cld - west-island p. 7 - journal l'Édition des gens d ......des résultats record pour...

20
Crédit d’impôt ÉCORÉNOV Travaux de rénovation : tout le monde y gagne ! Dossier CLD - West-Island MARS 2014 • Volume 21 No. 11 JOURNAL DES GENS D’AFFAIRES DE MONTRÉAL Décrochage scolaire : un coup exorbitant pour la société p. 4 Portrait de réussite Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 OPPORTUNITÉS D’AFFAIRES (p.15)

Upload: others

Post on 05-Oct-2020

1 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

Crédit d’impôtÉCORÉNOV

Travaux derénovation : toutle monde y gagne !Dossier

CLD - West-IslandMARS 2014 • Volume 21 No. 11

J OURNAL D E S G EN S D ’A F FA I R E S D E MONTR ÉA L

Décrochage scolaire : un coup exorbitant pour la sociétép. 4

Portrait de réussiteDes résultatsrecord pourMontréal Internationalp. 5

p. 9 à 14

p. 7

OPPORTUNITÉS D’AFFAIRES (p.15)

Page 2: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

2 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

À titre de Directeur des opérations de l’Associationpour le développement de la recherche et de l’in-novation (ADRIQ), je souhaite profiter de cettechronique pour partager avec vous certains outilsque nous mettons à votre disposition pour vousaider notamment à commercialiser vos innovations.

Depuis 35 ans, nous animons une vaste associa-tion d’affaires, unique et influente, pour souteniret promouvoir l’innovation au Québec. Nous tra-vaillons de concert avec l’industrie, les chambresde commerce, les organismes d’aide économiqueainsi qu’avec les divers paliers gouvernementauxafin de créer les conditions favorables en vued’aider nos entreprises innovantes à rayonner, àêtre rentables et viables.

1. InnoConnect : nouvelle plateforme deréférencement en ligne

• Vous êtes une entreprise, un organisme, ou unconsultant ?

• Vous recherchez un expert pour répondre à unmandat précis ?

• Vous souhaitez faire partager votre expertiseauprès d’entreprises en besoin ?

• Vous aimeriez référencer une de vos connais-sances pour un mandat donné ?

La plateforme www.inno-connect.com est conçuepour vous !

Plateforme de référencement présentée parl’ADRIQ, Inno-Connect est le nouveau lieu derencontre entre l’offre et la demande d’expertisespartout sur le territoire du Québec et ce, dans tousles domaines liés à l’innovation.

Le principe est simple : une personne « A » afficheun mandat sur la plateforme, à laquelle une per-sonne « B » répond, offrant l’expertise demandée.La personne « B » pourra avoir été référencée parune tierce personne. Cette dernière touchera alorsune prime de référencement si la personne « B »est bien sélectionnée.

La plateforme est actuellement en phase de lan-cement, c’est-à-dire à la recherche de mandatset d’experts afin de lancer le processus de référen-cement. Veuillez prendre note que cet outil estaccessible à tous, moyennant des frais d’utilisationtrès modeste, sauf pour les membres de l’ADRIQqui bénéficieront d’avantages exclusifs et degratuités.

Toutefois, veuillez noter que durant toutela période de lancement (mars 2014), l’af-fichage de mandat est gratuit pour tous.Profitez-en sans attendre !

Pour afficher un mandat et en savoir plus sur laplateforme ainsi que son mode de fonctionnement,veuillez contacter Mme Nabila Domrane, Char-gée de projet au 514 337-3001, poste 105. Pourtoute demande de partenariat, veuillez adresservos questions à M. Benoit Seveno, Responsabledes services aux membres et des partenariats au514 337-3001, poste 109.

2. Les experts du réseau RCTI pour vous guider

L’ADRIQ anime un réseau d’experts qui regroupequelques 200 spécialistes dans 35 disciplines quivous permettront d’améliorer votre compétitivitéet de vous guider dans vos démarches pour réus-

sir votre virage d’innovation. Que vous cherchiezdu financement, ou à commercialiser vos pro-duits/services, à protéger une idée ou à être guidédans le recrutement de cadres et de personneltechnique, l’un de nos conseillers accréditéspossède assurément l’expertise qu’il vous manque.Consultez la rubrique Services de notre site Inter-net pour consulter la liste des experts.

3. Fundica : un outil de recherche de financement

Tout entrepreneur qui a un projet d’innovation entête recherchera tôt ou tard des sources de finan-cement. Au-delà du financement traditionnel, vousou votre projet pourriez être éligibles à des sub-ventions. L’outil de recherche Fundica, disponiblesur notre site web, vous permet de répertorier etde filtrer la liste des programmes canadiens selonvos critères (région, discipline, etc.). Vous verrezque cet outil vous sera d’une grande utilité. Pourplus d’informations, consultez la rubrique Outilsde notre site Internet : www.adriq.com

Peu importe vos besoins, l’ADRIQ rassemble toutprès de 8 000 intervenants du domaine de l’inno-vation. Il ne tient qu’à vous de nous utiliser commelevier. Visitez notre site web et découvrez d’autresinformations utiles. N’hésitez pas à joindre mon-sieur Benoit Seveno, au 514 337-3001 poste 109,si vous désirez en savoir davantage sur notre offrede service et les conditions d’adhésion.

Enfin, je conclurai avec cette citation : « Donnez-moi un point d'appui, et un levier, je soulèverai lemonde » - Archimède

Des outils et services pour soutenir les entreprises innovantes ! CAP INNOVATION

MICHEL LANGELIER

Michel Langelier Directeur des opérationsADRIQ

Téléphone : (514) 337-3001, poste [email protected]

Président-ÉditeurALAIN [email protected]

ADjoINte ADMINIStRAtIVeSYLVIE VÉ[email protected]

coMPtAbIlItÉCLAUDE [email protected]

coNSeIlleR eN StRAtÉgIe MARketINgMAXIME [email protected]

RÉDActeuR eN chefJEAN-CLAUDE [email protected]

DeSIgN et PRoDuctIoNLOUISE CHARBONNEAU

DIStRIbutIoNMAXIME DULONG

IMPReSSIoNHEBDO-LITHO, ST-LÉONARD

tIRAge25 000 COPIES

TÉL. : 514 257-1000TÉLÉC. : 514 257-7505

11905, RUE NOTRE-DAME EST, SUITE 400,MONT RÉAL (QC) H1B 2Y4

WWW. JOURNALEDITION .COM

Dépôt légal : Bibliothèque Na tionale du Québec et du Ca nada ISSN 1918-2430Abonnement : 514 257-1000

Le masculin utilisé dans cette publication d é si gne les fem mesautant que les hom mes. La re pro duc tion de tout article estin ter di te sans l’autorisa tion écrite du jour nal. Les édite ursn’assument au cu ne res pon sa bilité sur l’ex ac ti tude des re ven -dications et des offres faites par les an non ceurs.

Veuillez noter que l’éditeur ne partage pas nécessairement le point devue exprimé dans les chroniques.

Page 3: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

3LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

NOUVEAUTÉS H

Stationnement payant maintenant disponible.

Autres cours aussi offerts.

H

H

H

INScRIPtIoN eN lIgNe514 254-7131, poste 4811 fc.cmaisonneuve.qc.ca

ATELIERS INFORMATIQUESÀ 2$ / heurepour les travailleurs* en emploi

Développement des compétencespour les travailleurs en emploi

encorequelques places

disponiblesFinancés par Emploi-Québecde l’Île-de-Montréal

* Les candidats doivent satisfaire aux critères d’admissibilité établis par Emploi-Québec et aux préalables requis affichés sur notre site Web.

La compétitivité des entreprises passe par la qualification de ses employés. Investir dans les compétences des ressources peut mener loinet il en coûte souvent moins cher que ce que l’on croit.

Un petit investissement en formation peut s’avérer non seulement très fructueux, mais aussi bénéfique. Le Collège de Maisonneuve, encollaboration avec Emploi-Québec de l’Île-de-Montréal, offre de la formation à 2 $ l’heure. Un perfectionnement augmente le niveau decompétence de l’entreprise, développe le sentiment d’appartenance, bonifie la reconnaissance de l’employé et facilite l’avancement àl’interne.

Afin de ne pas briser le rythme de production des entreprises, ces formations sont offertes le soir et la fin de semaine. Elles se destinent auxtravailleurs autonomes et aux salariés en emploi de l’Île-de-Montréal et de ses villes couronnes. Chaque année, le Collège de Maisonneuveoffre plus de 70 formations de haut niveau dispensées par des experts. Ces spécialistes de contenu connaissent très bien la réalité dumonde du travail et œuvrent dans différents domaines tels que l’informatique, l’infographie, le multimédia et les médias sociaux.

Il faut aussi souligner que la fidélisation des ressources peut aussi créer un effet de rétention dans cette ère ou la pénurie de main-d’œuvre sévit fortement.

De plus, il est aussi possible de développer des formations sur mesure pour vos besoins en entreprise. Pour obtenir plus de renseignementssur les possibilités de développement des compétences de vos travailleurs ou pour organiser une rencontre sans frais pour explorer vosbesoins de formation, n’hésitez pas à contacter :

Chantal Brochu, conseillère en formationService aux entreprises514 254-7131, poste 4815

Le Service aux entreprises du Collège de Maisonneuve est le partenaire tout désigné pour les entreprises désireuses de demeurer compétitivessur les marchés en investissant dans les compétences de leurs ressources.

Protocole tcP/IP débutant 22 mars 28 h

cisco ccNA Sécurité: Mise en œuvre de la sécurité réseau 26 mars 60 h

Adobe Illustrator (cS6) 29 mars 36 h

Développement de jeu vidéo sur iPhone et iPad 29 mars 35 h

gestion des services des tI avec ItIl ® 2011 29 mars 25 h

langage SQl (environnement oracle) intermédiaire 29 mars 18 h

Windows Server 2012 29 mars 30 h

NIVeAu DÉbut DuRÉe

débutant etintermédiaire

Page 4: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 20144

on en parle beaucoup depuis quelquesannées et cela reflète peut-être uneprise de conscience générale : le dé-crochage scolaire est une véritablegangrène pour la société et pas seule-ment au Québec. car ce problème estégalement relevé dans l’ensemble despays occidentaux. Non seulementles conséquences sur l’avenir de nosjeunes sont catastrophiques mais lesretombées économiques pour la socié-té atteignent des sommets. tout celasans même parler des difficultés qu’ontles entreprises à trouver une maind’œuvre qualifiée dans un monde oùles exigences en termes de formationsont de plus en plus élevées.

Voilà qui est dit et qui dresse une réalitéalarmante. Un constat qui a poussé NicolasArsenault, Louis-Simon Ménard et L.Jacques Ménard à agir en créant la fonda-tion Mobilys, une OSBL de charité qui n’aqu’un but : combattre le décrochage scoalirepour offrir aux jeunes un avenir plus relui-sant.

Revaloriser le système éducatif

« Le décrochage scolaire est un mal perni-cieux dont les implications ne sont pasimmédiatement visibles. Bien sûr, voir sonenfant peiner est inquiétant, c’est une desparties visibles rapidement, mais c’est dans

l’avenir que les conséquences prennenttoute leur ampleur », explique NicolasArsenault, président directeur général.

Selon Nicolas Arsenault, les causes dudécrochage sont multiples et ne sont pasforcément liées à la qualité de l’enseigne-ment au Québec ni même à son accessibi-lité : « Le Québec dispose de l’un des sys-tèmes d’éducation les plus facile d’accès etles plus performants des pays occidentaux.Il ne faut donc pas jeter la pierre sur cesystème, même s’il y a toujours matière àamélioration. J’ai pu constater à quel pointles professeurs sont motivés et ouverts à lapossibilité d’une amélioration contre ledécrochage. Se battre contre ce phénomène,

c’est avant tout prendre les bonnes disposi-tions, faire preuve d’écoute et offrir auxjeunes une motivation supplémentaire ensuscitant leur passions et en leur donnantdes outils pour aborder leurs passions ».

Mobiliser pour avancer

Le constat partagé par le ministère de l’Édu-cation, du Loisir et du Sport (MELS) ainsique par le Groupe d'Action sur la persévé-rance et la réussite scolaires au Québec faitétat de la nécessité d’élargir à l’ensemble dela société québécoise le consensus sur lavalorisation de l’éducation et de la persé-vérance scolaire. L’école ne doit pas êtrel’unique responsable de la réussite éduca-tive : les citoyens ont un rôle important àjouer auprès des jeunes et des institutionsqui les appuient.Les chiffres sont éloquents : jugez-en parvous-même. 50 % des garçons seulementobtiennent leur diplôme d’études secon-daires dans le temps requis. Le Québec est laneuvième province sur 10 des 20-24 ans quin’ont pas de diplôme d’études secondaires.Ce sont ainsi chaque année 25 000 jeunesqui fêtent leur 20e anniversaire sans diplô-

me de secondaire ou pour mieux imager :70 étudiants par jour qui quittent les bancsd’école. Un décrocheur coûte 120 000 $ à lacollectivité au cours de sa vie active.

Réveiller les passions

Selon Nicolas Arsenault, l’une des armes lesplus efficaces contre le décrochage scolaireest de réveiller les passions chez les jeunes etde leur donner les outils pour les mettre enpratique. « C’est là qu’intervient l’impor-tance de la mobilisation de tous pour luttercontre le décrochage. Les jeunes doivent êtremotivés, les consciences réveillées et pourcela, il faut susciter les passions, donner unevéritable vision d’avenir à nos jeunes ».

La fondation Mobilys a donc lancé uneplate-forme Internet qui offre à tous ceuxqui se sentent concernés : partenaires,écoles, entreprises, etc., un outil qui vise àimpliquer les citoyens dans le processus devalorisation de l’éducation. Elle permet auxécoles et organismes de communiquer avecleur communauté en les informant sur lesactions à privilégier pour contrer le décro-chage scolaire et assurer le développementdu plein potentiel de tous les jeunes.

Si vous désirez vous-même offrir aux jeunesune chance supplémentaire de réussite,visitez le site de la fondation sur :http://www.mobilys.org.

Société – Décrochage scolaire

Décrochage scolaire : un coup exorbitant pour la société

Nicolas Arsenault

Venez réseauter au soleil levant...La médiation peut vous aider à conserver une relation d’affaires

et parvenir rapidement à une solution ! Notre prochaine rencontre sera le mercredi 2 avril 2014

Nous recevons Me Nathalie Croteau, avocate et médiatrice La médiation, un choix d’affaires : Lors d’un conflit, vous souhaitez éviter d’engager un avocat ? Si le mon-tant en jeu est peu élevé, soit inférieur à 25 000 $, SAVIEZ-VOUS qu’un service de médiation vous est offert parle Barreau du Québec à un prix fixe, peu importe le temps que la médiation prendra ? Pourquoi s’en passer !

Chez OZEU, 6730, rue Sherbrooke Est, coin Langelier DÈS 7h : Période de réseautage · 7h30 : Conférence

Coût : Membre et non-membre 25 $ (Taxes et service inclus)Réservation: sur le site www.rfaq.ca ou 514 644-6430

Page 5: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014 5

Dominique Anglade, présidente-direc-trice générale de MI, a procédé il y a peuau dévoilement des résultats 2013 del'organisation et a profité de ce tempsdes bilans pour remercier les parte-naires de leur soutien. une année 2013de tous les records aussi bien quant auxrésultats présentés par l’organisme quepar la densité de ses activités.

Parmi les faits saillants des résultats de l'an-née dernière, on note la contribution straté-gique de Montréal International à 39 projetsd'investissements directs étrangers (IDE)totalisant une valeur de 1,28 milliard dedollars, lesquels entraîneront la création oule maintien de plus de 2 700 emplois dans leGrand Montréal. L'organisation a égale-ment contribué au renforcement de la com-munauté des organisations internationaleset du bassin de main-d'œuvre qualifiée de lamétropole.

« Ces solides résultats démontrent l'im-portance du rôle et de la contribution deMontréal International comme moteur decréation de richesse pour l'économie duGrand Montréal », a déclaré Mme Anglade.« Ensemble, avec nos partenaires dessecteurs privé et public, nous ouvrons unnouveau chapitre pour l'essor de la métro-pole, sous le signe de l'ambition, de l'audaceet de l'ardeur. Je les remercie de leur pré-cieux appui, de leur confiance renouvelée et

j'invite toute la communauté d'affaires àse mobiliser et à participer aux efforts derelance du Grand Montréal », a-t-elle ajouté.

Investissements directsétrangers

En 2013, MI a contribué àl'attraction de 39 projetsd'IDE d'une valeur totalede 1,28 milliard de dollars,lesquels entraîneront lacréation ou le maintien deplus de 2 700 emplois dansla région métropolitaine.Les entreprises européen-nes ont réalisé 83 % desinvestissements facilités parMI, une progression de plusde 25 points par rapport à2012. De plus, l'analysesectorielle démontre que62 % des sommes totales investies par lessociétés étrangères dans le Grand Montréall'ont été dans le secteur des technologiesde l'information et des communications(TIC).

organisations internationales

Du côté des organisations internationales(OI), l'année 2013 a été marquée par lemaintien de l'Organisation de l'aviationcivile internationale (OACI) à Montréal et

l'expansion d'Airports Council International(ACI), dans le cadre du déploiement de sonprogramme de formation Airport Excellence(APEX). ACI, qui représente les aéroports

civils dans le monde, avaitd'ailleurs déménagé sonsiège de Genève à Montréalen 2011, notamment avecl'appui de Montréal Inter-national. En 2013, MI aégalement réalisé 63 inter-ventions de prospection àl'étranger et 36 activitésciblées pour favoriser ledéveloppement des organi-sations internationales déjàétablies à Montréal.

talents stratégiques

Grâce au soutien financierdu Conseil emploi métro-

pole dans le cadre d'un projet pilote, Mont-réal International a multiplié les initiativesen 2013 pour aider les entreprises du GrandMontréal à recruter des travailleurs haute-ment qualifiés et expérimentés, et ce, princi-palement dans les secteurs de l'aérospatiale,des TIC et des sciences de la vie et techno-logies de la santé (SVTS). MI a ainsi coor-donné la participation de 30 entreprises duMontréal métropolitain - plus de 40 % deplus qu'en 2012 - à trois missions de recru-tement aux États-Unis et en Europe, organi-

sées en collaboration avec le gouvernementdu Québec, lesquelles ont permis l'em-bauche de plus de 185 talents stratégiques.

Par ailleurs, MI a soutenu 649 travailleursinternationaux œuvrant au sein de 120entreprises, institutions et organisationsinternationales établies dans la région, enfacilitant l'obtention de documents officiels(permis de travail, permis d'études et visad'entrée). De plus, 695 de ces travailleursont participé à l'une ou l'autre des 88séances d'information organisées par MIsur les avantages de la résidence permanen-te, un service à haute valeur ajoutée quicontribue à enrichir le bassin de talents dela métropole.

Montréal International peut égalementcompter sur le soutien financier d'une cen-taine d'entreprises privées de la granderégion de Montréal, incluant RBC BanqueRoyale, qui contribuent de façon tangibleau développement économique de lamétropole. « Nous entretenons des rela-tions fructueuses avec Montréal Internatio-nal depuis ses tout débuts et nous croyons àl'importance de rejoindre l'ensemble desgrands acteurs économiques de la régionpour favoriser une plus grande richesse col-lective », a déclaré M. Martin Thibodeau,président, Direction du Québec de RBCBanque Royale.

Dominique Anglade

MARC GARNEAUDéputé/ MP

Westmount_Ville-Marie

4060 Ste-Catherine O./W., Suite 340Montréal, Québec H3Z 2Z3

(514) 283-2013 [email protected]

www.bijouteriejamil.com

Portrait de réussite

Des résultats record pour Montréal International

Page 6: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 20146

l’Association provinciale des cons-tructeurs d’habitations du Québec(APchQ) réitère son opposition, clai-re et sans compromis, à toute formed’intimidation ou de violence, et ce,quel que soit le contexte.

L’APCHQ s’inscrit en faux par rapportaux propos exprimés au cours des der-niers jours par les dirigeants de la FTQ-Construction et de la FTQ, et relayés parle quotidien La Presse. Elle déplore quemessieurs Yves Ouellet et Daniel Boyer,loin de condamner les procédés inaccep-tables mis en lumière dans le cadre dutémoignage devant la Commission Char-bonneau de monsieur Bernard Gauthier,l’un de leur représentant œuvrant sur laCôte-Nord, aient tour à tour cherché à lesjustifier, monsieur Ouellet allant mêmejusqu’à souligner le bon travail de repré-sentation de ce dernier.

« Pour l’APCHQ, aucune situation,aucun enjeu d’industrie ne justifie lerecours à l’intimidation ou à toute autreforme de violence. Tant les travailleursque les entrepreneurs réclament, et à justetitre, un environnement de travail sain etrespectueux des droits de tous, à com-mencer par le droit de travailler » affirmeJean-Pierre Sirard, président-directeurgénéral de l’APCHQ. « Le respect des loisne doit pas être tributaire de l’humeurambiante, ou des circonstances. Notre

industrie doit s’élever au-dessus de cesméthodes, et ça passe par l’engagementde tous, y compris celui des centralessyndicales. »

L’APCHQ a dénoncé à maintes reprises lerecours à l’intimidation, et encore récem-ment dans le cadre de la négociation qui amené au renouvellement de la conven-tion collective 2013-2017 dans le secteurrésidentiel de la construction. Elle consi-dère que les enjeux d’industrie doivent sediscuter et se régler en négociation, et quel’ensemble des intervenants de l’industriedoivent être traités avec respect, en toutescirconstances. L’APCHQ encouraged’ailleurs les entrepreneurs à dénoncertoute forme d’intimidation.

Un message clair lancé par l’APCHQ quitient à se dissocier de ce genre de com-portement. Si le témoignage de Bernard« Rambo » Gauthier n’a surpris personne,l’homme semblant en total décalage avecle bon sens, les commentaires de mes-sieurs Yves Ouellet et Daniel Boyer sem-blent entériner un comportement inac-ceptable dans le milieu de la construction.

L’APCHQ dit NON à l’intimidation

Félicitations à Sara, Choi-See et Geneviève, semi-finalistes au prestigieuxContessa pan-canadien deToronto. �

Bravo!�

www.donaldproulx.com11 903, boul. Sainte-Gertrude, bureau 200, Montréal (Québec) H1G 5R1

Téléphone : (514) 789-1387

Une expertise professionnelleà votre service

Le droit autrement

Page 7: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014 7

Bévic ConstructionENTREPRENEUR GÉNÉRAL

RÉSIDENTIEL · COMMERCIAL · INDUSTRIELPROJETS CLÉ EN MAIN · PLANIFICATION COMPLÈTE

Travaux après sinistre (dégâts d’eau - feu)· Cuisine · Salle de bain · Sous-sol

Rallonge - Ajout - Agrandissement- Garage - Toiture - Réclamation d’assuranceVOUS SATISFAIRE EST NOTRE BUT PRINCIPAL · TRAVAIL DE QUALITÉ

www.bevic.ca · [email protected]

514 642-9397

Permis RBQ : 8261-1138-53DEPUIS 1986

Professionnel en constructionet rénovation

Martin [email protected] R.B.Q. 2167-3215-83

Tél.: 514 648-898811744, 54e Avenue, Montréal (Québec) H1E 2J3 · Téléc.: 514 494-9958

Nos services :Confiez vos projets de rénovationsà notre équipe experte de plus de20 ans d ’expér ience dans ledomaine des rénovations de :

- Cuisine- Salle de bain- Installation de planchers- Céramique- Installation de portes

- Installation de fenêtres- Revêtements généraux- Rénovations après sinistre- Évaluation pour compagnie d’assurances

# RBQ : 8255-9691-26MEMBRE APCHQ

LICENCIÉ - ASSURÉ

Tél.: 514 593-6649 · Cell.: 514 668-0656 · [email protected] · www.renovationslisbonne.com

un crédit d'impôt remboursable pourla réalisation de travaux de rénovationrésidentielle écoresponsable estinstauré sur une base temporaire. cecrédit d'impôt est destiné aux particu-liers qui font exécuter par un entrepre-neur qualifié des travaux de rénova-tion écoresponsable à l'égard de leurlieu principal de résidence ou de leurchalet en vertu d'une entente conclueaprès le 7 octobre 2013 et avant le 1er

novembre 2014.

Ce crédit d'impôt, qui sera d'un montantmaximal de 10 000 $ par habitation admis-sible, correspondra à 20 % de la partie desdépenses admissibles d'un particulier quiexcédera 2 500 $. Pour donner droit au cré-dit d'impôt, les travaux réalisés doiventavoir un impact positif sur le plan énergé-tique ou environnemental et les biens utili-sés dans le cadre de ces travaux doiventrépondre à des normes reconnues.Ce programme présente deux grands atouts :un incitatif au cirage environnemental qui,en plus d’éveiller les consciences par l’appâtfiscal pourrait bien entretenir une activitééconomique soutenue dans le domaine enalimentant la demande.

la bannière Réno-Maître de l’APchQvous informe

Annoncé en octobre dernier par le gouver-

nement du Québec, le crédit d’impôt Éco-Rénov vise notamment à encourager larénovation écoresponsable pour atteindredes objectifs en matière de protection del’environnement. La bannière Réno-Maîtrede l’Association provinciale des construc-teurs d’habitations du Québec (APCHQ)vous informe des tenants et aboutissants dece programme, lequel est instauré sur unebase temporaire.

Le crédit d'impôt Écorénov est destiné auxparticuliers qui font exécuter par un entre-preneur qualifié des travaux de rénovationécoresponsable pour leur résidence princi-pale ou leur chalet, en vertu d'une ententeconclue après le 7 octobre 2013 et avant le1er novembre 2014. D'un montant maxi-mal de 10 000 $ par habitation admissible,ce crédit d'impôt correspond à 20% de la

partie des dépenses admissibles supérieuresà 2 500 $ pour des travaux reconnus.

Pour avoir droit au crédit d'impôt, les tra-vaux que vous souhaitez réaliser doiventavoir un impact positif sur le plan énergé-tique ou environnemental, et les biens uti-lisés dans le cadre de ces travaux doiventrépondre à des normes reconnues. De fait,vous devez obtenir l’Attestation de confor-mité de biens à des normes écoresponsables,dûment remplie et signée par l’entrepre-neur responsable de votre projet.

travaux de rénovation écoresponsablereconnus:

- Travaux relatifs à l'enveloppe de l'habita-tion;

- Isolation du toit, des murs extérieurs, desfondations et des planchers exposés;

- Étanchéisation des fondations, de l'enve-loppe de l'habitation ou d'une partie decelle-ci (murs, portes, fenêtres, puits de lumière, etc.);

- Installation de portes ou de fenêtres (produits homologués ENERGY STAR);

- Travaux relatifs aux systèmes mécaniques de l'habitation (chauffage, climatisation, chauffe-eau, ventilation);

- Conservation et qualité de l'eau;- Qualité du sol (décontamination);- Autres (toits verts, panneaux solaires,

éoliennes domestiques).

Pour plus de détails, consultez le site de Reve-nu Québec au http://www.revenuquebec.ca(dans la « Salle de presse », sous l’onglet« Nouvelles fiscales », communiqué du14 novembre 2013 intitulé Crédit d’impôtÉcoRénov).

faites affaire avec un Réno-Maître!

Vous souhaitez trouver un entrepreneurqualifié pour effectuer vos travaux? Recher-chez un entrepreneur certifié par la ban-nière Réno-Maître de l’APCHQ, laquelle neregroupe que des entrepreneurs expéri-mentés, sérieux et compétents. Sélectionnésen fonction de leurs ressources financièreset administratives, de leur expérience et dela satisfaction de leur clientèle, les Réno-Maîtres s’engagent à respecter les règles cor-respondant aux meilleures pratiques enrénovation et à suivre un code d’éthiquerigoureux.

En faisant affaire avec un Réno-Maître,vous bénéficiez d’un plan de garantieoptionnel (la Garantie rénovation), d’unprogramme de financement sur mesure (leRéno-prêt) ainsi que d’un service de réfé-rence téléphonique et Internet. Pour trou-ver un Réno-Maître dans votre région,consultez le http://www.renomaitre.com oucommuniquez avec le Service de référenceau 514 353-9960 ou au 1 800 361-2037,poste 222.

Crédit d’impôt ÉCORÉNOV

Travaux de rénovation : tout le monde y gagne !

Portes et fenêtres Kompact est une entreprise familialespécialisé dans la vente et l’installation de produits defenestration, portes et revêtements extérieurs.En partenariat avec notre fabricant LAFLAMME PORTES ETFENÊTRES, notre mission est de vendre des produits de hautequalité, certifiés « Énergie Star ».Nous desservons toutes les régions de la Rive-Sud ainsi quel’îlde de Montréal et le West Island.Investir dans un produit Laflamme, c’est s’offrir près de60 ans d’excellence!

450 465-0748 www.fenetreskompact.com

w w w. j o u r n a l e d i t i o n . c o m

Page 8: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 20148

RESSOURCES HUMAINES

Quel que soit le poste à combler au seind’une entreprise, le recrutement d’unnouvel employé peut s’avérer être unvéritable parcours du combattant. Eneffet, les gestionnaires investissent beau-coup de temps et de moyens dans leprocessus d’embauche, mais, souvent, lerésultat final n’est pas à la hauteur deleurs attentes, voire décevant.

Alors comment faire le meilleur choixsans risquer de passer à côté de la perlerare?

Un bon cv ne suffit pas . . .

L’actif humain avant le cv ! Et oui, un boncv ne suffit pas, le parfait candidat doitêtre avant tout une personne à même de

s’intégrer à vos équipes de travail pourpouvoir performer. La première deschoses à rechercher lorsque vous voulezrecruter un excellent employé est uncandidat dont la personnalité correspondà votre culture d’entreprise et posez-vouscette question : le candidat partage-t-illes valeurs de l’entreprise et sera-t-ilcapable de collaborer efficacement avecson équipe?

Les compétences professionnelles et lesdiplômes affichés sur le papier, bien quenécessaires, ne garantissent pas le succèset beaucoup de recruteurs l’ont d’ores etdéjà compris. Si un candidat affiche unebelle personnalité et est motivé par sonposte, il sera facile de combler certainesde ses lacunes professionnelles par le

biais de l’apprentissage à l’interne ou deformations ; l’inverse est souvent im-possible puisque vous ne pourrez paschanger les traits de caractère de cettepersonne.

Après avoir validé les connaissances descandidats, n’hésitez donc pas à tester leurpersonnalité au moment de l’entretiend’embauche en les questionnant, parexemple, sur ce qui les a motivé à poserleur candidature, sur l’image qu’ils se fontde votre entreprise… etc. Si certains devos employés ont eu l’occasion de discu-ter avec ce candidat, demandez leuravis, uniquement à titre informatif.

Miser sur l’humain fera toute la différenceentre un bon et un mauvais recrutement!

N’hésitez pas à nous faire part de votreopinion, car c’est ensemble que nouscontribuons à la vitalité économique detout le Québec.

Montréal (514) 842-4691St-Léonard (514 253-4444Pointe-Claire (514) 697-4240St-Laurent (514) 744-8400

www.hunt.ca1.866.688.4868

Voir autrement!!!

Page 9: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014 9

l’ouest-de-l’Île de Montréal,mieux connu sous le nom deWest-Island, constitue un pôleéconomique unique qui favorisel’innovation et la croissance.Doté d’une diversité culturelleet industrielle enviable, il sedémarque par un environnementmoderne et technologiquementavancé ayant des avantages stra-tégiques uniques pour les entre-prises orientées vers l’interna-tional.

La région attire les investissementslocaux et internationaux et de mul-tiples organisations y sont établiesen raison de sa situation géographi-que avantageuse, de ses infrastruc-tures de qualité, du dynamisme de sapopulation, de son climat d'affairesfavorable, de ses innombrablesressources et de sa qualité de vieunique.

Le West-Island, privilégié par sarichesse et sa diversité, se composede huit villes et de deux arrondisse-ments : Baie D’Urfé, Beaconsfield,Dollard-des-Ormeaux, Dorval,Kirkland, Pointe-Claire, Sainte-Anne-de-Bellevue, Senneville, ainsique les arrondissements de l’Île-Bizard–Sainte-Geneviève et de Pier-refonds-Roxboro.

L’une des clés de la réussite du West-Island réside sans doute dans ladiversification de ses activités éco-nomiques. La région constitue unedestination de choix pour les projetsd’investissement car elle répond auxcritères fondamentaux liés à l’im-plantation ou à la relocalisation desPME et des multinationales. Lemilieu des affaires y est florissant et

ce dans divers secteurs clés telsl’aérospatiale, les sciences de la vie,les technologies de l’information etdes télécommunications, la trans-formation alimentaire, les techno-logies propres, la recherche et ledéveloppement de même que lalogistique avancée.

Des industries innovantes au sein de créneaux porteurs

l’aérospatiale

L’aéroport international Montréal-Trudeau est le noyau dynamique de

l'industrie aéronautique à Dorval,véritable plaque tournante qui faci-lite les affaires et les échanges, qu’ils’agisse du domaine du transport oudes technologies de l’aéronautique.

les sciences de la vie

La présence de nombreuses sociétésde renommée mondiale solidementimplantées dans le West-Island offre

des possibilités d’épanouissementpour les nouvelles entreprises de cesecteur, notamment des possibilitésde collaboration interentreprises.

les technologies de l’informa-tion et des télécommunications

Les technologies de l'information etdes télécommunications sont dyna-miques dans le West-Island. Les TICforment un réseau en pleine crois-sance et mettent en scène des entre-prises innovantes de toutes tailles.L'industrie des TIC comprendnotamment : l'animation numé-rique, le divertissement interactif,l’outsourcing, Internet, les télécom-munications, l’édition de logiciels,les technologies de l’optique-photo-nique, la sécurité informatique, lesservices de traitement de données etles technologies de soins de santé.

la transformation alimentaire

Ce secteur doit sa vitalité principale-ment à l’abondance et à la qualité

des matières premières qu’offre leQuébec. Le West-Island offre auxmanufacturiers de produits alimen-taires plusieurs avantages, notam-ment une main-d’œuvre qualifiée,formée dans des écoles spécialiséesen agroalimentaire, de même quedes centres de recherche agroali-mentaire de renommée mondiale.

les technologies propres (cleantechs)

L’écosystème des technologies pro-pres comprend producteurs, utili-sateurs et chercheurs de plusieurssecteurs économiques qui tirentavantage de leurs solutions, incluant

les secteurs des mines, de la fabrica-tion, de la foresterie, de l’énergie, del’agriculture, de la pétrochimie, de laconstruction et des transports ainsique des services municipaux. Cecréneau porteur est en pleine expan-sion dans le West-Island.

WestIsland.ca - des affaires de classe mondiale

Photo : courtoisie de Michael Dugas

Photo : courtoisie de Michael Dugas / Shluter Systems, certifié LEEDS

« L’Ouest-de-l’Île possède un remarquable bassinde main-d’œuvre compétente. Les initiativesd’enseignement et les programmes novateursassurent une qualité de diplômés qui s’amélioreannée après année. Nous avons en deux ansembauché plus de 200 personnes et nous comp-tons présentement 650 employés dans nos instal-lations de Sainte-Anne-de-Bellevue. » - MarcDonato, vice-président et directeur général,MacDonald Dettwiler And Associates SatelliteSystems (MDA).

Photo : courtoisie de Michael Dugas

« Nous avons récemment retenu Dorval comme emplacement denotre nouveau site industriel étant donné son accessibilité tant pournotre personnel que pour nos clients et fournisseurs. Pharmasciencea un engagement de longue date qui veut que ses produits de premiè-re qualité soient disponibles aux consommateurs du monde entier. »- Pierre Sabourin, directeur, Distribution et Service à la clientèle,Pharmascience.

Page 10: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

10 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

la recherche et le développement

Pour développer et maintenir leurcompétitivité, les entreprises doi-vent investir de manière soutenuedans la recherche scientifique et ledéveloppement expérimental.Étant donné le nombre élevé dediplômés universitaires au sein desa population, le West-Island est enexcellente position à ce chapitre,offrant à ses entreprises un bassinde travailleurs incomparable dansle secteur des services profession-nels, scientifiques et techniques.

la logistique avancée

L'emplacement stratégique duWest-Island en ce qui a trait auxprincipaux moyens de transport estparticulièrement adapté à la crois-sance de ce secteur. Cette activitééconomique est intense, en particu-lier dans le transport aérien et le

transport routier.

les avantages concur-rentiels de la régionLes entreprises qui ont choisi des’établir dans le West-Island ontopté pour ses nombreux avantagesconcurrentiels, notamment laproximité de multiples filiales d'en-treprises étrangères ou de multina-tionales, l’accès aux biens et ser-vices, la qualité supérieure desbâtiments et des infrastructures ouencore la variété et la proximité desmodes de transport. Ces derniersfacilitent la circulation des biens etdes services destinés aux clients etfournisseurs, les nombreux réseauxétant reliés stratégiquement auxgrands centres économiques del'Amérique du Nord. L'AéroportMontréal-Trudeau, situé à même lecœur névralgique du West-Island,

offre une mobilité sans pareil aupersonnel stratégique des entre-prises exportatrices.

les récents investissements

Le West-Island offre des emplace-ments de choix pour l'implantation

ou l'expansion des entre-prises, incluant des locauxindustriels, des espaces àbureaux et des terrains pro-pices au développement.Les promoteurs immobi-liers offrent un large éven-tail d’approches pour laconstruction de nouveauxbâtiments – incluant desprojets sur mesure de typeclé en main – pour fin devente ou de location. Ces

entreprises, à titre d'exemples, ontrécemment investi dans la région :

cogeco cAble, une société detélécommunications et le 11e plus

important câblodistributeur enAmérique du Nord en ce qui a traità ses réseaux hybrides de fibre etcâble coaxial, a investi 100 millionsde dollars dans un centre de don-nées d'une superficie de 100 000pieds carrés à Kirkland.

gIeSecke & DeVRIeNt, firmeallemande qui célèbre le 50e anni-versaire d'introduction sur le mar-ché d'un modèle révolutionnaire desolutions sécurisées de paiement etd'identification, a récemmentinvesti 2 millions de dollars dans sesnouvelles installations de Dorval,créant ainsi 33 emplois.

NeMko, Les entreprises du mondeentier font confiance à Nemko pourévaluer la conformité de leurs pro-duits, systèmes, installations et per-sonnel, selon les normes et règle-ments en v igueur dans l eurindustrie. Les services de Nemkoincluent les analyses de pré-confor-mité, les homologations internatio-nales, la certification de produits et

systèmes ainsi que les tests sur lesproduits. La société a investi plus de10 millions de dollars dans ses nou-velles installations de Pointe-Clairequi comprennent une chambred'isolation de fréquence radio à lafine pointe de la technologie.

PhARMAScIeNce est l'une desdix plus grandes compagnies phar-maceutiques canadiennes, et sadivision de médicament génériqueen fait le troisième plus grandfabricant au Canada. Afin de cen-traliser la livraison à sa clientèle, lasociété a inauguré à Dorval sonnouveau centre de distribution à lafine pointe de la technologie, d'unesuperficie de 155 000 pieds carrés.Le nouveau centre a généré uninvestissement de 8 millions dedollars et la création de 40 emplois.

ShoeI cheMIcAl du Japon, ainvesti 4 millions de dollars dansun établissement de 45 000 piedscarrés et a créé 10 emplois chezCanadian Electronic Powder Cor-poration, sa filiale de Baie-d'Urfé.CEPC se spécialise dans la fabrica-tion de poudre de nickel destinéeà la fabrication de composantesutilisées dans les téléphones cellu-laires, les lecteurs MP3, les télévi-seurs à écran plasma et les mini-ordinateurs.

WeSco a récemment consolidé àPointe-Claire, deux de ses centresde distribution dans un bâtimentde 125 000 pieds carrés construitsur mesure. Les installations louéesont été érigées par un promoteurau coût de 7 millions de dollars et lasociété elle-même a investi plusd'un million de dollars en équipe-ments, favorisant ainsi la créationou le maintien de 110 emplois.

Quartier Évolution : Situé directe-ment sur l'autoroute Transcanadien-ne, l’édifice à bureaux construit sur unterrain de près de deux millions depieds carrés représente, pour les entre-prises désireuses d’être situées au cœurde la communauté d'affaires, une for-midable occasion de s’établir dans unbâtiment remarquable.

Photo : courtoisie de Broccollini

Photo : courtoisie de ADM

Photo : iStock Photos

transport routier.

Page 11: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014 11

Partenaire de votreréussite

Depuis 1983, de nombreuses orga-nisations des divers secteurs indus-triels ont bénéficié de l'aide et dusoutien de Développement éco-nomique West-Island-CLD, uneéquipe d’experts passionnés, dyna-miques et dévoués. L’organisations'impose comme porte d'entréed'un vaste réseau de partenairesoffrant ressources techniques etfinancières aux entreprises diver-sifiées du West-Island. Grâce àl'approche pratique de ses con-seillers et commissaires industriels,Développement économique West-Island-CLD mène à bien son man-dat visant à fournir un soutien accruaux propriétaires d'entreprises etaux décideurs. Les outils, pro-grammes et ressources offerts peu-vent faire une différence cruciale àtous les stades de développementd’une entreprise, du pré-démarraged’une PME à l’internationalisationdes entreprises déjà établies.

C'est avec beaucoup de fierté queDéveloppement économique West-Island-CLD accueillait en novem-bre dernier amis, clients et parte-naires pour célébrer 30 ans dedéveloppement économique surson territoire. Cette soirée fut l'oc-casion rêvée de souligner le succèsd'une organisation qui a évoluépendant trois décennies afin detoujours mieux aider et servir saclientèle, succès qui a été rendupossible grâce à la collaboration etau travail acharné des nombreuxgroupes et partenaires de Dévelop-pement économique West-Island-CLD qui font partie de sa commu-nauté d'affaires ou contribuent à sacroissance.

une formule gagnante

La devise de Développement éco-nomique West- Is land-CLD,« Informer - Soutenir – Investir »,traduit exactement la volonté del’équipe. Celle-ci accompagne demanière proactive les décideursdans la croissance et l'expansion deleurs entreprises grâce à un soutienspécialisé et adapté à leurs besoins.

Les entreprises du West-Island sontsoutenues par une gamme complè-

te de services publics et privés, quece soit en matière d'immobilier, demain-d'œuvre, de financement oude connaissance du marché. Avec saconnaissance approfondie des

divers services gouvernementaux,l’équipe de Développement éco-nomique West-Island-CLD offresoutien et conseils relatifs aux pro-grammes incitatifs disponibles etaux outils financiers. Elle travailleen partenariat avec certains orga-nismes tels que Investissement-Québec, le ministère des Financeset de l'Économie (MFEQ), le minis-tère de l'Agriculture, des Pêcheries

et de l'Alimentation du Québec(MAPAQ), Emploi-Québec, Expor-tation et Développement Canada(EDC) et Développement écono-mique Canada (DEC). Développe-ment économique West-Island-CLD travaille également en étroitecollaboration avec le Conseil na-tional de recherches du Canada(CNRC) et l'Association québé-coise pour la maîtrise de l'énergie(AQME) afin d’offrir aux entre-prises du West-Island un éventailcomplet de programmes perti-nents.

L’outil par excellence de la stratégiede développement de l'entrepre-neuriat de Développement éco-nomique West-Island-CLD est le

Fonds local d'investissement(FLI), un outil de financementflexible permettant l’octroi de prêtsallant jusqu'à 100 000 dollars pourles PME nouvelles ou existantes. Entant que partie intégrante de sonapproche, Développement écono-mique West-Island-CLD met enplace un processus d’accompagne-ment élargi de ses clients-entre-prises, en les aidant à structurer dèsle départ leurs projets d'entrepriseset leurs stratégies financières. Lesprofessionnels de Développementéconomique West-Island-CLD tra-vaillent en étroite collaborationavec les propriétaires et les diri-geants d’entreprises de manière à sefamiliariser avec leurs aptitudes,ressources et objectifs, et visent àbâtir avec ces derniers une relationà long terme fondée sur la confian-ce et l’échange d’informations d’ac-tualité.

Un autre outil clé de cette mêmestratégie est le Fonds Jeunes Pro-

moteurs qui vise à encourager lesjeunes âgés de 18 à 35 ans à démar-rer leur première ou seconde entre-prise. Ce programme fournit uneassistance technique pour la prépa-ration d'un plan d'affaires en plusd’une aide financière sous forme decontribution non remboursablequi peut atteindre 20 000 $ parprojet.

Autre programme largement dif-fusé, le PR@M – Industrie offreaux propriétaires d’immeubles nonrésidentiels la possibilité d’obtenirdurant cinq ans un remboursementde la taxe foncière générale reliée àl’augmentation de la valeur fonciè-re découlant de la construction, dela reconversion ou de l’agrandis-

sement d’un bâtiment industriel.Ce programme incitatif s’adresseaux propriétaires de bâtiments del'agglomération de Montréal.

Sur le plan de l'économie sociale,Développement économique West-Island-CLD ne ménage pas sesefforts avec son Fonds d'aide auxentreprises de l’économie sociale,apportant un soutien technique etfinancier aux entrepreneurs collec-tifs, actifs dans des secteurs aussivariés que l’alimentation, l’aidedomestique, le logement, l’éduca-tion, la santé mentale et la culture.

En complément, Développementéconomique West-Island-CLDoffre aussi régulièrement des sémi-naires et des ateliers sur une gammecomplète de sujets tels démarraged’entreprises, meilleures pratiquesd’affaires, plan d'affaires, finance-ment d'entreprises, études de mar-ché ou plan marketing. L'équipe deprofessionnels organise régulière-ment des événements de réseautagedont l’objectif est de réunir clients,entreprises, et partenaires gouver-nementaux intéressés à accélérerdes projets d’innovation, à établirde nouveaux partenariats et/ou àéchanger expertises, expériences etconnaissances.

De l'idée à l'entreprise

De nombreuses entreprises duWest-Island ont bénéficié du sou-tien de Développement écono-mique West-Island-CLD dans leurphase de démarrage. Beaucoupd'entre e l les reposent sur lesnouvelles technologies ou sur desconcepts révolutionnaires oud'avant-garde et Développementéconomique West-Island-CLD estparfaitement outillée pour aider lesentrepreneurs-innovateurs à trans-former leurs concepts révolution-naires en entreprises concrètes quis'épanouiront dans la communautéet rayonneront à l’International.Applications pour téléphones intel-ligents, édition de logiciels, sciencesde la vie, technologies propreset logistique avancée sont autantde secteurs d’activités que Dévelop-pement économique West-Island-CLD désire voir croître et prospé-rer.

« Nous croyons en une approche intégrée des services, accompa-gnant nos clients-entreprises à chaque étape de leur développement…Nous ne sommes pas seulement un service d'aiguillage, loin delà. Nous soutenons et accompagnons les chefs d’entreprises de lacréation à l'expansion de même qu’au moment de la revente ou dutransfert. C'est une des raisons pour lesquelles notre taux de succèsest si élevé. Plus de 90% des startups dans lesquels nous investissonssurvivent parce que nous mettons tout notre cœur dans notre mis-sion et parce que nous nous sentons concernés par l’avenir de nosinterlocuteurs.». Nicolas Roy, directeur général et commissaire industriel, DEWI-CLD.

Page 12: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

12 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

Partenaire de votre réussite Chez Développement économique West-Island-CLD, nouscroyons que la qualité de l’accompagnement dont bénéficientles entrepreneurs fait toute la différence. C’est pourquoi nousavons déployé une approche misant sur des conseillers d’expé-rience qui détiennent tous une expertise en lien étroit avec letissu industriel et commercial du West-Island. Les entrepre-neurs peuvent ainsi trouver chez-nous des conseils pertinents àleur secteur d’activités et la validation de leur idée d’affairesdans un contexte propre au West-Island et à ses particularités.Ceci est particulièrement crucial pour l’entrepreneuriat techno-logique et les PME innovantes en général.

La vaste expertise des professionnels en développement éco-nomique de Développement économique West-Island-CLDcomprend :

- Sciences de la vie - Technologies de l'information et des communications- Production manufacturière - Marketing et vente - Immobilier commercial et industriel - Finances - Communications- Commerce de détail - Gestion générale.

Par une approche personnalisée et pratique de son équipe deconseillers et de commissaires industriels expérimentés, Déve-loppement Économique West-Island - CLD est fière d’appuyerles dirigeants d’entreprises et les décideurs en leur offrant l’accèsà des outils et des programmes ainsi qu’à un vaste réseau departenaires stratégiques.

iLoc Technologies : En plus d'octroyer un prêt de 100 000 $, Développement Économique

West-Island - CLD a soutenu le démarrage de cette entreprise technologique du plan

d'affaires jusqu'à l'orientation stratégique et l'expansion. (Dans l'ordre habituel)

Jean-Pierre Grenier, Conseiller Ville de Pointe-Claire, Brian Miller VP iLOC, Jean

Archambault Commissaire Industriel, Développement Économique West-Island - CLD,

Nicolas Roy, Directeur général et Commissaire industriel, Développement Écono-

mique West-Island - CLD, Tony Fama, Président iLOC, Yves Messier VP ILOC, Bill

McMurchie, ex-maire de la Ville de Pointe-Claire.

Corner-Cast inc. : Développement Économique West-Island - CLD a fourni un soutien continu au démarrage de

cette entreprise dynamique qui développe, fabrique et commercialise des unités modulaires hybrides pour les sites en

région éloignée. Développement Économique West-Island - CLD a consenti un prêt de 100 000 $ au projet ainsi

qu’une contribution non remboursable de 10 000 $ du programme Jeunes promoteurs à l'un de ses cofondateurs.

Corner-Cast inc. a remporté en 2012, le premier prix au Concours québécois en entrepreneuriat aux niveaux local,

régional et provincial dans la catégorie « Exploitation, transformation, production ». Dans l’ordre habituel, au pre-

mier rang : les cofondateurs de Corner Cast inc. : Eric Jorgens, Ben Lipowitz, Magnus Consiglio et René Bernaert;

au second rang, à gauche: Nicolas Roy, directeur général et commissaire industriel, Développement Économique

West-Island - CLD; à droite : Denis Coupal, commissaire industriel, développement des affaires, Développement

Économique West-Island - CLD.

Photo : courtoisie de Michael Dugas

Photo : courtoisie de Michael Dugas

Lobby Friend : Développement Économique West-Island - CLD a soutenu l'entreprise

depuis la conception jusqu'à la commercialisation d'une application novatrice de

réseau social pour l’industrie hôtelière. Développement Économique West-Island -

CLD a accordé à l'entreprise un prêt de 100 000 $ et à chaque cofondateur, Mohit

Kumar (à droite sur la photo) et Jason Ayoub, une contribution non remboursable du

programme Jeunes promoteurs d'une valeur de 10 000 $. Lobby Friend a remporté le

Concours québécois en entrepreneuriat 2013, aux niveaux local et régional, dans la

catégorie « Innovations technologique et technique ».Photo : courtoisie de Lobby Friend

Développement économique West-Island-CLD est fière de citer quelquesentreprises qui témoignent du succès des interventions de son équipe deprofessionnels :

Page 13: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

13LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

LES ALIMENTSSPECTRA FOODS19150, Cruickshank Ave.Baie d’Urfé, Québec H9X 3P1

Mike Zevgolis, MBA, CFAController / ContrôleurCell (514) 820-1453

Tél (514) 457-3030 · Fax (514) 457-5292 • 1-866-4-CANOLAwww.spectrafoods.com · [email protected]

englobant 2 arrondissements et 8 villes,l’ouest de l’Île de Montréal (West Island)est un véritable centre névralgiquepour la métropole. composé des villesde Dorval, Pointe-claire, kirkland, bea-consfield, baie d’urfé, Sainte-Anne-de-bellevue, Senneville et Dollard-des-ormeaux ainsi que des arrondissementsde l’Île-bizard Sainte-geniève et dePierrefonds-Roxboro, le secteur joue unrôle de poumon économique, principa-lement dans les domaines de l’aérospa-tiale, des technologies de l’informationet des télécommunications, des sciencesde la vie, des technologies propres et dela transformation alimentaire.

kirkland

Grâce à une situation géographique straté-gique le long de l’autoroute 40, possède unpotentiel de développement et d’avenirexceptionnel. La ville est représentée par75 % de secteur résidentiel pour 25 % desecteurs industriels et commerciaux. Elleaccueille environ 2000 entreprises de toutestailles. Si depuis quelques années, Kirklandsemble en sommeil, depuis la création de laville en 1961, le calme n’a pas toujours étéde circonstance. L’arrivée de l’autoroute 40a conduit à une explosion de la vie écono-mique du secteur grâce à la création d’es-paces industriels et commerciaux tout aulong de cette colonne vertébrale qui traversele territoire.

Dorval

Qu’on le veuille ou non, la ville de Dorvalest et restera toujours associée à l’aéroportinternational Trudeau qui représente sansnul doute l’un des points d’attraction lesplus importants du secteur. Cela étant, il aune également vocation commerciale trèsimportante.

L’association Rues Principales Dorval existedepuis 1996 et s’est donné pour but derevitaliser et de promouvoir le secteur com-mercial de Dorval. Pour aider à atteindre cebut, des activités annuelles sont organiséespar les comités bénévoles, dont la course deboîtes à savon, le concours d’halloween et lapromotion de Noël.Le commerce est donc à l’honneur et per-met d’offrir aux citoyens un vrai centre devie avec parmi les acteurs de cette opérationdes boutiques, des restaurants, des épiceries,des centres de santé et des services aux pro-fessionnels. Une opération qui ne manquepas de faire la fierté des citoyens et de leurinsuffler un sentiment identitaire fort.

Pointe-claire

Si Pointe-Claire ne fait pas souvent parlerd’elle, il n’empêche qu’elle joue un rôlemajeur pour nombre de ses voisins. N’est-elle pas celle qui fournit l’eau potable à unbassin de plus de 100 000 habitants desalentours ? Les projets résidentiels en cours

comptent près de 3 000 unités en projet ouen cours de construction.

Pointe-Claire ne joue certes pas un rôleprépondérant sur le plan économique àl’échelle de la métropole montréalaise, maisla ville a bien d’autres atouts dans son jeu.Préférant la qualité de vie offerte auxcitoyens plutôt que les résultats fracassants,elle a su, au fil des années, se trouver unevoie royale : celle des arts et des sports.

beaconsfield

Depuis plus de cent ans, Beaconsfield estsynonyme de qualité de vie. Parler deBeaconsfield, c’est surtout parler du VillageBeaurepaire, noyau historique au nomévocateur qui constitue un endroit où il faitbon s’attarder.La ville est reconnue pour son environne-ment exemplaire qui fait de son secteurun milieu recherché et presque poétique.Beaconsfield est différente de ses voisines en

ce sens que la ville n’a aucune entrepriseindustrielle sur son territoire. Il s’agitd’ailleurs d’un choix. En effet, l’aménage-ment urbain s’est orienté sur des ensemblesrésidentiels de grande qualité, complétéspar des secteurs à vocation commerciale.

baie d’urfé

Baie d’Urfé a su se développer de manièrepratique : un secteur industriel au nord del’A20 et un secteur résidentiel au sud, ce qui permet de préserver chacun des deuxsecteurs dans leur vocation initiale.Durant les dernières années, la ville a ététrès active en menant de nombreux travauxd’infrastructures incluant la réfection del’entrée du secteur industriel par le boule-vard Morgan. Ces travaux ont été terminéspour le 100ème anniversaire de la ville etpermettent de lui offrir des perspectivesd’avenir plutôt intéressantes.

Jean-Claude Bataille

West-Island : le tour du propriétaire

la bibliothèque de beaconsfield

la mairie de baie d’urfé

Page 14: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

14 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

la pointe ouest de l’Île de Montréalbénéficie d’une situation enviable surle plan environnemental. Proche dufleuve avec des accès directs, des ins-tallations vouées principalement autourisme et aux activités de plein air,ces trois arrondissements sont avanttout des lieux de villégiature.

La ville de Sainte-Anne-de-Bellevue est leparadis des plaisanciers avec son écluse etson canal. Le village de Senneville offre desparcs et des équipements sportifs de pre-mier ordre et Dollard-des-Ormeaux héber-ge de nombreux organismes communau-taires et jardins d’enfants ainsi que desbâtiments culturels pour répondre auxbesoins de toutes les tranches d’âges de sapopulation.

Île-bizard Sainte-geniève

L’arrondissement de l’Île-Bizard Sainte-Geneviève peut être considéré à juste titrecomme un secteur à part de la métropole.Bénéficiant d’un cadre exceptionnel, l’acti-vité économique y est moins intense quesur le reste de l’Île, mais le secteur est prisépour son côté vert.

Niché au sein d’un cadre environnementalprivilégié, l’arrondissement n’est toutefoispas qu’une simple cité dortoir. Il s’y dérouleune activité principalement de commercede proximité avec un vrai sens des valeurs et

une politique tournée vers la communauté.Il s’agit certes d’un arrondissement quin’offre pas de grandes activités industrielles,mais cela va dans le sens des valeurs de lacommunauté. L’environnement y est pri-mordial et il serait presque inconcevable devoir s’y installer de grandes entreprises.

Dans la plupart des projets qui sont menés,que ce soit dans le domaine de la créationd’entreprises ou de développement d’entre-prises, les instances en place font preuved’une rigueur de tous les instants pourpréserver ce qui est la perle verte de lamétropole.

Pierrefonds-Roxboro

Ce qui distingue Pierrefonds-Roxboro, c’estson potentiel en termes de développement

immobilier et commercial. Le projet Pierre-fonds Ouest en est le plus bel exemple. C’estsans doute un des plus importants del’arrondissement et de la Ville de Montréal,une hausse démographique est à prévoir aucours des prochaines années. D’une super-

ficie de plus de 360 hectares, le projetPierrefonds Ouest est situé à l’extrémitéouest de l’arrondissement, entre le boule-vard Gouin et la limite sud de Pierrefonds-Roxboro. Le projet prévoit le développe-ment d’un nouveau quartier durable avec laconstruction de près de 6 000 nouveauxlogements, un noyau commercial et la créa-tion d'un parc de conservation de plus de180 hectares. La pierre angulaire du projetest la conservation de l'écoterritoire et ducorridor écoforestier de la rivière à l'Orme.Il s’agit là d’un projet pharaonique estiméà 1.8 milliard de $ qui pourrait bien, s’il

est mené à son terme,relancer fortement ledéveloppement de l’ar-rondissement.

Un problème se posetoutefois, et pas desmoindres : celui destransports en commun.Il faudra se pencher surla question si l’on veutdévelopper de manièreintelligente la démogra-phie de la métropole etprincipalement celle

des arrondissements un peu excentréscomme celui de Pierrefonds-Roxboro. Ilexiste bien des lignes de bus mais si ladémographie augmente, des solutionsseront à trouver.

Jean-Claude Bataille

Sainte-Anne-de-Bellevue – Senneville - Dollard-des-Ormeaux

LE PLUS GRAND CHOIX DE VÉHICULES À MONTRÉALLOCATION DE VÉHICULES À COURT TERME

Ste-Anne-de-bellevue : le paradis des plaisanciers

Pierrefonds-Roxboro connaît un développementdémographique important

Page 15: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

Comme nous l’avons vu dans lesautres articles : décembre 2013, janvier,février 2014, il y a plusieurs niveaux deréseautage : Courtoisie, échange,entraide, coopération et collégialité.Ces niveaux de réseautage mettentnotamment en place des structuresou des mécanismes pour favoriser lesdiscussions entre les dirigeants etemployés d’entreprises différentes.

Pour susciter de l’intérêt, il est impor-tant de faire comprendre aux diri-geants d’entreprises qu’avec la mon-dialisation des marchés, leurs concur-rents ne sont pas uniquement desorganisations du même parc industrielou de la même région qu’eux. Leursconcurrents se trouvent aussi dansd’autres pays avec des situations éco-nomiques et politiques différentes.Dans ce contexte, la collaborationentre entreprises peut aider à la réus-site collective.

Le réseautage facilite la mise en com-mun afin d’obtenir les points de vuede plusieurs personnes pour prendreles bonnes décisions et apporter dessolutions. Il favorise l’accroissementde liens entre les dirigeants afin de lesencourager à faire des affaires entreeux. Il permet d’effectuer des tâchescomplexes et d’être plus confiants faceà l’incertitude. Il encourage à « réunirles connaissances, les compétences,l’expérience et les points de vue deplusieurs personnes, pour prendre debonnes décisions et apporter des solu-tions »1. Les activités de réseautagesont des outils qui permettent demesurer, de comparer, de jumeler,d’échanger, de partager et de mettreen commun diverses expertises.

Le réseautage enrichit les liens de com-plémentarité entre les entreprises. Cesliens de complémentarité permettentde réduire les échéances, de minimiser

les erreurs, d’accroître le rythme destransactions et même de concevoir denouveaux produits. Ces liens interen-treprises améliorent leur potentiel etleur succès, les incitent à la sous-trai-tance, les stimulent, les soutiennentdans leur innovation et les renforcentdans leur croissance.

Le réseautage fait émerger des com-pétences collectives, motive les em-ployés et dynamise les organisations.Il peut faire évoluer une organisationde l’interne vers l’externe.

IRC offre des réseaux de réseautage deformation regroupant des organisa-tions ayant les mêmes types de défisafin qu’elles s’entraident et partagentleurs expertises respectives pour maxi-miser leurs chances d’améliorer leurproductivité.

15LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

RÉSEAUTAGE

MARTIN CLARK

Pour en savoir plus : IRC \ Institut duréseautage de compétences :Martin Clark (514) 831-8432

Une activité de réseautage peut-elle améliorer la performance de votre organisation ?

1 Scholtes P, Joiner B, Streibel B, et Lalanne J. Réussir en équipe : Manuel du membre de l’équipe, Éditeur actualisation 4e trimestre 2002.

Chimie ParaChem s.e.c.

3,500 avenue Broadway

Montréal-Est, Qc

H1B 5B4

Chimie ParaChem s.e.c., à titre de producteur de paraxylène, est unmaillon important de la chaîne du polyester dans l’est de Montréal.

Jalbec [email protected], rue HochelagaMontréal, Québec H1N 3L7514-257-0368

• Bâtisse d’une superficie de plus de 700 000 pi2• Multi-locataires• Locaux allant de 1000 pi2 à 100 000 pi2• Espaces commerciaux, industriels et à bureaux• Multiples stationnements disponibles• Située au coin des rues Hochelaga & Dickson,

à quelques pas du l’AssomptionL’endroit où l’on se sent chez soi !

Page 16: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

A

ACOUSTIQUES CONSULTANTSDécibel Consultants/Genivar Inc./WSP514 630-4855Gilles Leroux, Directeur

ALIMENTATIONFabrique de pâtes Sacchetto514 274-4443Giancarlo Sacchetto, Président

ARRONDISSEMENTSArrondissement Anjou514 493-8014Andrée Duquette, Directrice arrondissement

Arrondissement de Saint-Léonard514 328-8500, poste 8420Gilles Rainville, Directeur

ASSOCIATIONSAssociation des industrielsd’Anjou514 356-3421Jacques Laflèche, Président

Association Industrielle de l’Est de Montréal514 645-2258, poste 23Dimitri Tsingakis, Directeur général

Plaza St-Hubert514 276-8501Mike Parente, Directeur général

SDC Promenades Hochelaga-Maisonneuve514 522-6581Donald Guy, Directeur général

SDC Promenade Masson514 525-4386Doris Laflamme, Directrice générale

SDC Vieux Montréal514 732-8685Mario Lafrance, Directeur général

ASSURANCESGroupe SCR514 376-8191, poste 232Serge Déry, Vice-président assurance des entreprises

AUTOMOBILESVENTE & SERVICELallier Honda450 581-7575Yvon Dumoulin, Directeur général

AVOCATSBlanchard Avocats Inc.514 789-1387Me Normand Blanchard, Avocat

B

BUREAUTIQUEToshiba Solutions d’affaires514 527-2381Michel Caron, Président

C

CENTRE COLLÉGIAL DETRANSFERT TECHNOLOGIQUEEN OPTIQUE-PHOTONIQUEOptech514 364-3325Denis Lafrance, Directeur

CENTRE DE BEAUTÉCentre de Beauté DonaldProulx514 255-0535Donald Proulx, Président

CHAMBRES DE COMMERCEChambre de commerce de l’Est de Montréal514 354-5378Isabelle Foisy, Directrice générale

Chambre de commerce et d’industrie de Montréal-Nord514 329-4453Palmina Panichella, Directrice générale

CLUB D’AFFAIRES PRIVÉClub St-James514 866-7474Andrée Vincent, Directrice générale

COMPTABLESGeoffroy Lacasse, C.A.514 351-8111Jacques Geoffroy, Comptable agréé

Savaria BoisvertExperts-comptables514 355-5987Josée Boisvert, Présidente

D

DÉMARRAGE D’ENTREPRISESAJE Montréal centre d’excellenceentrepreneuriale514 485-3311Daniel Rigaud, Directeur général

SAJE Montréal métro514 861-SAJE (7253)Michel Fortin, Directeur général

DÉPUTÉS PROVINCIAUXAnjou-Louis-Riel514 493-9630Lise Thériault, Députée

Bourget514 251-8126Maka Kotto, Député

Hochelaga Maisonneuve514 873-9309Carole Poirier, Députée

Pointe-aux-Trembles514 640-9085Nicole Léger, Députée

DÉVELOPPEMENTÉCONOMIQUE

CLD Anjou514 493-5113Gilles Laplante, Directeur général

CLD Montréal Nord514 353-7171Jean Touchette, Directeur général

Conférence régionale des élus de Montréal514 842-2400Marie-Claire Dumas, Directrice générale

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUECOMMUNAUTAIRECDEST Corporation de développement de l’Est514 256-6825, poste 222Didier Fleury, Directeur général

CDEC Rosemont Petite-Patrie514 723-0030Jean François Lalonde, Directeur général

DISTRIBUTEUR ÉLECTRIQUEET ÉLECTRONIQUEDubo Électrique514 255-7711Sylvie Boileau, Présidente-directrice générale

DIVERTISSEMENTLoto-Québec514 499-5004Simon Patenaude, Vice-président corporatif aux com-munications et aux affairespubliques

E

ÉLÉMENTS CHAUFFANTSVolton Ltée514 322-2331Jacques Mater, Président

EMPLOIPitrem / Carrefour JeunesseEmploi Mercier514 356-3226Danielle Lacombe, Directrice

ENTREPOSAGE - SYSTÈMELes Système d’Espaces Max514 352-7489Jacques Laflèche, Président

ENVIRONNEMENTBiogénie S.R.D.C. inc.450 961-3535Réhabilitation de terrains contaminésTraitement de sol contaminé

EBI Montréal514 645-5200Maxim Sylvestre, Directeur général

SanimaxServices de l’environnement514 648-3000Marc Gervais, Directeur des opérations

ÉTABLISSEMENT DE SANTÉHôpital Louis-H. Lafontaine514 251-4000Jean Lepage, Conseiller aux communications etaux relations avec la communauté

Hôpital Louis-H. Lafontaine514 251-4000André Lemieux, Directeur général

FORMATIONCégep Marie-Victorin514 325-0150Nicole Rouillier, Directrice

FORMATION CONTINUE ETSERVICES AUX ENTREPRISESCégep Marie-Victorin514 325-0150, poste 2723Josée Deschênes, Directrice de la formation continueet des services aux entreprises

FORMATION EN TRANSPORTTechni-Data École du routier pro-fessionnel du Québec 1996 inc.514 640-1666Marc Lamontagne, Conseiller enplanification de carrières

G

GESTIONNAIRE PROPRIÉTAIREET DÉVELOPPEMENT IMMOBILERJean D’Arc Nova Scotia Company514 845-5261Georges Coulombe, Président

H

HABITATIONShapem514 522-3190Jean-Pierre Racette, Directeur général

I

IMPRIMERIESImprimerie RDI-Sauvé514 522-8100Isabelle Dufault, Co-propriétaire

INSTITUTIONS FINANCIÈRESBanque Nationale, Groupe financier514 955-7282Patrick Turmel, M.B.A.Directeur principal, services auxentreprises, Est de Montréal

Caisse populaire Desjardins d’Anjou514 493-1281 poste 325Daniel Hébert, Directeur général

Caisse Populaire Desjardins de Pointe-aux-Trembles514 640-5200Alain Bastarache, Directeur général

Caisse populaire St-Donat de Montréal514 259-6931Charles Quirion, Directeur général

Caisse Desjardins Rivière-des-Prairies514 648-5800André Paul Turcot, Directeur général

Centre financier aux entre-prises de l’Ouest de Montréal 514 748-2999, poste 3197Josée Larocque, Directrice principale développement des affaires

Desjardins EntreprisesEst de Montréal514 522-3362Guy Nadeau, Directeur général

Fédération des Caisses Desjardins du Québec514 926-3106Jacques Baril, Président du conseildes représentants de l’Est de Mtl

RBC Banque Royale514 493-5850Louise Rousseau, Vice-présidente,services financiers commerciaux,région Est de Montréal

L

LEVURELallemand inc.514 522-2133Michel Dion, Vice-président

LOCATION COMMERCIALEET INDUSTRIELLE

Jalbec inc.514 257-0368Jacques Dupras, Directeur

LOCATION D’AUTOS & CAMIONSLocation Legaré514 522-6466, poste 2235Nathalie Legaré, Vice-présidente

LOISIRS - MUSÉESMuséums Nature de Montréal514 872-1450Charles-Mathieu Brunelle,Directeur général

LOISIRS-RÉCRÉO-TOURISME

Parc olympique514 252-4141Marieke Tremblay, Vice-présidente

M

MÉTALLURGIENexans Canada inc.514 645-2301Carlos Sanchez, V-P dir. général

N

NOTAIRESPME Inter-Notaire514 493-4040Jean-Luc Roy, Notaire en droit desaff., des personnes et de l’immobilier

Prud’homme, Fontaine, DolanS.E.N.C.R.L.514 252-8828David Dolan, Notaire en droit commercial

O

OUTILLAGE INDUSTRIELOutillage industriel de l’Est inc.514 645-5331Kirk Weinmaster, Directeur général

P

PEINTURE / JET DE SABLEVersailles 48 inc.514 645-2216Daniel Crousset, Président

PNEU ET MÉCANIQUEAlex pneu et mécanique514 254-6006Mario Bédard, Propriétaire

PRODUITS HYGIÉNIQUES/SANITAIRESEmballage Maska Inc.1-800 667-7037Lise Laliberté, Présidente

R

RAFFINERIEProduits Suncor Énergie, S.E.N.C.514 640-8217Jean Côté, Vice-président, raffinerie de Mtl

S

SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL

CSSS de la Pointe-de-l’Île514 642-4050, poste 208Luc Ouellet, Coordonnateur du programme santé au travail

SERVICES DE PLACEMENT

Service d’aide à l’Emploi de l’Est514 351-5703Sylvie Vallières, Directrice adjointe

T

THERMOGRAPHIE-INFRAROUGE-INSPECTIONTremcour neutrotest Inc.514 522-7757 / 450 677-634115 ans d’expertise en thermographie

TRAITEMENT DE SOL

Solutions Eau Air Sol514 644-1405Denis Niquette, Coordonnation

TRANSPORTAdministration portuaire deMontréal514 283-7050 Sylvie Vachon, Présidente directrice générale

V

VÊTEMENTS ADAPTÉS

Les boutiques Chic Chez vous1-888-923-9366Lyne Valade, Représentante des ventes

• tapisserie• Peinture au fusil

• restauration après sinistre

les entreprisesrené lafrenière

Peinturerésidentielle • CommerCiale

et industrielle

Entrepreneur peintre

Plus de 35 années

d’expérience !

Téléphone : 514 351-3350TéléCopIeUR : 514 354-5737

RÉPERTOIRE DES ENTREPRISES

16 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

Page 17: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

17LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

Louis Martin CPA, CA514 637-7887

1100, rue Notre-Dame, Lachine, Qc H8S 2C4Télécopieur : (514) [email protected]

États financiersConseils en gestionPlanification fiscaleServices comptables informatisésService de paie avec dépôt directImpôts des particuliers et successionsServices aux entreprises

ORGANISATION DE RALLYE

Rallye pédestre à partir de 400$Rallye automobile à partir de 500$

Les taxes sont incluses

Visitez notre site web auwww.animajoie.compour la liste de nos circuits

Contactez-nous au 514 803-2013de 11h à 20h

RÉNOVATIONS DE TOUS GENRES

RÉNOVATION DEROME ET FILSCÉRAMIQUE, PLANCHERS DE BOIS FRANC ET FLOTTANT

RONALD Cell.: 514 [email protected]

· Armoires de cuisine· Salle de bain· Patio et revêtement extérieurEstimation gratuite

WWW.NOTAIRELEDUC.COM

COMMUNICATION

Lorsqu’elles doivent s’adresser à des gens lors d’uneactivité professionnelle, plusieurs personnes désirentune seule et même chose : avoir le contrôle sur elles-mêmes, mais aussi sur le public qui leur fait face. Ellessouhaitent pouvoir non seulement maîtriser leur voix,leur débit, leur gestuelle, leurs émotions, leur peur,mais en plus obtenir une opinion admirative des gensà qui elles s’adressent. Est-ce souhaitable d’atteindrece niveau de contrôle et que veut-on vraimentatteindre comme objectif lorsqu’on se met de telsidéaux?

En fait, il y a des moments où le contrôle est sou-haitable et d’autres où le lâcher-prise l’est davan-tage. C’est une question de timing et de croyances,ce qui fait toute la différence entre une présentationcorrecte versus une présentation inspirante. Timingparce qu’il y a un moment où l’on doit se préparersérieusement, consciencieusement avec rigueur(notamment avant la présentation) et un momentoù l’on doit lâcher prise sur notre performance.Croyances parce qu’on a l’impression qu'en ayantl’air en parfait contrôle de la situation, on paraît pluscompétent et en confiance.

Il importe de bien comprendre les différences entrele contrôle et le lâcher-prise si l'on veut pouvoir tirerle meilleur de soi-même dans une présentation etobtenir l’appréciation désirée.

Êtes-vous atteint de la maladie du contrôle?

Des moyens simples et très révélateurs permettentde savoir si vous êtes une personne cherchant lecontrôle. En voici les principaux signes :- Fatigue mentale importante après une présen-

tation;

- Manque d’expression, de spontanéité; - Panique à l’omission d’un petit détail;- Peu d’interactions avec le public.

Pourquoi cherche-t-on le contrôle?

C’est en fait un mécanisme de défense, car on a ainsil’impression d’agir plutôt que de subir, ce qui est trèsrassurant en soi. Ce mécanisme de défense s’en-clenche lorsqu’on a peur du jugement des autres etlorsqu’on est envahi d’émotions trop fortes, parfoisinvalidantes. Et, parce qu’on vit dans une sociétéqui donne beaucoup d’importance au paraître, oncherche à répondre favorablement aux attentes desautres, car on admire les gens qui ont le contrôle,signe de prospérité, de réussite. Les gens qui veulentdonner une image positive d’eux ont toujours uneapparence soignée, un poids mesuré au grammeprès, une voiture propre en dehors comme en de-dans, une pelouse parfaite, exempte de mauvaisesherbes, signes indéniables de réussite sociale.

Lorsqu’on désire plus que tout contrôler notre envi-ronnement durant une présentation, c’est souventparce qu’on croit à tort ne pas avoir suffisammentde valeur pour susciter l’intérêt de l’auditoire.

Cela dit, il y a des moments où l’impression decontrôle comporte ses avantages. D’une part, il nousdonne un sentiment de confiance et diminue le stressavant une présentation, voire dans notre vie auquotidien. D'autre part, l’assurance qu’il nousconfère nous pousse à agir, à aller de l’avant.

Mais que peut-on véritablement contrôler? Lapréparation de notre présentation : la recherche, larédaction, le matériel nécessaire (projecteur, docu-

ments, etc.), la réservation de la salle de même quela disposition des lieux. Toutefois, malgré tous lesefforts fournis et la meilleure volonté du monde, deuxchoses ne pourront jamais être contrôlées : les autreset les aléas de la vie. Concentrez-vous sur leséléments où vous pouvez faire une différence, lereste... acceptez-le.

L’objectif à atteindre

Ce qu’il faut atteindre, c’est le lâcher-prise, sans quoion risque de se causer un stress non nécessaire etde s’épuiser inutilement. Lorsque vous prenez laroute, vous maîtrisez parfaitement l’art de la conduiteautomobile, vous vous rappelez les règles de sécuritéroutière et vous avez déterminé l’heure à laquellevous devez quitter, le trajet que vous allez emprunter;vous avez pensé à mettre de l’essence dans votrevéhicule et vous partez confiant. Or, si en route, vousêtes pris dans une circulation causée par un accidentet que vous devez changer votre trajectoire ou siencore le verglas vous force à avancer à faiblevitesse, vous vous adaptez à la situation.

Lors d'une présentation, c’est la même chose. Il vousfaut apprendre à composer avec ce qui se passeautour, tout simplement. Et surtout, faire confiance.Vous vous êtes bien préparé et vous offrez le meilleurde vous-même. Le reste ne vous appartient plus, tantla réponse du public que les imprévus. Restez dansle moment présent et acceptez d’être ce que vousêtes et vous offrirez la meilleure performance devotre vie. Laissez-vous surprendre par la spontanéitédu moment et vous ne pourrez qu’en garder un heu-reux souvenir teinté de plaisir et de satisfaction dudevoir accompli.

ANNIE BIENVENUE

ANNIE BIENVENUECoach d’affaires, formatrice et conférencière en communicationwww.jeanpierrelauzier.comannie@jeanpierrelauzier.com450 444-3879

Annie aide les exécutifs, les directeurs, les consultants, les vendeurs, bref toutes les personnes qui désirent prendre la parolede façon plus percutante, à diminuer leurstress, développer leur charisme et ultime-ment s'amuser en face de leur audience.

Désirez-vous être en parfait contrôle lors de vos présentations?

Page 18: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

18 LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

455, avenue MarienMontréal, QuébecH1B 4V7

Résidentiel - CommercialLivraison - Aménagement

514 852-4445

• Entreposez vos pneus chez Alex• Offrez à votre auto l’entretien saisonnier

514 254-60066000, rue Sherbrooke Est, Montréalwww.pneubedard.ca métro Cadillac

• Fabrication et réparation de prothèses dentaires• Rebasage, regarnisage• Protecteur buccal (sport contact)Urgence et rendez-vous

6632, de Marseille(514) 259-2694

3880, Ontario Est(514) 527-4602

AUDIT D’ACTIFS

Nous rencontrons des gestionnaires immobi-liers tous les jours et il est assez fascinantde découvrir les divers styles de gestion puisde constater les écarts dans la vision et laperception du rôle d’un bon gestionnaireimmobilier.

Nous sommes obligés d’admettre que beau-coup de personnes occupent des postes degestionnaires immobiliers sans pour autantavoir l’ensemble des compétences requisespour couvrir toutes les facettes du rôle.Ce sont des personnes très efficaces danscertains volets et très faibles dans d’autres.Malheureusement, ces personnes hésitentsouvent à s’entourer de ressources compé-tences pour compenser leurs carences engestion.

Deuxièmement, pour des raisons budgétairesou monétaires, les gestionnaires s’embar-quent inconsciemment, et non sans risques,dans une approche de gestion dite curative ;genre de raisonnement «…si ça pète, onréparera». C'est exactement la trappe qu’ilfaut éviter, car à partir de ce moment, legestionnaire n’agit plus, il réagit et cela leplace toujours dans une situation de rattra-page alors qu’il a été embauché pour être enanticipation.

Troisièmement, ce qui estencore plus éton-nant c’est qu’une portion importante selance chaque année dans un exercice deplanification sans avoir des données ouinformations à jour sur l’état des actifs et dubâtiment en général. Cela s’appelle planifier« au pif » avec son instinct et sa mémoireinstantanée. La qualité de l’exercice et lacrédibilité de la planification seront vraisem-blablement remises en cause lors de la miseen œuvre de cette planification, les erreurset omissions feront surface rapidement.

Plusieurs gestionnaires se font prendre à leurpropre jeu par des illusions d’économies. Fortde ces croyances et perceptions erronées, unesituation aux apparences trompeuses peutdevenir séduisante pour l’esprit de certainsgestionnaires. Vous conviendrez que beau-coup de gestionnaires immobiliers pensentréellement réaliser une économie nette enreportant des tâches d’entretien prévues, enévitant des déboursés pour des travaux cor-rectifs et préventifs ou encore en choisissantle fournisseur le moins cher sans vérifier sescompétences ni sa réputation. Vous savezcomme moi qu’il n’en résulte rien. Aucuneéconomie réelle!. Toutefois, ce qui n’est pasune illusion, c’est le recul net accumulé parce genre de décisions. Si la durée de vie des

actifs est compromise pour cause des ca-rences dans les entretiens, alors la valeurmarchande du bâtiment ne peut s’apprécieret elle est donc forcément réduite.

Réaliser des économies nettes par la pré-vention n’est pas un jeu de hasard ni unecirconstance, c’est la résultante d’un investis-sement préventif annuel dans la documen-tation et un programme d’entretien continud’un bâtiment, dont les finalités sont d’allon-ger la durée de vie des actifs, optimiser laconsommation d’énergie, assurer le confortdes occupants et générer une plus-valuepour le bâtiment.

Pour les gestionnaires qui gèrent leursimmeubles sans données techniques ni infor-mations à jour, vous êtes pour certains devéritables magiciens de l’immobilier et mar-chands d’illusions mais pour d’autres connais-seurs tout comme moi, vous êtes plutôt desanesthésistes de l’immobilier.

Rappelez-vous, savoir rapporte toujours gros.

Un gros merci à mon collègue René Deschênesde m’avoir aidé à écrire les textes.

BENOIT ALLAIRE

Benoit Allaire T.P.Technologue ProfessionnelAllb inc.

Cell.: 514 809-1552Bur.: 514 [email protected]

• Inventaire d’actifs• Audit• Carnet d’entretien• Durée de vie• Budgétisation • Stratégie +

Ces gestionnaires magiciens

Page 19: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

19LA NOUVELLE ÉDITION | Mars 2014

INFORMATIQUE

Vous arrive-t-il de trouver l’internet lent?Est-ce que cette problématique est constanteou momentanée? Est-ce qu’il vous est déjàarrivé de penser que vous ne deviez pas êtrele seul à vous plaindre? Et bien laissez-moivous aider à démystifier les différents typesde connexions et vitesses que l’internet peutatteindre.Tout d’abord, sachez qu’à la base internetest très rapide. En effet, les liens internetentre les géants de la distribution de télé-communications sont aux niveaux les plusrapides. Par la suite, ces liens internet sontredistribués à des revendeurs appelés ISP(Internet Service Provider). Ceux-ci achemi-nent finalement ces liens internet aux entre-prises comme la vôtre. À chaque étape de ceréseau de distribution les liens internet sontsubdivisés à travers des centaines d’ISP etensuite à travers des millions d’utilisateurs.C’est comme si on coupait du vin avec del’eau, au final, on obtient un lien internetmoins rapide qu’au début. Les ISP offrent plusieurs vitesses pour l’inter-net appelés aussi connexion internet. Cer-tains offrent plus de choix que d’autres, unerecherche plus large est recommandée. Uneconnexion internet peut être acheminée àvos locaux de façon différente, soit via uneligne téléphonique aussi appelé DSL, via uncâble de type coaxial, un câble de type fibreoptique ou encore via des ondes satellites.

Avec le DSL et le câble coaxial vous obtien-drez la vitesse de base aussi appelée « hautevitesse ». Celle-ci peut atteindre entre 6 et7.5 mégabits/seconde en aval (download) et600 à 800 kilobits/seconde en amont (upload) selon le ISP. En aval signifie le geste detélécharger de l’information de l’internet versvotre ordinateur, tel que lorsque vous télé-chargez une page web ou un courriel. Enamont signifie le geste d’envoyer de l’infor-mation sur internet, lorsque vous envoyez uncourriel ou un fichier. Mis à part la « hautevitesse » les ISP offrent également des typesde connexions internet plus rapides. Cer-taines vitesses peuvent atteindre 10, 20, 30,50 et même 100 et 120 mégabits/secondeen aval. Considérant que la vitesse en amontest en moins grande demande, celle-ciatteindra des vitesses maximum de 1, 2,10 ou 20 mégabits/seconde. Le type deconnexion internet le plus prisé est sansaucun doute la fibre optique. Celle-ci n’offrepas seulement des vitesses pouvant atteindre10, 20, 50, 100 ou même 1000 méga-bits/seconde, el le est également uneconnexion internet stable. Comparativementà la connexion de type DSL ou coaxiale quipeuvent fluctuer selon les heures de la jour-née et le taux d’utilisateurs, la fibre optiquedemeure constante car elle vous est dédiéeet non partagée. La fibre est stable nonseulement par la constance mais par celle en

amont également. Par exemple, si vous optezpour une connexion de type fibre optique de10 ou 20 mégabits/seconde en aval, et bienvous obtiendrez également 10 ou 20 méga-bits/seconde en amont. Dans le cas de laconnexion via satellite, la vitesse est pluslimitée, soit un maximum de 10 mégabits/seconde en aval et de 800 mégabits/secondeen amont. Ce type de connexion est beau-coup plus populaire en région car la distanceentre les entreprises et les ISP est si éloignéequ’il serait trop dispendieux de câbler entreceux-ci. Un dernier point, prenez le tempsde bien analyser la quantité en mégaoctetsque vous consommez par mois car les ISPvous facturent un montant astronomiquepour tout excédant à la limite inscrite à votrecontrat. Je m’explique; imaginons que cemois-ci vous avez demandé à un employéde rechercher et télécharger des clipsvidéo dans le but de préparer votre prochainesemaine sur les accidents au travail. Celui-ciprenant votre demande très au sérieuxtélécharge pour 150 gigaoctet alors quevotre contrat stipule que vous avez une limitede 100 gigaoctet. Vous devrez payer alorsune somme additionnelle à votre ISP quipourrait dépasser de plusieurs fois le coûtmensuel de votre connexion internet.En conclusion, si vous êtes déçu par la vitessede votre connexion internet, contactez alorsvotre fournisseur ou examiner l’offre des

autres ISP car il est faux de croire que vousne pouvez pas obtenir une connexion inter-net plus rapide et plus stable. N’hésitezsurtout pas à me contacter pour de plusamples informations, il me fera grand plaisirde vous renseigner.

BERNARD HOUDE

Bernard HoudeTél. : 514 830.8184www.cismdomain.com

INTERNET : VITESSE ET CONNEXION

Page 20: CLD - West-Island p. 7 - Journal l'Édition des gens d ......Des résultats record pour Montréal International p. 5 p. 9 à 14 p. 7 ... cement, c’est-à-dire à la recherche de

ecrit et mis en scène par michel laprise

COMMANDITAIRES OFFICIELS

PRÉSENTÉ PAR

SOUS LE GRAND CHAPITEAU

VIEUX-PORT DE MONTRÉAL DÉBUTE LE 24 AVRIL

BILLETS EN VENTE À CIRQUEDUSOLEIL.COM/KURIOS

L’innovation a une adresse