r t i i ta M eouof,

JlTdRilltqMltdtTMet a M |(d> MM< ■ariM'lM^^poax amuh4L>> T K un, au fMût i» Madama Am euta. : - .i

À Sjmffib 1* i O ^T ê 1903.Penr «strait :

1771 Signé : Pàdl DEUPOHIE.

Bada d a y ; ô t e ^ i « t , im* U n i If; nuBér» 11.

BlVéiCE

eoitradietolmun IdbiVMd eifil da pi»- sa da Smlji la doua : ^ ^ , w ^ t r é ,

laSa-llaflf'Aÿa lia 11. Jaain-Biÿ^ j t , arae Itgntf alla

fioil 1 iiPo»-Sidtta- ■ iM in i afin tm aM » k rdaMaa at aM tn idalritlP iiii.81 . raUloBt- UU^iUeqilàdiawQaah. la «

^m ua aa# âB ji^ at. . waaMaattoiaaBa, corn-

üAadBBiit u f H* Oioar

« u t p tf M llOjir w PMIMMytafdaktl la Goar d’an*i da Paris, y êananee l» , bmarattBaapail,

Et la dit aianr iBicoT aaaaoaiaié, Dtfndaar aa laiasiiMl'at daoiaB-

4aK:npaBfpiiqBBal, aoaaparaat, e m b u l ^ p iU antjw V Siinta- Battra,, aroaS à Snmi, ma aroai

a

, la 'diràraa a été proÉoiaé aatra Isa époax Qicer - Floobt laaaoaw*, a ïK afit dadUdtaaa mooT, at ca afæ tontaa laaooaaé- qupaaa da droit.

Poar anralt :0. silÙBX.

UinraiiBiid.

An. 6.

b i Astlonairas da la Sedété flaoBsaa la u « s g n » .n C , à UabarriOiaa), font cenrogàéa an

' 'Tâla ordiaalra la , OelobremU n»^i

j à tr tit htmm priéitès înCïaBd-BAtsI. U . beaia-

Tarddaa G an^aa, à F iÙ , d l’rffat d’aattaidra n eoinpta^raa^ par la SénMh daa q iérationa dé i’astrdoa

% laln cUrniar,-atPom^^uiUt^ux i ^ ^ l é t a , U

laat étta propriéiaita an moina da dat^M ins qna Isa Aettoanairaa aa portanr awont tanna da dépoiar b ' ■km aa mina arant la rénnii

. «aaa la eaiaaa da la Société, à Bar- BaQT, on, 1 lanr roloitté, daaa ealla .diF^. Lania Pairoar. Bonraa dn .eanatarea, Bnraan 1U-U8, Parte, Jam x bNraa à nidl at dannabcara

iriaarad’actioBa noaiinatlTca ' daeadé^fit. 1786

M A m O l NS'atlCBBU

Carda Kan^on^ma Hint daa Tn(i nnniéra57.

- l ’ad jndiealio ;m U a te . XaniM S » 'o a -é te m i 1 0 0 8 ,

, ddMwbaHrctdarciiaéa.En lïinda et par la mintetère

da M' Bsainot, notaire A Qatt, eonnda à aat afat.

ffodrener pour Im htutignetm ft1* A H* SAOnB-BEDTB, a m é

SaaU, pontaniranla m u ;S* AH* BESASU, notaira à Ciail.

d^oattaira dn «abter daa «bargea.

Ktada da H'SAX>n>BlBTB,aroaéàSailte.

SUH SAiSIB ImÀi OBIUKRSnn : on .

rariTeousiiEnitBsa i PLEimBoai,

ma dn Poita Bartaanx,

2 ntcM de îeifeet Préffiaaa tatroir da PLEUfilNlS,

E n iM la-'Iia ta ,L’adjndieation sera lien la B in rd i

8 0 O Q inkaiiB jii^S ; àm rtdim tdi,

I n l ’MdisneaUa atidaa dn.Tnbnnal dfildtimiiléraiaataBaa da Scnaa, aéait an Palate dainnea, rawda

JaBépabliqu.S’adraaaar pettrlH muÛBtummü.

T A H* S A in E -m ifE , arené à Sapite, ponrattrant la raata;

r kU ‘ DHEEBE, bateaiar à Pont- Sainta-Hax*naa ;

,8* El an 6nét dn Siibigul eiril da Sanlte on ia eabiardsa ciiaigM ait déposé.

iH‘ Loois ESCAfT.aroBé assiiiia,aaMaaaanrda

H' M a u a :trm iZ0S,netatiw à

V E ÎT E SUR IICaTATICa^ aiiiiw Hajiura at ■inanaa,

«MC’faeuUi da rétmton, n'oiB

iUSOd tVlIRlilOUIIOlPMnstBiMaa al Itépaiinaiiaaa,

ateaakBAHON(Qtea}, pteaa da l'Bdtd-Sian, ma Saintr

Antoina,appaléa la Ctefyii,

!0 Pièces de Terre, j Bois et Friches,. ateai tarroira da iaRON,

HeKlACNT-SADilE-PËUaiË, EBHENONTILLE,

PLESUS-B£|JJtVIUJt, TEBSIGMT, P£B0r-ÛS-G01IBBI£8,

BOlSST-PSESNCr at NAMlEDIb-tE-HAUBOUIN.

L’ad|ndieanon anra Uaa par la mi- nlatéra da H' Pdnzoa, nouira 1 Sénlte, coawte k cat aarair :

La JMmnnelia diat-buit Octobrt« tf MU/’nlevift an ia maint da ia comfflnna da Baron ponr la maison at la dt bote ateai a Baron;

La mêma jonr, dM-lStit Oetobre m km ul ecn» troi», a arotc AcurM da rétenéa, an lamairia da la aoia-

AiT. 7.

IRIBCNAL aviL BE 8ENUS _

ponr les imawnb.M snaéa eemma- jiaa. da Montsgâï >8111111- 1100111.

k-ii:.;:-?-.- EnaanonrUia, Plasais-Beilavilla attetor Invitai, andanfantesiar à la -T inim r «Mini*., 1. rn-Ol-//1...1I .

la Tingt-qoatra Saj a m>i ntnfoaat trois, H. Hi

réaidanca da CioH (O'st), a décteré avoir cassé sis fonctions et vonloir lOéiar latatraltdalon oamionnamant

LtUrtflier,1767 P. BEAUNIS.

Sb» l ' i _ApMrda^HaMa.

i!: ■ d » . „ . ________1 fE H ntl i t'oiiâbia, par la mi- a is t im d a M * Q ^ S 3 Æ ^

M O o ra iin aHNona priona laa Datnar;

ftii n 'annlent paa akvn- raràBmra Càtaibgna Ulnat t r i 1 S a iM p d 'a iv w p â,

^ a n Crira k demanda E

L’an ra iiin r an aara fak n a ^ 0 n t l l M t f m a a « i

->.id a r

t| j£É lalai<ajà d a n baBns.-A-8aaU, an

K Cbiaa Bona-T. ■ «ada u p - m e b k . bnteaiar. j « - - , t ...H... , ; /.uy.:.,- . I - ‘ WBMte^Haïaàca.

« A 8:kw m M . I ^ llamlBteteradaM~Bh«he.InaaiEahanteilon sur dotandi.

BBlard en bon éiat|avic Accnsaoinia

A ’V m d M 8 6 0 fnwttoa. S’adr. an bnraan da ionmd.

:at Tévaimaa, triés, pnta,daiamaBeai aiginteai. <. I

lONlMMie Lonratlu^EW(Scka-at^OiaD. ' '

P adx t: 8 8 bnmolB.

iBiés à g r a ^ rattilamanta dn Na«*| . lo d g ^ biéa anglais^

P r i x t 8 8 Inuioak

haata.

M i n ÉTonn „—— I Poiwaaliim d e B iivoii.

t r U ^ g é B é ^ l OannUiu 1801-1904,

P H I. J m b ^ - j ^ u r t l n , |u S ^ d a ”Baï£7,-à *à18' Oatobra U06, i nna||'amiaHa, la is ociAi*

1908, d aaa kaara at dnala, an aU- t m ^ B ^ »« fardada Bomalaa, ancbltaan daBaraï.n i a » à T v n a

. i . . . . . . , . - H i ) w a t i M i g m i t s Æliiaar-agdaole, i Chantilly (Qtea).

16901, Bimandia 11 Oeîobia 1908, à cinq haarea da ralèNik^inr té^mintetèra de W-Balatamy, corne piàate ato iteeéedaEBam 80 aaaoaraa, atea an terroir da Braiaanaa,

PIANOS Aocords , Bépani^iiarl M . i CralL 17441

A C j É . D E I i

£trahd tlâfè-Billardspramicr et pins importent'de]

grande ville, cbiyuan de^dépteftè- mant, Blaiflcaà nets : 80.000 fianm. Sofflina demandée : 40.000 frai La meillanra mabon de l’endroit.

S’adresser à H* Héachion, grafflar da paix, Estréaa>Siint-B,nia (Oise).

1761

T leéeit B O lO a a P O Tà OEAHIUr (Obp^ ; ^

[Prtaiapfaiaiàpdiip ollaginuaHa

Itada da H* LOBiPtéey

notaire

[PÔDB CAUSE BE BODBLÈ HilPtm Bem Pmadai d a

ik< i » T i i lê |U ir iü t« É r  J t É I V O M B

I dans de bonaM'condittèna.

t da M aiaoia'Aise « Piéoy-

’-Otea’, U àliya-R ^ A v e n d rë ' adjndiaatMn^volaBtaaa; ieyiih-

taaqSa„U.Oolobm ISOi^i dcax banr. « .nU tadagipar la miniititadi'

H T w S o îsr

GfifiDlT F O B D8 M O BSUCOIHSALB DE L’OISE

Kiaetw : 1. BOUC, Itiat, Ihelm ea ML BareanxaBiaüVAis,49,raadeCalaia.I. — P i4 ta Hy|)9tliteaii*M .L t Cridit P’OMter faft an nnmé-

raira jnsqn’i eoncnrtanse de la moitié de la valenr des immanbles, des prêta hypothécairea amortissables dans a s

ideiai de 10 a 75ima.L’intérêt est aemaUamantda <fer30

.par an.^onr an prêt de 71 ans, l’annaité

it l ’intérêt et l’amortisse­ment est de 4 ^ 6 8 7 ,.

Le Crédit /roncier consent égale- |ment dpa prêta a conrt terme sans amorttesamwit ponr nne «tarée de'êa 9 ans ; le tanx «Mintértt aanaal de casBtada da H*tDii(»n BUXCabB,

-inoiairaA Poat-sta-ilaxaBoa. 0 ..1 -r«— |prêta,eatda4180 V..

AA Tmnre - at n a tl, Parmi tes nombranx at importants Aavdim coatanantl avantages qneptasantentloprêtsdn

anaainbia 8 hact. tO araa iO caaL, ateiCrMtt/oncMrÿQirsnt leasnivanta :

A V B I V D F I B

inaMBOBBaacondittena. ! |aibtii6lteMdaPoii(peint,Alam«vll‘ ExiiBsiionprogrMslvèdaladstie; S*adri an BnraàndnJ(mrnM lëteiB«t' lUiaailfHi, an ia Haine dalS’ Non axigauiite dn capital: 3* Pa-

■■ -T J ' isalat Baterala U nlpoint, et par telcnita poqr les Mpnmienra à long

Jolie Chienne hraquelF U RETS A V ERD RE^itsSlSLâgéadaSana,’trèa teciteàoonanira.| n„-ii. s . , 1.__,^ |à li;:ttif teaH aia ,d a8 « -fla rv a te -B’adr.anbaraaadnJoiimaL 1764|

An Heniinjla Chaniani. 17811 Pontpeint.

liNBeiti OsoRRioi i'iRiiir. k I mb dTvnnO o c a a io n . A V é m d r e 4 ^ S k t ü é

A V E IV Æ Â B Æ I' POQB CUTU D AflgÀifnTBgMfBniy

BICTCLETTE ikME <«><1» de Boneherie

-- . ICHlgnotaiiig itlMmiM dé m Ubwdr p«r antieipatioii ' à daaxl'atparfractioiifc

II. — Pi4ts Communaux.Là Crédit Foneièr prête : anx

Commnnes, anx fiepartements et anx Btubüfftftinftinfl oabiios.

Le tanx d’intérêt est actacUamant : m 8 « 6 '/. polir tons 1m «mpmmi,

v U n E à Pottt-Sta-I l U l v . HiiÈénea, Penbg dn Nord, L ___________ , _____aa'la dcoMuade H** vanve Laaraa-ldes Etabitssemsnts pnblics.

dMrtamentanx at oommonanx :Et da 4*10. V. pour les cmpranla

A asatène. ' ’ . AcoûteStOfr. Lateaéai800tr.

S’adr. an buaan dn jonrnaL 1766

Etada dé ■ ’ DELAONAY, notaire

A D A TO PIC A V lO B iJbe bloc ou parlote,

BariMiy, en la Mdle de la Hairle, DUUKCat H OCTOBBS 4 m ,

a aeuu àeuree a» relate.Par te ministère de H* BnukOiUT,

notaire,

7 70* 98* de Terrean una aaula plèoa

An tarroir de BARBERT, lieax dits La Justice et Le Bamd.

(Lonée k H. Bonchar, de Bray, poar- nne durée devant expirer Parte récolta de 18131.

Un planr de limtion tara mie i la dispoittion dee amateure,

Ponr traiter, à’adr. à A ,66, me de Snabrol, i Paris, et popr tonayentaignamanta, àH'BiuoiUT.i notaire. i7 ë |

Sitoé daaa villa eemmaaeute de POiaa. Cfavlandralt à janna Bomnie. I

"s’adr.an Bnraan daJonmaL 1641]

A n ia Box,<ooiiPTi , .radmaaér diex H. PÉChUUBte

Idean, at par le mintettee de H* Bi- chaid, notaire à Pent, tevQUnanteia 18 Oitcbra 1908, t nna h ^ à .

iifiiB Etude

, I l 0 B I 4 I S 0 I S S îS à a " “ S ï : .bottrg dn Nord, anr terenta natte-rnafttrsi,/Mité, Umpide,banme»n

It.A T en d re par adjodioattea, laarMitaii. SU l M trw nrtmtaaàri.

soit m pmonne soit par eorreepondduee k B e ta n a ia ,daaa les bnrednx da te Snccnnale. 48, me da Catete. JoiMire un ttnon

riponee.

T I I m B iE Ù JO U li

ATll A n . U l flâljipilBÉ.. C B A P B A H ,. 1 Carny,

par La lerté-Atete (Sainarat-Wd’ utinmaHH. tesiaar dtepoaltten daa d e i ln ^ d e

P* « fétovagüdàatei- an ^ da lU o

[la IM ^ a 70 V. d’Wdi avaa raaiiaa.

iM Uda V ianfiPknT , netain ;A BarOn<Qiaa|.

1 iuniLâïî$t,ssi:1,4e rapport at d’agiéaaant;ia.B hae- taraa at demi cmlMivaitnéaii Bmoh I (Usa). S’adraaaàr i r'BaaéPatlt.

186»|lm da da .M’TBiHeniH, notairal ' à Aay-an-HnttteB.

V B N D R K

VIEUX JUURRRUXBM BON Etat

peur Paliitres al HaimhaMia BOoeafoleldle.

S’adresser an Courrier « te POiss.

C n .'naéatece , mnai de fM«m-r4teraBeea,nemaDde phee, te g iÿ 1 ten ts^m alle tte teinae pmirTa baaaa-conr. 8sdr.an4MraandnJoamd. 1736

À » ÙaaaadeTaOctda cfanin- l » e , marié: Séitenses rclérwcea.

Bamande tem nae drf ieA rleiuw .

S’adr. MbwaandnJonmaL 1730

» ba damanda mm apprem tt pAttaelee.

S’adnaaar ohax H. HOUTÉI, ma de l’Appert-an-Pain, i Sentis. 1713

•aér lC a réo lieM 3 ie id te iir , 16 àna, maiié. d em an d e p la c e «érlem sedns nne femte.

Sérieutes ré/éreness.S’adr. an bnran dn jonmaL 1669

•M On demande, ponr maison da CMnmarca, nne bmime de 18 a 16 ans, venant de te campagne.S’adr. an bnraan dn jonmal. 1738

eM nieagtmaat.de

KaaaiMe rpaH cB i^r IL. ’

€ h im jfèaaea t # a . D em |JA partir dn ! • ’’ oe to inè i

cthein,.l.a A>eli«râ de C-.m M e e d e m c tee l lè e P é S roài transltres plaw e n a iî^ e e iL m * 8 b l£

S’y adrecaar tenmilvaa.da

RVIS lllfORTIlPonr tontm tes kaaniMi

eatta.maniten: S *adreeeer aun.#i

tonte deaaanda da doit être acoampagnéa 4 b

Une eera rtpoadiuémmm mÆmdÆÊUÆamt Md ' i£tÊà}mm re mm ^remmTemm nmmrépoMa. . . . -

BOÜLAWGBIÜE YIEWWQlSilPadam d e Qmana e t d e deeiCieiMt,

rama n x a iu a n m

A N G 1 B 1 N N B M A I S O N G H B R O N N a { |

» om. BARBE S'X>Ukp0 d e l a K m U e . S B n U g ,!

Médaille d’or Exj^iaition internationale Paris 1903. Lanréat de la Croix d’IioiiBenr.

A vis à MM. le s Ghasseui

ON TROUVEà l'Imprimerie du Coumer de tOini

DES DEMAIWES DE

PERMIS DE CHXSljoistrietloi de Voitires et de leies tintes i

Btndada H' BELAOHAT, notiàts tSaalte.

IX n t i f H par al]ntBoteiaa volen- | i VIBUll taira, nna M eieon , a ^ à NaoMdlaAi.;3a>’J>im<iieha

- - l u n r e u e m u S “ * : - - | a £ S a r W ï S S S . ’* i

: »«« W * * * s - to - l ’garda

I a»-panr-àiiitar A tm aai. i i i f t i n At u d b

i r gffOs» déeXre a e q n é r i r l

fonde ,d e c o m m e rc e lebao, I 711», iiqaeara,' aaÿta» d'na» stanonl [dacatmiadefor.,. iI S’adr.. an Bnraan <ln lonmai. 17741

M r J a r d in ie r marié damanda IIpieco. Bonnes rwérences.

Etada da M* DHEIBE, bnbaiar a PMtt-Sakto-Haxanaa.

Abt. 8..B IB U N A L’ÙE COHHEBCE - BESENLIS

8 Y N 0 1 C 4 T

Lac aréanêiara prétnmés da la teil- Eta dn. almr Loate lAcgons, éponx dadaaaa Eteabath Evl, matahanda da conronnas liïnérairaa à Sanlia, dé- olaré an laillita par infamant dn Irl- bnaal-d«Hconteàtrca da Senite, an data

Et la Dimanche cingt-dna Oc­tobre mil neuf cent trou, a deux heure* de relate, en te mslrte da te commime lia feroy-lee-eembrie*, ponr las inunanbl» ata eonuntuaa da Parov-:aa-6jnibrïta, Boissy-Ijrcs- noy atn<ntcàU-la-Handonin.

Badreeter paurleertnttiptm mu:1’ A H’ tenna E8CAVT, avoué,

ponraolyantte vanta; .S* AH’SAINrE-BEDflalCHAM-

BABD, avonéa à Sanlia, préawtai ’- vanta;^ s; A H* HÉKELLE. bniatiar à Sanite;

4; A H- PÉTIZON, notaira 1 Sanlia, dépositaira dn cahier daa diargas.

à .sséder d e e n lte dame d e b o im e a cond ittone .

. Bon emplacemmt, S’adraasar audit H: SmnBn. 1748;

, 7 _ {Sb“ î ^ , U ^1' fa C flF D d e aiMao Ihàiuea, à Acy, anl’<tndadaH'Ilü-| mar-On d em an d e im «tan-

iJffSÊliïsiissîa!;|iou. s y aaraaaar. l*88|Hnltian, an Bois-HnlUar, at da

E. DIEUXr'mm dm P a tii* , à CRÉPY-*er-VAIiOn. j

laiBa : Avom da Paria (prés la Sara).

ODBr, itaira à |17)71

bjmnx ârjrsa sà trowm t Û n s i^ j te ^ M i« J ^ ^ lS m ^ * m n r d ’S - •A.^40. aura C om te deloHicBisa taterancas, ptecal

A V B B Ï 3 F t É I à N a n te n i l - I e -R a n d o n ln 'J

ma dn Polaean,

HUITRES GRASSESProvenance dirate de* Pare*

t defOctan. S fé ren n o a i.... 0 , 6 0 JPorIngaleea.. 0 , 6 0

XX noDzaiHi

ta illia à falra snr 60 caitiaru da 1 ’rona da Nagsoo,___Mau da Nagaon, at da g arbraa sa tronvaudan oattaoonpa.

da*b3?*aiMFaon, i la Garanna dnJS w - an bnraan dn jonraaL :

. , Ckax H. CADQDOI, «bitant da tabac,UNE PROPfiïÉTÉl « . « ‘•wCUtal,Sanlia. 1768]

c leee d e m n re , a v e c d e n z g;rillee d ’e n tré e ,

maison d ^ i tm o n , %astaa com-t3*PSl[i;% jardin avec maajils plantéa

Eméa da H’ HABSaiT, notaira i HàntaniMa-HandeUn (CMaa) ' SnaardaH-Lmequn. ^

17331m - On dciaanda Ç o ie in lè re i

car «naison boorgaoisa. Sénansasl Itéiercnses. IS’A an Bnraan dn JonrnaL 178o|

JOLI CHEVAL yendre,par adjadteation. anl ^ a t e ; an Pétuda atl

trois, 6 dix btnras ardamla dn matin, an GraSt dn Tribunal da Commerça .irSmdln. thoa Saint-Piarra, pou la nomfautioB dn ^adla déflaidC

Pau insertion : ItUregier.duBribunal,

■HÎGNOT.

Btndada H*LoMESCIAtt. dactau an droit, avoué i. Sanite,

idaTllIaaa(Snacassau da H'

BSfl»Tntê sur sanoct^ du siittne

D’om

M A I S O NfflrwmatannM Se i jApt/nUnni^^

ascs à EKGDIS, an la ma dn Pnits-dn-TaL

. j anra liati te M nrdii O cto |> re < 8 0 3 , heure de midi,

■Bd’Pandtanea des oriéas dn Mbonal -M dafam ^inataaeadaSaelis, oéiMm Patate da Jutica da ladita' «atÿnadateBMddlqna.

rpourlarenetigneaunt*H- Bapa ggCATT. avoné à

0sdb,toannlvantk vanta;avoné, présau

r A J r . j r a B i n u , notaira à

A C É D Ë R pouoansa da départ dans u fianitena da Crépy,

Fonds de Menuiserieavec B n re a a d e TcOmc, Bn- vatta, Epicari*, Cbaosswes.S’adr. aa bUTean dit JonmaL 1664

P,^TE MAISON s ;at jardin, A X ieaer, plaça da CraiL larrassaavac joBavna. S’adras- sar à H* BnxonaT, ntitaira, 1618

A EeOfbmmPETITS MAISON

S'adranar 4 H PITIT, notaira, oa à IL EEP3T1T, 7, ma da la trà la ,

*4f

FONDS QE C O X H IK C EA G É D E B

da baanx arbraa, pattt pôtegv dar-< riéra- aonrca convarta,binndatte lavoir snr la riviéra.

S’adraaaaf, pou visiter, â A Pné-I vosT, t ManianilTte-Handiinin. 1746i|

A V e n d r e de ' m d te .

ün bon ebeîal de seprioo.Harnein i l’état dm natif.

Voitures dé«»uvertms,'À 2 et i 4 reuass ben é ta tS’adrassar la matin,mria lRanx;|stea Â

,maSainfo|______________ jPrimhoatg.U plécas, aou, jardin, ito o jm c s .

. 1894!

IBtada da H’ PEIlT,iiotalra I SanUa.

nnmteo U. 17S8J

i m am na i l’amiabte l»rn- !>»»«* te ■Tandradi » OstcbTarl9i03. i I l « U ^ tonrar, A NatanlH»-Hcn-j« I d e l ï ï t i i i ;*• l’HGUliatea A j g î î y f ^ M" ¥ar-|

GospaRRiê io 6IX dt (Mpr-a-Tibbl

A VENHBE Lantm u earréaa {

aontaaaaoa da 18 baataraa és aras[ U MBtfMTMa

S’adrasaat A irpatlt, notaira.

dM B ié n a fe ean a enRant! damanda sarvuiia a tant lairc, aal 40 à 60 ans, at nmala da bonnas]

M l

PBBTOST, onltivatau A I ^nuuidt un Jean e nufr^l

inmm «’adrâiiâP h H f nrme» ^ JOBUHt ÿOUT lu râ rOlk« i

m ïïa dU m S^H uS; « W : »D à iOOlrmm[tebvpa, da Lévlgnan. 1760

amv On damanda ma Jenaetl

iî!ïïnLî*s2iî3Saa£ i da1ajaDluanMdn|s’ad.anBuaandqJounaL 1787

i droit d;chassada| • . . • ^1 3 M laone d e <^bat■e• AI ^ demanda A aobctar mà!

’MitirdtflOo«tobra-19(te, sorsbac-ibon f r a d e de.-lennM e. X|Âij taras 71 aras da bote, sis tenilrdarP-'aaaé-

. . . S^drasser AH’ Hancblon.graaiitdapaix, 'Esiréat4aint-0:nis (ObOFi

ITraf«or D am e , 46 ans, aùute dal

Ibonnas réfétancas,,. désira tninvar] iI|a%pou saivir Honsianr sanL J

S*ad. an Bmmn dit foninid.. 1765 i

MMnntiiisnileaiiamttaBigmmB

L A S A T U m A UCompagnie d’Assuraneessur la*

PQHIXBB BM 1 ^RueLaffltte 17, et raePütot W iU,2, FABSj iMfUM a NI Ë Mil; fil ntÉi, m zm tMfwlB

evaa au sana martMmetimCOinMISOaSDITER^PSUTANT^VeMI R iBuTE

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ML enivra, an bonétat, imvinant da la' trànifarmattenj de l’adalragc publie da la vdlc déC r^ y-

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■ € !é d e r d e S m i t eFONDS DE COHMÊKÔii

daChnpontapim, Vins A Tabmmm'iVadrassar A H’ Daxenn, notaira Al

Lonvrw(8abia-at-Otec>. —

Je rd ite , A pialUy. Hwtabntaina; antre

k S a N s da BttliG anx tanoinriirl tafontaina at Othis, la

Ailda da H 'ïltira HinGN.'notaire A Taibarte. i n

. ‘ ■ ; | BB-Un______________ABjratUIAVTAII 6*^ lote, w U fl’hoinma à tentas-matas;te' A M U lIlU llU I Mlla da'ta ffllMé|p(Avtab«saa-«ou da-yarbaila, par te âidstéra Ht|s'ad. an BnkànBn'JOnmal.

1,'nobira, la temndiaSNo^ ' litlSOS, a midi trAi axaeta-

. s |B ia^ d e3 0 taeé ta» ieed e t e n J ^ ^ fatbtite ta

“ ‘■ 'tïs s ir îi

•B* Uanaéx „boibM réb ran caa . __te mari ai ta tetamalf e o t e m e d é .n l m m i m e . . . 1S’ad. anBniaAedn JtaitaaaL 17681

bUSVEDM MlIBluFdTeDB • O b e c -

ne Om o in e nand taM»tr4t t » i a ^ bSttots, « te j^ lta n; aterkta MB., in ateaMglpi i adwrigaaat

an^rtaaiBt

SO lo^m rsS**^

iiBani é ru n n

m m m m m jLdf OMMi, A Bmito: rmtram-; t

Hatson'd’Bcola.,jrm|raaa«rAiH.OaTavi CAffliAlUL iüinioBvtdiOtea). i5ld IL-Iaaiar, bontanghr, ma dn

1874 téradaH'Hangta

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