gazette avril 2013 · 2013-08-12 · mirsalliat fille à jacques de flaites (ou flaitus ?). ce nom...
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SOMMAIRE
Etat civil
Actualités
associations
Flaittes
A.P.E.C.H
Soirée
grenouilles
Chasse aux
œufs
Vive la poésie
A vous de jouer Formulaire d'abonnement
*** Directeur
de publication : Pascal CHALLET
Dépôt légal : Avril 2013
Imprimé par nos soins
***
www.cc-livradois.fr/bulletin
N°60 Avril 2013
0,75€
Passation de pouvoir au Club d’Animation
Le Club d’Animation a vu le jour à la fin de l’année 1986 avec à sa présidence
Josette FAURE. Cette association est la suite des anciens d’Algérie, la FNACA,
présidée par René FAURE.
Dans les années 70, la FNACA organise seule et sans subvention, diverses
manifestations dans une humeur joyeuse et conviviale. Repris ensuite par le Club
d’Animation, la FNACA soutiendra financièrement les premières manifestations
du Club qui remboursera plus tard les frais avancés. C’était la débrouille et l’on
ne comptait pas ses heures !
Après 26 ans de bons et loyaux services, Josette FAURE a souhaité prendre un
peu de recul. Ce fut beaucoup de travail, d’investissement, de diplomatie et aussi
d’agréables moments. Elle passe le flambeau aux plus jeunes, qui, elle l’espère
suivront Cyril ROLHION, nouveau Président du Club d’Animation.
Josette souhaite une très bonne continuation au Club d’Animation.
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Naissances: Coussantier Mackenzie, 4 bis route d'Arlanc
Hors commune : Fontanier Aymeric, arrière-petit-fils de Mme Lucette Girodon,
le Bourg, chez son petit-fils Bertrand.
La GAZETTE s’associe au bonheur des nouveaux parents et grands-parents !
Décès
Guy Hareau, 79 ans, le Pont.
GIRODON Germaine Veuve Grenier,
97 ans, Riols.
Condoléances aux familles des disparus.
La Clermontoise aura lieu le 5 mai 2013 à 10h place de Jaude à Clermont-Ferrand.
C'est une course 100% féminine et 100% caritative pour lutter contre le cancer du sein
et sensibiliser chacune au dépistage : http://www.laclermontoise.fr/
ETAT CIVIL
ACTUALITES ASSOCIATIONS
Prochaine réunion de la Gazette : 11 mai 2013 à 18h à l’ancienne école St-Joseph
Rencontre Internationale d’Art Singulier 2013 Les 6 et 7 juillet 2013, tous les Marsacois sont invités à animer, égayer et mettre notre bourg sur son 31.
Une collecte de pulls, chaussettes et tous textiles colorés pouvant habiller les arbres, est organisée dès
maintenant, ainsi que la récupération de vieux draps, nappes colorés.
Tous à vos fenêtres, vitrines, un concours de décoration de la maison la plus insolite est organisé lors de cette
rencontre. Un jury d’artistes déterminera le gagnant et lui remettra un prix.
Cet évènement international recherche bénévoles et associations pour participer
aux festivités de ce week-end.
Date de la prochaine réunion à la Mairie : mercredi 24 avril 2013 à 20h00.
Contact Laëtitia Juchault : Le mardi matin à la mairie (04.73.95.60.08).
Email : [email protected]
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FLAITTES
FLAITTES
Les secrets d’un village
Sa légende
De la bouche de Jeanne MONIER de Flaittes, qui l’avait appris oralement de sa grand-mère, cette légende est
transmise de génération en génération, probablement depuis plusieurs siècles. Le village qui était situé à son
origine sur la rive gauche du ruisseau, aurait été complètement détruit par un incendie. C’est à la suite de cette
catastrophe, qu’il aurait été reconstruit sur la rive droite. Seule une maison, (peut être épargnée par les
flammes?) serait restée sur l’ancien site et elle porte le nom de Chavarin. La légende est muette sur l’origine de
l’incendie. Les habitations de l’époque étant construites en bois et couvertes de paille, une origine accidentelle est
très probable. Certains y verront peut être l’action du capitaine huguenot MERLE, qui forcément est passé par là
en février 1577, pour aller piller et incendier Ambert. C’est peu probable car ses objectifs ne visaient pas les
pauvres gens mais plutôt les richesses de l’église et des notables. De plus, le village de Flaittes existait
certainement au moment de son passage, comme en attestent des actes de baptême datés de 1569 et 1570. Anna Mirsalliat fille à Jacques de Flaites (ou Flaitus ?). Ce nom de famille est devenu de nos jours Michaliat. Autre acte d’Antoine Couder fils à Jean de Fleytes. Chavarin
C’est la maison de Patrick
CHASSAGNON (repère sur
le cadastre). Cette maison
n’est pas très ancienne, elle a
été reconstruite au XIX ème
siècle.
Bien que l’on dise : ‘chez
Chavarin’, sur les trois
derniers siècles, on ne trouve
pas trace de ce nom de
famille dans la paroisse de
Marsac. Nom de l’ancien
village ? Il est possible que ce
soit le nom d’un lieu, car
comme Chavagnat il vient du
patois ‘chaver’, ce qui signifie
creuser et donc désigne une
cuvette ou une cavité. Ici, la
gorge du ruisseau est très étroite à sa sortie sur la plaine, ce qui peut parfaitement justifier ce nom.
Flaittes
Pour ce qui est du nom du village actuel, il peut être associé au nom de famille FLAITON, dont on trouve une trace
à Flaittes en l’an 1699. Le curé de l’époque, pour enregistrer un acte de naissance, écrivait ‘Fleytton’ pour le nom de
famille et ‘Fleyttes’ pour le village. Il faut reconnaître que la similitude d’écriture interpelle, si bien qu’il semble
tout à fait possible que les habitants de Flaittes portent à son origine, le nom de FLAITON. Sur la commune de
Marsac on trouve plusieurs exemples, tels les ‘COLLANGETTE’ à Collangettes, les ‘JOUBERT’ aux Jouberts et
autres Villecourty ou Bostfaucher. Ce nom de famille est très localisé, on le rencontre uniquement sur Marsac et
Arlanc, avec quelques traces sur la région lyonnaise. L’idée de rechercher l’origine de ce nom dans le latin ne
semble pas une aberration, d’autant que plusieurs chemins du lieu portent le nom de ‘via’, comme ‘Via Nerra’ (ou
Neyra), ‘Via Roussel’, ‘Via du Bourlyou’ (ou Bourly), ‘Via du Pommier’. En ces temps anciens, le latin, complètement
ignoré du peuple, était parfaitement maîtrisé par les gens d’église. Dans ce contexte, on peut comprendre que le
mot latin ‘fletus’ qui signifie ‘larmes pleurs ou lamentations’ ait été donné à ce nouveau village, reconstruit après
une si grande catastrophe.
Organisation du village
Par l’observation du cadastre et du lieu, on peut constater que la structuration des constructions n’est pas
homogène. On remarque deux agglomérations originelles, reliées entre elles par la ‘Via Nerra’ ou chemin noir. Il
faut admettre que suite à cet incendie, le fait de réduire les risques en répartissant les habitations sur deux sites
distincts, semble très sage. Pour ce qui est de cette ‘Via Nerra’, contrairement à ce qui paraît évident en première
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approche, ce nom est très antérieur à l’électrification (entour 1935), qui a laissé ce chemin dans le noir pendant
que le ‘Grand Chemin’ était éclairé. En fait à l’origine, c’est un chemin en rase campagne, reliant deux foyers
d’habitation. Dans le terme ‘foyer’, il faut voir bien sûr ‘la vie et la lumière’. Par une observation minutieuse du plan,
on remarque que ces deux groupements d’habitations étaient encore, il y a de ça quelques décennies, denses et
enchevêtrés, comme dans les bourgs médiévaux, sans aucun terrain privé inclus entre les bâtiments. On peut les
situer aux abords du ‘Gour de l’Oche’ pour la partie basse du village et sur le dôme rocheux des ‘Pipi’ pour la partie
haute. Il apparaît clairement qu’au cœur de ces deux centres, tous les espaces non construits sont publics. Dans un
second temps, des constructions se sont alignées le long du ‘Grand Chemin’, sur des terrains privés, avec
l’aménagement d’une cour sur le devant côté sud et un pré ou un jardin attenant. On sent bien ici le souci d’un
certain confort de vie, avec de l’aisance. Et puis, dans un troisième temps, on peut remarquer comme c’est le cas
dans toutes les agglomérations, des constructions franchement séparées et plus isolées, le long des voies d’accès
au village, notamment en direction de la grand-route, établie dès le début du XIXème siècle. Cette dernière étape
est relativement récente car elle n’apparaît pas sur le cadastre napoléonien de 1836.
Comment dater cette tragédie ?
Prenons le cas de la maison dite ‘chez PERROT’, située sur le dôme rocheux des ‘Pipi’, ce qui présente l’avantage de
conserver sur le sol des traces très anciennes d’une implantation. On remarque des cavités aménagées dans le
rocher, destinées à asseoir des poteaux en bois. Ceci signifie que la maison originelle était à ossature bois. En
seconde étape, sur des fondations en pierre, les murs en pisé s’élevaient seulement à 3 mètres de hauteur, ce qui
laisse imaginer une couverture très pentue en paille. En troisième étape, les murs ont été rehaussés en pisé pour
recevoir une couverture moins pentue en tuiles creuses. Ceci probablement au début du XIX ème, car sur un partage
daté de 1818, on peut lire qu’une grange est ‘couverte à thuyles’. Enfin en 1953, nouveau rehaussement en briques
avec une couverture en tuiles plates. Si l’on considère que chaque réaménagement est fait pour au moins 150 ans,
on peut estimer que la construction originelle remonte à 5 siècles, voire plus. Ceci semble être un minimum, car on
remarque aujourd’hui que les encadrements en bois que l’on appelle ‘les loindes’, sur les portes de certaines maisons
du village, sont datés de 1800 à 1850. Sur les maisons les plus récentes, situées au fond du village, on voit que le
pisé est moulé directement sur les ‘loindes’. Ceci signifie que tout est originel. Par contre, sur les maisons et les
granges plus anciennes, les ‘loindes’ sont calées par un empilage de cailloux montés soit à la chaux, soit à la terre
suivant l’époque. Ceci est le signe d’une rénovation des ouvertures et par conséquent on est en présence de
bâtiments plus anciens. Pour ce qui est de la construction à ossature bois, il n’est pas possible de dire combien de
temps ce type d’habitation a perduré sur le même site. En effet, seules les empreintes dans le rocher attestent de
cette présence. Les techniques évoluant peu en ces temps reculés, les poteaux et le torchis ont peut-être été
renouvelés à plusieurs reprises sans nous en laisser de trace.
Une telle histoire est peut-être relatée sur quelque registre tenu par le curé de Marsac, ceci perdu dans des
archives locales ou départementales. Mais pour entreprendre des recherches, il faudrait une datation plus précise.
Si l’on se réfère aux écrits de Michel BOY sur l’histoire d’Ambert et du Livradois, on apprend que le village de
Flaittes existait en 1350 et était même le plus gros village de la paroisse avec ses 28 feux ou ‘cotes d’imposition’.
Si l’on compte une moyenne de 5 personnes par feu, ça représente tout de même 140 habitants. (Voir ‘Ambert –
2000 ans d’histoire’ à la bibliothèque municipale). Cette tragédie, certainement très ancienne, pourrait dater du
haut moyen âge et peut être même avant. A l’exemple de la ville d’Ambert, qui était située primitivement sur le site
de La Masse, site qui fut abandonné suite à un incendie vers la fin du second siècle.
Où situer cet ancien village ?
Sur la pointe rocheuse couverte de rares taillis
(repère sur le cadastre), se trouve un lieu
nommé ‘les Labres’. Si l’on recherche une
explication dans le latin (toujours lui), on trouve
labes qui signifie tout d’abord ‘chute et
éboulement’. Le relief du lieu peut très bien à lui
seul justifier ce nom, car la butte rocheuse pour
ne pas dire le chaos, tombe à pic sur la plaine.
Mais ce mot signifie également ‘ruine,
destruction et désastre’. Là on pense tout de
suite à cette tragédie que fut la destruction
complète d’un village, au point qu’une légende nous
a rapporté ce fait au travers des siècles. En
somme, les habitations pouvaient très bien se
situer sur cette butte, comme on les voit
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aujourd’hui sur le haut de Flaittes. Ceci sur une voie de circulation, non carrossable bien entendu, mais malgré tout
d’une relative importance. D’ailleurs il y a de ça quelques années, ce sentier ou ‘draille’ montait entre les rochers,
pour rejoindre le chemin venant du Verdier, en direction de Chabagnat. Si l’on consulte le cadastre Napoléonien de
1836, cette voie était suffisamment importante pour porter le nom de ‘chemin de Marsac à St Amand’. On peut
aussi très bien imaginer que ces habitations soient blotties entre le chemin de Puvic et la butte (repère ), bien
abritées de la ‘Saintamande’, cette bise redoutée à Flaittes en hiver. A écouter Jeanne MONIER qui nous a
rapporté cette tragédie, des pierres enfouies dans le champ situé en contrebas du chemin de Puvic (repère ),
gênaient jadis les labours et ce serait peut-être des restes de fondations. On comprend facilement que même pour
des constructions en bois, il devait y avoir un appui en dur. Pour ce qui est de ces pierres, il faut émettre une
réserve, car nous sommes ici dans le cône de déjection d’un ancien glacier et donc des pierres roulées de forme
ronde peuvent être présentes. Pour s’en convaincre, il suffit de remonter le ruisseau, jusque dans la gorge. Là, des
pierres rondes parfois assez grosses, encombrent le lit du cours d’eau et ses abords. C’est un endroit sauvage où
l’on trouve la ‘roche de Pireté’ (repère ), toute en rondeur et mesurant plusieurs mètres de hauteur. Dans ce
registre on peut citer la pierre que Jean GUESLE fit extraire de son jardin aux environs de 1975, car elle gênait
ses labours. On peut la voir aujourd’hui sous le moulin, à quelques mètres du chemin. En résumé, seule une étude sur
le terrain permettrait peut- être de situer précisément cet ancien village. Sur la butte, il faudrait rechercher des
empreintes taillées dans la roche et dans les champs, il faudrait observer la forme et la dimension de ces pierres
enfouies.
Robert GRENIER
A.P.E.C.H
Le dimanche 10 mars à Marsac "un pas pour le sourire des enfants hospitalisés".
Les étudiants de l'IUT GEA de Clermont-Ferrand (Sandra COSTES, Bastien BECHADE, Maria COMPTE et
Lauriana COLOMB) ont organisé le dimanche 10 mars des randonnées pédestres "un pas pour le sourire des
enfants" sur deux parcours 7 et 15 kilomètres.
En effet, dans le cadre de leur étude dans la partie formation action, ils ont organisé cette randonnée au profit de
l'association l'APECH (association pour le confort des enfants à l'hôpital).
250 personnes ont répondu présent en s'inscrivant sur les deux randonnées, et 300 billets de tombola ont été
vendus. Les lots de la tombola ont été offerts par les commerçants de Marsac et de la région.
A leur retour, les marcheurs dominicaux ont eu l'agréable surprise d'être accueillis à la salle de la petite vitesse
par la soupe offerte par les Sages, les crêpes préparées pas les étudiants, tout ceci dans une sympathique et
chaleureuse ambiance.
Quand on leur pose la question pourquoi avoir choisi Marsac pour cette sympathie manifestation ?
Ils nous répondent qu'ils sont originaires d'Arlanc et d'Ambert, et comme ils connaissent bien Monsieur le maire
de Marsac, leur ancien professeur du
lycée Blaise Pascal, ils lui ont
demandé, s’ils pouvaient organiser
ces randonnées, ils ont eu tout de
suite un bon accueil et les a orientés
vers le club d'animation et les
Sages, qui ont répondu très
positivement à leur demande d'aide.
Ils tiennent à remercier
chaleureusement les membres du
club d'animation et les Sages de
Marsac qui leur ont donné tout
l'appui logistique, car sans eux cette
manifestation n'aurait pu avoir lieu.
Photo de sages au ravitaillement des
Issards
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Photos remise de chèque
Remise de chèque de 2620€ par les quatre
étudiants pour l'association l'APECH qui a
eu lieu Mercredi 20 Mars au CHU Estaing à
Clermont-Ferrand. Nous étions accompagnés
de l'un de nos professeurs.
Nous en profitons pour remercier une
nouvelle fois la municipalité de Marsac-en-
Livradois, le conseil de sages, le club
d'animation, le Lions club d'Ambert, les
sponsors, ainsi que tous les participants.
Les quatre étudiants Sandra Costes, Bastien
BECHADE, Maria COMPTE et Lauriana
COLOMB
SOIREE GRENOUILLES
10 9 8 7 6 5 4
A propos de L’A.P.E.C.H
L'APECH est une Association créée en 1995 par du personnel soignant des services de pédiatrie.
Le secteur pédiatrie de l'hôpital est un lieu de vie où les patients sont des enfants avant d'être des malades.
Outre ceux liés aux soins, l'enfant a des besoins ludiques, éducatifs, pédagogiques....
C’est à ces besoins que l’APECH veut répondre par des animations avec l’intervention de professionnels, l’achat
de matériel pour les salles de jeux, de cadeaux offerts aux enfants lors de leur anniversaire, Noël,....
Le jeu est reconnu comme un élément indispensable au développement de l'enfant. En outre, à l'hôpital, c’est
un excellent moyen pour tisser des liens entre l'adulte et l'enfant, l'apprivoiser et le mettre en confiance. Le
jeu crée un espace de communication qui encourage la complicité et favorise la joie et le plaisir de s’amuser
ensemble. L’activité ludique peut également servir de support privilégié d'éducation.
L'activité ludique participe à la structuration de la personnalité de l'enfant, elle lui est nécessaire. Il est
essentiel que les soignants concourent au quotidien à répondre à ce besoin primordial. Par sa dimension
symbolique, elle permet à l'enfant de PENSER/PANSER ses plaies et de maintenir une relation dynamique aux
autres et ouverte sur l'extérieur.
Source internet WWW.blogalulu
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CHASSE AUX ŒUFS
VIVE LA POESIE
Vendredi 22 mars, dans le cadre du « Printemps des poètes » célébré dans toute la France, des élus de la
commission culturelle de la municipalité, des enfants du conseil municipal des jeunes, des élèves de la classe de
CM2 de Monsieur Magaud et des spectateurs ont animé un petit spectacle poétique à base de poèmes, de chansons,
de photos de B. Spalla.
Voilà 3 ans que cette manifestation est célébrée à Marsac avec un succès croissant. En effet, ce sont une
quarantaine de spectateurs qui ont apprécié cet art qu’est la poésie. Là, furent évoqués de grands noms de tous les
temps : Villon, Ronsard, du Bellay, la Fontaine, Verlaine, V Hugo, Rimbaud, Baudelaire, Prévert pour n’en citer que
quelques-uns.
Parfois, la salle s’est mise à l’unisson pour le plus grand bonheur de tous. Les uns chantaient, les autres récitaient,
d’autres lisaient tout simplement les œuvres que parfois, on se remémorait en se disant : « Ah ! Oui ! Je l’ai apprise
à l’école ».
Le public fut enchanté et ne s’est pas du tout ennuyé. Et oui, la poésie est un art bien vivant, surtout à Marsac. Elle
élève l’âme, libère les imaginaires de tous, peut devenir une sublime chanson. Quelle merveille !
Verlaine ne disait-il pas à propos de son art poétique : « De la musique avant toute chose… » ?
Les Marsacoises et les
Marsacois ont répondu
présent à l'invitation du club
d'animation pour la chasse
aux œufs. Même si les poules
qui ont pondu avaient de quoi
surprendre, les enfants ont
apprécié la distribution. Bravo
à tous ces bénévoles qui ne
ménagent pas leur peine pour
la commune. C'est comme cela
que Marsac est Marsac !
Les gagnants de la chasse à
l'œuf se sont vu remettre
des repas à l'Entre-Deux et
au repas grenouilles
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Tartiflette à la
poitrine fumée
Pour 4 personnes
Préparation : 60 min
Cuisson : 10 min
INGREDIENTS -1 très bon Reblochon fermier - 14 pommes de terre rattes (peau et chair jaunes)
- 1 gros oignon - 120 g de poitrine fumée
- 20 cl de crème fleurette - 40 cl de vin blanc sec
- 80 g de beurre - sel et poivre du moulin
DICTONS
Avril et mai de l’année, font tout seuls la destinée. Au mois d’avril, le chêne rit. Au mois d’avril, les bêtes changent d’habit. Au moment où commence avril, l’esprit doit se montrer subtil. Avril doux, quand il tonne, est le pire de tous. Il n’est jamais d’avril si le coucou ne l’a dit. Il n’est point d’avril si beau, qui n’ait neigé à son chapeau.
Solution gazette de Mars : une dent !!!
Quel est le
comble pour un
juge?
A VOUS DE JOUER !
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Le formulaire d’abonnement est à retourner à Pascal CHALLET : 34 Route d’Arlanc 63940 MARSAC EN LIVRADOIS :
Nom : Prénom :
Adresse où la Gazette doit être envoyée :……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
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Règlement : chèque bancaire ou postal de 21 € à l’ordre de « APPM ».
Signature.
Imprimé par nos soins
Cuire les pommes de terre avec leur peau dans une casserole
d'eau salée, pendant 25 mn.
Emincer finement l'oignon et le faire suer au beurre pendant 5
mn.
Ajouter ensuite le vin blanc sec et le laisser réduire.
Tailler la tranche de poitrine fumée en petits lardons. Puis les
faire sauter 2 mn dans une poêle bien chaude.
Eplucher les pommes de terre, les couper en tranches de 3
centimètres d'épaisseur.
Les mélanger délicatement avec l'émincé d'oignon, les lardons et
la crème fleurette. Saler et poivrer. Verser cette préparation
dans un plat.
Gratter la croûte du Reblochon et couper le fromage dans le sens
de son épaisseur de façon à obtenir deux cercles.
Déposer les moitiés de Reblochon sur les pommes de terre, croûte
vers le haut.
Enfourner à 180°C pendant 10 à 15 mn jusqu'à ce que le fromage
soit bien doré.
Remarques : Il ne faut pas trop cuire les pommes de terre. Elles doivent rester légèrement fermes après cuisson.