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Dossier de références Agence Clausel-Borel architecte

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Book de l'agence d'architecture Florence Clausel-Borel architecte

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Agence Clausel-Borel2, passage des Entrepreneurs 75015 Paristél : 01 42 77 04 82fax : 01 73 76 89 97mail : [email protected]

Dossier de références

AgenceClausel-Borelarchitecte

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We see architecture as an act of profound optimism. Its foundation lies in believing that it is possible to make places on the earth that can give a sense of grace to life - and belie-ving that that matters. It is what we have to give and it is what we leave behind.

Nous voyons l’architecture comme un acte d’un profond opti-misme. Son fondement vient dans la croyance de créer des lieux sur terre ou une certaine grâce peut prend vie – et de penser que c’est important. C’est ce que nous avons à donner et laissons derrière nous.

Nous partageons les propos de : Tod Williams et Billie TsienArchitectes New-Yorkais

Agence Clausel-Borel2, passage des Entrepreneurs 75015 Paristel : 01 42 77 04 82fax : 01 73 76 89 97mail : [email protected]

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We see architecture as an act of profound optimism. Its foundation lies in believing that it is possible to make places on the earth that can give a sense of grace to life - and belie-ving that that matters. It is what we have to give and it is what we leave behind.

Nous voyons l’architecture comme un acte d’un profond opti-misme. Son fondement vient dans la croyance de créer des lieux sur terre ou une certaine grâce peut prend vie – et de penser que c’est important. C’est ce que nous avons à donner et laissons derrière nous.

Nous partageons les propos de : Tod Williams et Billie TsienArchitectes New-Yorkais

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Introduction

01/Un paysage habitéUn pavillon de thé en garigueMaison à Montferrier sur Lez (34)

Deux nids hauts perchés43 logements collectifs à Montpellier

Habiter la pente51 logements collectifs à Montpellier

Zigzag sur le lacPasserrelle pietonneGenève ( Suisse)

02/La ville recomposéeUn filtre urbain Extension de Bureaux, Quai 47 Quai du Verdanson à Montpellier

Un navire amaré36 logements collectifs à Marseille

La Rose de JerichoComplexe Immobilier THPE à Castelnau le Lez

Deux manières d’ habiter 47 logements BBC collectifsà La Seyne sur Mer (83)

Som

ma

ire

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03/Des territoires en mutationsUn Palais Royal industriel69 logements sociaux dans un projet de 186 logements et commerces à Montpellier

Un îlot ouVert105 logements collectifs BBC à Castelnau le Lez (34)

Entre collectifs et pavillonaires104 logements collectifs BBC à Cuers (83)

Le hangar revisité36 logements collectifs BBC à Lunel

Les pavillons superposés26 logements sociaux label Qualitel à Escalquens (31)

Annexes Liste des autres projetsPrésentation de l’agencePortait Florence Clausel-BorelListes des projets en agencePublications et crédits

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01/ Un paysage habité

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Montferrier sur Lez (34)

Maison individuelle

Un pavillon de thé en garigue

1 Espace de jour

1

2

3

2Espace nuit

3Galerie

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Espace de jour

2

Espace de nuit

3

Galerie

1

2

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200

m2

318

411 €

Une pinède pentueMontferrier est un village de 3000 habitants au Nord de Montpellier. Le terrain d’une superficie de 2000m² est caractéristique de la région par sa végétation et sa topographie. Le site bénéficie de vues dégagées sur les collines environnantes et le vieux village. Nous avons implanté la maison en partie haute du terrain afin de préserver les grands pins.

Ancrage de la maison dans la penteLa maison de plein se compose de 2 volumes reliés entre aux par une galerie, les deux vomumes ont une hauteur de plancher différente ces cerniers suivant la pente du terrain. Depuis le haut du terrain, la maison semble encré, seul demeure visible sa toiture, le niveau bas est au contraire surélevé du sol.

Espace jour/nuit Les volumes correspondent à la répartition du pro-gramme l’ espace jour, le niveau haut comprend le séjour, la cuisine et une chambre d’ami ; l’ espace nuit regroupe trois chambres et deux salles de bains. Une galerie liaisonne les deux parties.

La maison japonaisePour ce projet nous nous sommes fortement inspirés de la maison japonaise pour son organisation, sa structure, sa standardisation, son esthétique et son rapport au paysage. L’élément central de la compo-sition est le jardin, ce qui donne un sens à la maison est son paysage.

Une maison à ossature boisLes toitures sont pensées comme deux grandes lames, dont les sheds permettent d’éclairer et ven-tiler naturellement la maison. Celles-ci sont portées par un système poteaux-poutres en lamellé collé. Les façades côté jardin s’ouvrent entièrement. Des débords de toitures ainsi que des brises soleils bois et persiennes accordéons protègent du soleil. L’utilisa-tion de la galerie est modulable selon les besoins par un système de vitrages et volets coulissants. Les murs périphériques sont en pierre sèche de Pignan.

Dates

2007/2009ProgrammeMaison individuelle

Maison à ossature boisLocalisationMontferrier sur Lez (34)

SiteTerrain très pentu, planté de pins. Exposé Nord-Ouest.

ClientPrivé

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel

Surfaces200 m² SHON

Montant des travaux318 411 € HT

Fiche technique

Vue du séjour

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Montpellier (34)

43 logements collectifs

Deux nids haut perchés

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Vue depuis la rue Claude Berthollet

R+1

R+2

R+3

RDC

R-1

R-2

R+1

R+3

RDC

R-1

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A

B

prolongement de la rue Bertholet

Jardin Jardin

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N

prolongement de la rue de Claude Bertholet

A

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A

Bâtiment A/R +2

B

Bâtiment A/R +3

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2885

m2

3 384

794 €

Un site de contrastesD’urbanisation récente, le tissu urbain est mixte et discontinu avec des typologies variées allant de la maison individuelle aux immeubles en R+4. Le site a une forte identité de par sa topographie, sa végé-tation, ses vues dégagées notamment au loin sur le bord de mer et du centre-ville.

Créer du lienReprenant la volonté de la Mairie de Montpellier nous avons relié deux rues du quartier, une haute, une basse. Les bâtiments en quinconce de part et d’autres donnent chacun sur un jardin. Les apparte-ments bénéficient ainsi d’un grand ensoleillement et de vues dégagées.

Un clin d’œil à la Grande MotteNous avons repris certain éléments caractéristiques de l’architecture de Jean Balladur à la grande Motte notamment avec l’utilisation d’un béton enduit blanc, des formes géométriques et des éléments de modénatures en façade. On peut le voir notamment dans les « pieds » de formes tra-pézoïdales sur lequel repose le bâtiment A les mats inclinés en béton sur les balcons filants.

SauvagePartant de la nature à l’état « sauvage » sur le terrain, nous avons imaginé des balcons cabanes sur doubles hauteurs qui reposent sur des poteaux ronds inclinés dans l’esprit d’un tronc d’arbre. Une arborescence végétale est venue animer les gardes corps en tôles perforées au laser des balcons filants créant ainsi avec les mats bétons un jeu d’ombre et de lumière.

TerracotaLes façades Ouest sont revêtues par un bardage en Eternit dans les teintes terracota sur l’isolation extérieur. Les ouvertures sont réparties de manière aléatoire et musicale. Le choix d’une teinte chaude vient marquer le contraste entre les deux principes de façade.

Dates

2007/2011Livré en Décembre 2010

Programme42 Logements collectifs

SiteNord de Montpellier. Site très pentu, garigue perchée

Création d’une rue afin de relier deux rues existantes

Maîtrise d’ouvrage

UrbatBETStructure : ECS IngenierieContrôle : VeritasV.R.D : OC’INFRA

Surfaces2885 m² SHON 2491 m² SHAB

Coût de l’opération3 384 794 € HT

Fiche technique

Vue balcon filant

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Montpellier (34)

51 logements collectifs

Habiter la pente

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R+1

R+2

RDC

R-1

Route de Mende

Rue Jean Perrin

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N

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2 18

5 m

2 2

890

800€

Construire la penteCe projet se situe à côté du CNRS, dans le quartier des facultés des lettres et sciences. Le site est arboré et bénéficie de vues dégagées que ce soit côté route de Mende vers la réserve d’eau et l’espace vert pro-tégé et côté rue Jean Perrin vers la cité des sciences. Il est marqué par une très forte déclivité Sur la diagonale du terrain Nord –Sud en bordure des voies, on a une différence altimétrique de 8 mètres. Du coup le terrain a des niveaux de références très différents de part et d’autres des rues qui le bordent. Dans l’élaboration du projet, nous avons pris en compte la mise en place à moyen terme d’une ligne de tramway sur la route de Mende.

S’ouvrir sur la penteLe projet porte sur la construction de petits loge-ments T1 / T2 et quelques T3 dans l’esprit d’une ré-sidence étudiante. Ces derniers sont répartis dans un bâtiment en L ouvert sur un grand jardin. Sur la route de Mende, l’immeuble se situe en retrait de 5 mètres (avec la possibilité à terme de rétrocéder à la ville cette bande). Côté haut, il se développe sur un niveau RDC, R+1 et R+2, et en contrebas sur un ni-veau rez-de-jardin, RDC et R+1 (en retrait de la Rue). Les parkings sont répartis en extérieur le long de la rampe d’accès et sur 2 niveaux de parking en rez de jardin sur l’aile côté route de Mende, et sous l’en-semble du bâtiment en sous-sol. Le jardin est consti-tué d’une série de terrasses paysagées permettant d’intégrer la pente du terrain.

Deux logiques , deux façadesSur la périphérie du bâtiment un socle en béton lasu-ré dans les teintes ocres ceinture les niveaux bas du bâtiment (Rdc – Route de Mende, Rez de jardin rue Jean Perrin). Ce socle permet d’unifier le bâtiment entre la rue Jean Perrin et la route de Mende.

Sur le pourtour extérieur de l’immeuble, au-dessus du socle, des « boites » revêtues d’un bardage de plaques d’Eternit viennent s’installer. Les redans deviennent loggias, ils sont protégés par un garde-corps métallique léger. Les boites correspondent aux chambres des logements et les loggias sont dans le prolongement des séjours. Ce principe permet de re-découper l’échelle du bâtiment et d’être en écho à la résidence étudiante mitoyenne.

L’immeuble est très ouvert sur le jardin par un large balcon filant marqué par une série de bandeau à chaque étage au niveau des balcons. On retrouve l’utilisation du béton lasuré au niveau des niveaux bas des deux ailes du bâtiment et sur les deux murs encadrant les balcons filants. Les façades arrière des balcons sont revêtues d’un enduit identique et des mêmes stores en toiles que sur les façades péri-phériques.

Dates

2009/2012Livraison 3e trimestre 2011

SiteMontpellier2091 Route de Mende

12 mètres de déniveléMaîtrise d’ouvrageUrbat promotion

BETVRD : Epsilon.GEContrôle : VERITAS MontpellierStructure : ECS

Surfaces5406 m² SHOB2185 m² SHON1919 m² SHAB

Coût de l’opération2 890 800 € HT hors VRD

Fiche technique

Vue entrée piéton

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Genève (Suisse)

Passerelle

Zigzag sur le lac

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Qua

i du Mont-B

lanc

Qua

i d

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Quai du général Guisan

CREATION D'UN NOUVEAU DEBARCADERE CGN

375.14

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374.95

CONNECTION AU NIVEAU VOIRIE

PENTE INFERIEUR A 2%

372.85

375.34

375.34

375.34

SUPPRESSION GARDE6-CORPS EXISTANT AU NIVEAU DE LA LIAISON

MISE EN PLACE DE FENTEDANS LE SOL PERMETTANTDE GARER LES VELOS

CREATION D'UNE PLACE PUBLIQUE

375.34

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PRO

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BARGE FLOTTANTE

374.73

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CREA

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UNE

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AOUT

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AOUT

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Qua

i du Mont-B

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Quai du général Guisan

CREATION D'UN NOUVEAU DEBARCADERE CGN

375.14

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CONNECTION AU NIVEAU VOIRIE

PENTE INFERIEUR A 2%

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SUPPRESSION GARDE6-CORPS EXISTANT AU NIVEAU DE LA LIAISON

MISE EN PLACE DE FENTEDANS LE SOL PERMETTANTDE GARER LES VELOS

CREATION D'UNE PLACE PUBLIQUE

375.34

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BARGE FLOTTANTE

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N

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Elevation

Vue de nuit depuis la rue droite

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ZigzagNom masculin (radical onomatopéique zik-, exprimant un mouvement rapide)

Continuité urbaine et mise en valeur du siteLa passerelle s’inscrit dans la continuité du site de Genève et du pont du Mont Blanc. Elle forme une ligne épurée qui souligne et met en valeur le pay-sage aussi bien le jour que la nuit. Véritable espace publique, son parcours est rythmé par plusieurs évé-nements, une place publique en son centre et un belvédère tout du long. Tout en étant un élément fort et indépendant, la passerelle est connectée sur un de ses segments au pont du Mont Blanc et forme la place publique, espace publique central.

Un parcours orienté sur la rade à plusieurs rythmes et séquencesLa passerelle se parcourt à deux vitesses et à deux niveaux. On peut distinguer la partie principale du tablier de 3,2 mètres de largeur avec un revête-ment minéral où l’on se promène, et une partie en en contrebas d’une largeur de 1,10 m de large plus vé-gétale où l’on flâne. A la manière des sculptures de Richard Serra, le garde-corps côté du pont du Mont Blanc est un élément fort du projet qui vient révéler le paysage La partie en contrebas est orientée vers le lac. La vision de nuit de la rade actuelle sera for-tement transformée. Deux lignes parallèles, une très fine et une autre plus épaisse viennent dessiner un zigzag sur la rade.

Réinterprétation contemporaine des voûtes du pont du Mont BlancLe principe structurel de la passerelle tend à repro-duire en apparence l’effet des voutes du pont du Mont Blanc. Les structures sont constituées d’élé-ments de travée en profilés soudés. La recherche de la simplicité statique est assurée avec des efforts horizontaux longitudinaux sur appuis quasi nuls sous chargement statique. Le tablier repose sur des po-teaux biais, formant des « bras porteurs » continus et en triangulation avec les poutres longitudinales principales. Les poteaux biais permettent de réduire la portée entre piles, tout en équilibrant les efforts de poussées horizontales. Les poutres principales de tablier sont continues, assemblées en encastrement sur trois trames de 21,20 m et équipées de joints de dilatations tous les 63,60.

Vue sur passerelle

Dates

2012Concours

ProgrammeTraversée piétonne et cycliste de la rade

Un parcours orienté sur la rade à plusieurs rythmes et séquences SiteGenève, Suisse

Maîtrise d’ouvrageVille de Genève

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel & VP Green IngénierieCamille Guliani, architecte DPLG

Bet Accoustique et éclairageAlternative consulting

MaquetteCatherine Claden

ImagesNicolas Trouillard

Fiche technique

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02/ La ville recomposée

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Montpellier (34)

Extension de bureaux

Un filtre urbain

Extension dans jardin et sur le toit Réaménagement complet du

jardin, des abords et création

d’une toiture végétalisée

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IMMEUBLE EXISTANT

RUE BERNARD DELICIEUX

QUAI DU VERDANSON

Vue sur cour intérieur

1

Immeuble existant.

2

Extension sur la terrasse du R+3.

3

Extension dans le jardin.

1

23

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16

910

11

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14

15

17 18 19 20 21

22

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89101112

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N

QUAI DU VERDANSON1

2

RUE BERNARD DELICIEUX

3

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280m

2 61

0 00

0 €

A quelques pas du centre-ville Le quartier a connu une très importante transforma-tion et modernisation avec la construction de plusieurs lignes du tramway. L’extension et le réaménagement de cet immeuble de bureaux ont été l’occasion d’ac-compagner la modernisation du Quartier.

Composer avec l’existantLe projet porte sur l’extension, la transformation et réaménagement d’espaces extérieurs et intérieurs. Le bâtiment existant de facture post-moderne a été conçu par l’architecte Thierry Thuile en 1985. Avant notre intervention deux grands marronniers ombra-gés le bâtiment. Notre souhait était d’apporté une continuité avec l’existant, de conserver un des deux grands marronniers, de prendre en compte les vues des bureaux sur l’extension.

Construire en négatifLe nouveau bâtiment se situe dans le jardin, l’extension se développe sur 3 niveaux. Un rez de jardin, un rdc et R+1. La toiture de l’extension est habillée d’un com-plexe de type « ecosedum » qui se pose comme une étanchéité à partir d’une couverture pré-cultivée ayant l’avantage de ne réclamer aucun entretien tout en fonctionnant comme un régulateur thermique d’appoint.

Lumière naturelle et structure mécanoLe rez de jardin regroupe des salles de réunion et une salle de repos, les bureaux sont répartis entre le rez de chaussée et le R+1. Le niveau bas est éclairé par une verrière située le long du bâtiment côté jardin. La cir-culation verticale est- éclairée par une seconde ver-rière située au niveau de la dalle du R+1. La structure est métallique, le principe structurel étant celui d’un mécano. Cette technique nous a permis d’avoir un chantier plus rapide et donc des nuisances moins im-portantes pour les occupants de la partie existante.

Filtre sur la villeNous avons repris la trame de la cage d’escalier vitrée de l’existant, les deux façades sur rue et jardin sont entièrement vitrées et tramées tous les 60 cm. Les vitrages jouent sur trois types de transparences. Les châssis sont en alu, l’habillage des nez de dalle et de l’acrotère est en tôle.

Le jardinLe jardin se décompose en deux parties, une haute et une basse. La partie basse du jardin joue sur l’utili-sation de graviers et galets et sur le dessin de formes oblongues. Le reste du jardin est revêtu d’un dallage en pierre Cenia (pierre calcaire beige). Le calepinage apportent une continuité au jardin qui tend à se dé-minéraliser plus on s’éloigne des zones d’accès. Coté Quai du Verdanson, une clôture dans l’esprit de bam-bous permet de conserver une grande transparence, permettant ainsi d’apporter un peu de végétations dans un quartier très minéral.

Dates

2006/2008 LocalisationQuai du VerdansonMontpellier (34)

Structure mécanoMaitrise d’ouvrageSCP 47 Quai du Verdanson

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel

SurfacesSurfaces crées : 280 m² SHONSurfaces réaménagées : 120m²Surfaces extérieures : 120m²Montant des travaux : 610 000 € HT

Fiche technique

Vue de l’accueil réaménagé et de la nouvelle salle de réunion

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Marseille 13e (13)

36 logements collectifs

Un navire amaré

2.Noyau central

3. Volume en porte à faux

1.2.

3 volumes :

1. socle en béton matrice

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R+1

R+2

R+3

RDC

R-1

R+4

cheminde consalation

Parking

Jardin

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N

Plan du R+2 et R+3

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2352

m2

2 40

0 00

0 €

Composer avec les grands ensemblesNotre souhait était d’insérer notre projet dans le tissu urbain très hétéroclite de ce quartier à la fois com-posé de grands ensembles, de groupes scolaires mais aussi de maisons individuelles. Une pente de 3m décrit le terrain sur sa longueur.

Un navire à quaiLe bâtiment est un signal fort, il est comme un na-vire amarré. Une succession de strates, séquences, rythmes et volumes animent le bâtiment. De ce fait, le bâtiment est à la fois en rapport avec les grands ensembles mais aussi avec les bâtiments à plus petites échelles. Les logements bénéficient tous de prolongements extérieurs et une majorité de double orientation.

Jeux de matériauxLe projet joue sur les matières avec l’utilisation d’un béton matricé, socle du bâtiment, d’un bardage bois type dans le grand cadre en béton et les locaux vélos et poubelles extérieurs, de béton enduit et lasuré, métal pour les gardes-corps et pergolas …

Aménagements des espaces extérieursUn peu dans l’idée d’une oasis « méditerranéenne » où le bâtiment serait venu se mettre à quai, les plantations viennent accompagner l’identité forte du projet. Un espace vert boisé de manière dense fait tampon entre le parking extérieur paysagé et le bâtiment. Une allée de Cyprès longe le petit côté de l’immeuble. Des grands pins s’épanouissent en contre bas de la parcelle. Une grande haie de laurier entoure les limites de la parcelle le long de la rue des Manadiers et de la rue Notre Dame de la Consolation.

Dates

2009/2012En étude depuis 2009En chantierLivraison prévue 2e trimestre 2012

SiteMarseille 13e, Chemin Notre-Dame de Consolation

Dialoguer avec les grands ensemblesMaîtrise d’ouvrageUrbat

BETSécurité : Veritas MarseilleStructure : ECSThermique : DURAND

Surfaces2352 m² SHON

Coût de l’opération2 400 000 € HTsoit, 1216 €/m² habitable (hors VRD)

Fiche technique

Vue du chantier

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Castelnau le Lez (34)

Complexe Immobilier THPE

La rose de Jericho

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11 17

0 m

2 15

00 €

/m2

Créer une nouvelle identité Emplacement stratégique sur la place du marché : face à la mairie, entouré d’équipements majeurs, et à quelques pas du centre historique et du tramway. Notre proposition vient s’inscrire dans ce lieu de ma-nière attentive… Elle vient renforcer l’aménagement de la place Jean Doumergue en cours, en créant un front bâti unitaire nouvelle identité du lieu. Notre proposition s’accompagne d’un traitement paysager soigné, en créant des terrasses végétales, grand jar-din collectif en hauteur.

Mixité du programmeLe programme de l’opération comprend 42 loge-ments, des commerces (570 m²), une salle pour les anciens combattants, une salle polyvalente, un par-king public de 65 places, un parking privé pour les logements et les commerces.

Les intentionsNotre plan masse s’organise autour de plusieurs élé-ments structurants forts :- La création d’un axe piéton reliant le centre historique au tramway.- Création d’un front urbain sur la place. - Une échelle des bâtiments en rapport avec le tissu urbain existant et en devenir. - Des percées visuelles dans le prolongement de celles en cours de construction.-Ouvrir la place sur la ville et créer un lien fort avec la mairie.- Appréhender les différentes altimétries par un traitement urbain et paysager.

Un socle continuDeux socles de quatre mètres de hauteur s’implantent sur les emprises proposées. Ils regroupent les com-merces, la salle polyvalente, la salle des anciens combattants, les entrées du parking et des loge-ments. Les trois niveaux de stationnements se situent dans le socle du bâtiment 2.

Les logementsSur chacun des socles, nous avons positionné trois volumes reliés entre eux par un espace de circulation entièrement vitré. En contrebas, du côté de l’allée Marie-Curie, des maisons de villes s’installent dans le socle.

Des toits colonisésLe toit du socle du bâtiment 2 correspondant au niveau de la place est colonisé par un grand jardin paysagé collectif. Des panneaux solaires sur les toi-tures des logements permettent l’ECS.

Dates

2008ConcoursClassé second

Programme42 logements THPE, commerces, parking public et privé, Salles polyvalentes et ancien combattants.

SiteCastelnau le Lez

Un front urbain sur la placeMaîtrise d’ouvrageVille de Castelnau le Lez

BETIngerop

Surfaces11 170 m² SHOB 4 300 m² SHON PC

Coût de l’opération1500 € HT/m² hab.

Fiche technique

Vue sur place et élévation

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La Seyne sur mer (83)

42 logements collectifs BBC

Deux manières d’habiter

1 Immeuble de rapport en R+5.

2 Maisons de villes logements superposés.

3 Accès semi-individuels.

3

1

2

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1

2

R-1

RDC

R+2

R+3

R+4

R+5

R+6

1

Immeuble

de rapport en R+5.

2

Immeuble-maison

de ville en R+2.

Avenue

des Anciens

combattants

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plan étage courant

N

T3

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2 90

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1 953

720

Un tissu urbain hétérocliteTémoin d’une urbanisation récente sans réels dia-logues entre les différentes typologies, l’environne-ment proche semble se faire côtoyer quartiers pavil-lonnaires, centres commerciaux et grands ensemble de logements.

Jouer sur deux échellesA l’image du paysage urbain riche et varié, nous avons voulu faire coexister l’échelle de l’immeuble de rapport sur l’avenue et celui de la maison individuelle à l’arrière de la parcelle. Le principe d’un immeuble en T avec un corps de bâtiment principal sur la rue en R + 4 + attique et une aile en R+2 a été retenu. Un niveau de parking vient se développer sous l’intégra-lité de la parcelle.

Deux manières d’habiter Le bâtiment A sur la rue est un immeuble de logement collectif « classique », avec un parking en sous-sol, un ascenseur, une cage d’escalier commune à tous les logements. Le bâtiment à l’arrière est lui pensé à l’échelle des maisons de villes avec des places de parkings en extérieur, des entrées semi-individuali-sées, des logements traversant.

L’immeuble de rapportLa façade « protectrice » sur rue est animée par des percements positionnés de manière aléatoire et musicale. Côté jardins on remarque de larges cour-sives sur six niveaux et rythmés par des brises soleils en lames de terre cuite émaillées et colorées que l’on retrouve aussi au niveau de la liaison avec les bâti-ments en fond de parcelle.

Les maisons de villeBasés sur le principe de la maison de ville, trois volumes se jouxtent, séparés par des failles par lesquelles d’or-ganisent des accès semi-individuels. Les logements sont traversant, ils se prolongent par des jardins pri-vatifs en rez-de-chaussée et des loggias aux étages.

ContinuitéUn bardage bois fera à la fois office de socle et de liaison en ceinturant l’ensemble des corps de bâti-ments. Un traitement paysagé composé de planta-tions basses et d’arbustes viendra accompagner l’architecture.

Dates

depuis 2011en cours de DCE

Programme47 logements collectifs BBC

SiteAvenue des Anciens combattants d’Indochine, La Seyne sur Mer (83)

Entre immeuble de rapport et maison de villeMaîtrise d’ouvrageUrbat

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel

BETStructure AKPHThermique GARREAU

Surfaces4185 m² SHOB2900 m² SHON PC

Estimation du montant des travaux3 368 760 € HT

Vue sur l’intérieur de l’ilôt

Fiche technique

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03/ Des territoires en mutations

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Montpellier (34)

69 logements sociaux THPE

Palais royal industriel

1 FBC

2 N+B

2 N+B

3 AFS

CREA

TIO

N VO

IE O

UEST

1AFS (Atelier Francis Solaire).

2N+B ( Elodie Nourrigat et Jacques Brion).

3FBC ( agence Clausel -Borel).

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Volet bois à ouverture verticale

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6 6 7 66 7 66 7 6 6 7 66 7 66 7 6 6 7 66 7 66

goutte d’eau

volet roulant manuel à lamel bois

rail -guide alluminium

goutte d’eau

volet roulant manuel à lamel bois

rail -guide alluminium

garde-corp inox

rail gui aluminium

goutte d’eau

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4464

m2

5 22

0 40

0 €

Etude urbaine réalisée par Francis SolerEn 2005, l’atelier Francis Soler a réalisé une étude urbaine sur le quartier anciennement industriel des Près d’Arènes à l’initiative du maitre d’ouvrage. Iden-tifiant ainsi trois îlots rectangulaires où les logements seront placés à la périphérie et au centre un jardin. Une quatrième parcelle de taille identique, était dé-volue à un espace public.

Un petit « Palais Royal »Le projet se présente comme la première pièce de cet ensemble urbain. Toutefois, il peut aussi être considéré comme une pièce autonome, petit « Palais Royal », à la fois caractère urbain et confidentiel.

La courAu cœur du projet, l’espace central, à l’image des cours des hôtels particuliers de Montpellier, trouve son sens. C’est un espace de distribution et de convi-vialité. De fines loggias fermées par des persiennes préservent l’intimité des logements en RDC.

Architecture de Francis SolerLe projet de Francis Soler est écrit dans une rigueur de mise en place de matériaux, choisis en accord avec le climat de Montpellier et la mémoire indus-trielle du site.Le projet propose des prolongements extérieurs pour chaque appartement. Des brises soleil en aluminium enveloppent, en totalité, le projet. C’est une seconde peau protectrice qui laisse apparaître les loggias. Des pointes de couleurs sont inscrites sur quelques brises soleil, à la manière d’un travail pointilliste.

Intervention agenceNotre intervention se situe de part et d’autres de l’architecture de Francis Soler. Elle est un jeu de variations des principes architecturaux du projet d’ensemble. La trame est ici élargie. L’occultation des terrasses est réalisée par des volets roulants en bois. Une courbure des volets dessine une légère ondulation sur la peau extérieure, un peu comme des écailles de poissons. Sur la peau intérieure, nous avons repris le principe des stores en toile. Notre sou-hait était à la fois de conserver les grandes qualités du projet de Francis Soler tout en y incorporant une variation musicale.

Dates

2006/2009Site Près d’Arènes,

ProgrammeProjet FCB et N+B : 69 logements sociaux THPE dans projet de 180 logements collectifs et des commerces

Variations sur un thèmeMaîtrise d’ouvrageUrbat

En association avecFrancis Soler , Architecte coordinateur(AFS) & E. Nourrigat et J. Brion (N + B)

BETStructure : INGEROPThermique : DURANDContrôle : Véritas

Surfaces4464 m² SHON4050 m² SHAB

Coût de l’opération5 220 400 € HT (hors VRD)

PrixTrophée habitat Bleu Ciel 2008Prix architecture

Façade côté rue

Fiche technique

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photographie du projetvue d’ensemble

à fond perdu

photographie du projetvue d’ensemble

à fond perdu

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A

B

C

D

E

Castelnau le Lez (34)

105 logements collectifs

Un îlot ouvert

connexion à l’espace vert

photographie du projetvue d’ensemble

à fond perdu

photographie du projetvue d’ensemble

à fond perdu

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Vue intérieur de l’îlot (batiment A,B,C)

BA

R+1

R+2

R+3

RDC

R-1

Jardin coeur d’îlot Avenue de l’Europe

Tramway

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RUE DES ANEMONES

AVEN

UE

D

E

L’EU

ROPE

BATIMENT CPHASE 2

ENTREE PARKING

ENTREE PARKING

PERCEE VISUELLE

B

D

C

E

A

CA B BATIMENT A ET BPHASE 1 D BATIMENT D

PHASE 3 EBATIMENT DPHASE 3

CREATION D’UN JARDIN PUBLIC

A

Bâtiment R+2 ( attique).

B

Bâtiment R+2 attique + commerces.

C

Bâtiment R+2 attique

(en début de chantier).

D

Bâtiment R+2 ( attique).

E

Bâtiment R+2 attique

+ commerces.

1re p

hase

ch

antie

r2e p

hase

ch

antie

r3e p

hase

ch

antie

r

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6 99

6m2

6 70

5 50

2 €

Un nouvel EldoradoAnciennement, zone artisanale, le quartier est en pleine transformation. L’installation récente d’une ligne de tramway et la modification du PLU ont amor-cé la restructuration et densification urbaine de l’avenue de l’Europe.

Un îlot ouvertLe principe est de construire en bordure de rue des immeubles distincts, alignés en continuité mais non mitoyens, laissant entre eux des « fenêtres », des es-paces ouverts sur l’intérieur d’îlot qui est traité comme un grand jardin arboré. Ce projet est pensé comme un ensemble avec la création d’un parc public et les fu-turs immeubles de logements collectifs mitoyens. Le vaste jardin central est un « poumon » végétal qui de-vient l’agrément majeur des logements et profite aux riverains au travers des grandes fenêtres urbaines entre les immeubles.

Variations et différencesLes cinq bâtiments BBC joueront sur des variations et des différences afin d’éviter un côté monotone. Sur l’avenue, ils seront occupés en rez de chaussée par des commerces. Tous les bâtiments seront en R+2 + attique avec de larges pergolas. Le vocabulaire architectural sera sensiblement différent mais on retrouvera des constantes comme l’utilisation du bois et d’une palette polychromique. Tous les logements bénéficient de prolongements extérieurs et la majo-rité d’une double ou triple orientation.

Phase 1 en chantier Les bâtiments A et B ont un traitement architectural identique seule la façade sur rue se distingue. Une peau extérieure composée de volets coulissants en mélèze de Russie bois entoure les coursives et pi-gnons du R+1 et R+3. Ce principe permet à la fois de se protéger du soleil, et donne une certaine intimité aux coursives.

Phase 2 en chantier Ici, nous avons travaillé sur le principe de deux peaux, une peau protectrice « épaisse » et une peau « ouverte ». La première, socle du rdc devient boites « protectrices » où s’installent les chambres. La deu-xième en retrait est composée de vitrages et de pan-neaux en bois. Entre les deux, les balcons ont un garde-corps avec un motif végétal. Phase 3 à venir…

Dates

Depuis 2009Livraison : 1re phase 3e trimestre 20122e phase 2e trimestre 2013

ProgrammeUne centaine de logements et des commerces BBC

Création d’un « poumon » végetalSitesClairval, Castelnau le Lez (34)

Maîtrise d’ouvrageERILIA – logements sociauxUrbat – logements en accession

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel

BET StructureECS IngénierieBET VRDOc ‘InfraBET ThermiqueDurand

SurfacesPhase 1: (2 bâtiments)7 750 m² SHOB, 3 350 m² SHON PCPhase 2 : (1 bâtiment)3646 m² SHOB, 1460 m² SHONPhase 3 : 2 bâtiments à venir

Montant des marchésPhase 1 : 4 650 320 € HTPhase 2 : 2 055 182 € HT Dates

Fiche technique

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Cuers (83)

104 logement collectifs BBC

Entre collectifs et pavillonnaires

1NOUVELLE VOIE PAE 2 CONSTRUCTION D’UN SUPERMARCHE 3 CONSTRUCTION D’UN LOTISSEMENT

44 BATIMENTS EN R+2 5 CREATION D’UN COUR PLANTE

1

2

3

4

4

4

45

5

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12 8

60 m

2 13

50 €

/m2

Entre vignes et collinesCuers est une commune de 10 000 habitants à 20 km au Nord de Toulon et d’Hyères. Le nouveau quartier du Pas Redon se situe au Nord du centre du village sur des terres agricoles, ancien site gallo-romain. Le nouveau quartier regroupera à la fois des logements collectifs et maisons individuelles en lotissements ainsi que des commerces et services.

Des logements autour d’un cours planté Le programme se répartit en quatre bâtiments répartis autour d’un cours planté. A la fois lieu de circulations, de rencontres, de jeux de flâneries, etc. Un parking arboré se situe à l’arrière de la parcelle, un parking souterrain se situe sous les bâtiments C et D. Le cours est animé de plusieurs séquences, une placette avec des jeux pour enfants, une promenade plantée, ou-verture sur les vignes et la noue.

Une typologie dense Proposer un autre type d’habitat est un des enjeux de cette opération c’est-à-dire à la fois proposé un habitat dense économe d’espace mais aussi une typologie d’habitat propre aux quartiers péri-ur-bains. Nous avons donc imaginé ces quatre grandes maisons en bois dans lesquelles plusieurs cages d’escaliers viendraient desservir entre entre 6 et 12 logements. Les grands logements T4 et T5 sont tous traversant ainsi qu’une partie des T3. Les logements profitent tous de prolongements extérieurs jardins en RDC et loggias aux étages.

Variations sur un thème Des boites loggias, fenêtres sur double hauteurs viennent rythmer les bâtiments. Elles viennent donner une deuxième lecture aux bâtiments, de l’échelle col-lective à celle de l’individuelle, du groupe à l’individu. Les loggias jouent chacune sur des variations comme des notes d’une partition de musique, que ce soit par leurs tailles, la polychromie des murs intérieurs, ou les retraits des balcons à l’étage.

S’inscrire dans le paysageNous avons opté pour une grande sobriété et simpli-cité dans le choix des matériaux, et espaces paysa-gers : bardage en mélèze autoclave, une toiture tuile (avec panneaux solaires), des espaces extérieurs et séparatifs en bois, un aménagement paysager « naturel » etc afin d’inscrire le projet dans le très beau site dans lequel il s’inscrit : les collines varoises.

Dates

Depuis 2010DCE en cours

Programme 104 logements dont :78 logements en accession BBC26 logements sociaux196 places de parkings en extérieurs

Site Chemin rural Gueirard,Cuers

Des logements autour d’un cours plantéMaîtrise d’ouvrageVars habitat (26 logements sociaux)Urbat (78 logements)

Maîtrise d’oeuvreEn association avec :Henri Mack , architecte DPLG à la ValetteCamille Thuile paysagiste DPLGArt paysage

BETThermique : GARCIA Accoustique :G2O Contrôle : VERITASStructure : AKPH

Surfaces12 860 m² SHOB 6 766 m² SHON

Montant des travaux8 132 612 € HT

Fiche technique

Vue sur rue et cour intérieur

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Lunel (34)

36 logements collectifs BBC

Le hangar revisité

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photographie du projetvue détailléeà fond perdu

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photographie du projetvue détailléeà fond perdu

4 18

5 m

2 1 9

53 7

20 €

La commune de LunelLe projet se situe à Lunel, commune de 25 000 habi-tants situés à mi-distance dans l’Hérault entre Nîmes et Montpellier. Lunel est une ville populaire de tradi-tion vinicole et horticole située au début de la petite Camargue. La parcelle proche du centre-ville, a un environne-ment bâti proche composé de maisons individuelles et de petits collectifs. Le terrain est bordé d’un côté par la voie de chemin de fer et d’un autre côté par un ruisseau, le Rieu.

6 maisons autour d’un jardinNous avons souhaité envisager ce projet dans une échelle entre le collectif et l’individuel . Les logements ont été répartis en 2 bâtiments de part et d’autre d’un jardin. Chaque corps de bâtiment est redécoupé en 3 modules regroupés par des circulations verticales extérieures. Les failles permettent des halls traver-sant. Ce dispositif permet de desservir au maximum 10 logements par cage d’escalier. Tous les appartements bénéficient de larges pro-longements extérieurs et pour les plus grands d’une double ou triple orientation solaire. De part et d’autres du jardin collectif, 2 cabanes en bois sont des abris vélos.Les places de parking sont réparties entre le parking couvert au fond de la parcelle regroupant 33 places et des places extérieures le long de la voie d’accès. Une bande de 5 mètres autour du Rieu a été volontai-rement non construite afin de permettre l’entretien du cours d’eau.

Un vocabulaire inspiré du monde agricoleIl y a ici une volonté de montrer les matériaux tels qu’ils sont. Nous avons réutilisé ici un mode de construction propre aux hangars agricoles. Les 6 « maisons » seront construites en brique d’étage laissées apparentes. Les planchers et acrotères seront en béton brut, les garde-corps, abris vélos et poubelles, en bois natu-rel, les circulations en caillebotis métalliques et les toitures en tuiles seront revêtues en partie de pan-neaux solaires. Un revêtement aqua drain (pour les places de parking) permettra de conserver un maxi-mum de perméabilité au niveau du sol.

Dates

Depuis 2010DCE en cours

Programme36 logements collectifs BBCparking couvert de 33 places

LocalisationLunel (34)

Utilisation d’un mode de construction agricoleMaîtrise d’ouvrageUrbat

Maitrise d’œuvreAgence Clausel-Borel

BETVRD : InfrasudThermique : DURAND

Surfaces4185 m² SHOB2900 m² SHON PC

Estimation des travaux 1 953 720 € HT

Fiche technique

Vue depuis le passage traversant

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Escalquens (31)

26 logements sociaux label Qualitel

Les pavillons superposés

CREATION D’UNE

RUE PIETONNE

NOUVELLE PLACE

RUE EXI

STANTE

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1

bâtiments a et b

t3 en rdc avec jardin privatif

t2 en étage avec loggia

2

bâtiment c

grands appartements avec jardin

privatif en rdc et loggia a l’etage

3

hall exterieur pergola en

terre cuite avec local velo

4

hall exterieur pergola en

terre cuite avec local velo

5 parking exterieur

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Coupe détaillée

sur loggia

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Plan d’étage - bâtiment 2

Plan RDC- bâtiment 2

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2 61

1 m2

1 528

037

Dates

2006/2009Programmation26 logements sociaux BBC

SiteEscalquens (31)Agglomération toulousaine

Des logements individualisés superposésMaîtrise d’ouvragePatrimoine SA languedocienne

BETStructure : BET IDSThermique : HolisudSécurité : Infrasud

Surfaces2611 m² SHOB1860 m² SHON1644 m² SHAB789 m² extérieurs privatifs

Montant des travaux1 528 037 € HT (hors VRD)soit 928 € HT/m² habitable

Fiche technique

Contexte urbainEscalquens est un village de 8000 habitants au sud de Toulouse. Ce projet fait partie d’une opération d’ensemble au Sud du terrain conçu par l’architecte Antoine Garcia Diaz. Les questions abordées ici sont donc ceux du périur-bain, du logement semi-individuel et du mieux vivre ensemble.

Disposition des bâtiments autour d’un jardinLes bâtiments sont disposés en alignement avec la rue et le long du chemin piéton reliant la partie haute et basse de l’opération à la nouvelle place crée, libérant ainsi au centre de la parcelle un grand jar-din collectif. L’aménagement paysager prolonge le maillage d’arbres (avec les mêmes essences) de la nouvelle place. Ce maillage d’arbres dessinera 3 grandes surfaces engazonnées.

Création d’un chemin piétonUn chemin piéton relie les 2 bâtiments de l’opération et permet une liaison depuis le chemin rural dit de la place jusqu’à la nouvelle place.

Un habitat intermédiaireLe programme donné par le bailleur social était de réaliser 28 appartements de différentes typologies (du T2 au T5) en simplex. Le programme est réparti en 2 bâtiments.Nous avons souhaité offrir aux occupants, un habitat intermédiaire c’est-à-dire des logements individuali-sés superposés. Tous les logements sont traversant et bénéficient soit d’un jardin privatif soit d’une log-gia. Les plus grands appartements se situent dans le bâtiment 2, et bénéficient en rdc de deux jardins. Les entrées des appartements sont individualisées, on rentre dans son logement soit par son jardin, soit à l’étage par un escalier desservant au maximum 2 appartements.

Réinterprétation du vocabulaire architectural localDes escaliers extérieurs rythment les façades, des jeux de lumières sont créés par les brises soleils en terre cuite situés en prolongement des toitures. Côté rue, la façade nord est plus régulière avec un rythme vertical. Elle est une réinterprétation du vo-cabulaire architectural des maisons environnantes classiques d’une architecture fin 19ème avec des en-cadrements de fenêtres peints et des volets en bois.

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Annexes

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L’a

genc

e

Une envie, une rencontreDébut 2006, une première commande, une envie de : faire, poser ses valises, d’une belle aventure, de belles rencontres, de travailler ensemble… Voilà en quelques mots le départ de l’agence ; deux profils différents, une architecte, un photographe d’architecture, deux regards, deux approches. Depuis plusieurs archi-tectes ont rejoint l’agence et nous travaillons aussi régulièrement avec des paysagistes, ingénieurs, graphistes, perspectivistes, maquettistes, etc.

Participer d’un toutA l’écoute d’un client, d’une mairie, d’un lieu, nous sommes là pour synthétiser et trouver des réponses ensemble aux différentes demandes et probléma-tiques. Nous envisageons chaque projet singulière-ment, avec la même soif de créativité, de volonté du bien construire, d’encrage dans la durée et de respect

Agence Clausel-Borel2, passage des Entrepreneurs 75015 Paristel : 01 42 77 04 82fax : 01 73 76 89 97mail : [email protected]

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et d’intégration à l’environnement. Nos projets ques-tionnent le rapport entre public et privé, la manière d’habiter et une volonté du mieux vivre ensemble. Un peu comme l’araignée nous tissons notre toile discrè-tement… tissant des liens entre différentes époques, différents paysages urbains ou non

Des échelles et typologies de projets diversesNos projets sont aussi bien à l’échelle d’un projet urbain ou d’une maison individuelle. Nous recherchons une certaine diversité programmatique dans nos projets, bureaux, logements, passerelle piétonne, équipe-ments. Nous questionnons dans chaque projet le programme, les fonctions, usages afin de proposer de nouvelles organisations. Aussi, très sensible au thème de l’habitat, nous développons différentes ty-

pologies selon le contexte : la maison de ville, l’habitat intermédiaire semi-individuel et des immeubles de logements collectifs.

Des projets qui s’inscrivent dans leur territoire Les paysages urbains ou construits nous racontent des histoires, et nous partons de celles-ci pour imaginer nos projets. Nos projets interviennent selon 3 types de territoire : Paysages habités : la pinède, la garrigue, la pente, un lac.La ville recomposée : la ville qui se réinventeLes territoires en mutation : ancienne friche industriel, quartier artisanal, etc.

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Florence Clausel-Borel a été diplômée avec les féli-citations du jury de l’Ecole de Paris Belleville en 2000.

Etape initiatiqueLauréate quelques mois plus tard de la bourse De-lano Aldrich - American institute of architecture (AIA) - bourse de voyage d’études aux USA, elle s’envole pour les Etats-Unis afin d’approfondir son mémoire de fin d’étude intitulé « l’alternative New-Yorkaise : le Bien-Construire » réalisé avec les conseils de Ken-neth Frampton. Suite à ce voyage d’étude a travers les Etats-Unis, elle posera ses valises à New-York et restera quelques temps à l’agence new-yorkaise de Rem Koolhaas, OMA. Cette expérience de l’architec-ture, de la ville et de la pratique architecturale améri-caine marqueront profondément la jeune architecte.

ApprentissageAussi, le travail à l’agence OMA a marqué le début d’un apprentissage du métier qui s’est prolongé à son retour en France à l’atelier Jean Nouvel dans un premier temps et dans un deuxième temps (de 2002 à 2006) chez Christian de Portzamparc. Elle aura l’occasion de travailler sur des projets d’équipement majeurs notamment Bibliothèque de Seattle, Philhar-monique de Copenhague, Cité de la musique de Rio de Janeiro...Cette expérience de l’architecture, de la ville et de la pratique architecturale américaine mar-queront profondément la jeune architecte. Le travail à l’agence OMA a marqué le début d’un ap-prentissage du métier qui s’est prolongé à son retour en France à l’atelier Jean Nouvel dans un premier temps et dans un deuxième temps (de 2002 à 2006) chez Christian de Portzamparc. Elle aura l’occasion de travailler sur des projets d’équipements majeurs notamment la Bibliothèque de Seattle, Philharmo-nique de Copenhague, Cité de la musique de Rio de Janeiro... Ces expériences l’ont fortement imprégnée. De chez OMA, elle retiendra plus particulièrement, une méthodologie, un grand questionnement du programme. Elle sera marquée par le rapport au paysage « naturel » et urbain de Jean Nouvel. Elle garde un grand attachement à Christian de Portzam-parc, entre autres pour la générosité de son archi-tecture, son rapport à la forme urbaine, au monde de la musique, à une architecture qui se découvre et se découvre...

Activités parallèlesFlorence Clausel-Borel est jury pour la Bourse Delano Aldrich à l’Académie d’architecture depuis 2003 et pour des concours d’architecture. Elle est membre de l’association Betocib et suit régulièrement des forma-tions notamment sur le développement durable.

Florence Clausel-Borelnée le 14.05.1976Architecte DPLGDelano, Aldrich, Emerson Fellow (AIA)

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Composition de l’équipe

Responsable agenceFlorence Clausel-Borel Conseiller artistiqueNicolas BorelEcole Louis LumièreDans le cadre de ses missions photographiques, il a travaillé notamment pour des musées (Centre Georges Pompidou, Musée du quai Branly, Cité du Patrimoine et de l’architecture, Fondation Vuitton, Musée Hergé...) et à l’illustration de nombreux ou-vrages d’architecture.Chefs de projets François Sempé Architecte DE Diplômé en 2007 de l’école nationale d’architecture de Marne la ValléeCharles-Eliot Meyer Architecte DEDiplômé en 2010 l’école nationale d’architecture de LyonDessinateurs architectesYvanna HerbéEcole nationale d’architecture de Paris Val de SeineClaire PetersenEcole nationale d’architecture de Paris Val de SeineImagesNicolas TrouillardPhotographiesNicolas BorelGraphisme La tête moderne, Carine Turin et Marc DeroinMaquettesCatherine CladenAgence Clausel-BorelComptabilitéGestionphi ExpertisesConseiller juridiqueMaitre Mayrand

Collaborations maîtrise d’œuvreL’agence s’associe ponctuellement sur des projets avec d’autres équipes architectes :Camille GiulianiFrancis SolerN+B architectesTVAABach-Lien PhanIngénieurs VP Green engineeringOlivier CorsinPaysagiste DPLGArt paysage , Camille Thuile,Victor Charreau

Anciens collaborateursBach-Lien Phan ; Ippolita Maltinti ; Nicolas Trouillard ;Frank Gonon ; Laura Saforcada.Catherine Flouvat ; Elodie Nicot ; Pierre-Charles Marais ; Bénédicte Caspar ; Elodie Albouy ; Emmanuel Roussarie ; Minhee Kang ; Elise Mathé ; Hao Ying Zang ; Romina Renteria ; Marie-Céline Juillan ; Jérôme Balas ; Gabriela Olivera ; Ismaël Bachri ; Mélusine Hucault ; Eveline Sou ; Laure Hamelin ; Lisa Millo ; Chloé Rolland ; Biwei Wang.

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Les

aut

res

proj

ets

Castelnau le Lez (34)27 logements collectifs et un commerce BBC Maîtrise d’ouvrage : UrbatCoût estimé de l’opération : 1350 € HT/m² habitablePhase : APS

2012

Salon de Provence (13)35 logements collectifs BBC Maîtrise d’ouvrage : UrbatMontant : 2 642 748 €Surface : 2 130 m²

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Cuers (83)48 collectifs103 logements collectifs BBC Maîtrise d’ouvrage : UrbatEn association avec Henri Mack (83)Montant des marchés : 8 082 612 € HTPhase : CHANTIER

2011

2010

Avenue Follereau, Marseille 11e

35 logements collectifs BBCMaîtrise d’ouvrage : UrbatCoût de l’opération : 2 640 000 € HT Phase : MARCHE

Paris 15e arrondissementAménagement de bureauxMaîtrise d’ouvrage : SCI Passage des entrepreneursLivraison Avril 2010Surface : 90 m²

Saint-Germain-en-Laye (78)ments collectifsExtension et réhabilitation3 maison de villes, 3 logements rénovés et un commerce.En association avec Price WaterhouseMontant des travaux HT: 4 040 000 €

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Concours Be Twin1 maison passive, 1 maison positiveConcours Ecologik & Architecture à vivre avec GDF

Rue Jean Jaurès, Castelnau-le-Lez (34)36 logements collectifs BBCMaîtrise d’ouvrage : UrbatCoût estimé de l’opération : 1450 € HT/m² habitablePhase : chantier

2009

Concours Borderouge,Toulouse (31)42 logements sociaux THQEMaîtrise d’ouvrage : Promologis SAEn association avec Agence TVAA T.Van De Wyngaert et V.Feigel

Cirque Romain, Nîmes (30)Aménagement de bureauxMaîtrise d’ouvrage : SCP 47, Quai du VerdansonLivraison Mars 2009Montant des travaux : 109 709 € HT

2008

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Frouzins (31)48 logements sociaux HQEIlot 1 : 32 logements collectifs Ilot 2 : 16 logements collectifsMaîtrise d’ouvrage : Colomiers HabitatMontant des marchés : 4 209 442 € HT

Avenue Ed.Vaillant, Marseille 3e

36 logements collectifsMaîtrise d’ouvrage : Les Nouveaux ConstructeursChantierCoût de l’opération : 2 877 000 € HT

2007

2006

Festival des architectures vives, Montpellier (34)Pop Up city Projet Cinécitta Installation éphémèreMaîtrise d’ouvrage :Champ libre

Concours Europan, La Courneuve (93)Le quartier de la mairieUne place à prendre

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Publications

2012Livret exposition concours pour la traversée piétonne et cycliste de la radeProjet : Zigzag sur le lac

Var Matin le 30,03,2012, la première pierre de la future résidence dans le quartier du Pas Redon

Architecture contemporaine,orgMise en ligne par la Maison de l’architecture du Lan-guedoc Roussillon de 3 projets :43 logements collectifs à Montpellier69 logements collectifs à MontpellierUne maison individuelle à Montferrier sur Lez

2011Le Moniteur n°5632 04/11/2011 p.157Cuers (83), Construction de 104 logements

Cyber-Archi, Le clin d’œil de Montpellier à la Grande Motte, le 25.07.2011

Architopik, 42 logements à Montpellier, le 23.02.2011

2007Catalogue ExpositionFestival des architectures vives Pop-up city , Montpellier Edition Champs libre

2006Edition Jean-Michel Laplacesupplément mai 2006 Festival des architectures vives

Bati-Actu 14 juin 2006 Montpellier fête les microarchitectures

Midi Libre14 juin 2006Festival des architectures vives

Le Figaro23 février 2006Festival des architectures vives

Expositions

2012Exposition concours pour la traversée piétonne et cycliste de la radeMai-juin Espace FaubourgGenève, Suisse Projet : Zigzag sur le lac

2006Festival des architectures vivesJuin 2007Conservatoire de Musique de MontpellierProjet Cinécitta

Publ

ica

tions

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Crédits

Photographies : Nicolas Borel

Images 3D : Nicolas Trouillard & Charles Eliot Meyer

Conception graphique : La tête moderne, Carine Turin & Marc Deroin

Maquettes : Agence Clausel-Borel & Catherine Claden (Saint-Priest & Genève)

Site internet : Nicolas Trouillard

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Agence Clausel-Borel2, passage des Entrepreneurs 75015 Paristél : 01 42 77 04 82fax : 01 73 76 89 97mail : [email protected]

Dossier de références

AgenceClausel-Borelarchitecte