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ISTOCK.
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Alimentation durable, nou-velles attentes du consom-mateur, scurit sanitaire,hygine et traabilit
nombreux sont les domaines quiamnent les professionnels delagroalimentaire modifier leurfaon deproduire.On cherchenotamment produiremieux et dans de meilleurs condi-tions sanitaires.Celapasse par lla-boration permettant le suivi entemps rel destin amliorer lascuritsanitaire desalimentsbiensr mais cela permettra galement
dassurer un meilleur suivi des
produits, dorganiserunetraabilitplus prcise. Autre impact majeurpourunefilireenrechercheperma-nentedune productivit accrue : cetypedecapteurfavoriseraladiminu-tion des pertes puisquil faciliterauneactionprventive.Celapeutcou-vrir, par exemple la dtection duneprsencebactrienneanormaleaucoursduprocess,indiqueFranoiseGorgadelANIA. Defait, lesindustrielspour-ront mettre en place des actions correc-tives rapidement.Dans le mmeesprit, des industriels sattachent concevoir des technologies de
diagnostic rapide : aujourdhui la
De nouvelles technologiesapparaissent
pour satisfaireles consommateurs etrespecterdesnormes toujoursplus strictes.
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AGROALIMENTAIRELinnovationauservicedusecteurpourmieuxproduire
Informations commerciales Juin 2012
Dossier ralis par
Archipresse
MdiaConsultingill
ustrez-vous-
Fotolia.c
om
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PUBLIDOSSIER AGROALIMENTAIRE
Pixpack-123RF.
plupartdesindustrielsdoiventfaireappeldeslaboratoiresextrieursetles protocoles danalyses peuventdemander plusieurs jours avantlobtentiondes rsultats.
On souhaite maintenant des tech-nologiesplus en phase avec lesexi-gences du terrain. Les industriels,mais aussi les distributeurs et lesconsommateursveulentrapiditdedia-gnosticetdersultatsurleterraingrcedesinstrumentsautomatissettrans-portables la main, prcise Fran-oise Gorga. Ceci afin dassurer uneplus grande scurit alimentaire desproduits et dapporter une plusgrandefluiditde librationdes produits, aprsvrificationdu respectdesnormes.
Vers un plus grand respectdes produitsLes technologiesdouces dassainis-sementontleventenpoupe. Onneveut plus de traitement chimique, de
mmeon souhaiteviterde chaufferlesproduits pour les dcontaminer, cha-cune des techniques existantes ayantcommeinconvnientmajeurdedtrio-rer lesqualit nutritives desaliments,expliqueFranoisChabrierdAgro-tec,le CRT dAgropole. Le dvelop-pement durableest galement pris
en considration. La rduction desconsommations dnergie, parexemple, amne des recherchesdanslemondedelarfrigration(res-ponsablede8%desconsommations
dnergiesmondiales),etdans dautresdomaines, comme la boulangerie,avec le projet Braise (Boulangerieraisonne efficacit nergtique),lablis par Valorial et qui vise rduire la cuisson dans les foursdesartisans boulangers.
Des mthodes de conser-vation moins agressivesPour amliorer la scurit desaliments,lesrendreplussrsetplussains, pour limiter lusage des
De nombreusespistes pourla
conservationsont exploresafind amliorer lascurit desalimentset pourlimiterlusagedes produitschimiques.
produits chimiques, on explore denombreuses pistes : lessurfacesbac-tricides,leconfinementqui viterala contamination par la poussire.Onsintresseaussidestechniquesdassemblage assurant lhygine, desmthodesdeconservationmoinsagressives (strilisation et dconta-
minationpardenouvellesmthodes: lumire pulse, hautes pressions,champslectriquespulss,etc.),desemballagesactifs (absorbeurs,anti-microbiens, conservation, filmscomestibles).
De nombreuses pistes encours dexplorationChercheursetindustrielsexplorentensemble les technologies pour lamatrise des cosystmes micro-biens.Ilssouhaitentcomprendreetmatriser ces cosystmes micro-biens. Celapeut seffectuernotam-ment grce la modlisation caractrisation f ine des a liments(viaSymPrevius, par exemple). Ontudie aussi de nouvelles mthodes deconservation des produits ainsi que lerledalimentsactifs interagissantaveclesystme immunitaireet la flore intes-tinale de lhomme, rappelle Fran-oise Gorga. On peut ce titre fairerfrence au projet de recherche InraMetagenopolis financdanslecadre desinvestissements davenir.
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Onneveutplus
de produitschimiques
Produiremieux
dansdemeilleures
conditions
LagroalimentairebatdesrecordsRennesPour sondition 2012 Rennes,
le CFIA(Carrefourdes fournisseurs
de lindustrieagroalimentaire) a
battudes records de frquentation:
prsde15000visiteurssysont
presss(soit+12 %).Parmi
lespointsdorguede cerendez-
vousprofessionnel,Bretagne
DveloppementInnovation et
Valorial,enpartenariatavecleCFIA,
onttent de donneraux visiteurs un
aperude lUsineagroalimentaire
dufutur,auregarddestravauxde
recherche en cours ; un projet
misantsur linnovation.Ainsi
lemballage,la scurit alimentaire,
lagestion du froid etde lnergie,la transformationdes aliments,
lestechniques de linformation
etde la communicationontt
abordspour concevoirlusine
de demainqui fabriquera les
produitsdufutur!Uneanimation,
prsentesous formede maquette
ralit augmentepour
permettreaux visiteurs de visualiser
en3D lusinede demain.Prochaine
dition: les 12/13/14mars 2013
Parc Expo Rennes Aroport.
D.R.
CFIA
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Dsormais, on travaille mieuxoptimiser lesprocdscomme, par
exemple, le traitement thermiquedes jus de fruits. Des freins tech-niques existent, poursuit PhilippeCaniaux. Parfractionnement, filtra-tion ou dautres procds physiques, ilfautrinventer ou adapter de nouvellesmthodes de concentration dun jus defruits, sans le chauf fer, parce que le
consommateur veut se rapprocher dugot du fruit naturel. Il veut aussi en
retrouver ses valeurs nutritives. Celapeut imposer dabandonner le chauf-fagedes jus de fruits au profit dautresprocdsmoins agressifs.Denouveauxpilotessontltudeet lessai, ils doivent permettre lasparation ou la concentration desoluts. On lesretrouvera, terme,
dans la pr-concentration de jus defruits clarifi oudans la sparationdecomposssolublesenfonctiondeleur masse molaire. On explore
aussi les pistes du chauffageohmiquequi rpondcette fois auxexigencesrglementairessanitairesaccrues, notammenten matirederestauration collective. De mme,leschampslectriquespulssouleshautes pressions qui offrent unealternative auxprocdsclassiquesphysiquesetchimiquesdedconta-mination sont au premierplan dessujetsquiintressentlesindustriels.Aujourdhuicesnouvellesfaonsdeproduirequittentleslaboratoiresetsinstallentdans les units de pro-
duction. Les PME , qui doivent sedistinguer technologiquementpour se dmarquer des grandsgroupes, commencent sortir desproduits sachantallier tradition etinnovation. Plusdinfos:AGIRwww.agir-crt.com- Tl:0557968333
Tous lesacteursde lafiliresintressentactuellement laformulationraisonne.
Quoideneuf?Phoenix,diagnosticembarqu,maintenancesimplifie
Faciliterlediagnosticetsimplifierlamaintenance,cestcequepropose
PhoenixContactavecsesoutils
dediagnosticembarqusurdes
produitstelsquedesalimentations
24v,descontacteursmoteur,
desautomates,etc.Spcialiste
delaconnectiquedeproduits
dinterface,desolutions
dautomatismesetdinformatique
industrielle,cefabricantmise
galementsurlafiabilitdeses
produits.Enagroalimentaire,
garantirladisponibilitdun
quipementdeproductionest
essentiel,prcisePierre-Yves
MorindePhoenix.Nossolutions
sontconuesdanscetteoptique.
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PUBLIDOSSIER AGROALIMENTAIRE
Onutilisedjdesspraysbasede bactries lactiques dansla prservation des crevettes.Deschercheurssintressent lac-tiondesmicro-organismesetleur
utilisationdanslesembal-lages.linstardelafor-
mulation raisonne,lobjectifconsistelimiter,
voire supprimer, les additifs pournepasmodifierlesproduitstoutengarantissantuneprservationcor-recte.OnirisetIfremersepenchentsur la bioprservation, les cher-cheurs du technopole Alimentec,quanteux,tudientlaviabilitet
lactivit de souches bio protec-trices en milieu confin (labora-toire de Bioingnierie et Dyna-miqueMicrobienneauxInterfacesAlimentaires).
La difficult : la viabilitconomiqueEndportantcesmicro-organismessurlemballage,onpenserussirprserver
legot desaliments, indiquePatriceDole du CTCPA. Danscesprojets,la plus grande difficult rside
dans la viabilit conomique desprojets. La nisine, qui est unexcellent antibactrien naturelalimentaire,prsenteaussiledsa-vantage dun prix trs lev : oncherchedoncformulerdesmatriauxcontenant des micro-organismes quiproduisent la nisine, ajoute PatriceDolen.Peut-trearrivera-t-onalors favoriser la production.
Bioprservation:quand lemballagereproduit levivant
Emballages
L exemple de la chane du froidillustrebien leviragequamorcelaRFID.Actuellement,laRFIDper-metdobtenirdesinformationssurlesuivi logistique dunproduit, maisces donnes nintgrent pas encoredinformationssur le respect (ou la
rupture) de la chane du froid. Lesinnovations dveloppes dans lecadreduprojetI2FLEXdupleSCSetdelaplateformeMicroPacksvontpermettredenrichirlesapplicationsoffertes par la RFID. LobjectifdI2FLEX : concevoir et dvelopper
unesolutionindustrielledintercon-
nexionsdepuceparjetdematiresetdereportdecomposantssursupportsouple. I2FLEXtudie la faisabilit etlindustrialisation de microsystmesRFIDcomprenantunepile,diffrentscap-teurs et des composants discrets, le touttant interconnectpar technologiede jetdematiressursupportsouple,indiqueOlivierChavrierdupleSCS.
Desapplications diversesCe projet se dcline autour de plu-sieursdmonstrateurs.Unpremier,ddilindustrieagroalimentaire,intgre un capteurde temprature,unebatterieetunepuce,lensembledevantfournirintervallesrguliersdesinformationsrelativesaurespectdes contraintes thermiques. Unautredmonstrateursadresseausec-teur de la sant avec la conceptiondunpansementintelligentrelevantrgulirementla temprature dunpatient. La RFID qui fonctionnaitbienenbouclefermeveuttendresesapplicationsdesdomainespluslargesetmultifournisseurs.
Llectroniqueimprimesursupport soupleouvre denouveauxchampsla RFID
Traabilit
Pourla conservation, desmicro-organismesutiliss dansles emballages.
s
LaRFID veuttendresesapplications desdomainesplus larges.
Lobjectif consistelimiter,voiresupprimer , lesadditifs.
Quoideneuf?Adept Technology,un outil dmulationpour robot
Constructeurderobotsindus-
triels, notammentdans
lagroalimentaire(prsde50%
duCAenFrance),AdeptTech-
nologyvientdemettresurle
marchunoutildmulation
poursoncontrleurderobots.
Ilpermetdevaliderunfonc-
tionnementenamontdelin-
tgrationdurobot,facilitant
sontudeetsonparamtrage.
Loutilpeutgalementsins-
tallersurtoutleparcexistantdeSmartControlerCX,
expliqueJean-MichelBombar.
Lesindustrielspeuventainsi
fairevoluerleur quipement
moindrecot.Socitam-
ricaine,AdeptTechnologyest
spcialistedelamanipulation
rapideavecdesvitesses
dpassant200produitspar
minuteparrobot.Infos:
www.adept-technology.fr
Quoideneuf?Une colonne lumineusepour lagroalimentaireavec Werma
WermalanceCleanSIGN,la
premirecolonnelumineuse
LEDIP69Kspcialement
destineauxsecteursde
lalimentaireetdessalles
blanches.Deparsaconcep-
tioncompacte,lacolonnene
possdeque dessurfaces
planes,aucunerainureoujoint
souddanslesquelspour-
raientseglisserdesimpurets.
Toutencrassementestainsi
vitetlerisquedecontami-nationrduit. Autrepoint fort
de CleanSIGN:sa rapidit de
montageetsapuissance
lumineuse. Sa dure de vie
estsuprieure50000h.
Infos sur: www.werma.fr
LeMoalO.-
123RF
Gekaskr.-123RF
LeMoalO.-
123RF
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C..
Yeulet-123RF
Optimiser les flux, rationaliserlespace ou limiter les erreurs,les tches imparties la manuten-tion font lobjet dinnovation de lapart des industriels. Les chariotsautomatiques peuvent dsormaissquiperdunsystmedevision3D.
On connaissait djcette technolo-giesurdautresdomainesdelagroa-limentaire (dcoupede viandes oudecarcasses);dsormaisleschariotsutilisent le goguidage et ralisentseuls des travaux de manutentiondans les entrepts. Lintrt de lin-novation rside dans sonuniversa-lit : le systme sinstalle sur destranspalettes,tracteurs,gerbeursouchariots mt rtractable dj enservice.
Loptimisation grce au
Lean ManufacturingAutre piste doptimisation de lamanutention tudie : lintroduc-tionencoreembryonnaireduLeanManufacturing sur lessitesde pro-duction. Les experts du Lean sou-haitent tendre leur zone dinter-vention.Deleurctlesindustriels
de lagroalimentaire entendentoptimiser leurs cots de produc-tion. Or, comme on la constatdans lautomobile, surface et
effectif identiques, une organisa-tion Lean Manufacturingpermetde doubler la production. Lautreforce lie au dploiement du LeanManufacturingtientdanslimplica-tiondesquipesquiparticipentlaconstructionde la nouvelleorgani-sationdespostesdetravail.
LeanManufacturingouvision3D:lamanutentionrechercheloptimisation
Manutention
L mergence de filires bioimposeauxprofessionnelsdelalogistique et de lagroalimentairede repenser entirement la gestiondesapprovisionnementsetdesfluxde transports. Sur le papier ladmarche semble simple : il suffit
de slectionner des producteursbio, proximit deszones de trans-formation et de consommation.Laralitdela supply chainalimen-taire double des contraintesconomiques ou juridiques qui largissentrend lexerciceplus com-plexequilnyparat.
Lablisation dun projetPour tenter de formaliser et demodliser une supply chainrespec-tant les enjeux du dveloppementdurable(homme, environnement,
conomie), le ple de comptiti-vit Nov@log vient de labliserun projet port par Jack Chen,consultant,enseignant-chercheur lUniversit de Caen Basse-Nor-mandie en logistique et gestiondesoprations,en partenariatavecInter BioNormandieServices,Apic
Mx et Biocoop Restauration. Larechercheportesur la distributionde produits bio destination de larestauration collective scolaire. Leprojet entend structurercettenou-vellelogistiqueafin de la prenni-
serpuisdelareproduire.Gestionetdiminution des rsidus, des livrai-sons dune boucle lautre ou opti-misation de lutilisation de grossespices alimentaires, le projet doitdurer3 ans et aboutir la crationdun cosystmedontla logistiqueseralundesmaillonsforts.
Lafilirebiodemanderepenserunenouvellelogistique deAZ
Logistique
La rechercheportesur ladistribution
deproduits bio destinationde larestaurationcollectivescolaire.
De nouvellestechnologies sadaptentdenombreuxdomainesdelagroalimentaire.
Quoideneuf?La fin des germesavec OxyPharm
OxyPharmlanceunenouvellegammededtergents.
Biodgradables
99,9%,etnoncorrosifs,
cesnouveauxproduitspermettent unnettoyagedu biofilm
(mme enzymatique) complet et efficace.Ils sutilisenten
complmentde la bio-dsinfection dessurfacesautomatises
dOxyPharm, le Nocospray/Nocolyse+.Totalementbio, ce
concept de dsinfection estsans dangerpour lhomme, non
toxiqueetnonallergne.Ilnecrepasdersistancedegermeet
ne laisse aucunrsidu,permettant ainsidtre totalement sans
risque pourle matriel,mme lectronique.
Infos: www.oxypharm.net
Lmergencede filiresbio
imposede repenserentirementlagestiondes approvisionnements.
G.Bogicevic-Fotolia.com
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02 04 Octobre 2012
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