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NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO RRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION OMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO

GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO RRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION

GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDE COATIQUE

Direction de laCompliance

Groupe

VIGILANCE DILIGENCECOMPLIANCE

Guidede prévention

de la corruptionDemandes anormales

Paiements de facilitation

Cadeaux et invitations

Voyages clients

Donations

Sponsoring

Contributions politiques

Relations avec les tiers

Fraude

Conflits d’intérêts

Ethics Line

Ressources

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE GUIDUPRATIQUEPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION GUIDUPRATIQUENO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION GUIDUPRATIQUE

MARS2 0 1 8

Mot duPrésident

Le Groupe Essilor, leader et référence de son marché a connu au fil des

années un fort développement international. Avec une présence significa-

tive sur tous les continents, nous devons faire face à de nouveaux enjeux,

impliquant de nouvelles responsabilités de conformité, en particulier en

matière de prévention de la corruption.

Dans l’esprit des Principes et Valeurs Essilor, qui rappellent la nécessité de

respecter les lois applicables notamment en matière de législation finan-

cière, et dans la continuité de notre adhésion au Pacte des Nations Unies,

nous nous devons de porter une attention particulière à ce sujet. Nous

sommes résolus à adopter une politique de « tolérance zéro » en matière de

corruption.

Ce guide s’adresse à tous ceux qui, au nom d’Essilor, gèrent des relations

avec des administrations, des autorités de régulation, des clients et autres

tiers. Il vise à détailler les réglementations applicables et les bonnes

pratiques en matière de prévention de la corruption. Il rappelle également

les principes à respecter au sein du Groupe, par nos filiales, par nos parte-

naires, et par l’ensemble des dirigeants, managers et collaborateurs du

Groupe.

Notre volonté est de développer notre activité grâce à la qualité de nos

produits et services - sans jamais chercher à influencer illégitimement des

tiers. Nous croyons en l’efficacité de notre modèle basé sur l’esprit entrepre-

neurial et nous souhaitons qu’il s’applique dans le respect le plus strict des

lois et de l’éthique que nous affichons. C’est ainsi que nous devons agir pour

nous développer et accomplir notre mission d’améliorer la vision pour

améliorer la vie à travers le monde.

Hubert SAGNIÈRESPrésident-Directeur Général

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EXECUTIVESUMMARY

Vous trouverez le détail des exigences Essilor et des bonnes pratiques internationales tout au long de ce guide Essilor pour la Prévention de la Corruption : nous vous en souhaitons bonne lecture.

La corruption, qui consiste à influencer un tiers de façon illégitime, en faveur d’Essilor doit s’entendre de façon assez large. Elle renvoie en premier chef aux paiements de pots-de-vin mais elle prend fréquemment des formes très différentes et plus subtiles. C’est pour cela que vous trouverez des indications sur différentes transactions considérées à risque telles :les paiements de facilitation, les cadeaux et invitations, les voyages clients, les donations, les contributions politiques et le sponsoring.

Soyez particulièrement vigilant(e)s sur ces différentes transactions et plus encore si elles impliquent des agents publics. Soyez très prudent(e)s sur le référencement des tiers notamment s’il s’agit d’opérations se déroulant dans des pays considérés à risque.

A cet effet, nous vous rappelons quelques principes clés valables en toutes circonstances :

CONFORMITÉ LÉGALE ET JURIDIQUEPour chaque projet, vous devez connaître systématiquement les lois et réglementations applicables, y compris celles des différents pays d’opérations.

PRÉPARATION ET RESPECT DES DÉLAISPlanifiez vos projets ; identifiez en amont les difficultés que vous devrez résoudre (administratives, douanières, culturelles) et prévoyez des délais suffisants. Ne soyez pas en situation d’urgence et respectez les procédures applicables afin de prévenir d’éventuelles situations d’extorsion.

PRINCIPE DE DUE DILIGENCEVérifiez qui sont les bénéficiaires ultimes de vos projets, partenaires et clients. Assurez-vous qu’ils bénéficient d’une bonne réputation, qu’ils sont prêts à s’engager à respecter les Principes et Valeurs Essilor et à respecter les réglementations applicables notamment en matière de prévention de la corruption.

PRINCIPE DE « TOLÉRANCE ZÉRO »N’entrez pas dans la négociation, n’acceptez pas un avantage dont vous vous sentirez redevable, ne fermez pas les yeux sur une somme modique même exceptionnellement. Vous entreriez dans un processus dangereux où les exigences ne feraient que croître. Vous vous exposeriez personnelle-ment ; vous exposeriez également vos managers et Essilor.

Ce guide s’applique à tous les pays et/ou juridictions dans lesquels Essilor effectue des opérations et s’étend à tout pays et/ou toute juridiction dans lesquels Essilor débute des opérations.

Ce document sera mis à jour régulièrement pour s’assurer qu’il respecte les lois et règlementations applicables.

Dans le cas où ce document serait traduit, la traduction doit être fidèle à la version originale du guide. En cas de divergences d’interprétation, la version anglaise prévaut.

Il s’applique à tous collaborateurs du groupe, quelle que soit leur fonction, aux administrateurs, dirigeants, mandataires, et consultants dans toutes les activités et entités du Groupe.

« Essilor » dans ce document doit être entendu comme faisant référence à toutes les entités légales appartenant au Groupe Essilor, y compris les filiales à 100% ou les joint ventures dans lesquelles nous participons.

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Ces quelques questions permettent bien souventd’identifier des situations qui vous exposent :

Ai-je un doutesur la légalitéde cettedémarche ?

identifier des situations qui vous exposent :

Ai-je le sentimentqu’on me force la mainou que les attentesne sont pas trèsclaires ?

Serais-je gêné que monpatron, mes collèguesou mes concurrentsapprennent ma décision ?

Suis-je mal à l’aisevis-à-vis de lademande quim’est adressée ?

force la mainforce la mainou que les attentesne sont pas très

Serais-je gêné que

Est-ce que toutesles parties intervenantesdans la transactionsont transparenteset connues de tous ?

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO RRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION

NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION OMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO

GUIDE COATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDUPRATIQUE

NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO RRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION PROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONNO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION

GUIDE COATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDE COATIQUE GUIDUPRATIQUE GUIDE COATIQUE

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SommaireMOT DU PRESIDENT

EXECUTIVE SUMMARY

«TOLÉRANCE ZÉRO »

> Corruption

> Paiements de facilitation

CADEAUX ET INVITATIONSPROFESSIONNELS

> Cadeaux et invitations

> Voyages clients

DONATIONS, SPONSORINGET CONTRIBUTIONS POLITIQUES

> Donations

> Sponsoring

> Contributions politiques

RELATIONS AVEC LES TIERS

> Partenaires (joint-venture, consortium)

> Fournisseurs

> Distributeurs

> Clients

FRAUDE

PRÉVENTION DES CONFLITS D'INTÉRÊTS

ETHICS LINE

PRINCIPES DE MISE EN OEUVRE

CENTRE DE RESSOURCES DÉDIÉ

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NO COMPROMISE TOLÉRANCENO CORRUPTION NZÉRO TOLÉRANCEMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMTOLÉRANCEORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NOOLÉRANCE ZÉRO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION OMPROMISE NOZÉRO TOLÉRANCE COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUTOLÉRANCE ZÉROOMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTIONZÉRO TOLÉRANCEE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO

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GUIDEZEROATIQUE GUIDTOLRATIQUE GUIDEZEROATIQUE GUIDTOLRATIQUE GUIDEZEROATIQUE

■ Le Groupe Essilora une « tolérance zéro »en matière de corruption.

■ Le Groupe Essilor condamnetoute forme de corruption,directe ou indirecte.

■ Les paiements de facilitationsont interdits au même titreque toute autre formede corruption.

POINTS CLÉS

TOLÉRANCE ZÉRO

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CORRUPTIONLa corruption se caractérise par le fait d’offrir, promettre ou accorder, directement ou indirectement, un avantage indu à un tiers afin qu’il

accomplisse, retarde ou omette d’accomplir un acte entrant d’une façon

directe ou indirecte dans le cadre de ses fonctions.

La corruption peut être active (donner un avantage indu) ou passive

(recevoir un avantage indu). Elle peut également être privée (influence

d’un agent privé) ou publique (influence d’un agent public) ; directe ou indirecte (via des tiers).

Tout manquement aux lois et réglementations contre la corruption est

susceptible d’engendrer des conséquences extrêmement préjudiciables

pour le Groupe.

■ La corruption, sous toutes ses formes, est interdite.

■ Les collaborateurs ne doivent pas commettre d’actes de corruption ni répondre à des sollicitations indues.

■ Les collaborateurs ne doivent pas utiliser d’intermédiaires, tels que

des agents, des consultants, des conseillers, des distributeurs ou tout

autre partenaire commercial dans le but de commettre de tels actes.

■ Essilor ne fait pas de distinction entre les agents publics et les employés

du secteur privé en matière de corruption. Cependant, il est important de

rappeler que les agents publics sont souvent soumis à des lois et règle-

mentations spécifiques. Toute relation avec un agent public doit être strictement conforme à la règlementation la régissant.

■ Les situations d’extorsion n’excluent pas le risque de poursuites judiciaires selon les lois et réglementations relatives à la corruption.

PRINCIPES

Au-delà des législations nationales concernant la corruption d’agents publics nationaux et étrangers, certaines lois comme le Foreign Corrupt Practices Act (USA), le UK Bribery Act (UK) et la loi «Sapin 2» (France) ont un caractère extraterritorial. Elles peuvent s’appliquer à des entreprises étrangères qui ont un lien avec le territoire américain, britannique ou français (filiales, partenaires commerciaux ou même parfois seulement l’utilisation de services transitant par le territoire américain tel le transit de données via des serveurs informatiques installés aux USA).Ces législations s’appliquent à Essilor. Elles sont particulièrement exigeantes et des sanctions très fortes sont prononcées à l’encontre des entreprises contrevenantes - y compris pour les entreprises d’origine européenne.

IDENTIFIEZ LESSITUATIONS À RISQUESVoici parmi d’autres quelques situations typiques où l’exposition est plus importante et qui demandent une vigilance accrue :

■ Vous êtes dépendants d’autorisations accordéespar des agents publics.

■ Vous organisez ou participezà des appels d’offres ou à des marchés publics.

■ Vous êtes impliqués dansdes activités internationalesen particulier dans des paysconsidérés à risques.

■ Vous travaillez avec despartenaires locaux à traversdes intermédiaires.

■ Les commissions payées à ces intermédiaires ont des montants très variables pour des types d’affaires analogues.

■ Un conflit d’intérêtsest clairement identifié.

IDENTIFIEZ LESPRATIQUES INTERDITES PAR ESSILORVous ne pouvez accepteren aucune façon de :

■ Effectuer des paiements à des entités qui ne sont pas vospartenaires commerciaux habituels (associations, fondations,établissements de formation,hôtels etc.) sans un accordécrit préalable.

■ Engager des dépenses pour des biens et services dont la nature n’est pas en relation directe avec vos affaires : cadeaux, voyages, prestations diverses etc.

■ Réaliser des paiements en dehors des pays d’opérations ou dans des paradis fiscaux, sauf si c’est un pays dans lequel Essilor pense mener des activités (ex : acquisitions, désigna-tion d’un distributeur, activités caritatives…).

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Plusieurs outils sont à votre disposition pour identifier les pays considérésles plus à risques et les situations pouvant vous exposer à des sollicitations indues.

Le site de l’organisation non gouvernementale Transparency International publie ainsi annuellement un classement des pays selon le risque perçu de corruption http://www.transparency.org/.

De façon plus détaillée le site internet http://www.business-anti-corrup-tion.com/ permet d’identifier les transactions et procédures administra-tives à risques en fonctions de vos pays d’opérations.

> Redoublez de vigilance quand vous travaillez dans un paysparticulièrement à risque en matière de corruption.

En pratique

A faire

■ Ne rémunérer que des presta-tions de services dont la matérialitéest vérifiable et à un prix de marché justifiable. En cas de doute, faire valider par le service achats.

■ Respecter les Principes et ValeursEssilor et les lois et réglementationsapplicables en toutes circonstances.

■ Informer les parties tierces sur les Principes et Valeurs Essilor et sur ce que nous attendons d’eux.

A ne pas faire

■ Ne jamais payer de sommesnon dues au prétexte d’accélérerun processus quelconque à moins que cela soit un usage/pratique connu. Ne pas faire de paiementsur un compte non approuvépar la partie tierce (incluant une entité légale). Se référer au Guide des Standards Groupe.

■ Ne jamais laisser une sollicitation,une demande, sans réponse au risque de laisser penser que vous pourriez être d’accord.

■ Ne jamais accepter de transactiondont vous avez un doute sur la légalité, quitte à perdre une affaire.

FCPA

> Personnes moralesSanctions pénales : amende de 2 millions US$ pour chaque violation à la loi (cumulable), ou jusqu’au double du bénéfice que la société comptait obtenir, restitution des profits réalisés, et possible suspension voire exclusion par le gouvernement des Etats Unis.

Sanctions civiles : restitution des bénéfices et profits réalisés et amende pouvant aller jusqu’à 500 000 US$.

En pratique, les amendes atteignent souvent des montants très impor-tants pouvant aller jusqu’à plusieurs centaines de millions voire des milliards de dollars.

> Personnes physiquesSanctions pénales : jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et une amende de 250 000 US$

Sanctions civiles : amende pouvant aller jusqu’à 100 000 US$

UK Bribery Act (2010)

> Personnes morales : amendes illimitées.

> Personnes physiques : jusqu’à 10 ans d’emprisonnement.

La loi française Sapin 2 (2016)

> Reprend et renforce les standards internationaux les plus exigeants.

> Rend obligatoire la mise en place d'un dispositif interne d'alerte.

> Fait de l'absence d'un programme de prévention de la corruption une infraction pénale.

> Crée l'AFA (Agence Française Anticorruption).

En plus des atteintes à la réputation d’Essilor,tout manquement aux législations anti-corruption

peut entraîner de lourdes sanctions.

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PAIEMENTS DEFACILITATION

Les paiements de facilitation sont des paiements à destination des agents

publics dans le but d’accélérer la réalisation de tâches auxquelles vous avez

légitimement accès. Ces paiements visent à influencer le délai d’action des

agents publics (par ex : les paiements pour accélérer la délivrance d’un visa

ou le dédouanement des marchandises sous douane). Alors que certaines

législations disposent que de tels paiements sont parfois justifiés, la politique d’Essilor est de ne pas autoriser les paiements de facilitation.

■ Bien que généralement de faible valeur, les paiements de facilitationsont assimilables à des actes de corruption.

■ A ce titre Essilor interdit les paiements de facilitation. Cette règle

s’applique également dans les pays où les lois locales autoriseraient ces

paiements. Dans le cas où, sous la contrainte, un employé Essilor est amené

à payer de façon exceptionnelle, un paiement de facilitation, il doit immé-

diatement en informer son supérieur hiérarchique et documenter soigneu-

sement cette demande.

PRINCIPES

Certaines législations tel le Foreign Corrupt Practices Act (USA) prévoient une exception pour les paiements de facilitation. Cependant la majorité des législations, tels que le UK Bribery Act ou la loi française, les considèrent comme des actes de corruption.

A ne pas faire

■ Ne pas être dans l’urgence, dans une situation qui ne vous permet pas de gérer d’éventuels retards qui ne dépendent pas de vous.

■ Ne pas manquer d’informationsur les dispositions légales,les délais nécessaires, avoir des dossiers incomplets : toutes situationsoù vous pourriez être pris en défaut.

■ Ne pas accepter de faire un paiement indu. C’est illégal et le meilleur moyen d’être sollicitéde nouveau.

■ Le paiement correspond-il bien à une prestation concrète ou à une taxe officielle ?

■ Le paiement demandé répond-il à une grille tarifaire opposable.

Par exemple, l’ambassade affiche-t-elle un tarif spécifique pour les demandes de Visa en urgence ?

■ Le paiement vous est-il demandé de façon officielle et transparente ou de façon isolée, d’individu à individu ?

Par exemple en cas de redressement fiscal, est-ce une demande des autorités concernées ou du contrô-leur qui a réalisé le contrôle fiscal ?

■ Est-il possible d’avoir une facture ou un reçu officiel du paiement qui vous est demandé ?

En pratique

A faire

■ Prévoir des délais suffisantspour toute demande d’autorisation, permis ou autre démarcheadministrative.

■ Bien connaître la réglementationapplicable de façon à remplir toutes les formalités nécessaires et être capable de remettre en cause toute demande injustifiée.

■ Expliquer que les Principes et Valeurs Essilor ne vous autorisentpas à effectuer de tels paiements et proposer de s’adresser à votre hiérarchie en cas de question.

QUELQUES QUESTIONS À VOUS POSER

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CADEAUX INVITATION CADEAUX INVITATION CA DEAUX INVITATION CADEAUX INVITATION CADEX INVITATION CADEAUX INVITATION CADE AUX INVITATION CADEAUX INVITATION CADEA NVITATION CADEAUX INVITATION CADEA UX INVITATION CADEAUX INVITATION CADEA UX INVITATION CADEAUX INVITATION

CADEAUXCADEAUXINVITATION CADEAUX INVITATION CADEAUX INVITATION INVITATION CADEAUX INVITATION CADEAUX INVITATION INVITATIONCADEAUXCADEAUXINVITATIONINVITATION

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■ Les cadeaux et invitationsne sont pas interdits en tant que tels.

■ Ils ne doivent jamais chercherà influencer leurs destinatairesou être remis en échanged’une faveur ou d’un traitementavantageux.

■ Ils doivent être modesteset occasionnels.

POINTS CLÉS

CADEAUX ETINVITATIONSPROFESSIONNELS

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CADEAUX ETINVITATIONS

Un cadeau signifie tout présent, gratuité, avantage (pécuniaire ou non), offert ou reçu. Dans un environnement d’affaires, il s’agit généralement d’articles promotionnels ; de souvenirs de faible valeur offerts pour des occasions particulières (visite, signature de contrat) ou à l’occasion de fêtes en fonction des traditions locales (Noël, Festival Divally, Festival de la Lune, Nouvel An chinois, etc.).

Les invitations désignent toute forme d’agrément social, d’hébergement ou de divertissement, offert ou reçu. Dans un environnement d’affaires les invitations renvoient en général aux : repas, nuitées d’hôtel, invitations à des activités sportives, culturelles ou autres événements sociaux.

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■ Il n’est pas interdit de donner ou accepter des cadeaux ouinvitations. Ils peuvent être considérés comme une expression de

courtoisie entre partenaires commerciaux.

■ Toutefois ils ne doivent pas influencer ou donner l’apparence

d’influencer une décision d’affaire.

■ Ils doivent être conformes à la réglementation et aux usages locaux,

en particulier s’agissant d’agents publics qui peuvent faire l’objet d’une

réglementation particulière.

■ A ce titre un cadeau ou une invitation doit être modeste,

occasionnel, offert de façon transparente, enregistré en tant que tel dans

les écritures comptables de l’entité locale Essilor, proportionné au niveau

hiérarchique du destinataire, ne doit pas être donné en échange d’une

faveur ou d’un traitement avantageux.

■ Les cadeaux et invitations dispendieux sont soumis à autorisation du supérieur hiérarchique.

PRINCIPES

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A faire

■ Offrir des cadeaux au nom d’Essilor et non à titre personnel.

■ Offrir de préférence : des objets promotionnels portant le logo d’Essilor ; des cadeaux qui peuvent être partagés par une équipe (tels des chocolats ou des fleurs) ou des cadeaux démontrant de l’attention et de la créativité plus qu’une valeur pécuniaire (tels un livre ou un CD bien choisi).

■ Toujours répondre fermement mais poliment à toute demande de cadeau ou de divertissement, pour établir clairement qu’il ne pourra être fourni à moins que le cadeau ou le divertissement ne remplisse les conditions requises dans ce guide (valeur modeste, occasionnel, et non remis en échange d’unefaveur ou d’un traitement avantageux).

■ Privilégier les cadeaux directe-ment pris en charge par Essilor.

En pratique

A ne pas faire

■ Ne pas offrir ou recevoir des cadeaux en période d’appel d’offres, lors du renouvellement ou de la conclusion d’un nouvel accord, ou au cours du développe-ment de tout projet (comme un projet de fusion-acquisition, extension d’usine…).

■ Ne pas payer pour un divertisse-ment qui ne répond pas à un objectif professionnel ou qui n’est pas autorisé par la législation locale. Ne pas payer pour quelque chose sans justification valable à cela (comme payer un voyage pour la famille du tiers concerné).

■ Ne pas offrir (ou accepter) des espèces, des bons d’achat ou des per diem ou tout cadeau et divertissement de valeur.

■ Ne pas acheter des cadeaux qui ne pourront être enregistrés comme des dépenses.

CADEAUX

■ Ce cadeau, cette invitation est-il/elle conforme : à laréglementation applicable, à la politique Cadeaux et Invitations d’Essilor et à celle du destinataire ?

■ Pourrais-je recevoir le même cadeau, la même invitation,de la part du destinataire ?

■ Ce cadeau, cette invitation, pourrait-il porter atteinte à la réputation d’Essilor ?

■ Le destinataire de ce cadeau, de cette invitation pourrait-il se sentir mon obligé ?

■ Serai-je gêné qu’un de mes collègues, concurrent ou ami apprenne que j’ai offert ce cadeau, lancé cette invitation ?

■ Oserais-je dire que j’ai acceptéce cadeau ou cette invitation ?


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A ne pas faire

■ Ne pas proposer ou accepter des invita-tions de la part de fournisseurs en période d’appel d’offres, de renouvellement de contrats ou pendant une négociation d’affaires ou la mise en place d’un projet (acquisition ; extension d’une usine…).

■ Ne pas inviter des agents publics, des membres de la famille d’une tierce partieen relation d’affaires avec Essilor(sauf les épouses ou les partenairessi l’évènement le justifie).

■ Ne pas lancer des invitations de nature à influencer le récipiendaire (en raison de leur rareté ou de leur prix).

A faire

■ Rafraîchissements, cafés,pâtisseries peuvent être offerts sans restriction en signe d’hospitalité.

■ Eviter les repas et invitations qui ne sont pas subséquents à une réunion d’affaire.

■ Les invitations doivent rester exceptionnelles(leur fréquence doit être raisonnable), justifiées, et d’une valeur modeste.

En pratique

INVITATIONS

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VOYAGES CLIENTSUn voyage client renvoie au voyage d’un prospect ou d’un client ou d’un partenaire financé par Essilor. Il signifie également les voyages faits par les employés d’Essilor sur invitation de la partie tierce. Ces voyages consistent par exemple à visiter un site de production ou le siège de l’entreprise. Ils servent en particulier à mettre en avant la qualité des équipements et installations de l’entreprise.Cette section couvre essentiellement les frais de transports et d’hébergement, les invitations et divertissements étant couverts par des recommandations spécifiques.

■ Il est parfois nécessaire d’organiser un voyage client afin de démon-trer les capacités, l’expérience ou les références d’Essilor. Cela peut égale-ment être exigé dans le cadre d’inspections ou autre opérations de contrôles.

■ Ces voyages, s’ils ne sont pas pris en charge directement par le prospect, le partenaire ou le client, doivent être prévus autant que possible dans les contrats commerciaux en amont de la relation commerciale.

■ Les salariés d’Essilor peuvent participer à des voyages organisés et payés par la partie tierce sur le fondement des justifications évoquées précédemment.

■ Toute exception doit faire l’objet d’une pré-approbation conformé-ment à la politique Groupe définie dans le Guide des Standards Groupe.

■ Les voyages clients doivent avoir un objectif strictement professionnel et être d’une durée proportionnée à l’objectif (par exemple le temps de la visite ou de l’inspection).

■ Ils ne doivent jamais influencer, ou donner l’apparence d’influencer, une décision d’affaire.

■ Ils doivent être conformes à la réglementation et aux usages locaux, en particulier s’agissant d’agents publics qui peuvent faire l’objet d’une réglementation particulière en matière de prévention de la corruption.

PRINCIPES

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En pratique

A faire

■ S’assurer que le supérieur hiérarchique de la ou des personne(s) bénéficiant du voyage est informé et en accord avec ce voyage.

■ Bien préparer le voyage et l’agenda pour éviter que des attentes illégitimes ne puissent être formulées.

■ Privilégier la classe Economique. Ne financer la classe Affaires que pour des vols longs courriers et pour des destinataires dont le statut équivalent voyagerait en classe Affaires au sein d’Essilor.S’assurer d’avoir une approbation préalable pour le voyage.

A ne pas faire

■ Ne pas répondre à des demandes de voyage sans objectif profession-nel clair. En tant qu’invité, ne jamais demander l’extension de l’invitation aux membres de sa famille (sauf si les dépenses de la famille sont prises en charge par l’invité et que leur présence ne va pas interférer avec l’objectif professionnel du voyage).

■ Ne pas prendre en charge les voyages d’autres personnes que celles liées à l’objet du voyage (en particulier les conjoints et les membres de la famille).

■ Ne financer aucun frais autre que l’hébergement, l’hôtel et des invitations modestes. En particulier ne pas donner de per diem et ne couvrir aucun achat personnel.

■ Ne pas financer de voyage plus long que la durée nécessaire à l’objet du voyage (le client peut rester le temps qui lui convient mais à ses frais).

■ Qui a sollicité le voyage ?

■ L’objectif professionnelest-il évident ?

■ N’y a-t-il pas un moyen plus facile et moins onéreux de répondre au besoin du prospect ou du client (référence client, déplace-ment chez le client etc.) ?

■ N’existe-t-il pas de destination plus proche qui permettrait de répondre à un besoin identique, à moindre frais (par ex. visiter une usine à 30km plutôt que dans un pays étranger) ?

■ La destination laisse-t-elle imaginer que cela puisse être un voyage d’agrément plutôt qu’un déplacement professionnel ?

■ L’agenda prévoit-il des invita-tions et divertissement inappro-priés ?

■ Le voyage peut-il être perçu comme extravagant, luxueux ou inapproprié de quelque manière que ce soit ?

■ Ai-je obtenu l’autorisation préalable requise pour offrir (ou accepter) un voyage professionnel, tout particulièrement lorsqu’un agent public est concerné ? Dans ce cas, est-ce que ce voyage est conforme aux lois et règlements applicables aux voyages que les agents publics concernés peuvent accepter?


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VOYAGES CLIENTS

DONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQU ES DONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUEIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUESDONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS PPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUES DONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUESSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUES DONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQUES

DODODONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQU ESNADONATIONS SPONSORING CONTRIBUTIONS POLITIQU ESNA

DODONA

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■ Le Groupe Essilor est amené à fairedes donations ou du sponsoringdans le cadre de sa Mission ou desa politique de communicationet de marketing.

■ Ces financements ne doivent pasêtre utilisés dans la perspective d’in-fluencer des prises dedécision mais uniquementcomme contribution à lamission sociétale d’Essilor.

POINTS CLÉS

DONATIONS,SPONSORING ET CONTRIBUTIONS POLITIQUES

3

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DONATIONS

■ Les donations contribuent au bien-être des communautés dans lesquelles Essilor se développe. Ces donations doivent être en ligne

avec la politique d’entreprise responsable du Groupe et s’inscrire en

particulier dans des projets en faveur des populations défavorisées afin

que celles-ci aient accès à la santé visuelle, grâce à la sensibilisation, au

dépistage, à l’examen de vue et à l’équipement.

■ Les donations ne peuvent être des contreparties pour obtenir des

marchés. Elles ne doivent jamais influencer, ou donner l’apparence

d’influencer, une décision d’affaire.

■ Les donations, au niveau Groupe, sont gérées par la Fondation Essilor.

■ Les donations, au niveau d’une filiale, doivent être validées par le

dirigeant de la filiale concernée.

■ Les donations ne peuvent être faites qu’au profit d’organisations reconnues d’utilité publique.

■ Elles doivent être conformes à la réglementation, aux procédures

Essilor et aux usages locaux.

■ En cas de doute, vous pouvez vous rapprocher de la direction de la

Mission Groupe, des équipes juridiques ou de la direction de la

Compliance Groupe.

Les donations consistent à supporter, sans contrepartie, une association,

une organisation non gouvernementale ou une oeuvre de charité. Ces

contributions peuvent être faites en nature, en prestation de produits et

services ou en argent. Elles contribuent à la politique de responsabilité

sociétale du Groupe Essilor.

PRINCIPES

Respecter les procédures Essilor B13.7 (Governance rules for non-profitorganizations sponsored by Essilor Group) et B16.1 (Donation to non-profit organizations, such as associations, foundations) pour prévenirun risque d’instrumentalisation des donations.

En pratique

A faire

■ Vérifier que l’organisation a une bonne réputation.

■ Faire signer la politique« Conflit d’Intérêt » d’Essilor par le récipiendaire.

■ Exiger un reçu attestant de la donation réalisée(y compris en vue des déductions fiscalessi nécessaire).

■ Prévoir un contrat détaillant l’utilisation des fonds et permettantla vérification du bon usage de ces fonds.

A ne pas faire

■ Ne pas accepter de faire une donation sollicitée par un client notamment en période de négociation commerciale.

■ Ne pas accepter de faire une donation à une entité n'existant pas juridiquement et qui n'a pas bonne réputation. Ne pas faire une donation par paiement en especes directement à des particuliers, des dirigeants, des managers ou tout autre représentant d'une organisation inconnue ou peu recommendable.

■ Ne pas financer des particuliersou des organisations commerciales non réputés.

■ Ne pas financer une organisationdont les administrateurs et/ou la Direction ne sont pas connus ou ont une mauvaise réputation.

■ Ne pas financer des organisationsqui bénéficient indirectementà des hommes politiques, des agents publics ou leurs proches, surtout s’ils sont en lien avec les activités Essilor.

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SPONSORING

■ Les demandes de sponsorings doivent être validées auprès du Directeur de l’entité concernée et de la direction communication et marketing du Groupe en particulier pour s’assurer du respect de la politique Groupe.

■ Les sponsorings ne peuvent être des contreparties pour obtenir des

contrats. Ils ne doivent jamais influencer, ou donner l’apparence

d’influencer, une décision d’affaire ou d’obtenir un avantage en contre-

partie.

■ Ils doivent être conformes à la réglementation et aux usages locaux.

Le sponsoring est une forme de marketing dans le cadre duquel Essilor

participe au financement d’un projet ou d’un programme, via des fonds ou

des produits, en échange d’une visibilité des produits ou de la marque

Essilor. Le sponsoring prévoit généralement la diffusion du nom et du logo

Essilor sur les supports du projet ou programme sponsorisé. Cela fait partie

de la politique marketing et communication d’Essilor.

PRINCIPES

En pratique

A faire

■ Ne sponsoriser que des projets et programmes qui bénéficient d’une bonne réputation.

■ Choisir des actions de sponsoringen lien avec la politique Groupe.

■ Etablir des contrats de sponsoring.

A ne pas faire

■ Ne pas sponsoriser une entrepriseprospect ou un client en période de négociation commerciale.

■ Ne pas sponsoriser des programmesqui bénéficient à des hommes politiques, des agents publics ou leurs proches,surtout s’ils sont en lien avec les activités d’Essilor.

■ Ne pas accepter que le sponsoringsoit une contrepartie en vue d’obtenirun marché.

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CONTRIBUTIONSPOLITIQUES

Les contributions politiques participent au débat démocratique via le soutien à des partis politiques. Ces contributions peuvent se faire sous forme de donations ou de participation à des événements bénéficiant à des partis politiques. La politique d’Essilor est de n’autoriser aucune contri-bution pour les partis ou hommes politiques. Toute exception à cette règle, sauf participation à un déjeuner ou un dîner comme décrit ci-dessous, requiert au préalable l'accord écrit des dirigeants mandataires sociaux ou toute personne désignée par eux.

■ Les contributions politiques font l’objet de réglementation très variables, de l’interdiction totale, comme en France, à des donations illimitées, comme aux Etats-Unis.

■ Considérant le risque d’image associé à ces soutiens politiques,Essilor a décidé de ne pas financer de candidat ou parti politique,même dans les cas où la loi le permet.

■ Essilor tolère uniquement la participation à des événements du type repas de soutien, lorsque ces événements sont publics et à un tarif prédéfi-ni. Dans la mesure du possible, Essilor assiste alors de la même façon aux événements des principaux partis. L’objet n’est pas d’obtenir des avantages indus mais de nouer des contacts professionnels avec les participants.

■ La participation à ce type d’événement nécessite l’autorisation préalable des dirigeants locaux ou du Country Manager

■ Essilor s’acquitte uniquement de cotisations aux partis politiques lorsqu’il s’agit d’une obligation règlementaire (par exemple en Chine, pour certaines structures juridiques).

■ Il est nécessaire de s’assurer de l’ensemble des législations et réglementa-tions applicables en cas de participation à l’un de ces événements. Par exemple, aux Etats-Unis ces participations doivent faire l’objet de déclaration.

PRINCIPES

RELATIONS AVEC LES TIERS RELATIONS AVEC LES TIERSRELATIONS AVEC LES TIERSRELC LES TIERSREL ONS AVEC LES TIERSRELC LES TIERSRELATIONS AVEC LES TIERS

REALTIONSREALTIONSTIERSRELATIONS AVEC LES TIERS TIERSRELATIONS AVEC LES TIERS TIERSREALTIONSREALTIONSTIERSTIERS

■ Les tiers avec lesquels Essilor est amené à collaborer (partenaires, fournisseurs, distributeurs et clients) peuvent exposer Essilor en cas de comportement contraire à l’éthique et auxréglementations anti-corruption.

■ Il est essentiel de s’associer avec des tiers qui bénéficient d’une bonne réputation.

■ Il est également important de faire connaître aux tiers les Principes et Valeurs d’Essilor et la politique anti-corruption du Groupe.

POINTS CLÉS

RELATIONSAVEC LES TIERS

4

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32

PARTENAIRES(JOINT VENTURE,CONSORTIUM)

Dans le cadre de sa politique de croissance ou pour répondre à des besoins

spécifiques, Essilor établit des partenariats pour développer ses capacités

opérationnelles et commerciales. Ces partenariats sont ancrés dans la

culture Essilor qui favorise l’entreprenariat au sein de ces différentes entités.

Il est toutefois essentiel que les partenaires d’Essilor adoptent les Principes et Valeurs Essilor et aient une «tolérance zéro» en matière de corruption.

Les partenaires dans le cadre de leur relation d’affaire doivent se conformer aux Minimum Contrôles Standard (MCS) et au respect des lois locales.

■ Dans le cas où Essilor a une participation majoritaire, les Principes et

Valeurs Essilor, les MCS Groupe, les Principes des Partenariats et la politique

Compliance Groupe doivent s’appliquer.

■ Dans le cas où Essilor a une participation minoritaire, il est essentiel de

faire intégrer une clause dans le contrat de partenariat selon laquelle les

Principes et Valeurs Essilor, les politiques financières du Groupe, les MCS et

la politique Compliance Groupe doivent s’appliquer, ou que l’entité concer-

née adopte une politique propre aussi exigeante que celle d’Essilor, qui

reflète un niveau comparable de contrôle et de procédures.

■ Toute action pour s’assurer du respect de ces engagements doit être mise

en oeuvre en cas d’incertitude sur les agissements d’un partenaire (monito-

ring, audit etc.).

PRINCIPES

En pratique

A faire

■ Conduire une due diligence sur le tiers.

■ Communiquer les Principes et Valeurs Essilor, le Code d'Ethique, les Principes des Partena-riats, le présent guide de prévention de la corruption, ainsi que les MCS* et la procédure de conflits d’intérêts.

■ Intégrer des clauses contractuelles relatives à la prévention de la corruption dans les contrats de partenariat.

A ne pas faire

■ Ne pas permettre à un partenaire d’agir au nom d’Essilor sans accord formel préalable d’Essilor ou d’autoriser un paiement sans respecter les règles de délégations d’autorité prévues dans les procédures financières d’Essilor.

■ Ne pas s’associer avec un partenaire qui refuse de s’engager à respecter les Principes et Valeurs Essilor (ou équivalent) et le guide de prévention de la corruption Essilor.

■ Ne pas s’associer avec un partenaire dont la due diligence révèle un problème majeur de corruption (condamnation pour délit de corruption, pots de vins etc.).

*Minimum Controls Standards 33

■ Est-ce que ce partenariat est indispensable ?

■ Est-ce que le partenaire remplit des conditions optimales, au regard d’exigences techniques, humaines/éthiques et financières, pour l’exercice des tâches ou missions qu’Essilor souhaite lui confier ?

■ Qui sont les bénéficiaires effectifs ?

■ Qui sont les dirigeants ? Ont-ils une bonne réputation ?

■ Avez-vous eu des avis indépen-dants positifs sur ce partenaire (par des missions économiques locales, d’autres entreprises, votre réseau professionnel) ?

■ L’entreprise a-t-elle fait l’objet d’accusations ou condamnations pour des problèmes d’intégrité ?

■ L’entreprise a-t-elle fait l’objet de sanctions pour des problèmes d’intégrité ?

■ Le partenaire a-t-il une politique d’intégrité en propre ?

■ Le partenaire est-il prêt à s’engager sur le respect des Principes et Valeurs Essilor ?


PARTENAIRES

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FOURNISSEURSPour fabriquer et livrer ses produits à travers le monde, Essilor s’appuie sur

un important réseau de fournisseurs de biens et services. Ces partenaires

sont essentiels pour permettre le développement technologique, la réacti-

vité et la qualité de service d’Essilor.

Le choix des fournisseurs contribue au sérieux et à la réputation d’Essilor.

■ Les fournisseurs de biens et de services doivent faire l’objet d’un proces-

sus de sélection strict.

■ A ce titre les fournisseurs doivent être sélectionnés pour leur capacités

techniques et opérationnelles mais aussi pour leur réputation et engage-

ment à respecter les réglementations applicables notamment en matière

de prévention de la corruption.

■ Les fournisseurs doivent faire l’objet d’une évaluation régulière afin de

s’assurer de leur crédibilité dans la durée (ex : pas de poursuites judiciaires

en cours).

PRINCIPES

35

36

A ne pas faire

■ Ne pas travailler avec des fournisseurs qui n’ont pas fait l’objet d’un processus de sélection strict et équitable. Se référer au Guide des Standards Groupe pour plus d’informations.

■ Ne pas s’associer avec un fournisseur qui refuse de s’engager à respecter les Principes et Valeurs Essilor (ou équivalent) et le guide de prévention de la corruption Essilor. Se référer à la charte des fournis-seurs Essilor pour plus d’informations.

■ Ne pas sélectionner un seul prestataire oufournisseur sauf si cela n’est pas évitable ;Ce choix devra être justifié, exceptionnelet validé par le service achats.

■ Ne pas confier un contrat d’achat sur la seule base de connaissances, recommanda-tions ou expériences préalables. Il faut à l’inverse régulièrement remettre les fournisseurs en concurrence.

■ Ne pas accepter des cadeaux, invitations ou tout autre avantage de nature à créer une obligation envers le fournisseur ou vue comme telle.

En pratique

A faire

■ S’assurer du sérieux et de l’intégrité d’un fournisseur lors du référencement par un processus de sélection strict et équitable.

■ Privilégier autant que possible le choix de prestataires référencés par le service achats au niveau Groupe et se renseigner sur leur réputation.

■ Privilégier de faire son choix à l’issue d’un proces-sus d’appel d’offres mettant en concurrence trois offres chaque fois que cela est possible.

■ Mettre en place un système de séparation des responsabilités où la personne qui approuve une commande est différente de celle ayant le besoin initial. Vérifier le possible risque de conflit d’intérêts.

Certains prestataires représentent un risque élevé en matière de corruption.

En particulier toute personne amenée à agir pour le compte d’Essilor auprès d’agents publics - tels les transitaires, agents en dédouanements ou conseil-lers en expansion - doit faire l’objet d’une due diligence préalable approfon-die et s’engager à respecter des clauses anti-corruption très strictes.

En raison du risque particulier que ces prestataires représentent pour Essilor, en particulier lorsqu’ils exercent dans des pays considérés à risques, ils doivent être approuvés par le directeur de l’entité ou par le Country Manager. Un contrat validé par les équipes juridique devra être établi.

En cas de doute, il peut être utile de demander une due diligence externe avant de travailler avec ce type de co-contractant. N’hésitez pas à contacter votre département juridique local pour toute assistance dans la procédure de due diligence.

Vigilance

37

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DISTRIBUTEURSPour assurer son développement commercial au plus proche des consom-

mateurs, Essilor peut s’appuyer sur un réseau de distributeurs agréés à

travers le monde. Ces revendeurs sont associés à l’image d’Essilor, et, à ce titre, doivent avoir un niveau d’exigence, en termes de qualité de service et aussi d’intégrité équivalent à celui Essilor. Le choix des distributeurs

contribue au sérieux et à la réputation d’Essilor.

■ Les distributeurs et revendeurs doivent faire l’objet d’un processus de

sélection stricte et équitable.

■ A ce titre les distributeurs et revendeurs doivent être sélectionnés pour

leurs capacités techniques et opérationnelles. Ils doivent également

s’engager à respecter les Principes et Valeurs Essilor ainsi que lois relatives à

la prévention de la corruption.

■ Les distributeurs doivent faire l’objet d’une évaluation régulière afin de

s’assurer de leur crédibilité dans la durée. (e.g pas de poursuites judiciaires

en cours).

PRINCIPES

A ne pas faire

■ Ne pas considérer que le distribu-teur est seul responsable de ses agissements.

■ Ne pas s’associer avec un distribu-teur qui refuse de s’engager à respecter les Principes et Valeurs Essilor (ou équivalent) et le guide de prévention de la corruption Essilor.

■ Ne pas s’associer avec un distribu-teur dont l’enquête de réputation révèle des problèmes majeurs en matière de corruption.

En pratique

A faire

■ S’assurer du sérieux et de l’intégrité d’un distributeur lors du référencement par un processus de sélection stricte et équitable.

■ Communiquer les Principes et Valeurs Essilor, le Code d'Ethique et le guide de prévention de la corruption Essilor.

■ Intégrer des clauses contrac-tuelles relatives à la prévention de la corruption dans les contrats de distribution.

39

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CLIENTSRespecter les règles anti-corruption et de façon plus large les règles

d’intégrité dans les affaires suppose également de choisir ses clients et de

vendre les biens et services Essilor uniquement à des partenaires commer-

ciaux bénéficiant d’une bonne réputation.

En particulier Essilor ne s’associe pas avec des clients reconnus pour des comportements délictueux. Dans le cas de clients ayant fait l’objet de

sanctions dans le passé, il est de la responsabilité du Country Manager de

déterminer si une relation commerciale est justifiable, eu égard au risque

réputationnel associé.

FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDEUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDEFAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDEAUDE FRAUDE FRAUDEDE FRAUDE FRAUDE

FRAUDEFRAUDE FRAUDEFRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDEFRAUDE FRAUDE FRAUDE FRAUDEFRAUDEFRAUDE FRAUDE FRAUDE

■ Les actes de corruption impliquent généralement d’autres délits notamment la falsification de documents afin de dissimuler les traces de paiements inappropriés ou illicites.

■ Ces délits sont égalementfermement condamnéspar la loi et par Essilor.

■ Essilor proscrittoute forme de fraude.

POINTS CLÉS

FRAUDE5

41

42

FRAUDELa fraude renvoie à toute action visant délibérément à tromper, en vue

d’obtenir un avantage illégitime, au détriment d’un tiers, en contrevenant à

la loi ou à la réglementation. Elle est caractérisée en droit par les moyens

employés (faux en écriture, faux et usage de faux, dissimulation de revenus, dissimulation de preuves, abus de confiance) ou par le détourne-

ment lui-même (abus de biens sociaux, délit d’initiés, vol, escroquerie, fraude fiscale ou sociale, corruption).

Dans un environnement d’affaires, la fraude consiste le plus souvent en la

falsification de documents ou la production d’une comptabilité erronée

aboutissant à des détournements de fonds, à l’utilisation détournée de

matériel ou à l’obtention d’avantages indus telle une réduction d’impôts.

■ Essilor exclut toute forme de fraude, que l’entreprise en soit victime ou

bénéficiaire.

■ Agir avec professionnalisme, dans le respect des lois et réglementations

applicables et des Principes et Valeurs Essilor, des MCS et des règles

internes, permet de prévenir la fraude.

■ Les managers doivent en particulier s’assurer de la qualité des

informations et données qu’ils consolident et reportent au niveau du

Groupe - y compris lorsque lesdites informations viennent de leurs équipes.

■ Essilor et toutes ses sociétés affiliées doivent s’assurer que les actifs sont

correctement protégés et contrôlés, que les transactions sont effectuées

avec l’autorisation appropriée, et enregistrées.

PRINCIPES

A ne pas faire

■ Ne pas dissimuler desinformations.

■ Ne pas falsifier des informations ou documents.

■ Ne pas être en situation où vous ne pouvez pas parler à votre supérieur hiérarchique, votre DRH ou la direction de la Compliance, les équipes juridiques et l’Audit Interne de l’une de vos décisions ou actions.

En pratique

A faire

■ Connaître les lois, réglementa-tions et règles internes relatives à vos activités afin de pouvoir en garantir le respect.

■ Agir de manière transparenteet documenter vos décisions et actions.

■ Valider, communiquer et consolider des informations que vous avez préalablement vérifiées.

■ Il est important de partager vos difficultés et les problèmes rencontrés avec la direction de la Compliance, ou les équipes de l'Audit Interne, plutôt que dene pas en parler et de vous mettre en situation d’illégalité.

43

PRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTS RÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTS PRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSPRÉVENTCONFLITS INTÉRÊTSPRÉVENT ION CONFLITS INTÉRÊTS PRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSPRÉVEION CONFLITS INTÉRÊTS

PREVPREVPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSCONFLITPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSCONFLITPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTS

PREVPREVPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSCONFLITPRÉVENTION CONFLITS INTÉRÊTSCONFLIT

45

■ Dès l'instant où des intérêtspersonnels ont effectivementinfluencé d'une manière inappropriée une décision professionnelle,un conflit d'intérêts peut devenirde la corruption.

■ Le Groupe Essilor demandeà tous les collaborateurs amenésà prendre des décisions engageantle Groupe de procéder à unedéclaration d'intérêts.

POINTS CLÉS

PRÉVENTIONDES CONFLITS D'INTÉRÊTS

6

46

Un conflit d'intérêts survient dès lors que les

intérêts personnels d'un collaborateur du Groupe

peuvent influencer ou paraître influencer son

jugement et ses décisions professionnels. Un conflit

d'intérêts survient ainsi à chaque fois qu'une

personne soumise à la politique de prévention du

Groupe laisse la possibilité à ses intérêts personnels

d'influer d'une manière inappropriée sur les choix

qu'elle est amenée à faire dans le cadre de ses

fonctions.

DÉFINITION

■ Votre déclaration de conflits d'intérêts est un outil de prévention :vous y déclarez l'existence d'intérêts personnels. Elle permettra à votre

hiérarchie d'éviter de vous confier des missions qui vous mettraient dans

des situations délicates ou ambiguës, et de vous assister dans certaines

décisions dans le cadre de vos fonctions actuelles ou même de vous en

décharger.

■ Vous pouvez donc déclarer :

> soit que vous n'identifiez aucun conflit d'intérêts, même latent : cette

information est en soi utile,

> soit que vous identifiez un conflit latent, c'est-à-dire déclarer que vous

avez des intérêts personnels ou familiaux, directs et indirects susceptibles

d'entrer en conflit avec les affaires du Groupe Essilor,

> soit que vous vous trouvez actuellement devant un conflit manifeste et demandez à être assisté pour lever toute ambiguïté.

■ Faites une nouvelle déclaration de conflits d'intérêts à chaque fois que des changements dans votre situation personnelle ou profession-nelle le nécessitent.

PRINCIPES

47

48

1 - Quels "intérêts" dois-je déclarer ?

Vous devez déclarer les "intérêts" matériels (patrimoniaux, financiers...), ou encore relevant d'engagements extra-professionnels (associations, clubs de sports, fondations, organisations caritatives ou humanitaires...).

2 - Qu'est-ce que des intérêts "personnels" ?

Les intérêts personnels ne se limitent pas à vos intérêts individuels. Ils peuvent par ailleurs relever des intérêts de votre famille, notamment de vos parents, conjoint et enfants.

3 - Qu’est-ce qu’un "conflit" ?

Dans le cas d’un conflit d’intérêts, un "conflit" est soit une contradiction, une opposition, un antagonisme, soit une forte convergence entre les intérêts du Groupe dont vous avez la charge et vos intérêts privés.

4 questions que vous devez vous poserau moment de remplir votre déclaration

de conflits d'intérêts.

4 - Tout conflit d'intérêts est-il un acte de corruption ?

Non, un conflit d'intérêts peut avoir 3 niveaux croissants d'intensité.

Intensité Définition Exemples

Latent

Manifeste

En acte

> Un conflit est 'latent' ou potentiel lorsque des intérêts privés d'un collaborateur pourraient entrer en conflit avec les intérêts dont il a la charge.> Un conflit n'existe pas actuellement, mais pourrait survenir par exemple en cas de mutation ou de change-ment de fonction.

Plus les conflits d'intérêts seront repérés tôt, plus la prévention sera efficace.C'est l'esprit et l'objectif de la déclaration de conflits d'intérêts.

■ Un commercial issu d'une famille d'opticiens situés dans une autre région.

> Un conflit d'intérêts est manifeste quand un collaborateur se trouve dans la situation de devoir prendre une décision professionnelle ayantun impact sur des intérêts personnels.L'ambiguïté résultant d'une telle situation crée un danger, la décision finale pouvant être suspectée, à tort ou à raison, de partialité.

> Le conflit d'intérêts est "en acte" quand, placé dans une situation de conflit d'intérêts manifeste, le collaborateur a pris une décision seul, c'est-à-dire sans informer sa hiérarchie de la situation.Cette situation est inacceptable, et tout le dispositif de prévention vise à l'éviter.

■ Le même commer-cial muté dans la région.

■ Un acheteur se trouve en situation de négocier un contrat avec son conjoint.

■ Le commercial faisant des remises aux membres de sa famille.

■ Un directeur de filiale sponsorise une association caritative dont il est par ailleurs trésorier.

49

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ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE

E THICS LN E ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTE THICS LN E ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHLNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHLNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE ETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICSETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICSETHICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE E THICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINTETHICS LNE E THICS POINT ETHICS LNE ETHICS POINT

ETH ICS LINE ETHICS POINCS LINE ETHICS POINT ETH ICS LINE ETHICS POINCS LINE ETHICS POINT

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■ Ethics Line est le dispositifde prévention du groupe Essilorpar lequel vous pouvez demander de l’assistance ou déclencher des alertes.

■ Vous pouvez contacter Ethics Linevia un site internet dédiéou par téléphone.

■ La confidentialité de votrequestion ou de votre alerteest garantie par la Directionde la Compliance Groupe.

■ Toute dénonciationdélibérément calomnieuseou diffamatoire ferait l'objetde sanctions disciplinaires.

POINTS CLÉS

ETHICS LINE7


ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS 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ETHICS LINLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICSTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ET

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Ethics Line est un dispositif de prévention destiné à protéger le Groupe et ses collaborateurs des risques de comportements contraires à l'éthique et aux Principes et Valeurs d'Essilor, y compris l'obligation de conformité juridique.

Ethics Line a deux grandes missions :

1 - venir en aide aux collaborateurs ayant besoin d'aide et de conseils

dans les domaines relevant de l'éthique et de la conformité.

2 - recueillir les alertes et leur donner une suite en déclenchant des

enquêtes internes.

■ Une réponse ou une suite est donnée à tous les cas qui lui sont soumis via

Ethics Line.

■ La personne ayant déclenché l'alerte via Ethics Line peut prendre

connaissance de la suite donnée à son alerte.

■ L'enquête est confiée à une équipe d'experts indépendants dans un

délai maximum de 30 ou 90 jours selon la nature de l'alerte.

■ Tous les intervenants de l'Ethics Line, sans exception, doivent signer un

engagement de confidentialité renforcé.

■ Toute enquête fait l'objet d'un rapport.

■ Un rapport d'enquête peut contenir des recommandations ou des propositions de plans d'actions et de remédiation.

■ Il peut aussi contenir des propositions de sanctions disciplinaires s'il

s'avère que le collaborateur faisant l'objet de l'alerte a commis une faute ou

une infraction.

PRINCIPES

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ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LI

ETHICSLINE


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ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINEETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINELINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE

53

Domaines où les manquements à l'éthique et à la conformité juridique sont inacceptables et pour lesquels Ethics Line est à votre écoute :

1 - Le respect des collaborateurs du Groupe

2 - La corruption, cadeaux et invitations, fraude

3 - Les faux en écriture

4 - La santé, la sécurité et le respect de l'environnement

5 - Le respect des règles d'une concurrence loyale

6 - Les conflits d'intérêts

7 - L'utilisation des actifs de l'entreprise

8 - La protection des informations confidentielles

Ethics Line

8 Domaines*

* Peut varier en fonction de la législation du pays concerné.


ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICSTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ET

LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LININE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LIINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS INE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE E ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICSTHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LLINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ETHICS LINE ET

54

En pratique

Comment contacter l'Ethics Line ?Vous pouvez faire part de votre préoccupation:

■ Via un site web sécurisé :www.essilor.group.ethicspoint.comEurope et Amerahttps://secure.ethicspoint.com/domain/media/en/gui/7506/index.htmlAmériques et Transitions

■ Via une hotline gratuite (composer les numéros disponibles sur le site web sécurisé).

L'Ethics Line est-elle le seul moyende faire part d'une préoccupation ?Non ! Ethics Line vient en complément des voies internesou hiérarchiques. Son recours est facultatif.

Suis-je tenu de m'identifier sur Ethics Line ?Non, vous pouvez choisir de rester anonyme dès lorsque la loi du pays dans lequel vous travaillez l'autorise.

La confidentialité de ma questionou de mon alerte sera-t-elle assurée ?Oui ! Toutes les personnes intervenant dans le cadre de l'Ethics Linesont soumises à un engagement de confidentialité renforcé.Votre identité ne sera jamais dévoilée sans votre consentement,sauf si cela est requis par les autorités de police ou de justice

Suis-je informé de la suite donnée à mon alerte ?Oui. Les suites données à votre alerte vous seront communiquéesdès lors que la loi le permet et que cette communication ne viole pasun engagement de confidentialité pris par ailleurs.

Puis-je être sanctionné pour avoir fait partde mes préoccupations ?Non, tant que votre alerte est faite de bonne foi, même si elle s'avèresans objet. Aucunes représailles ne sera tolérée. En revanche, toute dénonciation délibérément calomnieuse ou diffamatoire pourra faire l'objet de sanctions disciplinaires.

PRINCIPES DE MISE EN OEUVREPRINCIPES DE MEN OEUVRE PRINCIPES DE MISE EN OEUVRE PRINCIPES DE MISE EN OEUVREPRINCIPES DE MISE EN OEUVREPRIN PRINCIPES DE MISE EN OEUVREPRINCIPES DE M ISE EN OEUVRE

MISEMISEOEUPRINCIPES DE MISE EN OEUVREOEUPRINCIPES DE MISE EN OEUVREOEUMISEMISEOEUOEU

■ Il est recommandé de déployer des procédures spécifiques sur la basede ce guide dans vos différentes entitésen fonction de vos risques spécifiques.

■ En cas de doute,Rapprochez-vous de la directionde la Compliance Groupe.

POINTS CLÉS

PRINCIPES DEMISE EN OEUVRE

8

55

56

Les principes énoncés dans ce guide Essilor sur la Prévention de la Corrup-

tion constituent des incontournables à respecter par l’ensemble des

collaborateurs dans leurs activités quotidiennes. Les managers ont une

responsabilité particulière dans ce domaine. Il leur appartient de montrer

l’exemple mais aussi de diffuser, expliquer et faire respecter ces règles par

leurs équipes et partenaires.

Ces principes sont expliqués lors des sessions de formation organisées par les services RH sur les Principes et Valeurs Essilor.Il est recommandé de les décliner en procédures afin de couvrir vos risques particuliers et de vous assurer que chacun connaisse le détail des processus de validation.

En cas d'interrogation sur le comportement à adopter, les collaborateurs

sont invités à se rapprocher de leur supérieur hiérarchique, de leur contact

RH ou de la direction de la Compliance, via [email protected]. Il est

également possible de demander conseil via Ethics Line. Il est important de ne jamais rester isolé(e) et de ne pas hésiter à demander conseil.Les collaborateurs ne se verront jamais reprocher d’avoir manqué une

affaire afin de respecter le présent guide.

Toute personne ayant un doute sérieux et motivé sur un non respect aux

principes de prévention de la corruption, est invitée à alerter sa hiérarchie

ou la direction de la Compliance ou via Ethics Line en toute confidentialité

et sans risque de représailles. Ces conditions doivent être mises en place par

les ressources humaines et les dirigeants locaux de chaque entité d’Essilor.

Une enquête interne sera alors menée par les équipes de l’Audit Interne afin

d’identifier d’éventuelles responsabilités ou manquement au présent

guide. Un individu ayant remonté une information de bonne foi ne peut

être inquiété.

Le présent guide défini par le Groupe Essilor est opposable et son applica-tion s’impose à tous les collaborateurs concernés.

CENTRE DE RESSOURCES DÉDIÉ CENTRE D E RESSOURCES DÉDIÉ CENTRE DE ROURCES DÉDIÉ CENTRE DE RE SSOURCES DÉDIÉ CENTRE DE RESSOURCES DÉDIÉ CENTRE ESSOURCES DÉDIÉ CENTRE DE RES SOURCES DÉDIÉ

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■ La Direction de laCompliance Groupe met à votredisposition sur l’intranet un centrede ressources et de documentation.

CENTRE DERESSOURCES DÉDIÉ

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Le centre de ressources dédié à la compliance est disponible sur le site

intranet du département juridique et sur la plateforme Essilor U.

Il a été conçu pour vous permettre de trouver aisément les documents et

informations dont vous aurez besoin pour contribuer à la prévention de la

corruption.

Consultez ce site, vous y trouverez de très nombreux documents etrenseignements pratiques, parmi lesquels :

■ Un document officiel de référence qui détaille la"Politique du Groupe en matière de cadeaux et hospitalité".

■ La carte des risques par pays.

■ Les due-diligences applicables aux tiers.

■ La liste des contacts utiles par région.

58

NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION OMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION MISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO COMPROMISE NO CORRUPTION NO

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S 2

018

Guidede prévention

de la corruption

Demandes anormales

Paiements de facilitation

Cadeaux et invitations

Voyages clients

Donations

Sponsoring

Contributions politiques

Relations avec les tiers

Fraude

Conflits d’intérêts

Ethics Line

Ressources

no compromise no corruption no compromise no ... …...les principes à respecter au sein du groupe,...

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