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CONNECTION Novembre - Décembre 2008 N°2 Le SAV OMIA votre assurance tranquillité OMIA’s After-Sales Service assuring you peace of mind

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OMIA, 1er fabricant français de cabines de peinture automobiles et industrielles présente son service Après-Vente maintenance et filtration et des témoignages de clients.

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CONNECTION

Novembre - Décembre 2008

N°2

Le SAV OMIA votre assurance tranquillité

OMIA’s After-Sales Serviceassuring you peace of mind

Page 2: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

Comité de rédaction : Directeur de publication : Sigismond Hagemeijer. Comité de rédaction : Audrey Morange, Bertrand Chasseray, Philippe Joret, Michel Boiron. Conception et rédaction : Verrazano (Angoulême). Impression : Composervices.

SOMMAIRE • N°2C O N T E N T S

EditorialLes nombreux retours très positifs provoqués par notre

1er numéro de OMIA CONNECTION nous incitent à

poursuivre avec enthousiasme notre première expérience

en l’enrichissant de sujets additionnels et récurrents dans

les « news » ; pour cette seconde publication , il s’agira

de vous faire partager les toutes dernières innovations qui

permettent à notre société de mieux assurer son rôle de

conseil et de service auprès de vous ; ce mois-ci, nous

vous présentons notre nouveau système informatique

utilisé par le SAV pour minimiser nos temps de réponses

à vos demandes.

Nous restons donc à votre écoute et vous souhaitons une

bonne fin d’année.

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OMIA’s After-Sales Serviceassuring you peace of mind

3 News

The number of positive responses from our first

edition of OMIA CONNECTION is very encouraging

and we have decided to pursue this edition with

enthusiasm by enriching it with additional as well

as recurrent subjects in the “NEWS” section; for

this second edition, we want to share all the latest

inventions with you that enables our company

to maintain its role as your advisor and service

provider; this month, we will present our new

computerised after-sales service system, which

has been created to cut down on the time taken to

answer your requests.

We are open to your suggestions and wish you all

a very good end of year.

Sigismond HAGEMEIJER

Président - President

3. Le marché de la peintureAvec Bernard LANNE, membre de la FIPECThe paint market. With Bernard LANNE, member of FIPEC

6. Géolocalisation du SAV Synergie et performance Geo-location of the after-sales service Synergie & Performance

10 Agenda - Diary10. Brèves - News in BriefCourrier des lecteurs M. AUPETIT réagitReaders’ Letters M AUPETIT responds10. SalonsExhibitions

11 Focus11. Automobile - Motor industry« Sous les caillebotis : la plage » ;une exigence de qualité à tous les niveaux« Under the duckboards : The beach »A demand for quality at every level20. Industrie - Industry« La peinture à l’eau » - Bateau de luxe « Water-based paint » - Luxury boat24. International - International sceneDossier Afrique du nordNorth Africa fileDossier BeneluxBenelux file

26 Nos conseils - Our working guide

26. Donnez vie à votre projetBring your project to lifeConseils sur la réalisation d’un projet de cabines de peintureAdvice on creating a paint spray booth project

Editorial committee:Publication director: Sigismond Hagemeijer. Editorial committee: Audrey Morange, Bertrand Chasseray, Philippe Joret, Michel Boiron. Designed and Editorial: Verrazano (Angoulême). Printed by: Composervices.2

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OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 3

NEWS NEWSLE

MARCHE DE LA

PEINTURE

Avec une production de 15 000 tonnes par an quatre grands groupes (BASF, DuPont de Neumours, Akzo Nobel et PPG) tous adhérents de la Fipec (Fédération des industries des peintures, encres, couleurs, colles et adhésifs) se partagent le marché de la peinture destiné à la réparation et l’entretien des carrosseries auto. Un marché très particulier qui a dû s’adapter ces dernières années aux exigences en termes de sécurité routière et d’environnement. Ce que confirme Bernard Lanne, membre de la Fipec.

Quelles sont ces caractéristiques du marché de la peinture en réparation collision, et quelle est son évolution ?Bernard Lanne. C’est un marché qui a énormément souffert durant les cinq dernières années avec une baisse de volumes de l’ordre de 5% à 6% en moyenne chaque année et cela pour plusieurs raisons: le renforcement des contrôles en matière de limitations de vitesse, des voitures de plus en plus sûres, et des voitures aussi qui ont des surfaces à peindre de plus en plus réduites, parce qu’il y a de plus en plus de plastique, de vitrages, d’éléments non peints.

Vous voulez dire que le marché est victime de la baisse du nombre d’accidents sur les routes ?Bernard Lanne. Clairement ! Il y a non seulement la baisse du taux de sinistralité, mais il y a également la modification des chocs. Les véhicules roulant moins vite, les chocs sont moins violents. Donc, sur une moyenne de trois éléments repeints ou réparés il y a cinq ans (c’est-à-dire une porte et deux ailes), on est aujourd’hui sur un élément et demi. Et comme ces éléments ont diminué en surface, tout contribue à faire baisser les volumes de produits utilisés sur le marché français.

With a production of 15,000 tons per annum, four large

groups share the paint market for the repair and maintenan-

ce of vehicle bodywork (BASF, DuPont de Neumours, Akzo No-

bel and PPG), all members of FIPEC (Federation of the Paint,

Ink, Colour, Glue and Adhesive Industries). This is a very

particular market which, over the past few years, has had to

adapt to the demands of road safety and the environment.

This is what Bernard Lanne, member of FIPEC, confirms.

What are the main features of the collision repair paint

market and how has it evolved ?

Bernard Lanne. It is a market that has suffered tremendous-

ly over the past five years with a drop in volume of around 5-

6% on average each year for several reasons : the tightening

of speed checks, safer cars, and also cars which have less

and less surface area to paint, because there is more plastic,

more glass and other unpainted components.

Do you mean that the market has suffered from the

drop in the number of road accidents?

Bernard Lanne. Clearly! Not only is there a drop in the ac-

cident rate but there is also a change in the type of impacts

that occur. Vehicles are driven more slowly and impacts are

less violent. Therefore, on an average of three repainted or

repaired components five years ago (ie one door and two

wings), today we are only at one and a half components. And

as the surface area of these components has been reduced,

all this leads to the drop in volume of products used on the

French market.

Le marché de la réparationautomobile tient le choc

The paint market The motor repair market holds out

■ Bernard Lanne.

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I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

La prise de conscience écologique vous a aussi atteint ...Bernard Lanne. 2007 a été une année très particulière puisqu’à la fin de l’année 2007, nous avons dû convertir l’intégralité du marché à une nouvelle technologie peinture puisqu’une législation européenne retranscrite en droit français imposait que nous ne mettions plus sur le marché que des produits qui permettaient une diminution des émissions de solvants dans

l’atmosphère de 50%. Ça veut dire qu’on est passé d’une technologie avec des solvants à une technologie de produits avec de l’eau ou des produits à hauts extraits secs. Cela a impliqué de la part de tout le monde des efforts considérables en terme de formation, de suivi technique auprès des utilisateurs, et bien évidemment, pour ceux qui n’étaient pas équipés, une formidable hémorragie des coûts puisque changer de technologie chez un client, ça implique la mise aux normes de tous ses matériels de pulvérisation, mais également des modifications radicales dans les process de mise en peinture. Donc, une grosse perturbation.

Quel a été le coût de cette conversion?Bernard Lanne. Il faut compter à peu près entre 8 000 et 10 000 euros par atelier. Fort heureusement, il semblerait que la baisse enregistrée dans les volumes durant ces cinq dernières années se soit stabilisée en 2007. Aujourd’hui, globalement, on est sur un marché à peu près stable. On a atteint le creux de la vague, et les volumes ont cessé de diminuer.

The ecological awareness has also affected you ...

Bernard Lanne. 2007 was a very unusual year because at the end

of 2007, we had to convert the whole of the market to a new paint

technology as a European legislation, re-written under French law, set

out that we could only market products which enabled a 50% lower

solvent emission into the atmosphere. This means that we moved

from a solvent-based product technology to water-based or high dry

extract products. This involved everyone making a considerable effort

in terms of training, user technical support, and of course, for those

who were not equipped, a costly investment, since changing techno-

logy for a client involves bringing all his spraying equipment up to

standard as well as radical changes in the paint application process.

In other words, a huge upheaval.

How much did this conversion cost ?

Bernard Lanne. It must have cost in the region of 8,000-10,000 Euros

per workshop. Thankfully, it seems that the drop in volume registered

over the past five years stabilised in 2007. Today, overall, we have a

market that is more or less stable.

What other changes were necessary because of this new tech-

nology ?

Bernard Lanne. It’s fairly easy to understand. It takes longer for a drop

of water to dry than a drop of solvent. The hardest technical problem

has been to take into account the fact we have a longer drying time

and to develop products which offer the same technical performance

as in the past. We have achieved simpler products that are easier to

use. This clearly means that we obtain better results in terms of coa-

ting with these products. However, this means the paint application

process has to be strictly respected. This was not necessarily the case

before, since the application windows were larger with solvent tech-

nologies than they are today with hydro-diluent technologies.

4

NEWSLE

MARCHE DE LA

PEINTURELe marché de la réparationautomobile tient le choc

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OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 5

NEWS

Has this affected the cost of the product ?

Bernard Lanne. The product itself is more expensi-

ve. But today we repaint a car with a little less than

a litre of paint whereas five years ago we needed

two and a half litres. In the end, even if the product

is more expensive, the cost of the repair is stable

in itself ... and anyway, the cost of the product is

marginal in relation to the time spent on labour.

Let’s not forget that the coachbuilder profession is

above all a profession which sells labour. The true

challenge is to cut down on labour and in this sense, the new

generation products are good time-saving products.

Something good has therefore come out of something

bad...

Bernard Lanne. More reasonably it must be admitted that we

have all succeeded in transforming a legislative constraint into

an opportunity because we have made the lives of workshop

painters easier and at the same time have contributed to better

health preservation, and all to the same financial ends.

How did you work with Omia on this point ?

Bernard Lanne. We worked with them very early on. You cannot

convert a market like the French market in one year. It is an

approach that takes a number of years to put into place and

which meant that the whole network was generally conscious of

all the changes involved. In other words, we had various rela-

tionships and worked very hard with all the spraying equipment

manufacturers, like spray gun manufacturers, and with Omia

in particular for paint spray booths. We carried out technical

tests on the applications in the booths very early on, in situ, and

together we were able to develop very specific drying processes

for hydro-diluent products.

Quelles sont les autres modifications que cette nouvelle technologie a rendu nécessaires?Bernard Lanne. C’est assez simple à comprendre. Une goutte d’eau sèche moins vite qu’une goutte de solvant. La grosse difficulté technique a été de tenir compte de ce handicap d’un temps de séchage plus important, et de développer des produits qui conféraient les mêmes performances techniques que par le passé. On est parvenu à des produits beaucoup plus simples, plus faciles d’utilisation. Cela veut dire clairement qu’avec ces produits on obtient de meilleurs résultats en terme de finition. Par contre ils impliquent un strict respect des processus de mise en peinture. Ce qui n’était pas forcément le cas précédemment, puisque les fenêtres d’utilisation étaient plus larges avec les technologies solvantées qu’elles ne le sont aujourd’hui avec les technologies hydrodiluables.

Est-ce que le coût du produit s’en est ressenti ?Bernard Lanne. Le produit lui-même est plus cher. Mais aujourd’hui on repeint une voiture avec un peu plus d’un litre de peinture quand il y a cinq ans il en fallait deux litres et demi. Au final, même si le produit est plus cher, le coût de la réparation elle-même est stable... et puis le coût du produit est marginal au regard des temps de main d’œuvre. N’oublions pas que le métier de carrossier est avant tout un métier qui vend de la main d’œuvre. Le véritable défi est d’économiser de la main d’œuvre, et en ce sens les produits de nouvelles générations permettent des gains de temps sensibles.

D’un mal est donc sorti un bien...Bernard Lanne. Plus raisonnablement il faut admettre qu’on a tous réussi à transformer une contrainte législative en opportunité puisqu’on a facilité la vie des peintres dans les ateliers en contribuant à une meilleure préservation de la santé, et tout ceci à des coûts au final équivalents.

Comment avez-vous travaillé avec Omia sur ce sujet ?Bernard Lanne. On a travaillé très tôt avec eux. Vous ne convertissez pas un marché comme le marché français en un an. C’est une démarche qui s’inscrit sur de nombreuses années, et qui a impliqué que toute la filière d’une manière générale soit consciente de toutes les modifications que cela impliquait. En d’autres termes, on a eu de nombreuses relations, et on a énormément travaillé avec tous les fabricants de matériels de pulvérisation, comme les fabricants de pistolets, et avec Omia en particulier pour les cabines de peinture. Très tôt on a fait in situ des tests techniques, des applications dans les cabines d’Omia, et on a ensemble permis de développer des process de séchage bien particuliers pour les produits hydrodiluables.

■ Box Lab AT OMIA.

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I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

NEWS

Omia dope son service après-vente avec idSM

Since last year, Omia has been equipped

with a new tool that will strengthen its

customer service efficiency. The idSM

software, developed by Synergie &

Performance, optimises the after-sales

service at every level, from detecting the

fault to invoicing, after the technician

has been on-site, the technical documen-

tation has been accessed, etc. Interview

with the software designer, Jean-Claude

Vaudecrane.

Omia boosts its after-sales service with idSM

GEO LOCALISATION DU SAV

Depuis l’an passé, Omia est dotée d’un nouvel outil pour renforcer l’efficacité de son service client. Le logiciel idSM, développé par Synergie & Performance, permet d’optimiser le service après-vente à tous les niveaux : Depuis la détection de l’anomalie jusqu’à la facturation en passant par l’intervention du technicien, l’accès immédiat à la documentation technique ... Rencontre avec son concepteur, Jean-Claude Vaudecrane.

6

■ Liste des « appels », cad liste présentant les interventions (dépannages demandés par les clients ou visites de maintenance préventive planifiées par OMIA) à assigner aux techniciens. Passer la souris sur une ligne fait apparaitre une bulle présen-tant l’objet de l’appel (voir par ex. FAIRE LA MISE EN SERVICE). Cliquer sur une ligne fait apparaitre la fiche client. Lorsque l’intervention est affectée à un technicien, la ligne disparait de la liste.■ « Call list », ie the list of on-site visits (repairs requested by customers or OMIA planned preventative maintenance visits) to be assigned to technicians. Placing the mouse over a line makes a bubble appear that gives the subject of the call (for example CARRY OUT INSTALLATION). Clicking on a line makes the customer detail sheet appear. When the on-site visit has been allocated to a technician, the line disappears from the list.

■ Fiche client présentant toutes les informations pratiques relatives au client, ses sites, et les matériels installés.■ Customer detail sheet showing all the practical information regarding the custo-mer, his sites and the equipment installed.

■ Jean-Claude Vaudecrane

Geo location of the after-sales service

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OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 7

Omia se fait un point d’honneur d’avoir un service après- vente au top niveau. Cela a-t-il été un atout pour votre logiciel ?J.-C. V. M. Hagemeijer et son équipe ont parfaitement compris que la clef des ventes pour un industriel comme Omia, mondia-lement réputé, nécessitait que ses matériels qui sont utilisés pour la production, pratiquement 24h sur 24 dans certaines usines, ne doivent jamais tomber en panne. Si cela, malheureusement, est amené à se produire, il faut être capable d’intervenir immédia-tement et d’une façon parfaitement efficace. Nous avions face à nous des interlocuteurs qui savaient très bien ce qu’ils voulaient, et nous étions à même de leur proposer une augmentation de leur rapidité de réaction, une augmentation de la qualité, de la productivité... c’est-à-dire tout ce dont les entreprises rêvent !

Quel est le point fort de ce logiciel ?J.-C. V. Nous sommes, à l’origine, des consultants dans l’analyse et la rationalisation des process industriels, en particulier ceux qui ont un impact fort dans la satisfaction du client et donc dans le renouvellement de ses commandes. Il est clair que nous connaissons très bien le problème des SAV. Le point clef, c’est être capable, sur un appel, de déterminer immédiatement quelle machine est en panne. Pour cela, il faut, bien sûr, savoir combien il y a de machines sur le site et ensuite, approcher au plus

NEWS

OMIA prides itself on having a top-level after-sales ser-

vice. Was this an advantage for your software?

Jean-Claude Vaudecrane. Mr Hagemeijer and his team unders-

tood perfectly that the key to sales for an industrial world-fa-

mous company like Omia meant that equipment used for pro-

duction, practically 24 hours a day in some factories, must

never break down. If this should nonetheless happen, they knew

they would need to respond immediately and with perfect effi-

ciency. We are face to face with contacts who know exactly what

they want and we even proposed an increase in their speed of

reaction, in the quality and in the productivity... ie, everything

that companies dream of!

■ Ecran de planification de l’intervention détaillant le matériel concerné, la nature de l’intervention (préventive, curative ...).Cet écran présente tous les matériels présents sur le site permettant ainsi à l’opérateur (ou au technicien lorsqu’il est sur site) de changer de machine en temps réel si cela est nécessaire (confusion du client entre deux machines lors de son appel par exemple).■ On-site service planning screen detailing the equipment concerned, the type of on-site visit (preventative, curative, etc). This screen shows all the equipment that exists at the site, therefore enabling the operator (or the technician when he is on site) to change the machine in good time if necessary (if a customer is confused between two machines when he calls, for example).

■ Ecran permettant l’affectation d’une interven-tion au(x) technicien(s) (1 ou plusieurs) dédié(s) à ce client (ou bien les plus proches géographi-quement, ou bien encore ceux disposant des compétences requises pour l’intervention).Lorsque l’intervention est clôturée par le siège, la couleur de la ligne passe en rouge.■ Screen enabling an on-site visit to be allocated to a technician or several technicians who are dedicated to this customer (or those geographically closest to the customer, or those with the competency required for the job).Once the on-site service has been completed, the line becomes red.

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près de la panne. Il faut donc disposer d’une base de données parfaitement renseignée, qui offre également des capacités d’accès rapide et permet de retrouver très vite quand la machine a été installée, quelles ont été les interventions déjà réalisées dessus, si la maintenance préventive a bien été réalisée ... Tout cela doit être accessible en une fraction de seconde. C’est le cœur même de notre système et ça correspond tout à fait aux besoins de clients tels qu’Omia.

idSM allie donc rapidité et efficacité...J.-C. V. En effet, parce que déterminer rapidement tous ces éléments permet de déclencher de façon efficace une inter-vention de technicien, tout en apportant une réponse précise et immédiate au client. Tout est planifié, piloté par notre logiciel. Les informations sont envoyées automatiquement au technicien sur son PC ou sur son PDA, directement sur le terrain. D’autres mécanismes se déclenchent, comme par exemple l’envoi de pièces détachées nécessaires à la réparation, ou d’autres infor-mations plus générales sur la maintenance du matériel présent chez le client. Si le technicien est sur place pour un dépannage, peut-être que des contrôles peuvent être effectués par la même occasion.

Quelles ont été les exigences particulières d’Omia ?J.-C. V. Une des caractéristiques de l’activité des techniciens d’Omia, c’est qu’ils peuvent être amenés, lors de l’installation et la mise en service d’une machine, à opérer des modifications, pour des raisons diverses, sur les nomenclatures bureau d’étude d’origine. Il est évident qu’il fallait être capable de donner accès au technicien aux schémas et à tous les éléments concernant ces modifications. Cela nous a amenés à développer un module com-plémentaire de gestion électronique de documents techniques. Cela permet d’une part au technicien d’accéder à distance aux documents, schémas électriques, schémas de génie civil, modifi-cations de nomenclatures, et d’autre part de réaliser, sur place, le procès verbal de mise en fonctionnement de la machine.

8

NEWSGEO LOCALISATION DU SAV

Quels sont les gains que permet idSM ?J.-C. V. Le premier gain est dans le temps de transmission des informations. En l’absence de notre système, la transmission se fait par téléphone, un bon moyen de communication malheu-reusement imparfait : on n’a pas toujours les correspondants au bon moment, et l’oral laisse la place à des imprécisions. Le second gain se situe au moment de l’échange d’informations entre les différents services. Lorsqu’une vente de pièces est réalisée sur le terrain par le technicien, il est indispensable que l’information remonte et qu’elle soit retransmise aux services comptables qui vont effectuer la facturation. Parce que les services sont interconnectés, le système comptable est auto-matiquement informé. Enfin, le système évite, une fois qu’une information a été saisie, de la ressaisir, qu’il s’agisse d’une adresse, d’un commentaire...

Avez-vous chiffré ces gains ?J.-C. V. Dans la première société où nous avons implanté le système, les gains étaient d’une heure par jour ouvrable et par technicien. Et il y avait 70 techniciens ! C’est clair que le logi-ciel a été rentabilisé extrêmement vite. C’est un cas limite. Mais imaginons qu’un technicien sur le terrain passe en moyenne 15 à 30 minutes par jour au téléphone avec le siège pour obtenir ses ordres de mission, des informations complémentaires techniques ou comptables, pour clôturer les interventions... A raison de 35h hebdomadaires, 220 jours ouvrables, cela donne un gain d’une semaine et demi à trois semaines. Autant de temps qui peut être consacré à la production.

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OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 9

NEWS

What were Omia’s specific requirements ?

J.-C. V. One of the traits of the Omia technician’s activity is that they

can be brought to carry out modifications, for various reasons, on

original design office lists, when they are installing and starting up a

machine. Obviously, you need to be able to give the technician access

to the details concerning these modifications. This led us to develop

a complementary module for electronic management of technical do-

cumentation. On the one hand, this enables the technician to access

documents, electrical plans, civil engineering plans, and modified

lists, from a distance, and also enables him to carry out the start-

up report for the machine on-site.

What are the benefits of idSM ?

J.-C. V. The first benefit is the time saved sending the informa-

tion. Without our system, the transmission is carried out over

What is the main strength of this software ?

J.-C. V. We are basically consultants in the analy-

sis and rationalisation of industrial processes,

particularly those that have a strong impact on

customer satisfaction and therefore, in renewing

their orders. It is clear that we know the problem of af-

ter-sales services very well. The main point, when taking a

call, is to be able to work out immediately which machine

has broken down. In order to do this, you of course need

to know how many machines are on site and then find

out more about the problem. You therefore need to have

access to a perfectly informed database, which also offers

the capacity of speedy access and enables you to find

out quickly when the machine was installed, what

other on-site services have already been carried out

on it, if the preventative maintenance has been car-

ried out, etc. All of this must be accessible within a

fraction of a second. This is the very heart of our

system and it corresponds perfectly to the needs of

clients such as Omia.

idSM therefore combines speed and efficiency...

J.-C. V. Of course, because to work out all these details

quickly enables you to launch the technician’s on-site ser-

vice efficiently, as well as giving a precise and immediate

response to the customer. Everything is planned, driven

by our software. The information is sent to the technician

automatically onto his PC or his PDA, directly on-site.

Other mechanisms are set up, like for example, sending out spare

parts required for the repair or other more general information on

the maintenance of the existing equipment the customer has. If the

technician is on-site for a breakdown, perhaps he can carry out va-

rious checks at the same time.

■ Sophie BRISSEZ, Assistante Commerciale Après-Vente et Lionel RODRIGUES, Responsable SAV.

■ Sophie BRISSEZ, after-sales service assistant, and Lionel RODRIGUES, after-sales service manager.

the telephone, a good method of communication but unfortunately

not perfect : we do not always reach the person we need at the ri-

ght time, and oral understanding is not always precise. The second

benefit is found at the time the information is exchanged between

the various departments. When a sale of parts is carried out on-site

by the technician, it is crucial that the information gets back to the

office and that it is transmitted to the accounts department who will

prepare the invoice. As these departments are interconnected, the

accounts system is automatically informed. Finally, once the infor-

mation has been entered, the system avoids you having to re-enter it,

whether it be an address, or a comment...

Have you calculated these benefits ?

J.-C. V. In the first company where we installed the system, the bene-

fits were a saving of one hour per working day and per technician.

And there were 70 technicians! It’s clear that the software has paid

for itself extremely quickly. It is a limited case. But let’s imagine that

a technician spends 15-30 minutes on average per day on the tele-

phone with head office whilst on-site, to receive assignment orders,

complementary technical or accountancy information, in order to

finish the service... because of the 35-hour week, made up of 220

working days, this gives an annual saving of between one and a half

and three weeks

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I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

2009 salons à venir2009 : trade fairs to come

AGENDAAGENDA - DIARY

Zagreb Auto Show (Zagreb)du 27 mars au 06 avril 2008Zagreb Motor Show (Zagreb)From 27th March to 6th April 2008www.zv.hr/sajmovi/163/index_en.html

Salon SITS 2008 (Paris)du 31 mars au 04 avril 2008SITS Trade Fair 2008 (Paris)From 31st March to 4th April 2008www.industrie-expo.com

Equip’Auto Algérie 2008 (Algérie)du 31 mars au 03 avril 2008Auto Equip Algeria 2008 (Algeria)from 31st March to 3rd April 2008www.equipauto.com

Préventica (Nantes)18 et 19 juin 2008 Preventica (Nantes)18th and 19th June 2008 www.preventica.com

Meeting DubaiMeeting in Dubaiwith our export representative, Kennith Webbde notre représentant export Kennith Webbautomechanika.messefrankfurt.com

Automechanika Francfort 2008Messe Frankfurtdu 16 au 21 septembre 2008Frankfurt Automechanical Trade Fair 2008from 16th to 21st September 2008automechanika.messefrankfurt.com

M. AUPETIT réagit.

«Je me permets après la lecture de la revue «OMIA connection», page 10, de souligner une imprécision

dans le premier paragraphe. Il est écrit qu’Irkut est «le constructeur russe du Soukhoi SU 30, l’un des

avions de chasse de 5ème génération les plus performants du moment.»

Or le chasseur russe de 5ème génération est actuellement un projet. En effet Vladimir Poutine a annoncé

en octobre 2007, que la Russie développerait des chasseurs de 5ème génération avant 2015. Ce sont les

Etats-Unis qui ont fait voler leur premier chasseur de type 5ème génération le 7 septembre 1997. La Russie a

présenté deux semaines plus tard un prototype de chasseur 5ème génération : le SU 37, qui porte aujourd’hui

le nom de SU 47 Berkut. Quant au SU 30 il a volé pour la première fois en 1988. (rian.ru).

Sans nier le renouveau de l’aéronautique civile et militaire russe, notamment avec la holding d’Etat,

l’OAK (Ob’edinennaia Aviastroitel’naia Korporatsia), ne faut-il pas prendre en considération l’opinion de

Geoff Morret, porte-parole du Pentagone ?

En effet, il a déclaré a l’issue du défilé militaire du 9 mai à Moscou: «S’ils veulent sortir leurs vieux

équipements, les faire tourner, et les regarder, ils sont plus que bienvenus pour le faire.»

Par ailleurs le site russe de Vedomosti, le 17 juin 2006, a annoncé que EADS ne transformera pas sa

participation de 10 % dans le capital d’Irkut depuis décembre 2005, en devenant actionnaire de l’OAK.

Irkut produit des composants pour l’Airbus 320 et transforme les Airbus anciens en avions-cargos.»

«After having read page 10 of the magazine « OMIA Connection », I would like to highlight an inaccuracy

in the first paragraph. It is written that Irkut is “the Russian manufacturer of the Soukhoi SU 30, one of

the most performing 5th generation fighter planes of the time.» But the 5th generation Russian fighter

is currently only a project. In fact, Vladimir Putin announced in October 2007 that Russia would develop

5th generation fighter planes before 2015. It is the United States who flew their first 5th generation type

fighter on 7 September 1997. Two weeks later, Russia presented a 5th generation fighter prototype: the

SU 37, which today is called the SU 47 Berkut. As for the SU 30, it flew for the first time in 1988 (rian.

ru). Without wishing to contradict the renewal of civil aviation and the Russian military, especially with

the State holding company, OAK (Ob’edinennaia Aviastroitel’naia Korporatsia), should we not consider

the opinion of Geoff Morrett, spokesman for the Pentagon ? In fact, at the end of the military parade on

9 May in Moscow, he declared : « If they want to get their old equipment out, take it for a spin, and look

at it, they are more than welcome to do so.»

Moreover, on 17 June 2006, the Russian site of Vedomosti announced that EADS will not transform the

participation of 10% in the capital of Irkut they have had since December 2005 by becoming shareholder

of OAK. Irkut produces components for Airbus 320 and transforms old Airbuses into cargo-planes.»

An answer from Bernard AUPETIT

Focus

Nos conseilsOur working guide

Dans le prochain numéro

in your next OMIA CONNECTION :

Préventica Toulouse 2009Parc des expositions4 et 5 février 2009Exhibition Centre

4th and 5th February 2009

www.industrie-expo.com

Salon Industrie Lyon 2009Lyon Eurexpodu 10 au 13 mars 2009Lyon European Exhibition Centre

From 10th to 13th March 2009

www.industrie-expo.com

Solutrans 2009Lyon Eurexpodu 12 au 16 mai 2009Lyon European Exhibition Centre

From 12th to 16th May 2009

www.solutrans.fr

10

COURRIER DES LECTEURS

les salons de 2008trade fairs of 2008

News • Le nouveau logiciel 3D sur omia.fr New 3D software at omia.fr

• 1 semaine avec Raymond Lebrun - Responsable de chantier OMIA 1 week with Raymond Lebrun – OMIA site manager

• Automobile Les premières cabines de peinture OMIA – Déjà 40 ans ! OMIA’s first paint spray booths – 40 years old already !

• Industrie Les différents secteurs d’activités d’OMIA - Interview de Philippe JORET et Michel BOIRON OMIA’s different lines of business – Interview with Philippe JORET and Michel BOIRON

• Export La Green Diamant ; la cabine verte The Green Diamond ; the green booth

• La formation des opérateurs peintres à l’utilisation des matériels OMIA Paint operator training on use of OMIA equipment

Page 11: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 11

Under the duckboards : the beach

■ Philippe JORET,

Directeur Commercial

Automobile Omia

France

■ Philippe JORET,

Automotive Department

Commercial Manager,

Omia France

FOCUSFOCUSAUTO MOBILE

Sous les caillebotis : la plage

OMIA étoilé au Michelin!Sur les hauteurs de Calvi, l’hôtel La Villa compte 52 clefs de chambres, de suites, de villas privées. Cinq piscines, un ham-mam complètent le paysage de ce relais Château quatre étoiles luxe qui domine l’une des plus belles baies de l’île de Beauté. Son restaurant est deux fois étoilé au Michelin, trois fois au Bot-tin Gourmand. Le Gault et Millau lui a décerné deux toques et la note de 15 sur 20. Mais l’univers de cet établissement haut de gamme, que dirige Jean-Pierre Pinelli, ne serait pas complet sans... une cabine de peinture Omia. Un choix original guidé par Philippe Joret, Directeur Commercial Automobile France, pour un établissement qui a fait de l’excellence son obsession.

Pourquoi trouve-t-on, parmi les équipements d’un établisse-ment de luxe comme le vôtre, une cabine de peinture ?Jean-Pierre Pinelli. J’avais besoin d’un matériel pour faire des peintures. D’abord pour l’entretien de nos véhicules haut de gamme. Nous assurons des prestations de luxe pour nos clients, nous avons donc l’obligation de toujours proposer un produit d’excellence. Il nous faut de la qualité, en permanence. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir une rayure sur une de nos voitures. Si c’est le cas sur l’une d’elles, elle rentre en peinture immédiatement.Je possède aussi dans tout l’hôtel du mobilier de chez Philippe Hurel. Sur un meuble, il y a de l’usure. C’est fréquent et ça non plus nous ne pouvons pas nous le permettre. Il faut qu’un meuble rayé soit réparé dans les 48 heures ou 72 heures. Le fait d’avoir ce matériel nous permet, en appliquant des vernis automobiles, ce qui est un peu particulier, sur du mobilier très sophistiqué,

d’avoir des résultats spectaculaires, à la fois dans la dureté et dans l’exigence due à ce mobilier. Cela nous permet, en temps réel, de pallier le vieillissement du matériel.

Mais pourquoi avoir choisi du matériel de professionnels de l’industrie ?Jean-Pierre Pinelli. Nous sommes un Relais Château quatre étoi-les luxe. On attend un rendu de la prestation de ce même niveau. Et nous sommes très satisfaits. C’est une machine qui est assez fantastique. C’est vrai que c’est assez atypique de traiter ainsi des petits meubles qui demandent beaucoup de précision, mais c’est la solution. Philippe Hurel partage ce sentiment avec moi. Cha-que fois que je parle de ça à mes collègues, ils ont les yeux qui pétillent. Mais vraiment, c’est pour nous l’idéal pour entretenir un mobilier et donner à nos clients la prestation qu’ils désirent.

OMIA receives the Michelin star !

At the summit of Calvi, the La Villa hotel has 52 bedrooms, suites

and private villas. Five swimming pools and a sauna complete the

landscape of this 4-star luxury Relais Château, which dominates

one of the most beautiful bays on Corsica. Its restaurant has twice

received Michelin stars and three times the Bottin Gourmand rating.

The Gault and Millau awarded it two chef’s hats and marked it 15

out of 20. But this upmarket establishment’s cosmos, managed by

Jean-Pierre Pinelli, would not be complete without ... an Omia paint

spray booth. Guided by Philippe Joret, this was an original choice for

an establishment obsessed with excellence.

Why do we find a paint spray booth amongst the equipment in

a luxury establishment like yours ?

Jean-Pierre Pinelli : I needed some equipment for painting. Primarily,

this is for the maintenance of our upmarket vehicles. We carry out

prestigious services for our customers and are therefore obliged to

propose an excellent product. We must have permanent quality. We

cannot even allow a scratch on one of our cars. If this should happen

to one of them, the car goes in to be painted immediately.

■ Jean-Pierre Pinelli,

Directeur de La Villa

■ Jean-Pierre Pinelli, La Villa Manager

Page 12: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

AUTO MOBILE

Depuis quand êtes-vous équipé de cette cabine?Jean-Pierre Pinelli. On l’a depuis la fin de l’année dernière. Nous avons choisi la gran-de cabine. Cela nous permet de mettre plusieurs meubles ensemble. Aujourd’hui, avec les règles récentes en terme d’aspiration, on peut peindre plusieurs objets en même temps sans qu’on ait des brouillards, de la dépose de brouillard.

Pourquoi avoir fait le choix d’Omia?Jean-Pierre Pinelli. Il y a d’abord la notoriété, qui est importante. Ensuite, j’ai aussi avec moi un technicien qui a 35 ou 38 ans d’expérience dans ce domaine. Il m’a dit que, si je voulais du matériel de qualité, il fallait que je contacte Omia. C’est eux qui ont

aujourd’hui, sur le marché, ce qui se fait de mieux. Et puis le service après-vente est très bien fait. Ils ont un agent sur Bastia qui con-naît bien son métier. Ça nous per-met de faire du très bon travail. Je suis très content.`

En plus de vos meubles Philippe Hurel, vous peignez également des voitures, lesquelles?Jean-Pierre Pinelli. On a plu-sieurs Mercédes, un GL 320 TDI, et un 500 ML. On a également un

Toyota Land Cruiser V6, trois véhicules au service des clients. On va les chercher à l’aéroport, il faut que ça soit impeccable. Il y a aussi les véhicules du personnel. Ça va de la voiture de golf, avec des petites bennes pour transporter des bagages, au pick-up Toyota. On a aussi une Jeep Wrangler.Pourquoi, pour ces travaux de peinture, ne pas vous adres-ser à un carrossier?Jean-Pierre Pinelli. Parce qu’un garagiste n’a pas la culture de ce genre d’organisation. La culture d’un établissement haut de gamme, c’est particulier. Quand vous faites payer au client le prix qu’on fait payer, il est indispensable d’apporter le juste retour. La qualité doit être au rendez-vous. La barre est très haute, on ne doit rien négliger.

12

FOCUS

I also own Philippe Hurel furniture in the whole

of the hotel. A piece of furniture can have

wear and tear. This happens frequently and

this also we cannot allow. A scratched piece

of furniture must be repaired within 48 or 72

hours. The fact that we have this equipment

on site, it enables us to apply motor varnish,

which is a bit unusual, onto a very sophistica-

ted piece of furniture with spectacular results,

both in the hardness and the demands due on

this furniture. This enables us to overcome

the ageing of the equipment in real time.

But why choose professional industrial

equipment ?

Jean-Pierre Pinelli. We are a 4-star luxury

Relais Château. People expect to receive the

same level of service in return. And we are

very satisfied. This machine is quite fantastic.

It is true that it is fairly atypical to treat small

furniture that needs a lot of precision in such

a way but it is the solution. Philippe Hurel

shares my sentiments. Each time I talk about

this to my colleagues, their eyes sparkle. But

really, for us it is ideal to maintain the fur-

niture and to give our customers the service

they desire.

■ Interior view of the

OMIA booth

■ Vue intérieure de la

cabine OMIA

■ Painting operator,

applying paint

■ Opérateur peintre en

cours d’application

■ Cabine de peinture OMIA

Hélia 320 sur soubasse-

ment avec rampe mobile

■ OMIA Helia 320 paint

spray booth on base with

mobile ramp

Page 13: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 13

FOCUS

Ancien technicien du monde de l’automobile, Jean-Pierre Pinelli a ensuite bifurqué vers l’aviation. Il a été, dans les années 1970, l’un des trois plus jeunes pilotes privés de France. Il a atterri à Calvi où il a débuté la construction de son hôtel en 1992. Il a fallu à ce dernier une douzaine d’années pour s’envoler vers les cimes du luxe. Ami de longue date de Jacques Dutronc, un voisin, Jean-Pierre Pinelli peut se vanter, maintenant, d’offrir au visiteur du site internet de son établissement, une musique signée... Thomas Dutronc. «Jacques est un ami. Je le connais de-puis que j’ai 17 ans. Et Thomas, je l’ai connu très jeune », confie Jean-Pierre Pinelli. « Thomas a commencé à jouer de la guitare ici, pour nos clients, il y a trois ans. Et puis il a fait son disque, qui marche. Je suis très content parce que c’est un garçon talentueux. Il a le charme du père, la sagesse de la mère, et le talent qui lui est propre. C’est un garçon adorable. Je suis un peu un privilégié: il a com-posé cette musique deux mois avant de faire son disque ». Dans la peinture comme dans la musique de son site in-ternet, Jean-Pierre Pinelli fait dans le haut de gamme.

Le haut de gamme, jusquedans la musique de Thomas Dutronc

How long ago did you install this

booth ?

Jean-Pierre Pinelli. We have had it since the

end of last year. We chose the big booth.

This enables us to deal with several pieces of

furniture at the same time. Today, with the

recent regulations regarding aspiration, we

are able to paint several objects at the same

time without getting mist or having to remove

the mist.

Why did you choose Omia ?

Jean-Pierre Pinelli. First of all, there is their

reputation, which is important. Then, I also

have a technician with me who has 35 or

38 years experience in this area. He told me

that if I wanted quality equipment, I needed

to contact Omia. Today, it is Omia who has

the best product on the market. And also, the

after-sales service is very good. They have

a Bastia agent who knows his job very well.

This enables us to do a very good job. I am

very happy.

As well as your Philippe Hurel furniture,

you also paint cars, which ones ?

Jean-Pierre Pinelli. We have several Mercedes,

a GL320 TDI and a 500 ML. We also have a

Toyota Land Cruiser V6, three customer ser-

vice vehicles. We go to collect them from the

airport and everything

has to be impeccable.

There are also person-

nel vehicles. This can

be from the golf car,

with small wagons for

carrying the luggage, to

the Toyota pick-up. We

also have a Wrangler

Jeep.

Why not go to a coachbuilder for these

paint jobs ?

Jean-Pierre Pinelli. Because a garage owner

is not used to this kind of organisation. An

upmarket establishment has a very parti-

cular kind of culture. When you charge the

kind of prices we charge to our customers,

it is essential that they get what they’ve paid

for in return. Quality must reign. The level is

high and we must not overlook anything.

After being a motor world technician, Jean-Pierre Pinelli then

branched off towards aviation. In the 70’s, he was one of

the three youngest private French pilots. He landed in Calvi

where he started to build his hotel in 1992. It took him 12

years to fly to the peak of luxury. Having been friends with

his neighbour Jacques Dutronc for many years, Jean-Pierre

Pinelli can now boast to anyone visiting his establishment’s

website, music signed by ... Thomas Dutronc. «Jacques is

a friend. I have known him since I was 17 years old. And

Thomas, I have known him since he was very young », con-

fides Jean-Pierre Pinelli. « Thomas started to play the guitar

here, for our customers, three years ago. And then he made

his record, which is working well. I am very happy because

he is a talented boy. He has his father’s charm, his mother’s

common sense, and his own talent. He is a lovely boy. I am

a bit privileged: he composed this music two months before

making his record». Whether it be paint or music on his

website, Jean-Pierre Pinelli does it all upmarket.

Upmarket, as far as Thomas Dutronc’s music

Page 14: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

INDUS TRIE La peinture

à l’eau !

Located in Saint-Nazaire, at the foot of the bridge

over the Loire estuary, Baudet Shipyards, one of the

two branches of the Baudet group, flirts with the

most beautiful thing found on the seas since the

end of the nineteenth century. More recently, the

Queen Mary carried their brand name. This compa-

ny with its 120 people has completed its equipment

with some Omia booths.

14

Omia et les Chantiers Baudetsont dans le même bateau... de luxeInstallés à Saint-Nazaire, au pied du pont qui enjambe l’estuaire de la Loire, les Chantiers Baudet, l’une des deux branches du groupe Baudet, flirtent avec ce qui se fait de plus beau sur les mers depuis la fin du dix-neuvième siècle. Plus récemment, le Queen Mary porte sa marque. Des cabines Omia sont venues compléter l’équipement de cette entreprise qui compte 120 personnes.

FOCUS

Omia and the Baudet Shipyards are in the same boat ...

a luxury one

■ Cabine application

«Fond dur» OMIA.

■ OMIA «Hard base»

application booth.

Page 15: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 15

FOCUS

Ce n’était pourtant pas la première. «Nous possé-dions déjà une petite cabine Omia. Nous l’utilisions pour faire de la projection de colle», confirme Sté-phane Aubertin, responsable de la production. «Il s’agissait d’une toute petite cabine avec un équipe-ment de mesure d’encrassement de filtre. Mais déjà nous pouvions nous rendre compte qu’il s’agissait de bon matériel. Il y avait aussi la réputation Omia.» C’est presque tout naturellement que le groupe Bau-det s’est tourné vers Omia pour l’acquisition d’un nouvel équipement: «Nous avons fait le choix d’une cabine ouverte avec une aspiration horizontale, ainsi que d’une autre cabine en surpression, avec aspira-tion au sol. Elle, est destinée au “grand brillant”, précise Stéphane Aubertin en charge du projet sur les conseils de Eric Tricaud, ingénieur d’affaires Industrie chez OMIA.

■ SAS d’accès OMIA cabine

application Vernis «Grand

Brillant» et étuve.

■ OMIA booth access SAS, with

«Grand Brillant» varnish and

drying room.

And yet this was not the first time. «We already

had a small Omia booth. We used it for glue pro-

jection», confirms Stéphane Aubertin, production

manager. «It is a really small booth with a piece of

equipment that assesses how clogged the filter is.

But we already knew it was good equipment. There

was also Omia’s reputation.» It’s almost quite na-

tural that the Baudet group turned towards Omia

to purchase their new equipment: «We chose an

open booth with a horizontal aspiration, as well as

another high pressure booth, with floor aspiration.

This one is to be used for the “grand brilliant”, sta-

tes Stéphane Aubertin, responsible for the project,

on the advice of Eric Tricaud, industrial business

engineer at OMIA.

Page 16: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

En quoi consiste votre production ?Stéphane Aubertin. Nous travaillons essentiellement dans le mo-bilier pour des yachts, les bateaux de luxe. Nous réalisons tout ce qui est agencement naval dans ces navires haut de gamme. Cela consiste en des vernis sur des pièces de bois plaqué, en bois massif... En ce moment, nous sommes en train de réaliser les plafonds d’un grand yacht, « Octopus ». Il s’agit de peindre des plafonds en tôle alu... Nous pouvons réaliser des peintures sur tout type de support, mais nous travaillons essentiellement, à 90%, sur du bois. Les dimensions peuvent être très variables. Cela va de la pièce de la taille d’un post-it, à une pièce qui peut mesurer 1,2 mètre par 3 mètres de long. Nous faisons du sur-me-sure. Nous travaillons pour Akeryards France, les anciens Chan-tiers de l’Atlantique. Nous sommes donc amenés à intervenir sur des paquebots de plus de 300 mètres de long. Mais dans notre atelier, nous travaillons essentiellement sur des yachts, comme «Octopus» en ce moment, qui mesure 126 mètres.

16

FOCUSINDUS TRIE

■ Etuve «Fond dur»

OMIA.

■ OMIA «Hard base»

drying room.

What does your production consist of ?

Stéphane Aubertin. Essentially we fit out yachts,

luxury boats. We carry out all the shipbuilding de-

sign in upmarket ships. This consists of varnishing

wood cladding, solid wood... At the moment, we

are in the process of creating the ceilings in a big

yacht, the « Octopus ». This involves painting the

aluminium sheeting... We can paint on any type of

surface but essentially, 90% of the time, we work

on wood. The dimensions can vary a great deal.

It goes from a piece the size of a post-it to a

piece measuring 1.2m by 3m long. Our work

is “made to measure”. We work for Akeryards

France, the old Atlantic shipbuilders. We are

therefore called to work on liners of over 300m

long. But in our workshop, we mainly work on

yachts like the «Octopus» at the moment, which

is 126m long.

Page 17: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 17

FOCUS

Votre nouveau matériel Omia a-t-il répondu à vos attentes ?Stéphane Aubertin. Au niveau du cahier des charges, ce qui saute aux yeux, c’est qu’il s’agit d’une très bonne installation. L’im-plantation a été faite dans un atelier de montage. Cela signifie que des employés travaillent juste à côté des cabines. Et en ce moment par exemple, nous procédons à l’application d’enduit polyester sur certaines pièces. C’est un produit qui sent très fort. Pourtant les monteurs qui sont à cinq ou six mètres ne sentent absolument rien. La crainte dans ce type de cabines est toujours l’émission d’odeurs. Nous avons la preuve ici que l’aspiration est de très bonne qualité. Il n’y a aucune odeur de vernis dans l’atelier de montage. En ce qui concerne le bruit, nous avions demandé que le niveau sonore du matériel se situe en dessous de 75 décibels. Ces cabines sont à 73 décibels, c’est-à-dire nettement moins bruyant que ce que nous possédions auparavant.

■ Opérateur

en cours

d’application.

■ Paint operator,

applying paint..

Has your new Omia equipment lived up

to your expectations?

Stéphane Aubertin. As for the specifications,

what jumps out at you is that it is a very

good installation. It was installed in an as-

sembly workshop. This means that the em-

ployees worked alongside the booths. And,

for example, at the moment we are applying

a polyester coating on certain parts. It is a

product that has a very strong odour and yet

the fitters who are five to six metres away

do not smell anything at all. What we always

fear most in this type of booth is the dischar-

ge of odours. We have proof here that the

aspiration is of a very high quality. There is

no smell of varnish in the assembly works-

hop. As far as noise is concerned, we have

asked that the sound level be less than 75

decibels. These booths are 73 decibels, which

means they are clearly less noisy than what

we had before.

Page 18: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

Comment s’est passée l’installation ?Stéphane Aubertin. Comme pour toute ins-tallation, il y a eu quelques petits soucis de réglages au début, ce qui est normal. Mais le technicien du service après-vente a tout de suite été là. Cela a été impeccable. Au niveau de la filtration nous avons également eu des résultats assez remarquables. Le bilan est très positif. En terme de qualité, en choisissant ce matériel, nous savions de toute façon à quoi nous attendre.

How did the installation go ?

Stéphane Aubertin. Like any installation, there

were a few teething problems in the beginning,

which is normal. But the after-sales technician

was there straight away. This was impeccable. At

the filtration level we also had remarkable results.

The results are very positive. In terms of quality,

by choosing this equipment, we knew in any case

what we could expect.

18

FOCUSINDUS TRIE

■ Intérieure cabine

application «Grand

Brillant».

■ Interior of «Grand

Brillant» application

booth.

Page 19: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 19

FOCUS

Tél. : +33 (0)2 40 17 15 15

Fax : +33 (0)2 40 90 42 87

e-mail : [email protected]

Web site : chantiers-baudet.com

boulevard des apprentis

44613 Saint-Nazaire cedex (France)

Président - Chairman :

Benoit Durand-Barracand

Directeur - Director : Nicolas Abiven

Nombre d’employés - Personnel :

120 (St-Nazaire)

C.A. - Turnover : 13 millions d’euros

Activités - Business activities

• Agencement clés en main Full refurbishment

• Hôtellerie et tertiaire Hotel and service industry

• Marine Navy

• Yachts et résidences privées Yachts and private residences

• Equipement et décoration intérieure Interior fitting and decoration

• Menuiserie - Ebénisterie Woodwork

• Ameublement Furnishings

• Salles de bains Bathrooms

• Maquette et prototype Models and prototypes

• Maquettes grandeur nature Full scale models

Chantiers BAUDET

■ Armoires de

commande

électriques

cabine et

étuve.

■ Electronic

control panels

for booth and

drying room.

Page 20: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

DOSSIER AFRIQUE DU NORD

« L’Algérie est un grand pays, un très beau pays, avec des ressources phénoménales. Il est essentiel pour Omia d’y être présente. » Arthur Kowalewski porte les couleurs de l’entreprise dans tous les pays du Maghreb, de la Tunisie, à l’est, à la Mauritanie, à l’Ouest. Et même si le Maghreb ne pèse encore qu’une centaine de milliers d’euros pour Omia, il sait que la persévérance paie.« Cela fait une vingtai-ne d’années qu’Omia est présente en Algérie. Il y a eu un arrêt durant la période des troubles, mais nous y avons re-pris l’activité. C’est un marché énorme, même s’il n’est pas très struc-turé », estime le res-

ponsable commercial de cette partie du globe. « Les meilleurs résultats, c’est en Tunisie qu’Omia les obtient pour le moment. Nous y installons en moyenne deux cabines par mois. » Sur place, l’entreprise bénéficie des relais d’USP, important groupe européen de pièces de rechange, et du groupe Chaïbi, conglomérat présent à la fois dans les secteurs des services et de l’industrie.

INTERNATIONAL

20

Le Maghreb,le pari sur l’avenir d’Omia

North africa file The Maghreb, the bet on Omia’s future

■ Concession Renault

Blida (Algérie),

DG : Karim BENKIAR.

■ Renault Blida dealer

(Algeria)

MD : Karim BENKIAR.

■ Arthur Kowalewski,

Responsable Commercial

Afrique du Nord et

Europe de l’Est.

■ Arthur Kowalewski,

Commercial Manager,

North Africa and Eastern

Europe.

■ Cabine de peinture

OMIA Galixia 280 et

Box Lab 4.

■ OMIA Galixia 280 paint

spray booth and Box

Lab 4.

Page 21: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 21

En Tunisie, les performances d’Omia flirtent avec les sommets, avec une emprise sur environ 80% du marché, pratiquement le double du chiffre réalisé au Maroc. « En Algérie, c’est plus difficile », admet Arthur Kowalewski. Récemment encore, il est ren-tré de Tunisie avec une commande de deux cabines de peintures et de deux aires de préparation. Ce qui n’est pas si fréquent. « En général, au Maghreb, on nous demande principalement des cabines de pein-tures. Nos clients ne sont pas encore habitués à avoir des aires de préparation, des laboratoires, des ateliers complets. Nous commençons donc par des cabines seules. »La Tunisie, « c’est le pays qui se développe le mieux pour le moment, à tout point de vue », estime Arthur Kowalewski. C’est en Tunisie qu’Omia réali-se pratiquement la moitié des 100.000 euros de chiffre d’affaires du Maghreb. « Mais le potentiel, à l’avenir, se situe en Algérie. Même si le chantier est immense » admet Arthur Kowalewski. La structure du marché, qui manque parfois d’organisation, ne rend pas la tâ-che facile. « De plus, il y a une énorme concurrence, particulièrement en Algérie, de produits venant du monde entier, et notamment de la Chine. Cette mar-chandise chinoise ne respecte pas souvent les normes que nous, en revanche, nous respectons. Nous som-mes confrontés à ce problème dans notre secteur, mais cela concerne aussi toute sorte de produits, comme les voitures. Il y a sur les routes en Algérie des voitures chinoises qu’on ne voit pas en Europe ! »Le cas de la Mauritanie, à l’extrême ouest du Ma-ghreb, est quelque peu différent. « C’est un plus petit pays. Nous y avons conclu quelques affaires, essen-tiellement pour des centres de formations, des éco-les », ajoute Arthur Kowalewski qui navigue entre les pays des l’Est, la Russie notamment, et l’Afrique du nord. « Pour Omia, il est très important d’être pré-sent au Maghreb parce que malgré tous les problèmes que peuvent rencontrer ces pays, de nombreuses so-ciétés françaises y investissent. Notamment, il n’y a pas longtemps, nous avons obtenu un marché sur le métro d’Alger. Un chantier sur lequel travaille une société française ! »

Le Maghreb,le pari sur l’avenir d’Omia

The commercial manager for this part of the world considers that « Omia has been

present in Algeria for over twenty years. This stopped during the period of unrest

but we have resumed our activity since. It’s an enormous market, even if it is not

very structured ». « Omia obtains the best results from Tunisia at the moment.

On average we install two booths per month. » On site, the company benefits from

USP outlets, USP is a large European group dealing in spare parts, and from the

Chaïbi group, a conglomerate for the service and industry sectors.

In Tunisia, Omia’s achievements peak, with an influence over approximately 80%

of the market, practically twice the figure achieved in Morocco. « It’s harder in

Algeria », admits Arthur Kowalewski. Recently, he returned from Tunisia with an

order for two paint spray booths and two preparation areas, which does not hap-

pen very often. « Generally in the Maghreb, we mainly get asked for paint spray

booths. Our clients are not yet used to having preparation areas, laboratories or

complete workshops. We are therefore starting with just booths.

Arthur Kowalewski feels that Tunisia « is the country that is developing the most at

the moment, from every point of view ». Practically half of Omia’s 100,000 euros

turnover for the Maghreb comes from Tunisia. «But in the future, the potential lies

in Algeria. Even if the site is immense » admits Arthur Kowalewski. The market

structure, which sometimes lacks organisation, does not make it an easy task.

« Furthermore, there is a lot of competition, especially in Algeria, from products

which come from all over the world, particularly China. This Chinese merchandise

often does not respect the standards that we have. We are confronted with this

problem in our area but this also concerns all types of products, such as cars. The-

re are Chinese cars on the Algerian roads that we do not even see in Europe ! »

In the case of Mauritania, at the extreme west of the Maghreb, it is somewhat

different. « It’s a smaller country. We have made a few deals, mainly for training

centres and schools », adds Arthur Kowalewski, who moves between the Eastern

countries, particularly Russia, and North Africa. « It is very important for Omia

to be present in the Maghreb because, despite all the problems that this country

can have, numerous French companies are investing there. In particular, not long

ago we obtained the market for the Algerian metro. This job is carried out by a

French company ! »

■ Concept de carrosserie OMIA

- Cabine de peinture Galixia 280,

Box Lab et Aires de préparation.

■ OMIA bodywork concept

- Galixia 280 paint spray booth, Box

Lab and preparation areas.

Page 22: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

FOCUS

Le Benelux, une carte de visite de luxe pour Omia

DOSSIER BENELUX

INTERNATIONAL

With 200 vehicles, from minibuses to state-of-the-art luxury

coaches, Voyages Emile Weber is one of the largest transport

companies and travel agencies in Luxembourg, in Benelux,

and remains a key player in Northern Europe. Set up in 1875,

the company employs 400 people. Omia has just installed the

biggest paint and cleaning booth ever installed in Luxembourg

into this family business. It is an impressive 28m in size and

costs around 350,000 euros, but is also important because of

what it represents. For Kennith Webb, one of Omia’s salesmen,

particularly responsible for this part of the world, this market

is the result of efficient work in close contact with customers

and distributors.

Omia knows Luxembourg particularly well. The company has

been actively involved there for 35 years. « It is important for

Omia to be actively involved in the Benelux because we know

that the customers are very demanding. Our equipment the-

refore has to be at its best », explains Kennith Webb. « As the

Benelux is so close to France, the customers know our products

very well.... but they also know our competitors’ products »

continues Kennith Webb. « It’s probably the most complicated

part of my sector in the world », he adds.

22

Avec deux cents véhicules, du minibus à l’autocar de luxe der-nier cri, Voyages Emile Weber est l’une des entreprises de trans-ports et agence de voyage les plus importantes du Luxembourg, du Benelux, et reste incontournable en Europe du nord. Créée en 1875, elle emploie 400 personnes. C’est dans cette entreprise fa-miliale qu’Omia vient d’installer la plus grande cabine de pein-ture et de lavage jamais implantée au Luxembourg. Importante par la taille, avec ses vingt-huit mètres, et son coût de l’ordre de 350.000 euros, mais aussi par le symbole qu’elle représente. Pour Kennith Webb, commercial chez Omia en charge notam-ment de cette partie du globe, ce marché est le résultat d’un tra-vail efficace, au plus près des clients et des distributeurs.Le Luxembourg est un terrain qu’Omia connaît particulièrement bien. La société y est présente depuis 35 ans. « Il est très im-portant pour Omia d’être présente au Benelux, parce que nous savons que la clientèle y est très exigeante. Notre matériel doit donc être au top », explique Kennith Webb. « En raison de la proximité du Benelux et de la France, les clients connaissent très bien nos produits... mais aussi ceux de nos concurrents » poursuit Kennith Webb. « C’est peut être mon secteur dans le monde le plus compliqué », ajoute-t-il.

No doubt as Europe is being built in Brus-

sels, the Benelux keeps a sharp eye on the

most recent standards and even that the

equipment that arrives on the Benelux ter-

ritory has a head start. Kennith Webb, who

has been covering this patch for Omia for

three years, feels that « Benelux companies

only want top of the range equipment, with

tougher standards than the European stan-

dards. We know that if our Omia equipment

gets a good response in Luxembourg, we can

brave the rest of the world with it ». He con-

tinues « When we are faced with a Luxem-

bourg customer, we only propose top-of-the

Benelux file The Benelux, a luxurious business card for Omia

Page 23: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 23

FOCUS

range equipment. There is no point in pro-

posing other products as that just wouldn’t

work », referring to the painting and clea-

ning booth that has just been installed in the

Voyages Emile Weber workshops, in Canach.

The company, which is very meticulous, is

keen to maintain its own fleet.

With almost 80% of the market in Luxem-

bourg, Omia maintains first place because

of their excellence, their rigour, and thanks

to a solid network of distributors. The Weber

market « is the result of a lot of hard work

to gain the trust of our distributor, SPK » ;

Kennith Webb’s work is also carried out in

the other Benelux nations. Last year, Profil

in Belgium, and Andriessgroep in Holland

joined the network of Omia distributors.

« Andriessgroep is the second largest distri-

butor for garage equipment in Holland and

wanted to become involved in paint spray

booths. And this works well. We have just

installed a paint spray booth for a customer.

This acts as a show room for us, with good

results », continues Kennith Webb.

Omia has also just made its appearance in

the port of Rotterdam, the largest turntable

in Europe with regards to the motor indus-

try. Vehicles damaged by maritime trans-

port go through the repair workshops that

Omia will gradually be equipping. « We have

also received orders from a state training

centre in Amsterdam », adds Kennith Webb,

conscious however that the progression in a

restricted and very competitive market re-

mains a challenge. « It’s true that it is hard,

but what makes the difference is commer-

cial relations, both with distributors and

customers. You need to know how to exploit

each distributor’s network to the full, to gain

on strategy. We can only penetrate a market

like this a little at a time. »

Sans doute parce que l’Europe se construit à Bruxelles, le Benelux a un œil très acéré sur les normes les plus récentes. Et exige parfois même du matériel qui pénètre sur son territoire qu’il ait une petite longueur d’avance. « Les entreprises, au Benelux, ne veulent que du matériel haut de gamme, avec des normes parfois plus dures que les normes européennes. Nous sa-vons que si notre matériel Omia connaît un bon écho au Luxem-bourg, nous pouvons affronter le reste de l’Europe du nord, et le monde », estime Kennith Webb qui, depuis trois pour Omia, arpente ce terrain. « Face à un client, au Luxembourg, on ne présente que le matériel haut de gamme. Ce n’est pas la peine de présenter les autres produits, ça ne marcherait pas », raconte-t-il, faisant référence notamment à la cabine de peinture et de lavage qui vient de rejoindre les ateliers de Voyages Emile Weber, à Canach. La société, preuve d’une extrême méticulosité, tient à réaliser elle-même l’entretien de sa flotte.Avec près de 80% de part de marché au Luxembourg, Omia con-serve la première place à coup d’excellence, de rigueur, et grâce à un réseau de distributeurs solide. Le marché Weber « est le résultat d’un long travail de confiance avec notre distributeur, SPK » ; un travail de Kennith Webb entrepris également dans

les autres nations du Benelux. Profil en Belgique, et Andriess-groep en Hollande viennent de rejoindre, l’an passé, le réseau des distributeurs Omia. « Andriessgroep est le deuxième distri-buteur d’équipement pour les garages en Hollande, et il souhai-tait s’engager sur le terrain des cabines de peinture. Et ça marche bien. Nous venons d’installer une cabine de peinture chez un client. Cela nous sert de show-room. Avec de bons résultats », poursuit Kennith Webb.Omia vient également de faire son apparition sur le port de Rot-terdam, la plus grande plaque tournante en Europe pour ce qui concerne le marché automobile. Les véhicules endommagés par le transport maritime passent par des ateliers de réparation que va progressivement équiper Omia. « Nous avons aussi des com-mandes qui nous viennent d’un centre de formation d’Etat, à Amsterdam », ajoute Kennith Webb, conscient pourtant que la progression, dans un marché restreint et très concurrentiel, reste un challenge. « C’est vrai que c’est très dur, mais ce qui fait la différence, ce sont les relations commerciales. A la fois avec les distributeurs et les clients. Il faut savoir exploiter au mieux le ré-seau de chaque distributeur, pour gagner en stratégie. Un marché comme celui-ci se pénètre petit à petit. »

■ (De gauche à droite) (From left to right) :

Mike SCHUMACHER & Roby KUMMER - Sté SPK Luxembourg,

Patrick Andriessen, ANDRIESSEN GROEP Pays-Bas & Kennith WEBB,

Wim DE CLERCQ, société CA.SE.BE. SPRL Belgique.

■ Voyages Emile Weber (Canach - Luxembourg)

- Cabine OMIA Poids Lourd 24 2 modules.

■ Voyages Emile Weber (Canach - Luxembourg) - OMIA heavyweight 24 2 module booth.

Page 24: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008

DONNEZ VIE A VOTRE PROJET

24

Conseils sur la réalisation d’un projetde cabine de peinturedans la réparation automobile

EXEMPLE POUR L’INTEGRATION D’UNE CABINE DE PEINTURE :3 CONTEXTES / 3 APPROCHES DEDIEES

Obligation de tenir compte des

éventuelles contraintes de

l’infrastructure et de cibler la

meilleure implantation possible.

Avoir pour objectif d’être

en cohérence avec

le circuit logique

de réparation

Nécessité

d’une

démarche globale

d’organisation d’atelier

Comment définir le bon matériel ?

Un investissement dans la durée qui impose une réflexion ...

• La notoriété de l’équipementier, son antériorité dans la profession,

privilégier un concepteur constructeur qui a une compétence glo-

bale de A à Z : de la conception en passant par la mise en service

et la maintenance.

• Dans l’activité peinture du client, quelle part de réparation repré-

sente le V.L. et le V.U.L ?

• Quelles seraient les dimensions utiles de la cabine, les plus appro-

priées fonction de l’activité actuelle et future ?

• Le client est dans un contexte urbain avec des habitations à proxi-

mité, quelles sont les solutions techniques les plus appropriées et

quelles sont les démarches préalables à engager auprès des services

techniques de la Mairie, de la DASS ou de la DRIRE selon la forme

juridique de l’entreprise ?

• Choix possibles en matière d’implantation, d’adaptabilité et de mo-

dularité de la machinerie : Faut-il que le client s’oriente vers une

cabine sur soubassement métallique ou sur génie civil ?

• Type d’éclairage, nombre de tubes, positionnement, accessibilité ?

• Très important : être vigilant ! Le circuit de l’air en cabine est-il

homogène ? Par quels moyens ?

• Avantage : qualité et niveaux de filtration (rotation / coût de rempla-

cement / temps de remplacement Pré-filtres poche, Filtres plafond,

Filtres sol).

• Surface d’aspiration et de caillebotis au sol.

• Choix des process de chauffage.

Le bâtimentest existant

Réalisation d’une extension dubâtiment existant

Réalisation d’uneconstruction neuve

NOS CONSEILS

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OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 25

OUR WORKING GUIDE

1) Observer, être à l’écoute et agir en partenaire conseil.2) Développer une capacité à analyser et identifier le besoin réel3) Prendre en compte les contraintes / analyses bâtiments / synergie avec les architectes et corps d’état.4) Être porteur d’un projet équilibré avec l’objectif du juste investissement5) L’équipementier doit être en mesure de coopérer et de collaborer avec ces entreprises dans le cadre d’un planning opéra-

tionnel de mise en oeuvre.

6) Attention aux pièges - tenir un discours transparent avec le client- Bien cerner le «qui fait quoi ?»- Quelles sont les fournitures et travaux à sa charge ?- Quelles sont les limites de prestations de l’équipementier ?- Prendre le recul nécessaire :

• Bien étudier le contenu technique des offres • Procéder à une analyse comparative des matériels proposés

La vision d’OMIA dans son rôle d’equipementier vis-à-vis de sa clientèle

L’intégration d’une cabine de peinture demande l’intervention de plusieurs corps d’état

Le client modifie sa construction existante, 2 cas possibles :• Son extension de surface à bâtir est inférieure à 20 m2, il procède à des modifications de façade, il doit : procéder à une déclaration de travaux auprès des services de la mairie.• Son extension de surface à bâtir est supérieure à 20 m2 ou il s’agit d’un bâtiment neuf, il doit : procéder avec le concours de son architecte à une demande de permis de construire.----> Dossier à déposer à la mairie du lieu d’implantation

RAPPEL DES DEMARCHES ADMINISTRATIVES

charpentier plombier électricien maçon

• Puissance calorifique installée en kW, de quelle garantie minimale de

température en phase pistolage disposera l’opérateur peintre, exemple

avec un air à O°C à - 5°C pris à l’extérieur ? La cabine, au niveau de ses

performances, est-elle compatible avec les peintures hydrodiluables ?

• Choix de l’énergie

• La cabine de peinture de par sa conception est-elle économique à l’ex-

ploitation ? Dispose-telle de process particulier ?

• La cabine est-elle dotée d’un système de recyclage en phase étuvage ?

• L’ergonomie générale, la simplicité d’utilisation, la facilité d’accès aux

organes ventilateurs ...

• Robustesse générale, qualité de construction, design ...

• L’armoire de commande : convivialité à l’utilisation, fiabilité et qualité

des composants. Est-elle interactive ? Quelles informations sont à la

disposition de l’opérateur peintre ?

• Le montage : quelles sont les formules proposées : chef monteur, mon-

tage complet, ...

• Mise en service et formation des opérateurs peintres à l’utilisation de la

cabine de peinture, quelle procédure, quels moyens sont mis en place

par l’équipementier ?

• Le SAV : de quels moyens réels logistiques, humains et matériels dis-

posent l’équipementier pour assurer un service de proximité sous 24

heures ? Quelle est la largeur de son offre services notamment sur le

plan contrat de maintenance ou toute autre formule personnalisée ?

S’agit-il d’un service intégré ou l’équipementier fait-il appel à la sous-

traitance ?

■ Concept de

carrosserie

OMIA.

Page 26: Omia connection 2

I OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 200826

BRING YOUR PROJET TO LIFE

Advice on creating a painting booth projectin the motor repair industry

EXAMPLE OF PAINTING BOOTH INTEGRATION3 CONTEXTS / 3 DEDICATED APPROACHES

Obligation to take any eventual restrictions regarding the

infrastructure into account and to pinpoint the best possible place to

for installation.

How do you define the right equipment ?

A long-term investment that requires reflection...

• The reputation of the equipment supplier, how long he’s been in the

profession, select a builder-designer who is completely confident

in everything from A to Z : from the conception of the design, to

installation and maintenance.

• In the customer’s painting business, what proportion of the repairs

represent passenger vehicles and utility vehicles ?

• What would be the most useful dimensions for the booth, appro-

priate for both current and future business ?

• If the customer is in an urban environment with dwellings nearby,

what are the most appropriate technical solutions and what steps

should be taken in advance with regards to the town hall, the health

and safety services or the environmental and industrial research

authorities depending on the legal form of the company?

• Possible choices for setting up, adaptability and modularity of the

machinery : should the customer move towards a metal based booth

or civil engineering?

• Type of lighting, number of tubes, positioning, accessibility ?

• Very important : be vigilant ! Is the air circuit in the booth consis-

tent? By what means?

• Advantage : quality and the level of filtration (rotation / replacement

cost / replacement time for pocket pre-filters, ceiling filters, ground

filters).

• Aspiration area and ground decking area.

• Choice of heating processes.

The buildingalready exists

Extending an existing building

Carrying outa new construction

OUR WORKING GUIDE

Aim to be consistent withthe logical repair circuit.

Requires a global approachto the workshop organisation

Page 27: Omia connection 2

OMIA CONNECTION - N°2 - Novembre - Decembre 2008 I 27

OUR WORKING GUIDE

1) To observe, to listen and to react as partner-advisors. 2) To develop a capacity to analyse and identify the real needs.3) To take into account the restrictions / analysis of buildings / synergy with architects and various professions.4) To provide a balanced project with the aim of a fair investment.5) The equipment supplier must be able to cooperate and collaborate with these companies as part of an operational installa-

tion programme.

6) Be careful not to fall into a trap – always be clear with the customer- Clearly define « who does what ?»- What supplies and works are at his own expense ?- Where do the equipment supplier’s services end ?- Stand back : • Study the technical contents of the offers well, • Carry out a comparative analysis of the equipment proposed.

OMIA’s view as equipment supplier with regards to their customers

Integrating a painting booth requires the intervention of several professions

If the customer modifies his existing building, there are 2 possible cases :• If the building extension is less than 20m2 and he is carrying out modifications to the external walls, he must : draw up a works declaration via the town hall.• If the building extension is greater than 20m2 or if it is a new building, he must : seek an architect to assist him with a building permit request.

----> The request must be submitted to the local town hall relating to where the building is or will be.

REMINDER OF ADMINISTRATIVE PROCESS

carpenter plumber electrician mason

• Calorific value installed in kW, which minimum temperature guarantee

during the spraying stage will the paint operator be able to use, for

example with an external air temperature of between O°C to - 5°C? Is

the booth, in relation to its performance, compatible with hydrodiluent

paints?

• Choice of energy

• Is the paint spray booth economical for exploitation because of its de-

sign? Does it use a particular process ?

• Does the booth have a recycling system in the drying stage?

• General ergonomics, easy use, easy access to ventilating organs...

• General robust, construction quality and design...

• The control panel : user-friendliness, reliability and quality of com-

ponents. Is it interactive? What information is available to the paint

operator?

• Fitting : what formulas are proposed : chief fitter, full fitting...

• Installation and training for paint operators using the paint spray booth,

what is the procedure, what methods are put in place by the equipment

supplier ?

• The after-sales service : which real logistical, human and material

means does the equipment supplier use to ensure a local service within

24 hours? How wide is his range of services and in particular from a

maintenance contract point of view or any other personalised formula?

Is it an integrated service or does the equipment supplier call a sub-

contractor?

■ OMIA

bodywork

concept

Page 28: Omia connection 2

Standard / Reception

SAV France

After-Sales

33 (0)5 45 20 51 51

0 811 656 659 (coût appel local France métropolitaine)

33 (0)5 45 20 51 82