carte des évaluations pays • 1 er trimestre 2016 · belgique chili norvÈge 160 pays passés à...

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BRÉSIL ÉTATS-UNIS CANADA MEXIQUE ALGÉRIE RUSSIE KAZAKHSTAN CHINE AUSTRALIE ARABIE SAOUDITE INDE ARGENTINE PÉROU BOLIVIE VÉNÉZUELA MONGOLIE TURQUIE LIBYE ISLANDE ÉGYPTE JAPON SOUDAN PAKISTAN OMAN YÉMEN MADAGASCAR INDONÉSIE PHILIPINES ÉQUATEUR NIGER CENTRAFRIQUE KENYA ÉTHIOPIE ZAÏRE (RDC) TANZANIE AFRIQUE DU SUD LÉSOTHO ANGOLA MAROC MAURITANIE NAMIBIE ZAMBIE MOZAMBIQUE GABON IRAK SRI LANKA BANGLADESH MYANMAR VIETNAM PAPOUASIE NOUVELLE GUINÉE TIMOR-LESTE NOUVELLE ZÉLANDE CORÉE DU SUD CAMBODGE LAOS MALAISIE IRAN NIGERIA TCHAD MALI TUNISIE ISRAËL JORDANIE SYRIE LIBAN DJIBOUTI KOWEIT TAÏWAN COLOMBIE COSTA RICA GUYANE FRANÇAISE PANAMA RÉPUBLIQUE DOMINICAINE HAÏTI CUBA GUATEMALA EL SALVADOR NICARAGUA HONDURAS JAMAÏQUE ANTILLES FRANÇAISES GUINÉE CÔTE D’IVOIRE SIERRA LEONE LIBÉRIA GHANA TOGO SAO TOMÉ ET PRINCIPE GUYANE SURINAME RWANDA BURUNDI CHYPRE BARHEIN QATAR ÉMIRATS ARABES UNIS POLYNÉSIE FRANÇAISE PALESTINE MALDIVES HONG KONG SINGAPOUR ILE MAURICE ILE DE LA RÉUNION CAP VERT GROENLAND (DANEMARK) ÉRYTHRÉE CAMEROUN OUGANDA BÉNIN BURKINA FASO CONGO MALAWI ZIMBABWE SÉNÉGAL BOTSWANA NÉPAL OUZBÉKISTAN KIRGHIZISTAN TADJIKISTAN TURKMÉNISTAN GÉORGIE ARMÉNIE AZERBAIDJAN THAÏLANDE AFGHANISTAN URUGUAY PARAGUAY TRINITÉ & TOBAGO FRANCE ESPAGNE ALLEMAGNE HONGRIE POLOGNE SUÈDE UKRAINE ROUMANIE BULGARIE ITALIE GRÈCE BOSNIE FINLANDE IRLANDE ROYAUME-UNI LETTONIE PORTUGAL BELGIQUE CHILI NORVÈGE 160 PAYS PASSÉS À LA LOUPE Carte des évaluations pays • 1 er TRIMESTRE 2016 UNE MÉTHODOLOGIE UNIQUE • Une expertise macroéconomique en matière d’appréciation des risques pays • L’appréhension de l’environnement des affaires • Les données microéconomiques à travers 70 ans d’expérience en matière de paiement DÉGRADATIONS A3 PAYS-BAS SLANDE DANEMARK SUÈDE NORVÈGE FINLANDE ESTONIE LITHUANIE LETTONIE POLOGNE BIELORUSSIE UKRAINE MOLDAVIE ROUMANIE HONGRIE SLOVAQUIE RÉPUBLIQUE TCHÈQUE ALLEMAGNE LUXEMBOURG AUTRICHE CROATIE BOSNIE SERBIE SLOVÉNIE MONTENEGRO ITALIE ALBANIE MALTE GRÈCE BULGARIE T ESPAGNE PORTUGAL FRANCE BELGIQUE ROYAUME-UNI IRLANDE SUISSE RISQUE D’IMPAYÉS DES ENTREPRISES A1 A2 A3 A4 B C D TRÈS FAIBLE PEU ÉLEVÉ SATISFAISAnT conVEnABLE ASSEZ ÉLEVÉ ÉLEVÉ TRÈS ÉLEVÉ SURVEILLAncE PoSITIVE SURVEILLAncE nÉGATIVE A4 D A2 C A2 A4 L’économie saoudienne commence à subir les effets négatifs liés à un prix du pétrole bas. L’activité non pétrolière ralentit. Le déficit du solde public s’accroit et les dépôts publics se modèrent, fragilisant le système bancaire. Le resserrement des liquidités du secteur bancaire continue ainsi de peser sur les perspectives économiques. Le pays continue de souffrir de la récession économique en Russie. La situation sociale se dégrade en raison d’une frustration croissante de la population liée à la corruption, aux faibles performances économiques et à la répression des manifestations. ARMÉNIE Les politiques économiques s’avèrent inefficaces : les Abenomics ne parviennent pas à améliorer la croissance à ce stade et le nouvel assouplissement de la politique monétaire ne devrait pas avoir un impact significatif sur l’économie réelle. La croissance est pénalisée par la baisse des prix du pétrole et les retards dans le démarrage de la production du champ pétrolier de Kashagan. Un système de change flottant introduit par la banque centrale en août 2015, pèse sur les entreprises et les banques, fortement endettées en devises étrangères. A2 C Bien que l’économie demeure moins affectée que les autres pays du conseil de coopération du Golfe par la baisse du cours des hydrocarbures (grâce à un seuil de rentabilité plus bas), une augmentation du risque à court terme est attendue. La résilience des comptes publics pourrait être mise à mal par un prix du pétrole durablement bas. KOWEÏT KAZAKHSTAN JAPON ARABIE SAOUDITE Le pays, dépendant de la demande externe, souffre du ralentissement de l’économie chinoise et américaine. Il est également affecté par la baisse du prix des matières premières et notamment du pétrole. La dette publique reste élevée et le risque politique augmente. A3 En 2016, le pays devrait continuer d’observer une baisse de ses recettes budgétaires et d’enregistrer un déficit public de l’ordre de 20%. Le compte courant reste exposé à la baisse des recettes d’exportations pétrolières et devrait atteindre un déficit approchant 17% du PIB. OMAN MALAISIE D A2 A4 A4

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    160 pays passés à la loupe

    Carte des évaluations pays • 1er trimestre 2016

    uNe métHoDoloGie uNiQue• Une expertise macroéconomique en matière d’appréciation des risques pays

    • L’appréhension de l’environnement des affaires

    • Les données microéconomiques à travers 70 ans d’expérience en matière de paiement

    DéGraDatioNs

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    RUSSIE

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    risQue D’impayés Des eNtreprises a1 a2 a3 a4 B C DTRÈS FAIBLE PEU ÉLEVÉ SATISFAISAnT conVEnABLE ASSEZ ÉLEVÉ ÉLEVÉ TRÈS ÉLEVÉ SURVEILLAncE

    PoSITIVESURVEILLAncE

    nÉGATIVE

    a4

    D a2

    C

    a2

    a4

    L’économie saoudiennecommence à subir les effets négatifs liés à un prix du pétrole bas. L’activité non pétrolière ralentit. Le déficit du solde public s’accroit et les dépôts publics se modèrent, fragilisant le système bancaire. Le resserrement des liquidités du secteur bancaire continue ainsi de peser sur les perspectives économiques.

    Le pays continue de souffrir de la récession économique en Russie.La situation sociale se dégrade en raison d’une frustration croissante de la population liée à la corruption, aux faibles performances économiques et à la répression desmanifestations.

    arméNie

    Les politiques économiques s’avèrent inefficaces : les Abenomics ne parviennent pas à améliorer la croissance à ce stade et le nouvel assouplissement de la politique monétaire ne devrait pas avoir un impact significatif sur l’économie réelle.

    La croissance est pénalisée par la baisse des prix du pétrole et les retards dans le démarrage de la production du champ pétrolier de Kashagan.Un système de change flottant introduit par la banque centrale en août 2015, pèse sur les entreprises et les banques, fortement endettées en devises étrangères.

    a2 C

    Bien que l’économie demeure moins affectée que les autres pays du conseil de coopération du Golfe par la baisse du cours des hydrocarbures (grâce à un seuil de rentabilité plus bas), une augmentation du risque à court terme est attendue.La résilience des comptes publics pourrait être mise à mal par un prix du pétrole durablement bas.

    KoWeÏtKaZaKHstaNJapoNaraBie saouDite

    Le pays, dépendant de la demande externe, souffre du ralentissement de l’économie chinoise et américaine. Il est également affecté par la baisse du prix des matières premières et notamment du pétrole. La dette publique reste élevée et le risque politique augmente.

    a3

    En 2016, le pays devrait continuer d’observer une baisse de ses recettes budgétaires et d’enregistrer un déficit public de l’ordre de 20%. Le compte courant reste exposé à la baisse des recettes d’exportations pétrolières et devrait atteindre un déficit approchant 17% du PIB.

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