sorry mom - n°2 wet issue

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Deuxième numéro de Sorry Mom Mag ! Au programme de ce nouvel opus, le retour du skate version Seventie's ainsi qu'un périple dans le Pays Basque Français & Espagnol pour surfer... Plus d'infos : www.facebook.com/sorrymommag Teaser vidéo de ce numéro à voir ici : http://vimeo.com/49852288

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WETISsUE

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M a d am e , M o n s i e u r

C o t e d e s Ba s q u e s

64200 B i a r r i t z

Et voilà encore une saison estivale de passée. Pas de raison de déprimer, Sorry Mom est partie dans le Pays basque et vous a ramené de beaux clichés histoire de prolonger l'été et de vous faire voya-ger. Au menu : du surf, des plages enso-leillées, du skate et de la bonne humeur. Comme convenu rien ne s'est déroulé comme prévu, on vous sert donc en pre-mière partie du skate issu des belles années et en deuxième le résumé de notre court, mais intense passage chez nos amis basques. En espérant, vous donner envie de partir en vacances et de rouler dans la piscine vide du voisin.

Veuillez agréer chers lecteurs et lectrices à nos senti-ments les plus sincères, Sorry Mom.

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SOMMAIRE

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FIRST PART

L’histoire du skate et le retour au source traduit par le mini cruiser et

le longskate de nos jours.

TWICE PART

Un trip tranquille entre potes sur la côte atlantique, de Nantes à San

Sebastian en passant par Biscarosse, biarritz et saint jean de Luz.

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70Le retour aux

‘s

PREMIERE PARTIE

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Depuis quelque temps tout le monde a pu remarquer le grand retour des « fameuses » board type 70' autrement appelées « penny » ou encore "mini crui-ser". Le printemps nous glorifiant d'une jolie météo « Sorry Mom » s’est chargé d'effectuer un petit report photo de skaters locaux sur-fant sur les bowls du coin. Sans large connaissance sur le sujet, on vous offre de quoi alimenter votre inconscient. Dur il est de ne pas faire la liaison avec les pionniers de ce style, que sont Peralta, Alva et bien d'autres. Tout ça a bien évi-demment changé de gueule radica-lement, mais l'esprit demeure.

Depuis quelque temps tout le monde a pu remarquer le grand retour des « fameuses » board type 70' au-trement appelées « penny » ou encore "mini cruiser". Le printemps nous glorifiant d'une jolie météo « Sorry Mom » s’est chargé d'effectuer un petit report photo de skaters locaux surfant sur les bowls du coin. Sans large connaissance sur le sujet, on vous offre de quoi alimenter votre inconscient. Dur il est de ne pas faire la liaison avec les pionniers de ce style, que sont Peralta, Alva et bien d'autres. Tout ça a bien évidemment changé de gueule radicalement, mais l'esprit demeure.

Pour un peut d'historique le skate pris naissance en Californie dans les années cinquante sous le nom de « roll surf » ou encore sidewalk surfboard » traduisez « planche à surfer les trottoirs ». Le skate arrive en Europe qu'à partir de 1965 grâce à l'illustre Arnaud de Rosnay, personnage clé du surf Français. Malgré toutes ces années passer le skate rester un sport méconnu du grand public et non inscrit dans les mœurs, il faut attendre 1973 grâces à la fabuleuse découverte de Frank Nashaworthy et Bob Bahn qui créèrent les premières roues en uréthane pour que le skateboard se démocratise.

En parlant de longskate, ce dernier fût inventé en 1970 par des surfers californiens en manque de vagues. Peu à peu il revient à la mode et comme nous la suivons comme des gonzesses nous en avions deux dans nos valises... C’est pourquoi vous pourrez voir quelques photos de longskate se balader entre celles des mini cruisers.

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m o d e

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Depuis quelque temps tout le monde a pu remarquer le grand retour des « fameuses » board type 70' au-trement appelées « penny » ou encore "mini cruiser". Le printemps nous glorifiant d'une jolie météo « Sorry Mom » s’est chargé d'effectuer un petit report photo de skaters locaux surfant sur les bowls du coin. Sans large connaissance sur le sujet, on vous offre de quoi alimenter votre inconscient. Dur il est de ne pas faire la liaison avec les pionniers de ce style, que sont Peralta, Alva et bien d'autres. Tout ça a bien évidemment changé de gueule radicalement, mais l'esprit demeure.

Pour un peut d'historique le skate pris naissance en Californie dans les années cinquante sous le nom de « roll surf » ou encore sidewalk surfboard » traduisez « planche à surfer les trottoirs ». Le skate arrive en Europe qu'à partir de 1965 grâce à l'illustre Arnaud de Rosnay, personnage clé du surf Français. Malgré toutes ces années passer le skate rester un sport méconnu du grand public et non inscrit dans les mœurs, il faut attendre 1973 grâces à la fabuleuse découverte de Frank Nashaworthy et Bob Bahn qui créèrent les premières roues en uréthane pour que le skateboard se démocratise.

En parlant de longskate, ce dernier fût inventé en 1970 par des surfers californiens en manque de vagues. Peu à peu il revient à la mode et comme nous la suivons comme des gonzesses nous en avions deux dans nos valises... C’est pourquoi vous pourrez voir quelques photos de longskate se balader entre celles des mini cruisers.

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‘’ Skaters by their very nature are urbans guerillas: they make eve-ryday use of the useless artifacts of the technological burden, and employ the handiwork of the government/corporate structure in a thousand ways that the original ar-chitects could never dream of ‘’

C r a i g S t e c y k – 1 9 7 6

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«C’est vraiment dommage de devoir faire trois sessions

par jour !»

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Ssurfer par zéro degré et se cailler les miches parce que le gaz coûte trop cher, on oublie tout, on appelle ses potes et on prévoit un trip fumant dans le Pays basque Tout est prêt, rien ne manque, à part le soleil. On le trouvera ! Le départ approchant, les boards dans le camion, une bonne odeur de surf trip nous chatouille déjà les narines avant même d'avoir

Sans aucun doute la destination la plus probante pour tout surfeur du nord-ouest, le sud-ouest. Après avoir passer un hiver couvert de la tête aux pieds,

Tout est prêt, rien ne manque, à part le soleil. On le trouvera ! Le départ approchant, les boards dans le camion, une bonne odeur de surf trip nous chatouille déjà les narines avant même d'avoir démarré notre fidèle véhicule, qui au passage nous servira de maison pour la semaine entière. Sans vraiment savoir quelles conditions de vie nous attendent pendant le trip nous prenons la route du sud. Après de nombreux kilomètres parcourus, un premier appel de la part de Max et Oscar nous ordonne de les rejoindre à Biscarosse où ces deux derniers ont créché deux jours durant. Nous expliquant que les conditions offraient du petit surf sympa, ce ne fut pas dur de nous convaincre à mettre la viande à l'eau. Avec une température supérieure à trente degrés et une eau estimée aux alentours

Exploitation surfistique de la côte Atlantique

n a n t e s

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l a r o c h e l l e

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Tout est prêt, rien ne manque, à part le soleil. On le trouvera ! Le départ approchant, les boards dans le camion, une bonne odeur de surf trip nous chatouille déjà les narines avant même d'avoir démarré notre fidèle véhicule, qui au passage nous servira de maison pour la semaine entière. Sans vraiment savoir quelles conditions de vie nous attendent pendant le trip nous prenons la route du sud. Après de nombreux kilomètres parcourus, un premier appel de la part de Max et Oscar nous ordonne de les rejoindre à Biscarosse où ces deux derniers ont créché deux jours durant. Nous expliquant que les conditions offraient du petit surf sympa, ce ne fut pas dur de nous convaincre à mettre la viande à l'eau. Avec une température supérieure à trente degrés et une eau estimée aux alentours

de vingt, la mise en combinaison fut rapide. Aux lines up (là où les vagues se forment) un mètre à peine calé, nous contente largement pour cette première session dans le sud, des virages sur les vagues dans tous les sens et déjà de belles images en tête. « Il faut continuer à descendre les gars ! les conditions à la côte des Basques demain s’annoncent bien ! Très peu de vent, une petite houle, y a du longboard qui nous attend ! » Sans tarder, les deux camions reprennent le cours du trip en filant sans escales jusqu'au bout.

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EUSKARA- - -

LE PAYS BASQUE

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rrivés à Biarritz tardivement et en entier, la première préoccupation fut de rassasier les cinq estomacs affamés et de trouver de quoi s'abreuver. Ce fut chose faite dans les heures qui suivirent. Au retour impossible de s’empêcher de jeter un œil aux lignes qui bordaient la côte. Cer-tains annoncent de petites conditions insurfable, d'autres plus optimises bavés déjà devant la session du lendemain. « Y'aura rien demain laisse tomber! On aurait dû rester à Bisca... On verra plus tard dans la semaine » « Mais si y'aura de quoi faire du long' ! ». Restait la partie sommeil, à cinq personnes pour deux camions il y en aurait forcément un qui devra coucher sur la plage ou alors il ne lui restait plus qu'à trouver une femme couguar riche et avec une magnifique demeure résidant à Biarritz. Seulement, une contre partie est de mise dans ce genre de cas, ce qui peut-être dérangeant, ou pas ! Finalement résignés à trouver une solution, les camions cul à cul, un hamac accroché à l'intérieur de ces derniers et le cinquième n'aurait pas à flirter avec une femme qui aurait pu avoir l'âge de sa mère. Le lendemain matin, ce cinquième en

n'ayant point pu dormir à son aise, deux heures tout au plus, fut réveillé aux premières lueurs. Devant lui s'offrait un petit matin doux à souhait, enveloppé dans un épais brouillard. Cela n’empêchait pas de distinguer de belles lignes à l'horizon ce qui valide-rait une session tranquille sans personne à l'eau. Alors bien décider à ne pas louper cette dernière, la mission était de réveiller tout le campement sans se faire traiter de s***** ou de c****** ou encore de sale e****. Mais pourtant ce ne fut pas sans quelques noms d'oiseaux que le réveil s'effectuât. Après un check rapide les plus braves sautèrent dans l'eau afin de s'offrir une session glassy (« tu vois quant la mer est lisse on dit quelle est glassy » tiré d'un célèbre film de surf) et à trois dans l'eau. Première fois pour certains, d'autres déjà amateurs du lieu, ce fut une session qui se déroula dans la bonne humeur générale durant plusieurs heures. Puis la journée suivit sont cours tout à fait banal de road trip surf, à savoir du surf, du soleil, du surf, du body surf, du soleil et encore du surf. Une belle journée, terminée par un apéro sur le toit du camion et un repas gastronomique sur le trottoir de la côte des Basques, non sans surprendre les badauds qui passaient à l'occasion de leur promenade digestive.

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e lendemain matin tout le monde ayant bien dormi aucun mot abject ne sortit de nos bou- ches, à part deux trois blagues douteuses durant le petit déjeuner ! Une réunion au sommet et la journée se planifia dans l'ordre suivant : du surf le matin et une randonnée en Espagne l’après-midi. Sans trop d'étonne-ments et en accord avec les prévisions de la veille, de toutes petites vagues déroulaient tranquillement, ce qui fut tout de même l'objet d'une session matinale. Dans l'après-midi chacun alla de son côté de la frontière en se perdant de temps à autres. Arriver enfin sur un parking en haut d'une montagne, un point de chut totalement hasardeux, on chaussa les chaussures pour descendre un chemin étroit et escarpé trouvé quelques minutes auparavant. Plus la marche avançait et plus les images qui s'offraient à nous étaient bluffantes de beauté. Du haut on pouvait repérer une magnifique crique aux couleurs vertes et dorées laissant apparaître sur la droite une masse de béton sombre et intrigante. En un peu moins de trente minutes la descente fut bouclée, la première chose qui attira notre attention fut cette construction difficilement compréhensible. Impossible de savoir quelle utilité avait cet ouvrage, qui d’après les dires, datait peut-être de la Seconde Guerre mondiale. Cette crique était le parfait terrain de découverte pour nous. Certains ont pu peindre sur des murs vierges dans un lieu unique, d'autres s’adonnant à une baignade sans personne aux alentours.

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L'après-midi se termina noyée dans une lumière agréa-blement chaude de fin de journée. Le soleil baissant rapidement à l'horizon nous encourageait à remonter la montagne afin de rejoindre nos véhicules. Finale-ment à l'aise dans ce Pays basque espagnol on décide de rester là pour la nuit. On redescend alors dans la ville de San Sebastian afin de trouver de petites vagues agréables et transparentes où une session de body surf s'imposait d'elle même. La douche prise sur la plage, et le changement d'affaires effectué au cul du camion, la soirée s’annonçait comme la marche de l'après-midi, une découverte de bar en bar. Deux assiettes de tapas plus tard un vent fort se leva subitement et les flashs au loin embrasaient le ciel. Durant près de trois quarts d'heure l'orage balaya la ville sans répit, les éclairs et le cadre de la plage nous offraient un magnifique spot pour shooter. L'orage passé la nuit repris sont cours mouvementé entre mac do, bar et boîte. Vers cinq heures du matin, il était temps de regagner les lits, la fatigue et l'abus d'alcool aida à s'endormir rapidement.

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x locaux, on vou

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u petit matin les plus frais d'entre nous, on pu profiter d'une ses- sion dans la baie de « Donostia ». Les autres encore dans leur jus non même pas eu la force de se lever. Une fois le campement éveillé et les amendes de stationnement retirées des parebrises, il ne nous restait plus qu'à écumer les surfs-shop repérer çà et là la veille. Un dernier point à effectuer, profiter de l'essence moins chère et des cartouches de clopes à prix réduit. Une station trouvée, le plein terminé, à notre grand étonnement on trouve des magazines sur « comment faire pousser ta weed ! » installer tran-quillement dans son rack entre les recettes de bonne maman et le Mickey journal Espagnol. Les achats conclus et sans connaître les prévisions de surf pour la France, nous regagnions notre pays. Retour sur notre point habituel où l'analyse du spot s’effectua rapidement, le vent avait tourné. Venant du nord, le plan d'eau se révéla démonté de toute part et les petites conditions rendaient le spot impraticable. Notre trip arriva alors a sont terme la décision était prise. La houle annoncée pour les prochains jours se révélait ventée et d'une taille moyenne, le temps changeait négativement lui aussi. On remonta alors en direction de Bordeaux pour y effectuer une dernière nuit. Accueillis généreusement chez une amie et après plusieurs heures de jeu ensemble la fatigue plus que palpable nous décidâmes de reprendre la route jusqu'à l’aire d'autoroute la plus proche, afin de terminer la nuit tranquillement, sans être

dérangés par la marée chaussée.

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