attention attentions attentios attention ttention ttentions tentions tention entions ention tions...
TRANSCRIPT
ATTENTION
ATTENTIONSATTENTIOS
ATTENTIONTTENTION
TTENTIONSTENTIONS
TENTIONENTIONS
ENTIONTIONS
NTIONSION
SIONSIONS
IONON
ONSNS N
S
N!!
O
EXPLICATION D’UN
’GRAS MAIS RIEN
’
’hpuis
…Moi aussi j’y ai cru!
m mm m m m
m m m m m m m m m m m
m m m m
m m m m
m m m m
m m m m
m mm m
m mm mm mm m
AAAAAAAAA AA AAAAAAAAHA AA HA AA HA H
hiiiiiiiiiie t’
aim
e ca
cahuète EEEEEEE
EEEEEHHEEEEmoi aussi
t’èm tem t’m’ thème tème taime tè’m tai’mWouii Wouii Wouii il y a tant d’m’m’ Wouii Wouii Wouii
!!! … !!! … !!! … !!! … !!! … !!! … !!! … !!! … !!! « » t’aime Cri « » t’aime tant « » moi aussi « »
n X u X e X s X o X u X s X le X v X e X n X t X c X h X a X u X d
Wouii Wouii Wouii y’a du soleil partout Wouii Wouii
les prairies sont belles le sable fou () W () O () U () I () W () O () U () I
c h r y s a n t h è m e à d e u x r o u e sv i e n t s u r m o n t a n d e m à c h a t o u i l l e sxXxXxXx dis tu dis oui xXxXxXx dit tu le dis xXxXxXx
WOUII !!!!!!!!!!!!!!!! WOUII !!!!!!!!!!!!!! WOUII
SS DIS SS TU SS DIS SS OUI SS
S * S * S * S * S * S * S * S * S * S * * * * * * * * * * * * * * * *
voitures sur le camion
C O N V O I S
sortie
d’autoroutecamions dans le trainsortie d’autoroute
le train dans le tunnelle tunnel sous la manche
sortie perturbant
ele pull dans l’armoire
l’armoire dans la chambre
sortie d’autoroute
la chambre dans la maison
la maison sous le ciel bleu
Mathilde, j’ai perdu mon jouet. Monte sur le trottoir! Je veux mon klaxon. Monte immédiatement sur le trottoir! Non! J’veux mon claque son. Le camion! Trop tard; c’est pas vrai; encore une de r e n v e r s é e
L’AUTOMOBYLETTE GYRAFOIRE
interdit aux carrosseries contradictoires
bidons d’essence s’abstenir de crier gare.
Tourner de l’œil au prochain giraproie.
Vaches lunatiques, fermez vos fenêtres.
Conduite à droite ivresse en danger.
Brouillard givré roulez débrouillard
sort
ie o
blig
atoi
re tou
s a
u b
al.
voie en déroute conduire sans permis.
attention chutes d’ingratitudes
Chau
ssée
gl
issa
nte
san
s i
ssue
s.
ruel
le d
ange
reus
e éc
rase
z-vo
us.
ch
au
ssée tro
uée c
rois
em
en
t de d
oig
ts c
on
seillé
alcool au volant arbitre au ballon
ralentir sans s e p r e s s e r p e r m e t aux p a y s a g e s de r e s p i r e r
Les
lig
nes
bla
nch
es
son
t n
ociv
es
au
cerv
eau
Pas sage sos pour
vrouummvroumpi
eds thons sûrs
vrroum vrroum
teuf
teuf
tef
teft
eft
eft
eu
f tef
te
f
tef
Dans le vide
plein d’ex
tensions sibyllines de l’abîme, ne pas en dire
plus provoquerait des orgasmes
ETR
E
AN
GE
ETR
AN
GER
Jiro
ulo
ir
calo
rifugue
pita
sum
e
Pla
melo
n
Talu
net a
rrive. Il a
rrive q
ue n
on
chat
l’am
ant
l’intru
menta
l
pro
vin
ciel
dépende
d’a
via
tiques
circom
ple
xes
éth
ern
uant
des
plu
plu
plis ca
lsinusiu
m …
mêm
e
si co
ntra
dictio
nnelle
ta
rtilunée
mouch
e
adro
item
ent
septe
ntrijo
urn
al
ventriso
leil
acclo
ché
au
fu
ryeux
pin
g
pong
pein
gro
in
MUTONS
MOUTONS Un
crapovase affecté de
capitales express se
terrait dans un trou
d’anguille. Deux amis don
à farine mécanique
passant par là lui
lancèrent un calcactus à
extraire l’espoir. Le plus
ami cal des deux compas
gnons lui dit alors:
« Recule pour mieux
sauter mais n’empêche
pas tes crapolaroïdes
fesses de montrer aux
babouches comment bien
jongler pournepasperdre
la face
MISS TAIRE
MINUS Morte de rire la
mort fait son bruit avec
des lubies d’esturgeons
brocantés aux spirales
épatées par les miroirs
analphabètes. Jeté à la pou
belle l’œil donne une leçon
de principe aux doigts qui
l’ont suivi: Les chaussons
aux parapluies se
succèdent, les pépins à
manche fluviale restent.
UN
C
UR
E
YEU
X
BEA
U
N’H
OM
ME A
vec
ses
guib
olle
s de v
ert
u
canib
ulle
, et
son
crâne
de
travers
oin
pré
texte
, l’in
nom
bra
ble
in
terp
rête
ur
arp
enta
le
s cu
linerf
s pro
gra
mm
es
crépis
d’a
post
éose
s fila
ndro
iteuse
s. E
t le
sile
nce
foula
traca
ufr
oct
raque r
entr
ez
vos
chew
ing-
gum
s s’
inventa
un n
ouveau t
ire-b
ouch
on à
bre
telle
. C
anic
ulic
he
très
hot
dog
en v
ue
Slo
c bodyblo
g
scro
m
dom
e
did
olo
gue
l’hom
me é
tait
couru
d’a
vance
. le
tour
de
France
n’a
ura
pas
lie
u.
L’A M I C U L T U R E
ô prophète en ton pays
riche ruche deviendra roche
croche croche croche cloche
suis une autant tic déesse en tiques
i i i i i i i ii
HA HA HA HAAAA HA HAl’apiculture n’est pas une pomme
POMME DE RAINETTE
ET POMME D’API
PETIT TAPIS ROUGEAdam ne se mange pas
POMME DE REINETTE
ET POMME D’API
PETIT TAPIS VERTl’écho logique écho lierre
n’a rien compris
DEUX LEVRES PLUS
QUELQUES LIEVRESpetit à petit
l’élève grandit
B A I S E R S MIEL
POMME D’AMOUR
J E V O L E
i i i i i i i i i i i i i i
s
u
i
squi
vol
ep
om
m
e
voleunho
mm
equi vole
une p
om
me
vole
un
homme qui
vole une pomme
stridulent les
u
n
s
a
b
l i
e r
grincheuses
sorcières
vole
unh
om
me
qu
ivo
le u
ne p
om
me
vole
u
n
hom
me
qu
i vole
un
e
pom
me
affublé
es
d’un
equ
eue
flasq
ueen g
uise
de
nez
nu
phar
edosq
u’e
lles
en
ru
u u
u
u u
u u
u u
u u
u u
u u
u u
u g
i s s e n
te n
c o
r e
}}
chan
ter
chan
ter
un
e
A HAUTEUR DES LAMPES LA RAISON un raisin noirJeanne roule sur le carrelage tacheté les miroirs sont vides les rideaux en papierla porte Un raisin noirJeanne tourne autour d’une flaque sourdela porte la porte Tabou retschaises bancs tables tableaux avant de vous afin que les costumes ne vous reconnaissent VEILLEZ A VOUS ANNONCER
CE N’EST PAS LA PREMIERE FOIS QUE
sur un sol bredouille Jeanneun savon rose la porte et unraisin noir perdent la raisonJeanne la carte l’apporte de suiteà hauteurdes lampes bonsoir
SUCRESELPOIVReCORNICHONSAILPAINMOUTARDEPOIVRONS
SALADEFRITERÔTITARTETATINTRUITEGRATINPÂTESTOMATES ch
ante
r
BLANCROUGELAITBIERECAFEGRENADINEKIRSCH
chan
ter
DEBAT RACE DE VOS ACCES SOIR
…
c r
i e r
P E R V E N C H E) ) ) ) ) ) ) ) ) ) ) ) )
SOI YEUXcomme des amandes( ;( ;( ;( ;( ;( ;( ;( ;( ;e n c e i n t e s d e c o u l e u r s(((((((((O)))))))))QU’INTREPIDE VOUDRAITPRENDRE((( )))D’ASSAUT
))))))));;; ;;;((((((((brodés de dociles cils;;;;;;;;(((oOo)));;;;;;;;Les plus))) (((beauxau monde viennentviennent( )depasser
???????????????????V O S Y E U X
oOo
?????????????
( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( (
S O L E I L…………………....‘ ’ ‘ ’ ‘
il paraît que cen’est pas à
moi
d’êtrepresséeparle
scycliques virgules
même si
l’endiman
ch é
silence en sau tillants
ecoue
sa tête
d’écha ntillio
n
nage
polyphon
éti
quea échafaudag eép
i
dermique
hic
hichi
c
hichic
hic
hichic
hi c
bie
nsûr m
aisj
evoud
rai
sdes v
erb
es a
u
choco
lat e
t ra
co
n
ter
des
avec
moi
mo
i
jevou
ssou
riz
jevo
us
so uvou
sso
u
ri zre
ts
riz
pe
u!!
!
vous
jouie
z
si
ret
s
raun
i s
…
uas
si
je
… PO
EM
E
A
PLU
SIE
UR
S
VIT
ESS
ES
()
L ’ E T A T L O N G à A I G U I L L E S Celle-ci coud les nuages au trottoir XXXXXXXXX XXXXXcomme? comme le grand gramophone répercute leurs leurs ? leurs ? XXXXXXXXlueurs XXXXXXXXXXXpanique un chien les lape toutes La femme en colère XXXXXXXXXXXXXXXXXX Mais très très trait en couleur XXXXXXXXXXXX XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX.D’après l’écolière Ne sachant que plus que faire XXXXXXXXXXXXX Aux orties Jeta sa j olie chaussure XXXXXXXXXXX a-t-elle raison ? a-t-elle raison ? a-t-elle raison? XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX demande son frère, puis son père, puis le maire, puis la terre, puis c’est quoi cette chose là ? XXXX XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXla raison XXXXXXXXX pourquoi qui quand où ? XXXXXXXX pour qui où quand quoi ? pour quand qui quand quoi! la deuxième chaussure, solitaire XXXXXXXXXXX XXXXXXXXXXX mais très très très solide terre : Le raisin ? v ous av ez perdu le raisin ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! XXXXX il est juste derrière le mini m inistère à la sortie du petit petit à petit XXXXXXXXXXXX XXXXXXXXXX hi hi hi hi petit petit v ient par ici aiguil le à l’endroit anguille à l’env ers XXXXX
O O
OO HO COMME C’EST DRÔLE, O O UN HOMME TOUT NU O O O O O O UN HOMME TOUT NU DANS LA SALLE DE BAIN O O O TOUT NU PRENAIT SON BAIN O
O O O O O LE PRESIDENT PASSANT PAR LÀ LUI FIT UN COMPLIMENT O O EN LUI PIQUANT SON NOMBRIL O O O O O O O UN NOMBRIL TOUT NU O O
O O VOILÀ LE NOM DU PRESIDENT ! O O QUI SANS PLUS DE FAçON O O O O O PASSA SON CHEMIN O
O O O O O TANDIS QUE DANS LA SALLE DE BAIN O O
L’HOMME TOUT NU ME DIT O O
O VIENT MON ÂME CONTRE MON VENTRE O O O J’AI PERDU MA DERNIERE OREILLE O O O O O O O O O O O
le n
ez d
ans
l’en
gren
age
tou
s to
usse
nt e
t se
po
usse
ntpo
ur le
s po
uces
vou
s re
pass
erez
je p
réfè
re m
on m
ouss
edi
s-le
lui !
dis
-le lu
i ! d
is-le
lui !
dis
-le lu
i di
s-le
lui
dis
leun
peu
, pre
sque
offi
ciel
, le
pers
il, c
e n’
est p
as d
iffic
ile
Loui
s qu
’il s
enom
me
dans
leno
irdef
umée
Pou
rquo
i?
lui a
ussi
a la
frou
sse,
les
caro
ttes
se m
ange
nthi
er d
ans
ma
man
darin
e j’a
i tro
uvé
troi
s na
rines
P O E M
E
A DOIG
T
.
L E
M O
T E
U R
A C I
R C
O N
S P
E C
T I
O N
g’r
grr’o
io
grrr
uit i
oo
l’e n
t r o
p i
e
l’e n
t r o
m e
r l e
ui u
i o
ui u
i o
hui
huit
l’a n
t h r
o p o
m é
s
a n g
e
souh
aite
nt u
i’t a
r d
e m
m e
n t
une
c h
a r n
e l l e
e
n t r o
t o u
p i e
zu’t
tz tzu u ’t
tz tzu u i ui tz’t
hélas hélas bzzzuit
il n’y en a plus u i u
iitles boulangers les ont
ui’t fui’t
vendues hu i’t bz’t au
jardinier rrro boo
pour les semer afin qu’ils
germent en bz’uits
croustillants croissants
dépourvus de prises
électriques
V’i Z
v’zz
z ii i ‘
z
vui v
u’it
vu’i
z z
l’ en
trepô
t po
t po
te
l’ en
tre t
i e n
t
i e n
n e
ghro
bz’t
grou
ic u
i
grou
ou’ik
l’ent
rem
ets m
ais m
ais
mai
s mai
s mai
s
à ta
ton
cher
chen
t à
tâto
ns tâ
tons
ah
non
leur
ui’t
ui’t
ui’t
v’’v
’’v’’
sang
blanc
d’e
ntre
côte
gr’it
gru’i uu’it
zhoo’grrr zzho’gr
Yuppie! l’entremetteur
en scène u i bzu’it les
recycle
en d’inéditsb’z bzzz’uit
entrechats
qui minaudent m
ui i ui ui
après tournedos
f i l a n t s u r f e r grands
entrelacs venteux
v’v’v’v’vou v’v’v’v’v’v’
w’w’w’w’w’ u i v’v’v’v’v’v’
hu i’t
d é c r o
i s s
a n
c e
e te
n t r e
p
r i s
e
vite
q u e j e f i
l e
chez le c o u t u r i e
r
les c r o c o d i l e s r i
e n t
l e s l i o n s
p r i e n t
l’arc-en-ciel s’ e n r o u l e à
ma
trompe à p a s d e l o
u p
l e s g i r a f e
s m e
r a t t r a p e n t
et
je n’ai pas de
fourrure
C R O C O I D Y L L EA
V
I
S
A
U
X
É
T
O
U
R
D
I
S
L
E
S
J
O
U
R
S
D
E
F
L
A
Q
U
E
S
G
R
I
F
F
É
E
S
L’
A
R
C-
E
N-
C
I
E
L
T
I
R
A
N
T
S
E
S
F
L
È
C
H
E
S
S
U
R
L
E
U
R
P
R
Ê
T
-
À
-
P
O
R
T
E
R
L
E
S
C
O
U
T
U
R
I
E
R
S
N
E
T
R
A
V
A
I
L
L
E
N
T
Q
U
E
L
A
N
U
I
T
J
E
T
E
Z
U
N
O
E
I
L
D
A
N
S
L
A
P
O
C
H
E
D
‘
U
N
T
A
I
L
L
E
U
R
V
O
U
S
V
E
R
R
E
Z
C
O
M
M
E
N
T
6
7
S
O
L
E
I
L
S’
Y
B
L
O
T
T
I
T
D
A
N
S
L’
A
U
T
R
E
U
N
E
G
R
E
N
O
U
I
L
L
E
Q
U
I
S
E
G
R
O
U
I
L
L
E
D’
E
S
S
U
Y
E
R
L
E
S
G
A
R
G
O
U
I
L
L
E
S
D
U
S
A
F
A
R
I
-
D
É
F
I
L
É
B
R
O
C
H
É
D
E
V
O
S
Y
E
U
X
1
2
3
4
5
6
78
98 7 6
5 4
Berlin l’enchanteur fit deux
petits Paris Oh Ah ooh aah qu’il perdit ahh où où où A T r i e s t e pardi!
P e u à p e u l e sg r o t t e s s’ e f f r i t e n t Lesmineurs mangent trop de stalagfrites
L e t e m p s c’e s t de l’argent non si si non si si si si non si non non
non
letemps c’est l’a r t des gens
Les fleurs sont à la lingerie e n t r e les b r a s d’un o u r s p o l a i r e é c r a s
é par le f e r à défaire
fécule tranchée
ciel o r a g e u x
les ongles sont
e n g r è v e l e
s a v o i r soulage
c r i m e m e r c i
d ’ ê t r e t o i
C’est t r è s bon
une poire
miam!
uneautrecrème?
R e q u i e m à
rebours Fugue
à t a l o n Le
paradis cherche
ses aillllllllllllles
Ne pestez pas
N ’ étudiez pas
Ne viiiiiiiiiiivez
pas r i e n n’a
encore été dit
Langue de bœuf à l’envers
l’hiver sera veuf et
plus longue la poule à pondre son œuf tout n’oeuf
hibouxc h o u x
cailloux f o u s
troupouloupcou
touxrouxtatous
houx bijou cou
onditdabordbonjour ensuite on prend le couloir une fois la surprise passée on découvre les murs
Ondée de kkkk
kkcannelle puis
zeste d’orange
le p a r a d i s ne
sait pas s’enfer
Roses bleus oranges mauves jaunes les cornichons v o u s saluent Le vinaigre s’ e s t é v a n o u i
Heps b i c e p s
Heps concepts
Un f a n t ô m e
p a s s s se
par la p o r t e
Ne pas se trompeter l e s
néontropes s e c a s
s e n t Les c a m é l
é o n t r o p e
s aussssssssssssssss si
2 cargotaquinés
par un escargot
qui sème un peu
dUmour récolte
g r a n T amour
saveur v e r
t u e u s e n e p a s p a s s e r i n
a p e r ç
u e e n s u e u r la suie s ’ e s s u i e
L e s pincettes
p i n c e n t Le
p r o g r è s
c’est bien Les
r e g r e t saussi
à d e u x doigts du trottoir au r a l e n t i l e s g é r a n i u m s m o r d e n t à l’ h a m e ç o n
Lime à r e s s o r t s t i s s a n t lame à e s s o r e r la chair terminer ses études c ’ e s t sain
Ne pas octroyer de
bons points a u x
gagnants d é r a n g e les virgules;
parfois
C h a s s é d’ un m é g a l o
p e c o n
f e t t i s l’hypnopopotâme en r i g o l e e n c o r e
Moins plus
plus m o i n s p l u s foins plis plisse Avec l e l e
vain c’e s tsif a c i l e
Sur la p l a q u e de chocolat le Cervin ne f o n d toujours pas A dû perdre sa bouche le s o l e i l
C o u l e u r s
Démissio n ne z
Les feuilles sont
v o l a g e s Les
arbres chauves
zygote zygène zi
gote
au
zig
om
atiq
u
zinzolin zinzin
zin
zin
ule
zazo
u zé
zététique zoolâtre
ziz
an
ie
zoop
hyte
zut zutiqe zoopsie
zom
bi
zir
con
ite z
ir
conium zéphy
zip
zellig
e z
akou
ski
zu
zingibéracées zzz
ym
oti
qu
e
zyth
um
DEUX TROIS QUATRE + SEPT CAILLOUX
un éléphant à genousur une estampe estompée
le paradis perd de
précieuses
À faire le malin chaque matin
minutes.
Chut ! Ses a
n g e s
peup
lent
mon
plu
mie
r.
L’un
a pe
rdu
la fa
ce. U
n au
tre
s’es
t
perd
u de
moi
tié,
haï
ssan
t
celle
qui lu
i re
stait
. Le
quatr
ièm
epass
e s
on t
em
ps
à le
cherc
her.
Le s
uiv
ant,
toujo
urs
la
tête
àl’e
nve
rs n
e le
re
trou
ve
plu
s.
Cel
ui q
ui a
per
du s
a
lang
ue l’
a
rem
plac
ée p
ar u
ne
limac
e qu
i à
chaque fo
is qu’il ouvre
sa
bouche
fait de sa
les grimaces. Un
autre,parti à la recherche de la paix,
a trouvé sur son chemin unechose incroyable: la guerre,
agenouillée à ses
pieds. Le
treizième, cherchant sa
tête en
l’air, a déchiré les
nuages qui
la retenaient. Tom
bée des
nueselle
fit grise m
ine,
quelque peu
disp
ersée elle se mis à c r i
e r fam
ine. In
terro
mpu d
ans
sa glo
rieuse
asce
nsio
n,
et
tenant à
ses
délica
tes
ore
illes, le
so
leil
la p
unit. C
’éta
it mid
i. À
son
tour la nuit t o m b a.
Plouf,
qu’elle fit. Ayant perdu
ses esprits elle prit la tête pour
une pomme bien mûre. Et là, et
là, l’univers retint sa
respiration.C ’ é t a i t m i n u i
t e t l e m a l i n r i
a i t r i a i t r i a i t riait !
Sans
part
age
une musaraigne
j e rè
gne
eh o
ui
rien de
plu
sn o
r m
a l
p u
i s
q
u e
j e s u
i s
! ! !
o o o
j e s u i sle colonel ombrellem’autorisez-vous m’autorisez-vous
je voudrais vous céder mes bretelles
des bretelles de Bretagne toutes en dentelle
c r o c h e t é e s e n m o t ’ R
j e n ’ a i p a s l a t ê t e e n l ’ a i
rj e s u i s l e c o l o n e l o m b r e l l
equi fait le pin son
m’autorisez-vous m’autorisez-vous
ne peut voler sans ailes
à v i d e r l a p o u b e l l e
i l y a t r o p d e c o u r a n t s d ’ a i r
e t j e c r a i n s l a b a g a t e l l e
pot’à’mot’chairbague au doigt tiens-toi droit
Motorisez-vous motorisez-vous
d’avantage charnelles sont les i’rondelleséternelles rebelles
charmés par vos aissellesd’ailés gants cerfs-volants
vous offrent
PHRASES REBELLES
de
b e
l l
e s j
a r
r
e
t
e
l
l
e
s
LEVRES PERLEES DE RÊVESE L L E S E L E V E
i l f a i s a i t b e a ui l f a i s a i t c h a u d
t a m a i n é t a i t
c o u l e u r d ’ a m o u r ta b o u c h e u n a c c u e i l
l e s f l e u r s s’ y d é s a l t é r a i e n t
ton ventre un rêve réussila terre le prenait pour modèle
d a n s t e s y e u xl a l u n e y’ a c u e i l l is o n p r e m i e r s o u r i r e
d e m a i n i l s e r a r o u g e
e t l ’ h i r o n d e l l e p a i l l e t é ee n s e i g n e r a t a c h a n s o na u x n u a g e s é c h e v e l é s
B o n j o u r m o n c œ u r A s - t u b i e n d o r m i ?
.
!
C A R T E P O S T A L E
.
ÂME ARME LARME ALARME ET UN K’LIBRE
.
.
.
.
.
.
p e a u appeauxcomme au soleil
c r a p a u d s s o n t b e a u x
denses
danses
cha - cha - chachats chapeaux
poussent puces pouces baisers v e r s vertiges hommes femmes voyous voyelles
coacoacoa quoi
M
M MMM
MM
MM
cor
sag
e
sen
tierectoplasme
ongl
e
am
ygdal
e
mir
oircoro lle
carafe
am ib
eca
cah
uète
nageoir
e
banc ruba
n
fête
virgule
girafe
mots
joue
perr
uqu
e
cer
ise
jouet
me
rle
COQ E LI COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E
E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E
LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ
E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ E
LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ
E LI COQ COQ E LI COQ COQ E LI COQ
COQ E LI COQ COQ E LI COQ COQ
E LI COQ COQ
…Y’A DONC PAS QUE NOUS QUI SOMMES
son flanc le plus foncé, comme un éternuement de café sur une nappe de dentelle lever le voile sur les secrets de la bonne viande piquetée de rosaces de charbon, s’agenouille, se relève, s’agenouille et du bon fromage à quatre pattes au-dessus des nuages la terre s’éclaire et fait avancer la compréhension des maladies comme un tir de bouchons, à un bouton d’or près plante ses guibolles dans un long point d’interrogation d’un côté le bon vin, de l’autre les gnomes côté blanc elle bat la queue, côté rouge elle se lèche les narines le génome du bovin a été détecté au bord du soleil éternue des fleurs trop agressive Marguerite n’aimait pas son nouveau
maître. Dès sa descente de camion elle s’est enfuie. La bête a
traversé la route à plusieurs reprises malgré un trafique intense.
Un vétérinaire a tenté de l’endormir. La police a dû lui prêter
main forte à 80% la vache ressemble à l’homme Pardon madame,
n’auriez-vous pas des jumelles ? Vous faites erreur, je suis un homme, et ma femme un crapaud, comme une libellule il hulule. M I A O U haut les mains ! F O L L E S
Genève
Septembre 2009
CH.CH Chantal Chatelain
attentiontentation