dossier de presse johan van mullem / macadam gallery
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JOHAN VAN MULLEM META
MORPHOSES
Exhibition 17.10.2014 > 14.12.2014
Opening 16.10.2014
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
JOHAN VAN MULLEM
META MORPHOSES
(Peinture, dessin, sculpture)
17.10.2014 > 14.12.2014
Pour sa seconde manifestation de
rentrée, Macadam Gallery a
l'honneur de présenter, du 16
octobre au 30 septembre 2014, le
travail de l'artiste Johan Van Mullem.
Une sélection d'oeuvres inédites de
cet artiste complet sera à découvrir
lors d'une exposition personelle
nommée "Méta morphoses" mêlant
peintures, dessins et sculptures.
Vernissage Jeudi 16 octobre 2014
à partir de 17h.
Macadam Gallery
58 place du jeu de balle
1000 Bruxelles
+32(0)2 502 53 61
macadamgallery@gmail.com
www.macadamgallery.com
Preview PRESS :
Mercredi 15 octobre 2014
De 15h à 17h
Preview VIP : (Sur demande)
Mercredi 15 octobre 2014
De 18h à 20h
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Né en 1959, Johan Van Mullem vit et travaille en Belgique.
Johan Van Mullem untitled
Ink on board
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Johan Van Mullem untitled 2012
140 x 100 cm Ink on board
(FRANÇAIS) Johan Van Mullem – La matière incarnée Parcours atypique que celui de Johan Van Mullem, qui a toujours pratiqué le dessin et la peinture, mais n’a choisi de livrer son travail au public que tardivement, lorsqu’il a considéré que ses recherches atteignaient une certaine forme de maturité. C’est tout à l’honneur de cet artiste autodidacte. Ce type de démarche pourrait même paraître exemplaire au vu des tatônnements qui nous sont donnés à voir dans le parcours de nombreux artistes. Cette maturité dans le travail de Johan Van Mullem apparaît avec une évidence certaine lorsqu’on se confronte aux oeuvres de ces dernières années. La “force de la peinture” prend ici tout son sens. Il nous présente une série de “portraits”, ou plutôt d’interprétations de la figure humaine, puisque les personnages ne représentent personne en particulier, mais naissent de la matière elle-‐même et acquièrent un statut archétypal, universel. On peut voir à travers ces “anti-‐portraits” une quête perpétuelle du sens de l’humanité. Une pratique artistique quotidienne et structurante de l’exercice de représentation de la figure humaine qui semble donner sens à sa vie d’artiste et, au-‐delà, celle d’Homme. La nécessité de peindre apparaît avec évidence, loin de toute stratégie ou de réflexion incestueuse sur l’art et son histoire. Johan Van Mullem pose avec acuité le “problème” du portrait et de l’incarnation de la figure. Il donne une existence matérielle et sensible à une réalité abstraite. C’est l’ensemble de ces figures qui nous poussent à une réflexion sur la nature humaine et les abysses de l’âme. A la vue de cette galerie de “portraits”, on perçoit clairement, parfois avec effroi, la qualité véritablement troublante du visage humain. La confrontation avec les peintures de Johan Van Mullem est de l’ordre de l’expérience. Les personnages nous observent autant que nous les regardons et nous finissons par y voir une part de notre propre reflet. Cette présence du visage semble toutefois, par moments, évanescente. Les visages paraissent se noyer dans la matière et disparaître. Ce phénomène d’apparition et de disparition simultanée est parfois troublant. En fait, la figure que l’on discerne est juste figée par le peintre entre ces deux moments, prisonnière de sa propre matérialité dans le vernis qui la protège. Sa peinture peut être perçue comme le développement d’une forme d’abstraction, issue de la matière-‐même. La figure naît du “vide”, elle se construit par la matière, par les inflexions d’un pinceau qui cherche sa voie en permanence. Le visage semble se construire de manière autonome, par addition. La jouissance de la matière est toujours évidente et on partage avec lui la pulsion du geste et la magie de l’apparition.
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Johan Van Mullem opère tel un biologiste. Il a réussi à séquencer l’ADN qui constitue l’être et déroule, dans la matérialité de la peinture, le fil qui constitue notre enveloppe charnelle, reflet ou rempart de la personnalité. Parfois les visages sont uniquement constitués d’un entrelac tiré au pinceau. Le geste, proche de celui du calligraphe, sculpte d’une trace élégante et précise le volume d’un visage en étalant la peinture par-‐delà la planéité de la toile. Evocation d’un cocon, personnalité larvée, en devenir ou dissimulée dans une enveloppe protectrice. A l’opposé, d’autres tableaux proposent un trait condensé, nerveux, obscessionnel et juxtaposé. Le visage se construit de manière laborieuse et pesante, mais toujours habité. Evocation des mutations de la personnalité et de l’évolution des sentiments au cours de l’existence. Condensé de la vie, de la naissance à la mort, passant par une large palette de sentiments; plénitude, angoisse, peur, extase, ennui... Sentiments constitutifs de la vie, instables et changeants. Evocation égale-‐ment des mutations de notre enveloppe charnelle, de la jeunesse à la vieillesse, les métamophoses de l’être et du paraître. Rapports parfois douloureux et paradoxaux du corps et de l’âme. Ces personnages ne sont-‐ils pas finalement la représentation sismographique du reflet de l’artiste lui-‐même dans le miroir du quotidien? A travers lui nous retrouvons nos états d’âmes, réels ou fantasmés. Qu’ils nous effraient ou nous fascinent, ils déclenchent toujours quelque chose. Ils sont toujours incarnés. Et c’est ici que Johan Van Mullem touche à l’essence même de cet exercice difficile, presque surfait, du portrait en peinture. Il ne peint jamais la surface d’un visage, mais sa profondeur, son essence. Bien sûr, à la vision des tableaux de Johan Van Mullem, on ne peut échapper à la référence à la peinture “classique”. C’est précisément ce sentiment, qui ne reste jamais qu’une intuition imprécise et fugace, qui nous fait comprendre qu’il s’agit bien d’une oeuvre sincèrement originale et authentique. Un pinceau trempé dans le sang, qui sculpte la chair et dévoile l’âme.
Frederic Collier
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
(NEDERLANDS) Johan Van Mullem – Vleesgeworden materie De door Johan Van Mullem afgelegde weg is atypisch. Alhoewel hij al zeer lang tekent en schildert, verkoos hij zijn werk slechts recent aan het grote publiek voor te stellen, wanneer hij dacht dat zijn navorsingen hadden bereikt een zekere vorm van maturiteit. Dit strekt de autodidactische artiest tot eer. Deze aard van aanpak zou zelfs als exemplarisch kunnen worden aanzien met betrekking tot de afgelegde weg van vele artiesten. De evidente maturiteit in het werk van Johan Van Mullem blijkt uit een confrontatie met de werken van de laatste jaren. De “kracht van het schilderen” krijgt hier zijn volle betekenis. Hij stelt ons een reeks “portretten” voor of eerder interpretaties van de menselijke figuur, omdat de personages niemand in het bijzonder voorstellen, maar voortvloeiend uit de materie krijgen ze een archetypisch, universeel statuut. We kunnen dwars door deze “anti-‐portretten” een onophoudelijke zoektocht naar de zin van de menselijke natuur vaststellen. Zowel artistiek als structurerend werken aan de voorstelling van de menselijke figuur die zin geeft aan zijn artistieke leefwereld en daarachter, deze van de mens. De noodzaak van het schilderen is evident, ver van alle strategische of incestueuze reflectie met betrekking tot de kunst en zijn geschiedenis. Johan Van Mullem stelt het “probleem” van het portret en de incarnatie van de figuur scherp. Hij geeft een materiele en sensibele existentie aan een abstracte realiteit. Het is het geheel van zijn figuren die ons voeren naar een nadenken over de menselijke natuur en de afgronden van de ziel. Wanneer men de galerij van “portretten” bekijkt, merkt men zonder moeite, soms wel met afgrijzen, de verontrustende kwaliteit van het menselijke gelaat. De confrontatie met de schilderijen van Johan Van Mullem stoelt op ervaring. De personages observeren ons in dezelfde mate als wij hen bekijken en we zien tenslotte een deel van onszelf weerkaatst. Deze aanwezigheid van het gelaat schijnt soms geleidelijk te verdwijnen. De aangezichten lijken te verdrinken in de materie en te verdwijnen. Dit fenomeen van simultane verschijning en verdwijning is soms verwarrend. In feite wordt wat men ziet door de schilder verstard tussen deze twee momenten, gevangen door zijn eigen stoffelijkheid binnen het vernis die het beschermt. Zijn schilderen kan worden aangevoeld als de ontwikkeling van een abstracte vorm, ontstaan uit de eigen materie. De figuur ontstaat uit “het niets”, zij bouwt zich op door de materie, door de halen van een penseel die permanent zijn weg zoekt; Het gelaat lijkt zich op een autonome manier op te bouwen, door bijvoeging. Het genot van de materie is steeds evident en men deelt met hem de drift van het gebaar en de magie van de verschijning.
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Johan Van Mullem werkt als een bioloog. Hij is erin geslaagd het ADN op te splitsen die het wezen vormt en ontvouwt, binnen in de materialiteit van het schilderen, de draad die ons lichaam, als weerspiegeling of verschansing van de persoonlijkheid vormt. Soms zijn de aangezichten enkel gevormd door een streek van het penseel. Dit gebaar, nauw verbonden aan dit van de kalligraaf vormt met een elegante en precieze haal het volume van een gelaat door het uitspreiden van de verf over de uitgestrektheid van het doek. Evocatie van een cocon, gelardeerde persoonlijkheid, wordend of weggestoken in een beschermend omhulsel. Daar tegenover, bieden andere schilderijen een gecondenseerde, nerveuze, obsederende, naast elkaar geplaatste stroken. Het gelaat wordt moeizaam en geduldig opgebouwd maar is altijd bewoond. Evocatie van de mutaties van de persoonlijkheid en de evolutie van de gevoelens tijdens het bestaan . Condens van het leven, van de geboorte tot de dood, via een breed palet van gevoelens: volheid, angst, bangheid, extase, verveling…Onevenwichtige en wisselende gevoelselementen van het leven. Ook evocatie van de mutaties van ons lichaam, van de jeugd tot de ouderdom, de metamorfosen van zijn en worden. Soms pijnlijke en paradoxale verhoudingen van lichaam en ziel. Zijn die personages tenslotte niet de seismografische vertegenwoordiging van de weerschijn van de artist in de dagdagelijkse spiegel? doorheen hem vinden wij onze reële of gefantaseerde gemoedstoestand. Boezemen ze ons angst in of fascineren ze ons, steeds zetten zij iets in beweging; Zij worden steeds geïncarneerd. En het is hier dat Johan Van Mullem de essentie raakt van deze moeilijke oefening, bijna overgewaardeerd , van het geschilderde portret. Hij schildert nooit de oppervlakte van een gelaat maar zijn diepte, zijn essentie. Toegegeven, bij de bekijken van de schilderijen van Johan Van Mullem kunnen we niet ontsnappen aan een referentie met de ‘klassieke’ schilderkunst. Het is juist dit gevoel, die slechts een weinig precieze en vluchtige intuitie blijft die ons doet begrijpen dat het wel degelijk eerlijk origineel en authentiek werk betreft. Een penseel gedoopt in bloed, die vormt geeft aan het lichaam en de ziel ontbloot.
Frederic Collier
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
(ENGLISH) Johan Van Mullem – Incarnate Matter Johan Van Mullem’s career is an atypical one, having painted and drawn all his life, yet the artist only chose to present his work to the public at a later stage, when he considered that his research had in some way reached a certain level of maturity. This is all to the self-‐taught artist’s credit. Such an approach might even be considered exemplary, in the face of the tentative steps presented to us during the course of other artists’ careers. This maturity in Johan Van Mullem’s work is cer-‐tainly apparent in his creations from recent years. The “power of painting” is given all its meaning here. The artist presents us with a series of “portraits”, or rather interpretations of the human face, in which the persons do not represent anyone in particular, but emerge from the matter itself and acquire an archetypal, universal status. Through these “anti-‐portraits”, we can see an ongoing quest for the meaning of humanity. His daily, structuring practice is an exercise in representing the human face, which appears to give meaning to the artist’s own life and beyond that, to humankind. His need to paint is self-‐evident, far removed from any strategy or incestuous reflection on art and its history. Johan Van Mullem keenly situates the “problem” of portrait painting and the incarnation of the face. He gives physical, sensible existence to an abstract reality. All of his faces together urge us towards a reflection on human nature and the deepest recesses of the soul. On viewing this “portrait” gallery, we clearly see, sometimes frighteningly, the truly disturbing quality of the human face. Confrontation with Johan Van Mullem’s paintings is more in the order of an experience. The persons observe us as much as we look at them and we end up seeing a part of ourselves reflected in them. Yet the presence of the face at times appears to be fleeting. The faces seem to drown in the matter and disappear. This phenomenon of simultaneous appearance and disappearance is sometimes disturbing, as though the face that we make out is simply fixed by the painter between these two states, imprisoned in its own physicality under the protective varnish.
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Johan Van Mullem’s painting can be perceived as the development of a form of abstraction, resulting from the matter itself. Here, the face emerges from the void; it is constructed by the matter and the inflections of a brush that is constantly seeking its way. The face seems to build itself up autonomously, by aggregation. His enjoyment of the material is always evident and we share in his impulsive gesture and the magic of the manifestation. Johan Van Mullem operates like a biologist. He has managed to sequence the DNA that forms the being and through the physicality of painting, he unravels the thread which forms our bodily shell, the mirror or rampart of our personalities. Sometimes the faces are only made up of a tracery drawn by the paintbrush. With a gesture similar to that of a calligrapher, he sculpts the volume of a face with an elegant, precise trace, extending the paint beyond the flatness of the canvas. It might be the evocation of a cocoon, a personality in larval form, in the process of formation or hidden in a protective shell. By contrast, other paintings propose condensed, nervous, obsessional, juxtaposed traits. The face is built up laboriously and heavily, but always skilfully. In this way he evokes the mutations in personality and evolution in feelings that occur during the course of our existence. We see the summary of a lifetime, from birth to death, passing through a wide range of feelings: plenitude, anxiety, fear, ecstasy, lassitude, etc., such are the unstable, changing feelings that constitute life. It is also an evocation of the changes in our bodily shell, from youth to old age, the metamorphoses of the being and appearance, the sometimes painful and paradoxical relationships between the body and the soul. Aren’t these people ultimately the seismographic representations of the artist’s own reflection in the mirror of daily life? Through him we discover all of our states of mind, be they real or fictitious. Whether he frightens or fascinates us, he always triggers a response. The persons are always incarnate. This is where Johan Van Mullem touches the very essence of the difficult, almost exaggerated exercise of portrait painting. He never paints the surface of a face, but instead its depth and essence. Of course, upon seeing Johan Van Mullem’s paintings, we cannot fail to note the reference to “classical” painting. It is precisely this feeling, never more than a vague, fleeting intuition, which makes us understand that his is a sincerely original, authentic work. A paintbrush dipped in blood, to sculpt flesh and reveal the soul.
Frederic Collier
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Johan Van Mullem untitled
Ink on board
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Johan Van Mullem untitled
Ink on board
MACADAM GALLERY 58 place du Jeu de Balle 1000 Bruxelles +32(0)2/502.53.61 macadamgallery@gmail.com www.macadamgallery.com
Education 1978-‐1985 l’Institut Supérieur d’Architecture 1990-‐1991 Ecole des Arts d’Ixelles, section Gravure, atelier de Cécile Massart et Anne Kellens
Solo Exhibitions
2014 MACADAM Gallery, Bruxelles, October
C24 Gallery, New York ( USA ), January
2013 Hus Gallery, London ( UK ), October
2012 Hus Gallery, London ( UK), June
Andipa & Hus Gallery, London (UK), November
2011 Arthus Gallery, Brussels (Belgium), September
2010 Anarto, Anvers (Belgium), November Chapelle de Boondael, Brussels (Belgium), May
Group Exhibitions
2014 SAO-‐PAULO International Art Fair, 3 -‐ 6 april ( with HUS Gallery London ) DALLAS Art Fair, 11 -‐ 13 april ( with HUS Gallery London )
2012 Hus Gallery, Gstaad (Switzerland), February
2011 Sem-‐Art & Hus Gallery, Monaco, May Art Fair London, London (UK), October Lineart Gand,
Gand (Belgium), February
2010 AAF London, London (UK), October Eté Contemporain Dracenois, Draguignan (France), August & September
AAF Paris, Paris (France), May Art
Gallery 826, Knokke (Belgium), May
Lille Art Fair, Lille (France), May
Galerie 29, Anvers (Belgium), February
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Johan Van Mullem untitled
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Johan Van Mullem untitled
160 x 140 cm (X2) 2012
Ink on board
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